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MessageSujet: Édition du 18 Janvier 2020   Édition du 18 Janvier 2020 EmptyJeu 18 Jan 2024 - 18:24




Gotham Globe
Gotham City, Édition 76, 18th January 2020


Terreur à Gotham
De terribles craintes secouent le quartier des affaires de Financial District alors que depuis la chute du Gant Noir les attaques criminelles et braquages menacent toujours les établissements bancaires, suscitant de sérieuses inquiétudes de la part des actionnaires et des commerçant locaux, qui redoutent que le tourisme déjà fort menacé par l’image négative de la ville associé aux évènements passé, ne soit lent à refleurir dans les rues de Gotham. De tels fâcheux évènements pourraient faire sombrer encore. La dernière attaque majeure a fait deux morts parmi les rangs des gardes en charge de la sécurité des fonds liquides de la banque et suscité de nombreuses inquiétudes de la part des riverains en raison des émanations de gaz toxique. Le criminel serait entré masqué et en faisant exploser la porte à l’aide d’explosifs de manière à la détruire. Il aurait tenté de fuir par les airs mais aurait heureusement été intercepté par une intervention du SWAT et du GCPD avant de pouvoir s’enfuir. Des interrogations demeurent sur l’identité du malfaiteur en question. Si l’usage de gaz toxiques fait redouter à la ville un retour du redouté Joker, qui a dans sa macabre procession de l’an dernier fait tant de morts et de blessés, les rares témoins visuels en état de répondre à nos interrogations semblent nous avoir décrit un personnage bien différent. Si les descriptions ne concordent pas entre elles en tout points, quelques similitudes peuvent laisser à penser que peut être, même si on n’est pas sûrs mais de toute façon c’est possible donc on va dire que c’est ça, il pourrait s’agir de l’Epouvantail. L’ancien psychiatre Jonathan Crane de son vrai nom fait depuis quelques mois parler de lui pour ses empoisonnements à la toxine de terreur, qui plongeraient les victimes dans des illusions cauchemardesques de leurs plus effrayantes phobies. Le GCPD a refusé de répondre à nos sollicitations et de nous donner d’avantage d’informations. Interrogée sur une confirmation de l’identité de l’assaillant, la lieutenante de police Montoya a répondu avec agressivité « C’est un trou du cul ! » (sic). Cette réaction quoique révélatrice du stress et de la pression subie par les agents du GCPD dans un contexte de criminalité toujours très active ne nous renseigne pas spécialement plus avant sur l’identité de l’assaillant. La nervosité de l’agent pourrait être à relier au fait que le coupable de l’attaque de la banque aurait intoxiqué simultanément plusieurs civils en marge de son attaque bancaire, probablement dans le but de menacer les forces de l’ordre, dont certains de ces civils seraient selon une source proche du dossier des proches des policiers chargés de l’intervention. Selon une source proche du GCPD, les victimes ont été admises en urgence à la clinique Elizabeth Blackwell. Au moment de leur prise en charge médicale, le processus vital était engagé. Elles seraient désormais hors de danger, mais aucune précision complémentaire ne nous a été communiquée.
Maya Nishimura

Un verre d'eau pour la vérité
Cela a été récemment confirmé par les forces de l’ordre: les cinq jeunes hommes qui ont reçu la mort dans des circonstances mystérieuses en novembre dernier dans le secteur de Old Gotham aurait été victime du terrible évadé de l’asile Basil Karlo, communément appelé Clayface. Le célèbre monstre d’argile est bel et bien de retour à Gotham. À l’origine un acteur raté comme il en existe des millions au pays, Basil a malheureusement reçu de dangereux pouvoir lorsqu’il s’est tourné vers le mal. Cet aliéné égocentrique est donc capable de prendre l’apparence de n’importe qui et n’importe quand! Nul n’est à l’abri de ses tromperies et de ses pulsions meurtrières. Si jamais vous soupçonnez que l’un des membres de votre entourage a été remplacé par Clayface, aller lui poser des questions dont Basil ignore la réponse et si cela se confirme, balancer lui de l’eau à la figure! Cela vous permettra de dévoiler la supercherie et l’effet de surprise vous permettra de prendre la fuite pour appeler la police. Mais surtout, soyez prudent chers Gothamites, car nul ne sait tout ce que ce monstre osera faire pour accomplir ses objectifs!
Hector Flowerfell

J'accuse

Une lettre au vitriol, propos recueillis par Jack Ryder

Lettre ouverte à Monsieur le Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, à Madame la procureur général de Gotham, ainsi qu’à tous ceux des Hommes et citoyens qui se préoccupent du sort de leurs semblables et des cruautés et injustices dont notre société est malade.

Tout Homme, qu’il soit médecin ou non, sait que ses actions ou inactions l’engagent, qu’elles l’engagent au-delà de lui-même en engageant avec elles la responsabilité de l’idée qu’elles portent de ce qu’est l’Humanité et de la manière dont tout Homme se devrait d’agir à sa place en de pareilles circonstances. C’est ainsi que nous regarde tous, je le crois, ce qu’au nom de mon métier je vous écrit cependant.

Il serait inutile de rappeler ici quels scandales, quelles horreurs et quels noms ont dans un passé plus ou moins récent de notre métier terni le blason. En dépit de ces hontes et deuils dont de notre corps de métier se trouve ainsi affecté, ou peut-être la conviction renforcée par ses exemples inverses, je prends la plume convaincue qu’être médecin est aujourd’hui un honneur, parce que cet acte oblige, et oblige à ne pas soigner seulement.

Notre profession est d’ordinaire celle du silence. Souvent fusse-t-il comme l’ont tragiquement montré les récentes et dramatiques convulsions du temps, le silence de l’action d’urgence au milieu des cris. Ce silence, c’est celui qui fait que les secrets inviolables des malheurs intimes et des états de santé privés ne sortiront pas du cadre de leur discrétion. Ce silence, c’est celui qui se recule pour laisser le centre de notre métier non à nous même, mais à tous ceux qui de notre art sollicitent les soins. Ce silence, c’est encore celui d’une neutralité qui nous place certes fondamentalement comme agissant, mais pourtant dans le même temps presque hors du monde, en retrait pour ne pas dire en exil de certains chaos de la vie et de la société. Notre rôle premier, il est peut-être trivial de le rappeler, est de soigner et autant que possible de guérir le plus grand nombre d’Hommes. Le médecin est donc avec tous, s’adresse à l’Humanité en nous qui nous rassemble au-delà de toutes les différences et les similitudes qui pour le meilleur et pour le pire distinguent, confrontent, divisent les Hommes, leurs idées, leurs existences, et quelquefois les déchirent.

Un tel silence ne saurait être rompu à la légère. Mais il n’est pas toujours possible de se taire. Il ne l’est plus pour moi aujourd’hui. Mon devoir de médecin et aussi d’Homme, est ici de parler, de placer sous la lumière à l’attention de nos concitoyens et de vos institutions les faits gravissimes qui ont été récemment portés à ma connaissances.

Si le silence est le lot de notre profession, c’est qu’il est le cadre de la lutte intime et pourtant universelle de l’Humanité avec les véritables ennemis de la médecine : la souffrance, la maladie et la mort. Il serait coupable de se taire lorsque le silence serait s’en rendre complice, car le silence du devoir de réserve ne saurait être celui de l’acceptation, encore moins de l’approbation de l’inhumanité.

Quelles que soient les heurts du temps, la hauteur des obstacles, nos tourments ou infirmités collégiales ou personnelles, la noblesse de notre métier s'enracinera toujours dans un unique engagements, aussi simple à énoncer que difficile à maintenir : le refus intransigeant et universel de ce qui nie l’Humanité en l’Homme. Aucun de nous n'est assez grand pour une pareille vocation. Cet idéal se doit pourtant d’être maintenu coûte que coûte comme guide de nos actions en toutes circonstances et d’être poursuivi jusqu’au bout, souvent péniblement, résolument toujours. Le rôle du médecin du même coup, ne se sépare pas de devoirs difficiles. Parmi leur innombrable multitude, deux se détachent aussi nettement que le fait la lumière sur l’ombre : le refus de tourner le dos aux souffrances que l'on sait et la résistance à l'oppression. Par définition, le médecin ne peut donc se mettre aujourd'hui au service de ceux qui possèdent le pouvoir de faire l’organisation des corps, de la société et l'histoire. Il est au service de ceux qui le subissent.

C’est au nom de cette conception de notre métier, du rôle et du devoir du médecin que j’attire aujourd’hui votre attention sur les atteintes gravissimes à l’éthique médicale et aux droits de l’Homme qui ont eu à Arkham à l’aube de ce siècle, et dont il peut être à craindre qu’aujourd’hui encore, ils s’y poursuivent ou prolongent.

Mais je crains de devoir être plus précise, vous présentant mes excuses par avance pour la violence et l’horreur qu’il y a à lire certains mots, tout à vous appelant à mesurer dans celle-ci la violence et l’horreur qu’il y a pour les victimes à vivres les maux qu’ils relatent.

J’accuse la direction de l’asile médical et psychiatrique Arkham, dans la composition qui était en 2005 la sienne, [ directeur : docteur Hugo Strange, directeur adjoint: docteur (anciennement, depuis radié de l’Ordre de médecine pour meurtres et fautes déontologiques graves) Simon Hurt, directeur du service de pédopsychiatrie : docteur Nils Bjurman ] de s’être en cette année rendue coupable d’emprisonnement arbitraire et complice d’avoir durant huit années maintenu une illégale et injustifiable séquestration. Ceci afin de servir des intérêts politiques et privés. Ceci dans le but de permettre l’exercice d’une vengeance personnelle, dans le but d’écarter de la vie une personne jugée gênante à la conduite d’affaires lucratives et privées et dans le but de soustraire à la justice la possibilité d’une enquête sérieuse sur une affaire grave de violences intrafamiliales ayant entraîné des blessures mettant en péril la santé et la vie de la personne qui en fut atteinte. Cet internement abusif se fit sur la base d’expertises légalement et médicalement irrecevables étant insuffisantes, inexactes, improuvées, ou fausses. J’accuse ainsi le docteur Nils Bjurman qui en fut l’auteur et les docteurs Ronald Niedermann, Hugo Strange et qui l’ayant approuvé s’en sont rendus complices, à minima d’une négligence coupable et d’erreurs méthodologiques si manifestes qu’elles ne peuvent résulter que d’une incompréhensible incompétence ou d’une insoutenable légèreté d’analyse, à maxima de faux médical et de leur usage dans l’objectif de priver une personne de liberté et de ses droits civiques pour des motifs que ni l’intérêt de sa santé ni celui même de la sécurité publique ne pouvaient justifier. En se faisant acteurs ou complices de cette machination, ceux qui l’ont ourdie d’avoir été ou bien inconséquemment négligents ou bien d’avoir volontairement soutenu l’insoutenable par intérêt, favoritisme, compérage, népotisme ou corruption, ou d’avoir cédé à la pression ou la menace, aux passions de secret d’un milieu et aux préjugés de l’esprit de corps. Ceux-là sont doublement coupables, d’avoir aidé l’oppresseur au lieu que de défendre la victime, et d’avoir manqué au devoir d’indépendance, de liberté professionnelle, de probité et d’intégrité qui était le leur.

J’accuse le docteur Hugo Strange d’avoir utilisé cet état de fait intolérable pour utiliser la personne ainsi injustement incarcérée comme cobaye pour des expériences prétendues scientifiques, lui faisant subir des traitements d’une cruauté inouïe qu’on ne saurait même tolérer sur une souris de laboratoire, en total irrespect de l’indispensable consentement de la personne, de la dignité humaine, de la loi et du code de déontologie scientifique. S’il est certain que le fait est en lui-même d’une gravité intolérable il trouve encore à s’aggraver du fait que la personne était au moment des faits, une enfant mineure, privée de famille et internée psychiatrique sous la responsabilité de ce même docteur, et donc à ce titre triplement vulnérable. J’accuse le docteur Hugo Strange, et l’ex docteur (depuis radié de l’Ordre de médecine pour fautes déontologiques graves) Harvey Templemore de s’être ainsi livré à des opérations chirurgicales assimilables à de la mutilation, à des prélèvements non consentis d’échantillons biologiques humains et à des manipulations génétiques transmissibles sur personne humaine, en complète violation des lois applicable à la recherche biomédicale.

J’accuse le docteur Hugo Strange d’avoir contraint la victime de ces tortures à ses soumettre à ses expérimentations, ses mauvais traitements et à son pouvoir en usant à son égard de violences volontaires physiques, psychologiques, verbales et de menaces. Je l’accuse d’avoir usé de punitions violentes et de mauvais traitements comme de mesures de punitions et de représailles contre les refus de sa patiente de subir des opérations aussi intrusives que douloureuses. Je l’accuse d’avoir complété la toile de son emprise en usant de mensonge et de manipulation, et lorsque ceux-ci s’avéraient insuffisant, d’y adjoindre une emprise chimique en usant des médicaments et substances de son métier non pour soigner mais pour contraindre, non pour guérir mais pour soumettre sa patiente à son pouvoir. Je l’accuse d’avoir usé de ses capacités de soins non comme le devoir imprescriptibles qu’elles sont, mais comme outil de chantage, en conditionnant les soins médicaux à une obéissance et une soumission à ses ordres, se rendant par-là coupable d’abus de pouvoir, de refus de soins, et de non-assistance à personne en danger.

J’accuse le docteur Hugo Strange d’avoir sciemment et volontairement placé et maintenu par force, violence et duplicité, une personne vulnérable et mineure dans des conditions d’existence indignes. Je l’accuse de s’être rendu coupable d’un irrespect total des droits imprescriptibles de l’Homme et de non-respect de la dignité humaine. Telle manière de traiter autrui ne sauraient en aucun cas de l’inhumanité trouver justification qui vaille. Que l’intérêt personnel du coupable l’ait motivé ne fait pour autant qu’en accroître l’indignité. Si le docteur Strange en est le décideur et responsable, j’accuse les docteurs Nils Bjurman et Michel Stefan ainsi que l’ex docteur Millicient Ratched (depuis radiée de l’Ordre de médecine pour corruption et détournement de fond) d’avoir directement et/ou indirectement, serait-ce que par leur seule présence, favorisé, cautionné ou participé à une atteinte grave à l'intégrité physique ou mentale d’une personne mineure, à ses droits et à sa dignité, en totale négligence de leurs devoirs tels qu’inscrits dans la loi par le code de déontologie médicale et de la santé publique. Ceux-ci en n’ayant pas, comme c’était leur devoir, informer l'autorité judiciaire des violences, des supplices et mauvais traitements dont ils avaient connaissances, se sont rendus coupables de manière aggravée, de non-assistance à personne en danger.

J’accuse les docteurs Nils Bjurman et Hugo Strange d’avoir obligé leur patiente à subir un traitement médicamenteux obsolète, dangereux et inadapté par leur composition, leur assemblage, et leur posologies tant à l’état de santé réel de leur patiente qu’à celui qui lui était diagnostiqué. Je les accuse d’avoir imposé l’injection ou l’ingestion forcée de médicaments et substances interdites, périmées, ou classées comme dangereuses ou potentiellement dangereuse, en elles-mêmes, par leur somme ou par leur caractère incompatible avec l’âge et la condition physique de la personne auxquelles elles étaient destinées, se rendant ainsi coupable par méconnaissance, inconséquence ou volonté de nuire d’ingestion de substances nuisibles, d’empoisonnements susceptibles de causer des dommages conséquent et irréversibles, et de mise en danger de la santé et de la vie d’autrui.

J’accuse les docteurs (ou anciennement) Hugo Strange, Nils Bjurman, Simon Hurt, Millicient Ratched et Harvey Templemore d’avoir ainsi intenté infâmement aux droit de l’enfant à être soigné convenablement, à vivre dans des conditions sanitaires, éducatives et de sécurité décente, au droit d’avoir une vie sociale, de jouer, d’apprendre et d’avoir des loisirs, droit d’être informé et entendu, au droit d’avoir une famille, d’être entouré et aimé, et enfin et surtout au droit d’être protégé de la violence, de la maltraitance et de toute forme d’abus et d’exploitation. En agissant ainsi, ils ont non seulement privé une jeune personne de son enfance, transformant celle-ci en cauchemar, mais également en enchaînant de terribles difficultés sa capacité à se construire comme adulte libre, heureux et bien portant.

J’accuse les docteurs (ou anciennement) Hugo Strange, Millicient Ratched, Simon Hurt, Harvey Templemore et Joseph Teleborian d’avoir réalisé, ordonné et/ ou commis des actes de violence, de barbarie, de torture et de cruauté sur une patiente mineure. On ne saurait en effet qualifier autrement le fait d’attacher une enfant sur son lit la tête contre son matelas durant des heures, parfois des jours, l’empêchant de bouger, de parler, de voir du monde extérieur l’oreiller qui l’asphixiait presque. On ne saurait en effet qualifier autrement le fait de soumettre une adolescente à des électrocutions violentes répétées, à des simulations d’asphyxie par noyade. Ils se sont ainsi rendus coupables d’avoir utilisé de leur métier les connaissances, compétences et le pouvoir hérité des circonstances de faciliter l'emploi de la torture et procédé cruels, inhumains et dégradant qu’à subi cette enfant, dans le mépris et le déni le plus total du respect de l’Humanité de la personne humaine et du serment d’Hippocrate.

Concitoyens, et en particulier mes pairs médecins, j’en appelle à votre indignation pour rendre justice au passé, faire cesser s’il est lieu, au présent, et empêcher que se poursuivent à l’avenir les crimes qui causent la honte de notre profession et de notre société, et aux victimes surtout un préjudice immesurable. Convaincue, pour votre honneur, que vous ignoriez l’existence, espérant en votre volonté de ne pas laisser se commettre au cœur même de même de nos institutions un crime odieux.

Quant à ceux que j’expose, je n’ai à leur égard ni intérêt contradictoire ni haine privée. L’acte que j’accomplis ici n’a pour but que de révéler une vérité qui ne tolérait plus le silence, une injustice qui ne supportait plus que lui soit tournée le dos, eut égard à la gravité des manquements que je dénonce. Et eut égard aussi au danger qu'à la lumière de ces faits semblent pouvoir courir ceux, tout particulièrement patients, et personnes jeunes et /ou vulnérables qui se trouveraient en quelque façon que ce soit soumis au pouvoir d’individus s’étant déjà rendu coupables de tels actes.

En écrivant ces lignes, je suis pleinement consciente que je me place sous le coup de la règle de non-déconsidération de la profession et de la règle de confraternité entre médecin, lesquelles excluent toutefois naturellement de leurs manquements la révélation des atteintes aux principes d’éthiques et de probité. En portant ces accusations, je n’ignore pas que je me mets sous le coup du Premier amendement de la Constitution sur la liberté de la presse du 15 décembre 1791, qui punit les délits de diffamation. Et c’est volontairement que je m’expose. Qu’on ose, si je mens en demander réparation à la justice qu’elle soit des tribunaux ou de la profession. J’attends.

Veuillez agréer l’assurance de mon profond respect.

Docteur Katheleen Grandt
Docteur en médecine spécialisation cardiologie
Docteur en Philosophie de l’éthique médicale et hospitalière
Alexander Knox

Le glacier de Gotham transforme l’Adversité en Opportunité
Au cœur des rues tourmentées de Gotham City, une figure peu commune émerge, transformant une tragédie en une histoire inspirante de résilience et d'espoir. Monsieur Alarick, autrefois un vendeur de glace populaire parmi les étudiants de l'université, a vu son gagne-pain s'évaporer à la suite des attaques terroristes du "Gant Noir" qui ont laissé l'université en ruines et la clientèle estudiantine en fuite. Malgré cette adversité, le glacier n'a pas baissé les bras. Armé de son camion à glace emblématique et de sa musique enchanteresse, il a entrepris un voyage à travers les rues désertes de Gotham à la recherche d'un nouveau départ. Les rires joyeux et les cris d'excitation qui résonnaient autrefois autour de son camion étaient remplacés par le silence oppressant des conséquences d'une tragédie. Mais Alarick a décidé de transformer sa situation, passant de vendeur de glace à symbole de résilience dans une ville qui en a bien besoin. Il a rebaptisé son entreprise "Mister Frize, le Glacier de Gotham", une déclaration audacieuse et pleine d'espoir. Mister Frize a décidé de s'adresser à tous les habitants de Gotham, pas seulement aux étudiants disparus, en offrant une douceur glacée qui apporte un moment de répit dans la tourmente qui règne sur la ville. Les réseaux sociaux débordent de messages de soutien et de photos de personnes dégustant des glaces de Mister Frize, transformant son camion en un symbole d'espoir au milieu de l'obscurité. C’est ce que nous pouvons appeler un miracle de Noël.
White Snake

Menaces sous couvertes ?
Hier dans la soirée, un citoyen se présenta sur les chaines de Gotham en brouillant les émetteurs et en insérant sa propre émission. Derrière un visage masqué et dans l'obscurité, seule la silhouette était perceptible, l'homme tint ce discours. "Citoyens de Gotham, en choisissant Strange, vous avez choisit le changement esthétique de la ville. En élisant ce porc, vous avez lancé le nettoyage politique de la ville. En introduisant Gordon dans la sphère judiciaire, vous avez scellé le sort de la ville. Soyez assurés que ces choix seront analysés et seront punis par le peuple qui souffre, celui qui est exclus de vos petites magouilles politiques, Cobblepot sera un des premiers à payer ses crimes, les autres suivront. La société sera mis à bas, et quelque chose de juste en jaillira." L'homme disparut, les télévisions revinrent à la normale et un mystérieux symbôle reste en tête. Du trouble pour Gotham City en vue ?
Hélène Hsu-Hong
© Méphi.
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