As-tu déjà dansé avec le Diable, au clair de lune ?

Pouvoirs et Maîtrises Caractère Physique Informations

Nom & Prénom du Personnage : Le Joker
Alias : Joe Chill/ Jack White/ Jack Napier etc

Nationalité : Inconnue (supposée US)
Âge : Inconnu (supposé entre 45 et 50)

Métier : Esprit Criminelle/ Amuseur Publique

Groupe souhaité : Le groupe rouge sang

Votre but à Gotham City : Attirer par tous les moyens, l'attention de mon camarade de jeu favori. Jusqu'à preuve du contraire le chaos, semble fonctionner, pourquoi changer de modus operandi ? En somme l'embarras du choix…

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Quelle est ton expérience Jeu de Rôle ? plus de 15 ans, quand on aime on ne compte pas.
Quelle fréquence de jeu peux-tu investir sur notre forum ? Je suis plutôt prolifique, si on me donne de la matière ;)

Comment nous as-tu trouvé ? Le partenariat avec Dawn of Ninja

Mot de passe du règlement ? ⠉⠕⠙⠑ ⠧⠁⠇⠊⠙⠿

Veux-tu être Parrainé ? Oui (par Harley Quinn de préférence)

Es-tu d'accord avec les règles en vigueur sur notre forum ? Oui

Le Clown a sans nul doute l'élégance d'un dandy britannique. Complexé par sa grande taille et sa silhouette filiforme, il la dissimule en étant toujours tiré à quatre épingle. Cependant à l'instar d'un commander du MI6, sa tenue se doit d'être également fonctionnelle. Une redingote à queue de pie mauve, lui permet donc de dissimuler ses nombreuses armes et gadgets en touts genres. Sa veste trois-quarts, réhaussé d'un gilet vert et d'une chemise violette, ton sur ton, seraient immaculés si son métier ne le contraignait pas à se plonger dans la fange de Gotham. Il n'aurait probablement pas, à son grand regret, autant à se changer. (Dont il se délecte en secret)

Rompu aux arts Martiaux son corps est musclé mais sec, sa mémoire défaillante et l'absence d'Harley l'ont conduit à la malnutrition ou son absence totale. En contre partie son corps flexible, ses réflexes inouïes et son adrénaline dévoyée, lui permette d'être un joueur de limbo incroyable et un combattant imprévisible.

Quand à son visage, il s'agit purement et simplement d'un tabou. Ayant abolis depuis longtemps les miroirs de ses nombreux repaires, le Joker s'est habitué à cacher les gerçures de ses lèvres de son rouge à lèvre carmin. Quant au creux dû à l'acide, sur son visage, une poudre blanche suffit. Parfois il revêtit un feutre à plume, mais ça c'est pour le show !

Pour la plèbe, le Joker est un déséquilibré notoire et, de son propre aveu, le clown semble très bien s'en satisfaire. Sociopathe, psychopathes, longue est la liste des cases, dans lequel on a voulu le mettre. Extrêmement versatile nul ne sait ce qui se trame réellement dans sa tête. Le sais-t-il lui même ? Sa personnalité pathologiquement narcissique le contraint à se mentir à lui-même, afin de le maintenir dans son fantasme et lui donner une raison d'être. Paradoxalement, cette idée fixe, prenant le pas sur ses troubles de l'attention non diagnostiqués, lui confère une énergie inédite, une force mentale accrue et une détermination hors du commun. Qui fondent comme neige au soleil, à l'instant où l'objet de son affection, se retrouve sous ses yeux.

En dépit de ses handicapes manifestes, le plus hilare des ennemis de Batman, est un mentalist de haut vol. Son quotient émotionnelle proche de zéro et sa proportion à feindre les émotions, qui ont conduit Harleen Quinzel autrefois, à tomber dans ses griffes, ne sont que la partie émergé de l'Iceberg de ce don de convaincre.

Sa plus grande victoire est d'avoir selon lui, scindé en deux son cerveaux, afin d'être le plus fonctionnelle possible. Occultant volontairement les brimades, tortures et humiliation de son enfance laissés en offrande à l'abîme, le gouffre béant qu'est ce Dieu de Folie. Son fardeau en moins, l'empereur du mal pouvait enfin aspirer à régner sur... Quoi déjà ? Oh un Papillon je vais lui arracher les ailes...

L'autoproclamé Prince du Crime n'a, à proprement dit, aucun pouvoir. Mais doté d'une intelligence supérieure, le joker a un indéniable don d'anticipation et d'improvisation le plaçant au dessus du reste du bestiaire du Batman-verse. Mais la comparaison avec la pègre de Gotham s'arrête là. Si tous les autres criminels sont dévorés par l'ambition, à l'instar d'un talon d'Achille selon lui, le sinistre clown en est exempt. Et c'est sans doute là, sa plus grande force et paradoxalement sa plus grande faiblesse. Sans but réel, toute la maestria de l'échafaudage de ses plans insensés, s'avère vide une fois l'attention de son ennemi, captée. Il s'avère être un piètre joueur du dit jeu, une fois la première mise en "échec" annoncée.

Excellent orateur, il inspire à la fois, la crainte et le respect aux hommes sous ses ordres. A fortiori ses adeptes du premier cercle, à force de l'entendre, semblent mué d'une volonté inébranlable. Néanmoins cette loyauté aveugle est sévèrement amenuisée selon les phases cyclothymiques de leur Boss, d'autant plus quand ce dernier tombe en dépression, en l'absence de son meilleur ennemi.

D'autre part son érudition, l'on conduit à s'intéresser aussi bien au poison, qu'à la pyrotechnie. "Qu'importe le flacon, tant qu'il y'a l'ivresse" tout ces spécificité non qu'un seul but, attirer le chevalier noir, qui lui rend la vie si divertissante.

Enfin sa folie, nul ne sait à quel point elle est feinte ou si elle régit toutes ses actions. Mais elle s'avère une arme redoutable, quand le Clown s'en drape et la mélange à son adrénaline dû à son enthousiasme débordant, il est capable de ne plus ressentir la douleur, comme protéger dans son palais mental.

Autres : Le Joker a un goût immodéré pour le déguisement, il est d'ailleurs plutôt doué. Cependant un observateur averti discernera toujours des teintes de violet et de vert parsemé ici et là, dans sa tenue.

Dernière édition par Le Joker le Mar 7 Sep 2021 - 2:02, édité 16 fois

Dernière édition par Le Joker le Mer 8 Sep 2021 - 19:49, édité 13 fois

Un Nouvel Espoir.

Un Mississippi, deux Mississippi, trois Mississipi ! Depuis quand fallait-il plus d’un coup de pied de biche pour dévisser une tête, se demandait le sinistre clown en s’affalant dans le vieux fauteuil marron en cuir, miteux. Le cœur n’y était plus et le murmure inaudible des deux hommes de mains derrière lui, annonçait la rumeur grandissante. Un regard sur le mort en sursis, pendu par de solides chaînes d’aciers aux pied, la tête en bas, le fit grimacer d’insatisfaction. Un claquement de doigt résonnant, dans le hangar aménagé en petit salon bloqué à Woodstock et l’un des troufions derrière lui, se rapprocha de son boss briquet à la main. D’un signe de tête le Joker lui indiqua le téléviseur antédiluvien.

Le sous-fifre tremblotant, s’approcha du poste de télévision pour l’allumer. Une pub en guise de premières images, semblait réjouir le prince du crime. L’affirmer n’était néanmoins chose aisée, : le Clown avait son lugubre sourire, constamment visé aux lèvres et paradoxalement, brandissait en permanence son arme, un magnum Smith & Wesson model 29, sans aucun doute trafiqué, afin que la taille du canon soit vertigineuse et indécente. Un coup de feu surprit le préposé au rôle de télécommande humaine. Tandis qu’hébété, le pauvre bougre se demandait ce qu’il allait lui arriver, son collègue visiblement vétéran, lui fit signe de changer de chaîne. Un deuxième coup de feu, qui l’apeura de nouveau, lui indiquait de tourner à nouveau le gros bouton du milieu. Une escouade armée jusqu’aux dents, se déplaça en vain, houspillés immédiatement par le principal intéressé. Après deux autres détonations, le garde, sans pour autant s’y être habitué, s’y était finalement conformé et les autres avaient repris leurs postes. Un programme semblait enfin trouver grâce aux yeux de son irascible Boss. Un reportage dithyrambique relatant les exploits de l’homme chauve-souris, présenté par Vcky Vale couvrait les bruits de chaînes du prisonnier agonisant.

De l’index de sa main gantée, apposé sur sa bouche, le génie criminel intima le silence à la masse humaine gigotante et gargouillante. De l’autre, il se grattait la tête avec son revolver démesuré. Le reportage se concluant sur les faits récents, insista sur les exploits de Red Hood et Nightwing. Après avoir jeté un court regard triste sur la cible de fléchettes à l’effigie de Batman, le Joker revint sur le poste de télévision. Le braquant entre la « télécommande » et la petite boîte à images :

-Un petit lutin dans les bois… Il se perd, il se perd pas… Mais en tout cas toi… on te retrouvera… pas ! Murmura le clown de nouveau jovial.

L’explosion de l’écran de télévision, fit pousser un soupir de soulagement au préposé à l’objet désormais inutile. Le joker penchant en arrière sa caboche sur l’appui tête, au point de voir l’aîné de ses sous-fifres à l’envers :

-Une autre ! Scanda le clown dérangé.

Sans mot dire, le subalterne initié se rendit dans un coin de l’entrepôt où était stocker une dizaine de téléviseur vintage. Procédant laborieusement au branchement, le porte-flingue ruisselant de goutte de sueur, sentait bien l’impatience croissante de son patron. Malgré la morsure acide dans ses yeux, de sa propre sudation, il finit par atteindre son but et remis le précédent programme.

En guise de remerciement, le Joker voulut lui mettre une balle dans le dos pour l’attente considérable, quand un flash info l’interrompit dans son élan. Encore la même Vicky Vale, mais en direct cette fois, annonçait en avant-première ses soupçons au sujet du retour du Chevalier Noir. Une intense lumière parut transfigurer le regard du prince du crime, tandis que ses traits plus écartaient que jamais, dessinait un sourire aussi éclatant qu’inquiétant.

-Batou-chéri ! Murmura-t-il pour lui-même. Puis se redressant de tout son long, il s’empara du garde le plus proche pour le gratifier d’un baiser sur la bouche, puis reprenant à haute voix. -Mes enfants… mes enfants… Il est temps de bien se brosser les dents, on a de la route à faire ! Conclut-il nébuleusement en mettant son galurin.

Dans un dernier regard sur la cible des fléchettes, un cliquetis métallique lui apprit que sa dernière balle se trouvait logée dans l’ancien téléviseur. Il quitta le hangar précédé de ses hommes de mains, dans un rire tonitruant, sans recharger son arme, mais en enlevant négligemment le rouge à lèvre, laissé par sa facétie familière.

***

A bord de la Buick Skylark mauve de 1963, l’équipé sauvage roulait à tombeau ouvert, dans les rues grouillantes de Gotham. A part de la flicaille en patrouille, rien à se mettre sous la dent. De frustration le clown criminel, avait déjà envoyé valdinguer hors de la voiture en marche, l’un de ses hommes de main. Les autres n’en menait pas large et l’atmosphère dans le bolide trafiqué lancé à toute allure, ne tendait pas à se réchauffer. En guise de radio, la voix morne de l’officier de police piraté par leurs soins, énonçait les différents incidents d’une ville inexorablement au bord du chaos.

-Vous savez Boss, tout le monde tire au flingue depuis une bagnole, je doute qu’IL se déplace pour ça… Rompit le silence, le chauffeur timidement.

--Mon petit Marty… Répliqua immédiatement le Joker d’une voix mielleuse mais goguenarde.

-Mark, Boss… Interrompit-il maladroitement son chef.

-Mon petit Mario, tu sais que je t’aime bien, hein ? Tu connais la différence entre toi et les autres ici présent dans cette voiture ? Reprit le clown amusé.

-Euh non Boss… Bredouilla-t-il en guise de réponse.

-Toi mon petit lutin, t’as deux trous de balle ! Conclut-il sa blague d’un coup de feu, du flingue de son voisin, dans le crâne de leur chauffeur.

Outre la détonation, qui vrilla les oreilles des passagers, le sous-fifre sur l’autre siège du mort du reprendre le volant déserté. Au même moment, de son autre main passée par le siège du défunt, il déverrouilla la portière.

-Messieurs, on lâche du leste et direction les Narows, en route Simone c’est toi qui conduis, c’est moi qui klaxonne ! Déclama-t-il en incitant son voisin à prendre la place à l’avant.

Alors que part émissaires interposés, le génie criminel à la tignasse verdoyante, s’était accordé avec l’un de ses rival, Le Chapelier Fou de se rencontrer, une captive comme présent, afin de nouer une alliance propre à débusquer l’objet de son désir, serait de bon aloi. Une Alice certes, mais pas n’importe laquelle. Qui pouvait être cette perle rare, qui traversait les miroirs ? S’interrogeait-il distraitement, regardant défiler le paysage de la ville à moitié endormie, son terrain de jeu favori. Une pub pour CBS news, affichée sur les grands écrans de Gotham, lui fit esquisser un sourire.

-Demi-tour Marty… Ah non il nous a quitté prématurément, bon peu importe je vais t’appeler Marty 2 ! Direction les studios de TV ! Scanda le Joker survolté, un sourire malicieux en commissure des lèvres.

***

Dans le parking souterrain de la Mecque des informations régionales et nationales, les sbires du Clown s’affairaient méthodiquement. Le joker encore affable ces derniers jours, fourmillait littéralement d’idées. Ses yeux étaient injectés de sang et paraissaient exilés de sa face. Allant de gauche à droite, il proférait ses ordres sans poser un regard à son équipe docile mais réduite. Les deux gardes à l’entrée de l’ascenseur s’avérèrent qu’une formalité. Récupérer leurs uniformes et détériorer l’ascenseur afin d’attirer la maintenance, un jeu d’enfant.

Une fois que l’escouade clownesque était entièrement grimée, la conquête des étages supérieures pouvait s’amorcer. Un otage pris au premier étage où l’ascenseur saboté avait daigné s’ouvrir, leur servi de guide. Leur arrivée commençait à se sentir dans les étages, il s’agissait de ne pas lambiner. Une fois que le rédacteur fut d’aucune utilité supplémentaire, le Clown peroxydé s’en débarrassa négligemment avant de s’introduire dans les studios. D’un signe de tête, il indiqua la régie à une partie de ses acolytes et avec l’autre, il prit d’assaut le plateau.

Infamie ! A la place de Vicky Vale, une insipide gourgandine maquillée à l’excès se trouvait à la place de l’élue. ET brune pardessus le marché ! S’indigna-t-il en son for intérieur. La présentatrice malgré sa terreur visible, bredouillait des paroles destinées à décrire la situation qu’elle avait sous les yeux. Un pied de biche qui frôla sa tête et s’encastra dans le décor, lui fit définitivement perdre toute abnégation à son emploi. Tandis que la jeune femme tentait de se cacher sous son bureau, un rire tonitruant vint la tétaniser.

-Les tigres de papier doivent brûler ! Bon on n’ a plus rien à faire ici les enfants, on se barre ! Décréta le terroriste hilare.

A ses mots, le petit cortège pétaradant fit chemin inverse. Malmenant les employés et tirant des coups de feu sur leur passage, ils empruntèrent cette fois le hall principal d’entrée. En sortant dans la rue, des bagnoles de poulets, leur barraient le passage. Que la lune doit être belle, ce soir. Songea un brin nostalgique le prince du crime, en levant les yeux vers le ciel étoilé.

A sa grande surprise et pour son exaltation la plus totale, le bat-signal masqué par les projecteurs et les phares du CGPD, trônait au-dessus des buildings démesurés de Gotham. Tandis que ses hommes échangeaient des coups de feu avec les forces de l’ordre, le Boss leur fit signe de retourner dans l’enceinte.

-A la réflexion les enfants, on est très bien ici ! Claironna le Joker, ayant visiblement une idée derrière la tête.

A ce moment-là, tapis dans le bosquet à proximité des portes battantes, un vigile zélé surgit de sa cachette et s’empara de l’arme gigantesque du Joker. Ce dernier fit mine de lever les mains en l’air. L’agent de sécurité déstabilisé et effrayé par la sérénité du Clown, appuya involontairement sur la détente. Vide ! S’écrièrent dans leurs têtes, tous les protagonistes de la scène. Tous excepté le Joker qui de la fleur factice de sa pochette à mouchoir, projetait de l’acide sulfurique à son assaillant.

Par malchance, l’appliqué Marty 2 qui à proximité, avait assommé le vigile, de la crosse de son flingue, fut aspergé à la place. Le Joker sans sourciller, ouvrit la barillet de son arme et la rechargea. D’une main leste et d’un geste vif et souple, le génie criminelle, rabattu son arme dans un cliquetis métallique et en s'adressant à son sous-fifre, qui se tordait de douleur au sol :

-Une petite minute de silence pour notre cher Marty s’il vous plaît, il va me manquer celui-là ! Prononça cérémonieusement le prince du crime, avant même la détonation.

Les deux sbires qui lui restaient, retirèrent leurs chapeaux en signe de respect pour le tragiquement disparu. Alors que les otages au sol retenaient leurs souffles, ils faillirent mourir de peur quand la sonnerie du téléphone retentit. Plein d’entrain, le Joker improvisa une petite danse au rythme des sonneries, pour passer autour des otages, les yeux rivés au sol.

-Pizza Pino, j’écoutes ? Carmine Falcone à l’appareil, que puis-je faire pour vous ? Essayait-il de ne pas s’esclaffer, intimant silence de la main à son duo rescapé.

-Arrêtes de te foutre de nous, Joker ! Relâche les otages ! Hurla le négociateur des forces de l'ordre, au bout du fil.

-Il doit y’avoir méprise, monsieur l’agent, je donne actuellement une petite sauterie avec des amis triés sur le volet et je crains que nous ayons été un peu trop bruyant. Mais croyez bien, monsieur l’agent, cela ne se renouvellera pas. Au revoir monsieur l’agent et bonjour à votre dame ! Devisa-t-il d’une voix mielleuse.

Une fois son petit discours achevé, le facétieux clown raccrocha le téléphone et en coupa les fils. Rassemblant les otages, le criminel machiavélique, incita ses hommes à monter à l’étage. Une fois un peu plus haut, il sabota les ascenseurs et barricada l’accès aux escaliers. Ainsi le siège serait plus aisé, en attendant sa Némésis.

Après une demi-heure, à se divertir en échangeant les vêtements des hommes et des femmes de ses otages, leur donner à chacun un nouveau nom et autre joyeuseté selon son humeur et son imagination, le gérant de la Pizza Pino commençait à trouver le temps long. Jetant un regard perplexe sur ses deux hommes de main, qui commençait être dépassé par le nombre d’otages, qui se pissait dessus en larmoyant. Il arqua le sourcil en signe de désœuvrement et sans mot dire, il redescendit dans le hall, seul, sous le regard médusé de ses sbires.

***

A quoi bon se donner tant de peine. Déplora le Joker en mettant un genou à terre et ses bras sur la tête. Le Clown jeta un dernier regard triste vers l’emblème de l’être aimé, avant qu’une cohorte de représentants de la loi, ne se jette sur lui comme des hyènes, pour le malmener. Si la douleur était présente, ce n’était vraiment pas pareil, quand c’était LUI qui pétrissait son corps, dans ses bras musclés.(*) Mais qu’importe, il serait sans nul doute emmené dans un endroit qu’il connaissait bien, où il avait ses habitudes et le bras long : l’asile d’Arkham. Là-bas, Batou saurait le retrouver et si d’aventure, le temps s'avérait trop long, ce ne serait pas la première fois, qu’il leur fausserait compagnie

(*)Fin Alternative :

Roué de coup au sol, le Clown obtint un répit, quand deux grands bras musclés et gantés de noirs fendirent la foule. Soulevant de terre, son corps en morceaux, le Prince du Crime trouva la force d'entourer ses bras autour du cou, de son sauveur.

-Tiens toi tranquille ! L'apostropha Batman, d'une voix rauque et caverneuse.

-Tu m'as tellement manqué beau ténébreux ! Murmura le Joker à l'oreille de sa raison de vivre.

-Silence ! Ouverture coffre... S'adressa, en second lieu, le chevalier noir, à la comande vocale de la Batmobile.

A ses mots, l'habitacle arrière du bolide se déplia et laissa émergeait un siège, aux ceintures de sécurité plus proche de la camisole de force. Le Joker se sentit installé par son meilleur ennemi, tel un bébé harnaché dans son siège enfant. Un bisou sur le front l'aurait ravi, mais être près de lui remplissez son coeur. Maintenant qu'il était enfin revenu, il allait falloir recruter plus d'hommes, pour l'obliger à jouer encore. l'Asile d'Arkham se trouvait être une excellente aubaine. La Batmobile disparu dans les ruelles de Gotham, sous les rires déments et tonitruant d'un prisonnier particulièrement enjoué.

:copyright:️ DABEILLE

MON POUSSINNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN

Bienvenu ici ! Je pense qu'il y a un léger problème de codage avec ta fiche.

En tout cas bon courage pour ta fiche et impatient de te lire, il manque un Joker à Gotham !

Merci de votre accueil. Pour te répondre la partie histoire est destiné eux origines, la suite et un test RP conjointement imposé... ;)

Mon Dieu qu'il est laid, qu'il est horrible.
C'est le retour du clown pénible.
Il va falloir peut-être songer à l'inviter.
Pour boire le thé ? Non, pour l'éviscérer.

Mon Dieu qu'il est laid, qu'il est horrible.
C'est le retour du clown pénible.
Il va falloir peut-être songer à l'inviter.
Pour boire le thé ? Non, pour l'enfermer.

Personne ne touche a mon poussin....

Encore un satané clown dans la ville.
Bienvenue.

Merci tout le monde ^^

Bienvenue vil personnage !

Une belle présentation. Pour moi, tu as mon +1

Seconde validation, bienvenue parmi nous !

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