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Sujet: Entretien avec un milliardaire Jeu 2 Mai 2024 - 20:34
Type de RP : normal
Date du RP : 00/04/20
Participants: Bruce Wayne et Silver St Cloud
Trigger warning:
Résumé: Monsieur Wayne désire organiser un évènement pour son entreprise et contacte Silver pour une rencontre afin d'en discuter.
Messages : 35 Date d'Inscription : 30/04/2024
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Sujet: Re: Entretien avec un milliardaire Jeu 2 Mai 2024 - 21:29
La veille, dans son bureau à New Gotham, Silver était sur le point d'éteindre son ordinateur lorsque la notification d'un nouveau mail s'était affichée sur son écran. Elle avait bien hésité quelques longues secondes avant de finalement se rasseoir et cliquer sur la bulle d'info, qui redirigea sa page sur une lettre formelle certainement écrite par une secrétaire chevronnée qui y avait mis tout son coeur. Au fil de la lecture, le coeur de Silver battait de plus en plus en fort tandis que ses yeux s'écarquillaient d'émerveillement.
Enfin !
Enfin, une grosse entreprise la contactait pour l'organisation d'un évènement. Ce n'était pas n'importe laquelle, mais bien celle du milliardaire Bruce Wayne ! C'était comme gagner au Loto, cela aurait été sensiblement identique si le mail avait été signé par monsieur Cobblepot, qui lui aussi malgré ses antécédents de criminel endurci avait de quoi lui faire une belle publicité. Elle répondit aussitôt au message, acceptant évidemment la demande qu'elle ne pouvait refuser. Silver avait un tas d'autres petits contrats à gérer, mais celui-ci était bien trop important pour être délaissé. Il boosterait même sa carrière et sa réputation si l'évènement s'avérait être un succès ! Après quelques courtes correspondances pour définir d'une date de rendez-vous, la secrétaire de l'entreprise lui donna un rapide rendez-vous à la Tour dès le lendemain. Cet empressement signifiait certainement l'urgence de l'organisation, ou peut-être que monsieur Wayne était un homme qui aimait prendre les devants et avoir le temps de peaufiner ?
Quelque soit la véritable raison, le petit nuage sur lequel reposait à présent Silver était bien trop confortable pour regretter son propre empressement à avoir accepté ce nouveau dossier...
Au lendemain, hors de question d'être en retard. Il fallait montrer une ponctualité exemplaire, ne pas arriver trop tôt, ni en retard. Sur cette pensée très réfléchie, mademoiselle St Cloud décida en commun accord avec elle-même d'arriver à 13 heures moins trois minutes. Trois minutes seraient suffisants pour déclarer sa présence à la secrétaire, que celle-ci empoigne son téléphone et prévienne monsieur Wayne de son arrivée. Non... ? Excitée comme une puce, elle se fit violence pour paraître sérieuse et sûre d'elle tandis que ses talons martelaient le marbre de l'accueil. Vêtue d'un tailleur blanc et d'une veste couleur crème, légère par ce mois d'avril généreux en rayon de soleil, Silver s'était approchée d'un comptoir où l'employé de la maison la reçut avec une mine souriante. Etaient-ils payés plus s'ils souriaient de façon si peu naturelle ? Retenant un rire amusé, elle remonta ses lunettes de soleil sur sa tête. Mlle St Cloud pour Monsieur Wayne, s'il vous plaît. Nous avons rendez-vous dans exactement trois minutes. L'employé tapota sur le clavier d'un ordinateur. Pendant ce temps, Silver regardait autour d'elle, observant les lieux avec une fascination dissimulée. Elle était déjà entrée ici lorsqu'une visite au public avait été autorisée moyennement quelques dollars bien garnis, mais au grand jamais elle n'avait pensé pouvoir faire irruption dans le bureau de Bruce Wayne en personne. La télévision dépeignait un homme à femmes qui aimait s'amuser et offrir des coupes de champagne à tout va, le Gotham Globe s'évertuait à écrire et commenter les moindres faits et gestes de cet homme que Silver devina, très seul, finalement. Elle se trompait peut-être, elle espérait se tromper, mais ce sixième sens lui chatouillait parfois le bout du nez et lorsque ses yeux se posaient sur cette figure intrigante qu'était le milliardaire, quelque chose lui paraissait étrange. Et Silver, les choses étranges, cela la fascinait autant que ses arabesques raffinées qui décoraient les murs de la Tour. Voici votre carte visiteur, dit l'employé en lui tendant l'objet magnétisé intitulé VISITOR. Il vous donnera accès à l'ascenseur au bout de cette allée, et vous mènera directement au dernier étage. Silver haussa un sourcil, intriguée. Le dernier étage, vous dites ? Elle n'avait pas le vertige, au contraire les sensations fortes et l'adrénaline étaient des moteurs dans sa vie. En combien de temps l'ascenseur arrive à destination ? Le pauvre garçon ne s'attendait pas à cette question, pourtant Silver aurait parié qu'on la lui posait souvent. Je pense que ça se compte en seconde, madame... Oh ! Alors je n'aurai qu'à bien m'accrocher ! Son petit rire accompagna le volte face qui la mena à l'ascenseur.
Quelques secondes, il n'avait pas menti, et c'était à peine si elle sentit son estomac se retourner. Nul doute que l'argent investi dans toute cette Tour dépassait l'entendement, ah, comme il lui serait difficile de ne pas poser la question ! Les portes s'ouvrent, et une gigantesque pièce s'étend devant sa petite silhouette. On s'y sentit comme une minuscule fourmi, dans cette terrière où la baie vitrée du fond ne suffisait pas à éclairer tout l'endroit. C'était un détail intéressant, toutes ses zones d'ombre dans un bureau presque ridiculement immense pour un seul homme. C'était peut-être vrai, que l'égo de cet individu se mesurait à la taille de sa Tour ? Cette pensée la fit sourire, alors qu'elle entama ses premiers pas sur le marbré noir. Tout était chic, propre, luxueux. Son regard contempla absolument tout, mais il y avait tant à regarder qu'elle en perdit facilement ses repères, déviant sa trajectoire vers cet arbre planté à même ce bitume, ou vers ce tableau qui trônait fièrement sur le mur. Monsieur Wayne voyait tout en grand, c'était un fait et c'était pour cela qu'un étage entier lui servait de bureau.
Un peu perdue, Silver marchait à travers les pièces, contournant les fauteuils en cuir qu'elle caressa du bout des doigts à son passage juste pour en sentir la texture. Elle finirait bien par arriver à destination d'une façon ou d'une autre, il avait bien une fin, cet étage ! Finalement, une grande bibliothèque se dessinait alors qu'elle entra dans ce qui devait probablement être le point central du building car un bureau était juste là, à quelques mètres. N'y voyant personne et se doutant que le milliardaire finirait bien par se montrer, elle s'approcha des livres et regardait un peu de quoi était garni les lectures du ténébreux qui faisait la Une des journaux malgré lui...
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Sujet: Re: Entretien avec un milliardaire Ven 3 Mai 2024 - 15:07
The Dark Knight
Jouer Bruce Wayne, c'était un rôle en or à vrai dire. Enfin, je suis réellement Bruce Wayne mais je jouais surtout la comédie dans ce domaine. Les actions Wayne Enterprises, c'était surtout Lucius Fox qui s'en chargeait, enfin sa fille surtout maintenant, elle gérait l'empire de mon père depuis mon retour depuis que Fox avait été porté disparu, et que l'entreprise ait eu du plomb dans l'aile après que le Gant Noir ait investi les lieux ... Cooper avait été viré, sans parachute doré, et Fox avait ramené la puissance de mon entreprise à sa juste valeur. Bien que je n'aimais pas ces longues heures pénibles au bureau, il fallait que je donne néanmoins le change aux citoyens de Gotham et aux journalistes qui rêvaient de me voir au bras d'une blonde platine, ou dans la poitrine exorbitante d'une brune aux yeux de velours dans une cage d'ascenseur. Si cela pouvait m'écarter du box-office des prétendants au rôle de Batman, pourquoi pas. Alors que Lorna m’amène un café, je regarde l'agenda qu'elle m'a préparée pour la journée. J'observe sur les lignes de mon cahier, un rendez-vous avec une certain Silver St Cloud, un rendez-vous de dernière minute. Mais selon Tempérance, qui était à mes côtés, c'était nécessaire pour la fondation Wayne. Et en l'occurrence, alors que nous en discutions dans un coin isolé de l'étage, la jeune femme fit son apparition, semblant être perdue.
Je vous avoue que cette tour peut être un sacré labyrinthe. Même moi, je risque de m'y perdre.
Dis-je sur un ton de plaisanterie. Oui, Wayne faisait des plaisanteries parfois assez limites, de temps en temps, mais cela permettait de mieux masquer au monde la véritable nature de Batman. Une excellente chose. Mais pour ce qui est de la danse alors je pouvais vraiment remercier Alfred. Dieu merci ! Alfred m'avait fait connaitre les bases de la danse et grâce aux talents de Julie Madison, j'en savais assez pour garder mon flegme durant les frivolités du grand monde. Je sortis des ombres, tout en me dévoilant sous les yeux de la délicieuse créature qui se tenait devant moi. Une magnifique jeune femme qui semblait chercher son chemin, mais qui avait une certaine élégance dans la démarche chaloupée qu'elle semblait tenir en elle-même. Pour ma part, comment je me sens ? Je suis fatigué. Fatigué de voir ma ville s'enfoncer, et de la voir sombrer à nouveau dans le crime, encore, et sans cesse. Mais maintenant, c'était différent. Malgré la fatigue qui me tenait par les tripes, la dernière réunion de mes alliés me confortait dans l'idée que tout allait pour le mieux, et que cela rendait parfaitement. Bien sûr, j'aurais du travail. Il faudra les former, les entrainer, et bien sûr, garder une surveillance accrue. Ils ne sont pas prêts pour la suite des évènements, et rien que d'y penser, y'aura du vilain. Alors que les fenêtres empêchaient que l'on puisse voir l'intérieur de la tour Wayne par l'extérieur, assis dans un fauteuil, je patientais sa potentielle réponse et j'observais ce qui allait se dérouler. Patientant lentement vers un destin aussi prévisible que terrible. Mais je n'étais pas dans l'idée de combattre le crime à cette heure. Nous avions un rendez-vous pour organiser un évènement, un nouveau gala en faveur de la fondation Wayne. Quelque chose de moins tonitruant que ce qui était arrivé il y'a quelques jours de ça.
Bonjour mademoiselle St Cloud, c'est bien cela ? N'est-ce pas ?
Une autre voix, celle de Tempérance qui est avec moi. Habillée d'un sublime tailleur rouge, ses cheveux étaient coiffés en arrirèe, des lunettes ponctuaient ce bel ensemble, alors qu'elle sortait elle aussi des ombres du bureau de Bruce Wayne. Il faut dire que l'éclairage n'est clairement pas ce que l'on peut appeler de très lumineux, ni de très aéré, mais Bruce Wayne, lui, appréciait l'ambiance qui s'en dégageait.
Tu ne m'avais pas dis qu'elle était aussi charmante que cela, Tempérance.
Si je te l'avais dis, tu te serais enfui à grandes enjambées, Bruce. Je te connais.
Bruce Wayne semblait avoir les traits tirés, je l'admettais, les derniers évènements ne m'avaient pas fait dormir facilement. Mais Batman, lui, était l'homme au-delà de sa condition, un homme qui ne devait éprouver aucune limite, aucun sentiment, aucune fatigue. En observant Gotham City par-delà la baie vitrée, il observait d'un air nonchalant, la ville qui semblait si calme. Et pourtant, il y'avait tellement à faire ... Et tout cela serait réduit à néant, une fois de plus. Peut-être que je m'y prenais mal ? Je pouvais construire de nouveaux orphelinats, de nouveaux dispensaires de soins, mais hélas, c'était comme si cette ville prenait un malin plaisir à détruire tout ce qui est forcément bon et vertueux, comme si chaque chose que nous entreprenions était voué à un échec continu, et que le moindre espoir est broyé sous nos yeux. Mais je croyais en la rédemption, et en la chance, avec un peu de chance ... Un peu de chance, oui. Alors que je me lève et que je me dirige d'un pas assuré vers la jeune femme, je lui tend la main, afin de lui serrer, avec un beau sourire en prime. Tempérance avait un grand sourire, un sourire comme je les connaissais, qui en disait long sans vraiment le dire. Elle-même avait un don pour remonter les entreprises, une sorte de main dorée assez conséquente. Chaque secteur que Tempérance gérait, les actions remontaient. Tout comme Lucius, s'il avait été là, elle avait le talent pour remonter les affaires en perdition et voir le potentiel profit à dégager. Une manne intéressante. Pour ce qui était de ce pauvre Bruce, tout ça n'était qu'un petit entretien avec ses possibilités et ses nuances, pour Bruce, ce n'était qu'un long et fastidieux travail de gérer une entreprise. Mais même si je donnais l'impression que je n'étais qu'un dandy qui se moquait éperdument de son entreprise, je gérais aussi les comptes avec un certain discernement propre à mon autre alter-égo. Tempérance me tend son CV et ses recommandations avant que je ne regarde avec une certaine attention les caractéristiques qu'elle possède. Et parfois, un CV représentait certaines petites choses qu'on ne pouvait pas remarquer dès le début. Après tout, dans ce beau pays qu'est l'Amérique, il était très facile de se faire des diplômes sans passer les examens, moyennant finance.
Vous êtes spécialisée dans les galas et la gestion des évènements importants. Vous n'êtes pas sans savoir que nous avons eu un gala difficile au manoir Wayne dernièrement. Qu'est-ce qui vous donne vraiment envie de rejoindre Wayne Entreprises ?
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Sujet: Re: Entretien avec un milliardaire Dim 5 Mai 2024 - 0:29
Une voix grave mais amicale l'avait fait légèrement sursauter. Silver s'était retournée, d'un petit bond maitrisé, vers la source du bruit qui provenait de l'autre côté de la grande pièce. Le maître des lieux avait fait irruption depuis les ténèbres, mais il ne dégageait rien qui ne mette mal à l'aise l'invitée. Au contraire, celle-ci lui trouva une agréable aura qui apaisa la tension causée par la surprise. Monsieur Wayne avait parlé sur un ton qui se voulait blagueur, et à cette entré en matière réussie, Silver sourit.
Si vous-même admettez que c'est un labyrinthe, répondit-elle sur le même ton quoique cela n'empêcha pas le sérieux de ses paroles, il faudrait songer à mettre quelques panneaux indicatifs... à moins que vous ne recevez pas tant de monde que ça dans votre bureau ? Et si tel était le cas, pourquoi elle avait eu ce privilège ? Ramenant ses deux mains sur le manche de son sac à main, elle avait haussé les épaules, un peu taquine. Cependant les affaires étant ce qu'elles sont, Silver reprit contenance et se remit dans la peau de l'organisatrice évènementielle prête à tout pour être vue comme la professionnelle qu'elle était.
Une femme magnifique accompagnait le milliardaire et la mondaine se douta qu'il s'agissait de sa correspondante de la veille. A coup sûr une femme qui savait ce qu'elle faisait, la confiance que lui portait monsieur Wayne était quasiment palpable et c'était le but que venait à l'instant de se fixer Silver : se montrer aussi indispensable et compétente que cette mademoiselle Tempérance qui avait mis la barre très haut. L'intéressée acquiesça d'un vif hochement de tête, lorsqu'on lui demanda confirmation de son identité. Tu ne m'avais pas dis qu'elle était aussi charmante que cela, Tempérance. Les joues s'empourprant au compliment, Silver n'en pensa pas moins ! Les journaux semblaient avoir bel et bien dépeint le réel portrait de Bruce Wayne en décrivant un homme séducteur, qui ne perdait pas une seule occasion quand une femme se trouvait sur son chemin ? Elle ne pouvait pas y croire, elle ne voulait pas y croire, cette vérité étant presque décevante. Il dégageait quelque chose de plus que cette superficialité mondaine qu'on lui connaissait dans la presse, et si sa personne ne se résumait qu'à cela, le mystère l'entourant perdait énormément de sa valeur.
Le son de ses talons résonnant tandis que Silver s'avançait vers l'imposant bureau, les questions de son potentiel employeur fusaient déjà. Il n'était pas du genre à perdre du temps et au fond, cela semblait logique lorsqu'on s'attardait sur cet empire créé au fil du temps. Vous êtes spécialisée dans les galas et la gestion des évènements importants. Vous n'êtes pas sans savoir que nous avons eu un gala difficile au manoir Wayne dernièrement. Qu'est-ce qui vous donne vraiment envie de rejoindre Wayne Entreprises ? Silver resta debout face aux chaises, sans y prendre place. Il ne l'avait pas invitée à le faire et elle ne se voyait pas prendre ses aises à ce point. Et puis, que se passerait-il si elle s'asseyait et que les réponses données ne satisfassent pas le milliardaire ? Elle se sentirait coincée les fesses entre deux chaises, comme une cruche, à devoir subir l'entretien jusqu'à la fin sans possibilité de s'échapper. J'ai effectivement un certain bagage en ce qui concerne les galas, les œuvres de charité et même quelques contrats plus festifs, répondit Silver en faisant référence à ses quelques concerts organisés pour des artistes américains se produisant en Europe. Comme tout gothamite qui se respecte, j'ai lu le Globe, monsieur Wayne. Le fiasco qui s'est déroulé au manoir a été le gagne-pain de la presse ce mois-ci et j'en suis sincèrement navrée pour vous. Silver était honnête, elle était répugnée par ces vautours qui se servait du malheur des plus influents comme leur casse-croûte sans penser au mal que cela pourrait causer. Mais son interlocuteur paraissait être d'une force mentale assez élevée que pour supporter ces bassesses. C'est néanmoins un parfait exemple de ce que je ne laisserai jamais arriver pour un de mes contrats. Je m'explique. Mademoiselle St Cloud se tenait droite et sûre d'elle. Il cherchait à ce qu'elle se vende et c'était une qualité qui ne lui était pas acquise mais que Silver avait travaillé et peaufiné avec l'expérience. Chaque dossier sur mon bureau est comme un bébé duquel je prends soin, j'y mets tout mon coeur et mon travail ne s'arrête pas lorsque je sors de mon bureau. L'image de Wayne Entreprises ne diffère pas de la vision que j'ai du monde ; vous êtes un philanthrope qui oeuvre à son niveau et j'agis de la même façon... à mon propre niveau. Elle haussa un sourcil, toisant son potentiel futur client et patron. Les affaires étaient restés longtemps un monde d'hommes, et aujourd'hui encore la femme devait se faire violence dans bien des situations pour se faire une place. Silver était déterminée, et la présence de Tempérance était une bonne nouvelle en soi, cela prouvait que monsieur Wayne n'avait cure du sexe de ses employés mais leur préféraient les compétences. Etre indépendante a ses avantages, on peut choisir de travailler pour des personnes avec qui on se trouve des points communs. Silver tourna alors un visage souriant vers Tempérance. Mais c'est vous qui m'avez contacté en première... J'imagine que vous avez du faire des recherches avant de m'envoyer ce mail ? Aucun doute sur le fait que la secrétaire du milliardaire ne l'avait pas repérée au hasard !
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Sujet: Re: Entretien avec un milliardaire Dim 5 Mai 2024 - 15:18
The Dark Knight
Je me lève de ce siège avant de me diriger vers la jeune femme, je saisis la douce et belle main de cette merveille avant de pratiquer un léger baisemain, nos yeux se croisent, je garde un léger sourire. Le charme était ce qui faisait de Bruce Wayne, cet homme si dispendieux, si terrible, si beau et si volage auprès de toutes les bonnes femmes de Gotham City. Qui n'a jamais rêvé d'avoir un Bruce Wayne en slip dans sa cuisine après tout ? Toutes les femmes voulaient le plus célèbre des play-boys de toute la ville. Toujours en train de jouer mon rôle, je relâche la main tendre de Silver St Cloud. avant de lui dire d'une voix suave et douce. C'était clairement un appel, un rêve devenu réalité, le prince qui l'emmènera loin de cette vie misérable. Mais comme toutes les femmes que j'avais connu, je laissais souvent une espèce d'absence.
Je suis terriblement enchanté.
J'invitais la jeune femme à s'assoir sur la chaise. Elle était belle, élégante, et avait un de ces charmes que l'on caractérise de fatal. Un sourire ravageur, des yeux candides et de jolies jambes qui n'en finissent pas. Mais à ce niveau-là, de la conversation, ce n'était pas moi qui reprit la conversation. Non. Tempérance, plus figée, mais avec un grand sourire, se permit de reprendre aussitôt la parole. Elle s’asseye, elle aussi, sur un des sièges présents dans le bureau, ses lunettes dévisageant la jeune femme. L'heure du changement avait sonné. Pour tout dire, si Batman faisait de son mieux pour assurer sur tous les plans, Bruce Wayne, lui, avait bien besoin de se refaire une santé et une nouvelle réputation. Pour tout dire, il avait besoin de se remettre en avant, de reprendre du poil de la bête, de montrer qu'il avait toujours de l'intérêt pour sa ville, même si celle-ci venait de passer un horrible moment à cause du Gant Noir. Bien sûr, tout le monde connaissait mon soin et mon envie de me battre pour sauver ce qui pouvait l'être, d'améliorer ce qui pouvait se faire, et bien sur, honorer l'héritage de mes parents du mieux possible, tout en gardant cette humanité dont ils ont fait preuve jadis.
Oui c'est exactement ce que j'ai fais. Vous aviez du niveau. Entre vous, Jaina Hudson et bien d'autres, vous avez retenu mon attention. Cela ne fut pas facile.
Je réfléchis avant de sortir le peu que nous avons sur cette femme, enfin, ce qu'elle nous a communiqué et ce que nous avions sur elle, d'après nos recherches. Tempérance regarde son CV avec un léger intérêt tandis que je tapote le bureau avec un stylo. Je la regarde avant de bien discerner ses traits. Elle était belle, très belle. Une vraie beauté de glace, venait-elle des pays scandinaves ? Sa beauté avait un certain intérêt et j'avais un certain goût pour les femmes, je l'admets. La jeune femme semblait confiante, très confiante, et même enchantée de me rencontrer, or, c'est justement quand on veut faire passer certaines images positives qu'on a plus souvent à craindre. Je renchérissais avec une première question, histoire de voir sa réaction et aussi ses mimiques. Moi, je n'étais là que pour le nom et le prestige. Les actionnaires aimaient les images jeunes, séduisantes, comme moi bien sûr. J'étais la figure de proue, et même si j'avais une sacrée intelligence, face à Tempérance, mon génie n'était que très peu de choses face à l'argumentaire et l'expertise de la jeune femme. Elle décèlerait les failles, et pour ma part, je ne m'en plaindrais pas. Avec un sourire, je repris.
Pas de casier judiciaire, n'est-ce pas ? On est à Gotham, ça peut arriver.
Chez Wayne Enterprises, nous avons à cœur une image importante et sérieuse. C'est pourquoi nous préférons nous renseigner sur les casiers et antécédents de nos collaborateurs. Vous ne verrez, j'imagine, aucun soucis à ce que je contacte vos anciens clients, histoire de voir quelle image ils ont de vous.
Je suis certain que mademoiselle St Clair n'a pas de casier judiciaire. Enfin sûrement des amendes, parce qu'une telle belle femme en circulation, c'est un crime.
De la plaisanterie. Il en faut, et surtout, il fallait jouer sur ce plan de Bruce Wayne qui était toujours un flambeur né. Il fallait bien que quelqu'un le fasse, et si cela peut permettre d'éviter que les gens pensent que je suis Batman, alors autant jouer ce rôle à fond. J'espérais juste ne pas faire trop peur à la jeune et jolie St Clair. Après tout, tout le monde savait que Wayne était un homme à femmes, et que la presse à scandales ne les comptait plus. Elle était énigmatique, trop énigmatique pour que je puisse déterminer ses actions. Et pourtant elle était belle, et j'avais eu quelques élans fort bien dissimulés d'attirance pour elle en si peu de temps. Il faut croire que le charme peut toujours opérer, dans certaines circonstances. J'avais l'impression d'être une poupée dans les mains d'une femme, et elle se jouait indirectement de moi. Je détestais ce sentiment.
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Sujet: Re: Entretien avec un milliardaire Lun 20 Mai 2024 - 10:34
Le milliardaire s'était levé pour s'avancer vers mademoiselle St. Cloud, qui sentit son coeur s'arrêter lorsqu'il saisit sa main pour y déposer un de ces chastes baisers comme on n'en faisait plus à notre époque. Son sourire en coin s'étira lentement, une mine enjouée qui ne pouvait passer inaperçu mais dont elle contrôla les fiévreuses rougeurs sur ces pâles joues. Leurs yeux clairs s'étaient croisés un court, et c'était ce laps de temps qu'il fut à Silver pour entrevoir une lueur loin d'être anodine chez cet homme. Il était très beau et usait de son charme qu'il savait pertinemment posséder. Qu'est-ce qui pouvait bien arrêter un milliardaire au faciès agréable ? Rien, de toute évidence... Je suis terriblement enchanté. Quelque chose dans la voix de Bruce Wayne interloquait Silver, et bien qu'elle soit une femme observatrice et intelligente, son analyse s'arrêtait là. Il y avait cette chose qui n'était pas palpable mais qu'elle ressentait, qui était "là" et qu'elle ne pouvait nommer. Mais en sachant qu'il jouait de sa notoriété avec tous et toutes, ce qui était un fait avéré, alors Silver St Cloud se disait intérieurement qu'elle ne devait pas se laisser avoir par un mécanisme travaillé au fils des ans.
Une invitation à prendre place de la part du milliardaire et la voilà qui s'asseyait face à lui, son sac à main trouvant refuge à ses pieds. Tempérance s'installa également et ce fut elle qui reprit le cours de la discussion, tandis que Silver sentait le poids du regard de Bruce Wayne, sur sa petite personne. On lui expliqua qu'elle avait brillamment retenu l'attention de la secrétaire entre des personnalités électriques comme Jaina Hudson et bien d'autre, visiblement. Voilà qui était surprenant et qui réjouissait Silver ! Elle savait qu'elle devait rester fidèle à elle-même, à ses principes et à ses idées. On lui avait plus d'une fois conseillé de ne pas trop en faire, mais c'était grâce à cela que le bureau de Wayne Entreprises lui était accessible aujourd'hui ! Le compliment était là mais l'anxiété commençait doucement à gagner la mondaine, entre Tempérance qui scrutait son C.V. qu'elle connaissait sans doute déjà par coeur et monsieur Wayne qui tapotait de son stylo contre la surface du bureau. Silver se sentait observée et ignorait si c'était de bonne augure. Etait-il le genre de patron pointilleux qui détaillait tous les points d'un curriculum vitae ? Qui exigeait la perfection ? Pas de casier judiciaire, n'est-ce pas ? On est à Gotham, ça peut arriver. La question la sortit de ses pensées vertigineuses et l'assomma d'un rire franc qu'elle ne put pas retenir. Son rire était caractéristique puisque cristallin dénué de toute retenu. Monsieur Wayne, non ! finit-elle par répondre. Une simple contravention pour excès de vitesse il y a quelques années, mais les erreurs de jeunesse ne sont un secret pour personne, n'est-ce pas ? Elle haussa les épaules, quelque peu taquine, certaine qui lui aussi en avait fait des bêtises dans sa tendre jeunesse. Quelle sotte, elle aurait dû davantage s'informer sur lui en tant qu'être humain à part entier et non comme l'homme à la tête d'une entreprise ! Silver avait été si stressée par l'entretien que l'évidence lui était passé sous le nez. Tempérance lui demanda si elle voyait un inconvénient à ce que les précédents clients de mademoiselle St Cloud soit contacté pour étoffer son dossier, à cela la jeune femme esquissa un autre sourire. Je n'y vois aucun inconvénient, dit-elle avec confiance. Elle avait gardé de bonnes relations avec certains d'entre eux, excepté un client qui avait su se montrer fort insistant avec elle. Il avait été l'un des premiers pour qui elle avait travaillé et l'homme avait cherché à outrepasser les relations professionnelles. Il n'y avait que lui, monsieur Elias Brown et sa petite chaîne de discothèque, qui pourrait lui faire de l'ombre en inventant des histoires fausses à son encontre. Aussi, Silver avait pris soin de ne pas le mentionner comme ancien collaborateur dans son C.V. mais si Tempérance avec ses recherches venaient à le retrouver malgré tout... et bien elle serait dans de beaux draps !
Je suis certain que mademoiselle St Cloud n'a pas de casier judiciaire. Enfin sûrement des amendes, parce qu'une telle belle femme en circulation, c'est un crime. Comment arrivait-il à dire ce genre de phrases toutes faites en gardant un sérieux si déroutant ? C'était peut-être ça, que Silver avait décelé un peu plus tôt. Monsieur Wayne ne ratait pas une occasion de complimenter comme s'il fallait à tout prix qu'il le fasse pour garder son image d'homme à femme. Qu'il se rassure pour cela, c'était inscrit pour l'éternité ! Je pourrais engager un chauffeur mais c'est un plaisir d'être au volant, fit-elle sur le ton de l'humour. La vitesse, l'adrénaline... Rien de tel. Silver lui lança un de ses regards qui ne trompait pas. Il envoyant en réalité plusieurs messages, de l'une, qu'elle n'allait pas se laisser prendre dans un jeu de chat et de souris pour simplement divertir un milliardaire qui en avait vu des tas, des femmes lui courant après. De deux, qu'elle était irrémédiablement attirée par l'aura qu'il dégageait. Cette seconde option lui avait malheureusement échappé. Permettez-moi de vous suggérer une idée, monsieur Wayne. Des soirées organisées par vos soins, Gotham en a vu des centaines, n'est-ce pas ? Les citoyens ont l'habitude d'entendre parler de vos galas et de lire les détails dans la presse, car ils n'y sont jamais réellement conviés. Pour eux, tous ces faits sont illusoires. Silver sortit de son sac un fin dossier et l'ouvrit sur une page précise. Ici sont répertoriés les endroits à Gotham qui auraient vraiment besoin de votre soutien. Il y a avait une école, une orphelinat, une clinique, des centres de tout type. Ce que je vous propose, c'est d'organiser un gala, mais ouvert à tous et non pas uniquement à la haute société de Gotham. En plus de cela, les jours qui précèderont la soirée, vous rendrez personnellement visite et aiderez les habitants à se reconstruire après tout ce chaos. Silver referma le dossier et le glissa vers Tempérance, elle savait que ce serait elle qui analyserait les détails du projet et que Bruce donnerait son avis final. Croisant les mains sur le bureau, le dos droit et le regard ancré dans les yeux azurs du milliardaire, elle conclut. Des galas, les citoyens en ont vus des tonnes. Mais un Bruce Wayne qui se mêle à la population ? @Bruce Wayne / Batman
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Sujet: Re: Entretien avec un milliardaire Mer 22 Mai 2024 - 13:19
The Dark Knight
C'est une considération à prendre de manière très intéressante, qu'en penses-tu, Tempérance ?
C'est assez inédit, et ça permettrait d'offrir une belle image à Wayne Entreprises aussi.
Pour Bruce Wayne, nul n'oubliait cette soirée de gala où j'avais présenté ma vision de la nouvelle Gotham City. Avec de nouveaux centres pour les familles nécessiteuses, pour les gens victimes de la crise et pour les orphelins, le tout, géré par Leslie Thompkins, avec l'ouverture d'une nouvelle clinique, plus personnalisée, plus ouverte, plus équipée que celle qu'elle avait pour le moment. Et même si le chantier prendrait surement place après l'an Zéro, au moins, de nouveaux travaux seraient en cours, et c'était ce qui comptait le plus pour le moment. C'était le premier gala au Manoir Wayne, et ce fut mémorable pendant de nombreuses années. Malheureusement, les galas se suivent et se ressemblent, et jamais rien ne se conclut comme on le désire réellement. Et de nombreux contrats, promesses de dons, avaient fini dans la poche de Ferris Boyle, l'ancien pdg de Gothcorps. Mes plans pour protéger Gotham City avaient échoué de manière légale et financière, et même si Lucius m'avait assuré que Gothcorps était certes, un peu moins évolué au niveau technologique que nous, ils feraient quand même du bon travail. N'avait-elle pas d'excellents employés après tout ? Bien sur, la plupart rejoignaient Wayne Enterprises, sous anonymat, et bien sur, pour éviter les pressions de Ferris Boyle, le PdG actuel de Gothcorps qui n'était qu'un tyran sous ses airs de bienfaiteur. Je l'avais dans le collimateur, et même si j'avais toujours respecté mes adversaires financiers, Gothcorps méritait mieux qu'une ordure pareille. Maintenant, c'était Victor Fries aux commandes de l'entreprise, au moins, il avait l'air de vouloir se ranger. Mais je n'en étais pas encore à discuter avec Fries, de manière économique. Non, je devais faire en sorte que les choses reprennent un cours normal à Gotham City. Et mademoiselle St Cloud pourrait m'y aider. Intérieurement, je me sens plutôt content, Batman n'aurait pas à pâtir de son absence et je pourrais garder mes activités nocturnes pendant un long moment. Mais de l'autre, j'étais partagé. Il me faudra donc trouver de nouvelles opportunités afin de mettre à profit la présence de Bruce Wayne au sein des populations les plus délaissées de Gotham City. On ne dirige pas une ville comme une entreprise, et Gotham City n'était pas une ville ordinaire. Maintenant, il fallait vite penser à reprendre la ville, à lui offrir un sang neuf, une nouvelle perfusion.
Tempérance, avons-nous un poste pour mademoiselle St Cloud ?
Nous pouvons lui offrir un poste à Wayne Entreprises en tant que chargée de communication de la fondation Wayne, et lui donner toutes les cartes pour lancer notre campagne de réconciliation de la ville ?
Si vous êtes partante, mademoiselle St Cloud, je serais ravi de vous avoir parmi nous.
Mais dans un premier temps, et pour garder certaines rumeurs couvertes, nous préférerons que les actions de Bruce Wayne ne soient pas directement citées. Vous agiriez au nom de la fondation, et non au nom de Bruce Wayne. Après tout ce qui s'est malheureusement passé, nous ne pouvons pas mêler Bruce à tout ce qui s'est passé en ville dernièrement. Le souvenir de la mort de ... Bref, vous m'avez comprise, je pense. Nous souhaitons que monsieur Wayne reste détaché, le temps dont il a besoin, pour reprendre confiance en lui. Vous pouvez le comprendre, j'imagine.
Il faudrait aider la ville de manière moins visible, mais plus sélective, et surtout, faire en sorte de garder les apparences que Bruce Wayne est assez détaché de tout ce qui s'y passe. Et bien sûr, cela pourra montrer décemment que dépenser un peu d'argent peut faire oublier que Bruce Wayne ne peut pas être Batman s'il s'amuse à dépenser presque tout son argent en jeux, en cascades et en femmes. Parfois, il faut savoir faire jouer les apparences, quitte à se cacher, autant que ce soit en pleine lumière me disait Alfred bien souvent. Tempérance avait repris la discussion, mais moi, je me sentais plutôt effacé, plutôt lointain dans tout ce brouhaha. Quelque chose en moi n'arrivait pas à se refermer. Une blessure encore ouverte, toujours purulente, et la mort d'Alfred n'y était pas étrangère. Mais je me ravisa, un léger sourire sur le visage. Me montrant un peu plus conciliant que pendant ces dernières minutes. J'y voyais un certain intérêt, de la connaitre un peu plus, et avant tout, je regarde Tempérance avant de revenir sur la jeune femme aux cheveux blancs immaculés. La réputation de séducteur de Bruce Wayne n'était plus un secret de polichinelle après tout.
Êtes-vous déjà venue au Manoir Wayne, mademoiselle St Cloud ? Si vous n'avez pas encore vu l'endroit, il faudra bien que je vous y invite pour diner.
BRUCE !
Malgré la mine renfrognée de Tempérance, je ne pouvais qu'être amusé par l'idée d'un diner au Manoir Wayne avec mademoiselle St Cloud. Les belles femmes méritent qu'on les courtise, n'est-ce pas ? Surtout si on s'appelle Bruce Wayne.