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Sujet: Morts de Peur [PV GCPD] Jeu 28 Déc 2023 - 21:31
Type de RP : Normal
Date du RP : Décembre 2019
Participants: Le GCPD
Trigger warning: Morts, terreur.
Résumé: L'épouvantail a bien besoin d'argent, il est l'heure de faire un petit retrait à la banque.
Maitre des Peurs
Beware the Scarecrow
La peur avait saisi cette ville. Quelle délicieuse pensée cela m'offrait. Depuis que les électeurs de Gotham ont signé pour avoir ce cher Strange au pouvoir, il n'en fallait pas plus pour inviter Dame Peur à retrouver la plèbe qui hantait cette bonne ville de Gotham. Et quoi de mieux que de concocter un plan suffisamment intelligent pour fêter cette magnifique nouvelle ? Mais il fallait des fonds, et braquer une banque de la ville n'était que la meilleure façon de gagner rapidement et justement, un peu de sous pour ce pauvre empaillé que j'étais. L'argent n'était pas un problème d'habitude, mais le prix des produits devenait de plus en plus exorbitant. Il fallait donc soulager la banque de ce qu'elle gardait dans ses coffres si biens sécurisés. Ce soir, je m'étais donc permis une petite digression à ma stratégie : Me révéler à toute la ville. Ramener la peur au centre de celle-ci, et lui montrer qu'elle n'a pas finie d'être terrorisée par mes bons soins. Alors que mon hélicoptère se posait sur le toit de la banque, j'en profitais pour descendre en rappel, dans le centre même de toute la finance. J'étais seul. Du moins, en principe. Je préférais travailler seul habituellement. Du moins, en apparence ... Un être tel que moi apprécie la solitude, même si parfois, un petit coup de main était des plus appréciés. Alors que j'atterrissais sur le sol de la banque, une voix s'élève.
"Halte ! Levez les mains !"
"Si vous insistez ..."
Une voix qui pourrait glacer le sang du plus échauffé. Un sourire immonde se dessina sur mon visage pâle, les néons du couloir cliquetaient de façon insupportable mais ça, ça a toujours été. Et ça donnait un petit air morbide à ce lieu. Deux gardes, je me retourne lentement, avant de brandir mes doigts vers eux, afin de les asperger de ma drogue. Ils commencent à ressentir aussitôt, les entraves de leurs peurs les plus profondes. Bien que d'habitude, j'apprécie de voir mes sujets d'expérience avoir les plus belles peurs de leurs vies, je ne pouvais pas perdre de temps. Il me fallait donc faire exploser la porte sécurisée au plus vite. Un peu de C4 aux embranchements, et la porte s'ouvrirait tranquillement, révélant mille trésors et beaux billets de banque. Il ne faut pas être un génie pour installer du C4 aux bons emplacements d'une porte sécurisée. Il fallait de la jugeote et de l'intelligence. En prenant mes distances, j'inspire. Les deux gardes continuent de hurler à pleins poumons. Ils hurlent et c'est une telle joie de voir leurs terreurs, de ressentir ce pouvoir entre mes mains. Délectable en réalité. La porte de sécurité explose, et c'est à ce moment précis que l'alarme se fait entendre dans la banque. Regardant ma montre, j'esquisse un petit sourire.
"Comme prévu. Tout se passe comme je l'avais prévu."
Regardant les deux gardes, ceux-ci venaient de succomber à une "mort de peur". Je me mis à rire de façon à peine audible, comme un monstre caché sous le lit d'un enfant, essayant d’être discret. C'est alors que j'inscrivais sur le carnet qui recensait à la fois mes tests mais également mes différents cobayes, la toxine expérimentée mais aussi le dosage et ce qui s'en découlait. « N° 14, 50 cl. ». Le temps que le GCPD vienne, j'aurais déjà préparé mes sacs pour les mettre sur l'hélicoptère. Mais je n'aurais très certainement pas assez de temps pour m'enfuir, mais plutôt assez pour préparer ma défense. Ils ne tarderaient pas, c'était certain. En attendant, à moi la grande récolte. D'un petit sourire, je pris un de mes sacs avant de le remplir de ces merveilleux billets verts que les crétins et les bas du front s'évertuent à entasser dans un repaire de ramassis de voleurs. Le noir. Il n'y a d'audible que le croassement des corbeaux, treize corbeaux entassés sur les épaules squelettiques d'un épouvantail planté au milieu d'un cimetière. Leurs cris d'oiseaux du Diable fend le silence en harmonie, comme si ils chantaient ensemble, parlent-ils ? On ne sait pas. Tout est flou ici.
"Récolter, moissonner. Vient donc le temps de l'été. Les champs fleurissent, et les fleurs trépignent. Les corbeaux viennent ..."
Chantais-je, alors que je prenais tout mon temps pour récolter ce magnifique butin qui s'offrait à moi. Quelques sacs déjà étaient prêts et n'attendaient que d'être remontés sur le toit. Un sourire, alors que j'entendis maintenant les sirènes de la police au loin. Ils ont un peu d'avance. Tant mieux, j'avais besoin de m'amuser avec eux. Est-ce qu'ils auront la chance de finir sur mon joli petit calepin ? Plongé dans mes pensées obscures, toujours en griffonnant avec mon écriture lisible, chose inhabituelle chez les médecins à ce qu'il paraît, je m'attendais à préparer le décompte de mes nouvelles victimes. La peur, oui, toujours la peur. Rien que la peur. Elle qui s'insinue dans votre esprit, qui vous dicte votre façon de survivre. Que serions-nous, sans la peur ? Grâce à moi, cette ville sait ce dont elle a besoin pour être à-même de comprendre les grands enjeux qui se décideront pour elles. Je m'égare. Ce soir, j'avais des invités, et nul doute qu'ils aimeraient me remettre dans une cellule capitonnée. Je ne les en blâme pas. Je sais qu'ils feront de leurs mieux. Du moins, ils essaieront.
"Mon petit oiseau a prit sa volée. Sur un o-à la volette, sur un o-à la volette, sur un oranger. A prit sa volée."
Chantais-je une nouvelle fois. Mes bombes de toxines étaient prêtes. Je me demandais si on entendrait leurs cris à Arkham ? Des hommes de la police chanteront mon nom, et le crieront, en hurlant. Fuyez, en hurlant, tant que vous le pouvez, pauvres imbéciles. Votre mort approche, et de sa faux, elle vous emportera dans le royaume des damnés. J'éructe d'un rire grave et guttural, cette pensée me fit rire. Ils allaient mourir de peur, et ils crieront mon nom, pour la postérité. Comme toujours. Personne ne peut battre l'épouvantail ! Personne ! Mes bombes dans les mains, j'étais prêt pour leur intervention. Il est temps que je sois enfin au niveau de ma réputation.
Dernière édition par Jonathan Crane/ Scarecrow le Sam 6 Jan 2024 - 10:03, édité 1 fois
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Ven 5 Jan 2024 - 21:08
Maître des peurs
Feat Scarecrow / GCPD
Gotham et sa décadence, cette ville avait élu un fou comme Maire. Montoya était de plus en plus dépité par cette corruption qui gangrène la ville. Les criminels et autres psychopathes qui s'en donnent à cœur joie pour troubler la tranquillité de ces habitants.
Montoya vient de terminer son service, elle était en route pour rentrer chez elle pour passer encore une soirée seule à manger de la mal bouffe devant la télé, mais un appel du central trouble ses plans pour la soirée. On signaler qu'un hélicoptère vient de ce poser sur le toit de la banque de Gotham. L'alarme de la banque a été enclenchée. Montoya répond à l'appel radio pour signaler qu'elle se rend sur place, elle allume son gyrophare et fait demi-tour en faisant crisser ses pneus.
" - Foutu psychopathe..
La voiture de service de l'inspecteur Montoya, s'arrête devant la banque à cette heure-ci aucun client, juste des flics de nuit qui surveille l'intérieur. Elle descend de la voiture et appelle le central avant de prendre le chemin de la banque.
" - Central ici l'inspecteur Montoya, demande de renfort à la banque de Gotham, ça semble calmé, mais je vais voir à l'intérieur. Terminé. "
La voix à l'autre bout de la radio, lui confirme l'envoi d'unité sur place et lui demande de faire attention. Renee avance donc en dédaignant son Glock 22, sa fidèle arme qui ne lui a jamais fait défaut. Elle force la serrure pour pénétrer dans la banque, ça a l'air plutôt calme, mais au fur et à mesure qu'elle avance, une étrange sensation lui parcours l'échine. Montoya tombe sur les deux corps inertes de deux policiers, elle prend leurs pouls. Mort. Leur visage semble être crispé dans une peur indescriptible. Elle braque son arme devant elle et avance dans la salle des coffres en faisant attention à ses arrières. Les sirènes de police se font entendre au loin. Il ne faut pas longtemps pour que Montoya tombe nez à nez avec un criminel qu'elle connaît que trop bien. L'épouvantail se trouvait face à elle à quelques mètres, à ses pieds se trouve des sacs remplis d'argent. Tout en pointant son arme sur lui, elle lui crache quelques mots.
" - C'est donc toi qui gâche ma soirée, mais on dirait que ta petite virée shopping est terminée. Ne m'oblige pas à te tirer en pleine tête Crane. "
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Ven 5 Jan 2024 - 22:11
Dans le véhicule la tension est palpable comme à chaque intervention. Le silence prend d'initiative sa place permettant à chacun de se concentrer sur sa mission et ses objectifs personnels. Tel un rituel inévitable, tu es celui qui brise ce moment suspendu en annonçant la tempête après le calme.
« Les gars arrivée sur site dans deux minutes !!! »
Pas besoin d'en dire plus, chacun sait ce qu'il a à faire. Les chauffeurs vont placer les véhicules de sorte à ce qu'ils servent de protection pour chacun, les chefs d'équipe Alpha et Bravo vont rester à proximité de toi afin de prendre leurs consignes. Les autres vont se poster afin de couvrir les points particuliers des différentes façades du bâtiment. Pour autant tu as une nouvelle recrue, c'est sa première intervention et tu te dois de le driver même si c'est un professionnel !!!
« Shépard, on va profiter de ta protection balistique hors du commun. Tu vas faire un tour du bâtiment avec ton quad pour voir si tu remarques quelque chose de particulier. Tu viendras me faire un rapport à l'issue. »
Ton véhicule est le premier à se poster sur site, la police est présente et le chef du dispositif arrive dans ta direction probablement pour te faire son rapport. Tu débarque équipés et prêt à intervenir avec ton arme de poing, ton arme longue, des grenades incapacitantes et tes favorites les fumigènes. Effectivement les incapacitantes sont vraiment incompatibles avec tes sens sur-développés par contre les fumigènes sont parfaites car tu sais te diriger sans tes yeux.
Tu t'avances vers le chef de la police que tu connais bien, vous avez de nombreuses interventions en commun. Preuve en est il te salue et as déjà en main le plan du bâtiment élément indispensable pour une préparation d'assaut. Tu l'aimantes immédiatement sur la porte du fourgon et constate que la surface à couvrir est immense. Des premiers éléments tu apprends que les braqueurs sont arrivés sur le toit par hélicoptère il y a environ 15 minutes. Aucune idée de leur nombre, pas de coup de feu entendu par contre il y a eu une explosion puissante et des cris qui font froid dans le dos. L'inspecteur Montoya est déjà à l’intérieur mais pas de retour de sa part, tu n'aimes pas ça il va falloir agir vite.
Shépard revient de son tour de reconnaissance. Tu remercies le chef de la police et lui demande de prendre la couverture du bâtiment le temps de briefer ton équipe. Tu sonnes le rassemblement et finis de préparer ton intervention avec les infos de Shépard le temps que tes hommes te rejoignent.
« Bon les gars Gotham à encore besoin de nous. Braquage en cours et aucune info concernant les braqueurs et leur armement. Pas de tir mais une explosion entendue que j'imagine être pour le coffre fort. Par contre on a un flic à l’intérieur, l'agent Montoya était la première sur les lieux et n'a pas attendue les renforts, on va la sortir de là. Shépard tu t'occupes d'ouvrir un passage à Alpha pour sécuriser le hall d'entrée. Bravo tu récupères Shépard direction les escaliers avec pour objectif la neutralisation de l'hélicoptère. Alpha progression rapide direction la salle du coffre. Je serais en fin de colonne avec Alpha, liaison canal radio habituel. Départ à mon top inter depuis les véhicules dans une minute. »
Depuis notre arrivée tu n'as entendu seulement que des cris qui reflètent la peur. Que se passe t'il à l’intérieur, pourquoi cette frayeur. Tu vas bientôt le découvrir car il est temps d'aller faire ce que le SWAT fait de mieux, faire cesser le crime.
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Sam 6 Jan 2024 - 10:29
Maitre des Peurs
Beware the Scarecrow
"Agent Montoya."
Dis-je, avec un grand sourire, alors que les policiers venaient d'arriver sur les lieux. Visiblement, c'était la première, mais au vu des lueurs dehors, le SWAT devait être là, lui aussi. Comme prévu. Je terminais de rassembler les quelques sacs que j'avais préparé avant d'être grossièrement interrompu par le son d'une voix des plus suaves. C'était bien l'agent Montoya. Du moins, j'avais dis ce terme afin de bien la descendre, niveau moral. Histoire de la sous-estimer et de semer en elle les graines du doute. Avait-elle la carrure d'être une parfaite inspectrice ? Tout ça n'était que de simples subterfuges, de gentils petits os lâchés à la plèbe pour leur donner une quelconque importance, voila qui était d'un ridicule sans nom. Avec un sourire, derrière mon masque, je me redresse avant de lever les mains vers le haut. Tenant dans ma main, une petite télécommande. Je ne pouvais pas risquer de me faire prendre sans jouer à un petit jeu avec les braves petits soldats du GCPD. Et si nous valsions ? Le SWAT ne tarderait pas, et d'après mes pronostics, ils étaient sûrement en train d'essayer de neutraliser mon hélicoptère. Ils sont si prévisibles. Observant la jeune femme, je ne pouvais qu'obtempérer, du moins, pour le moment.
"Cela faisait longtemps, n'est-ce pas ? Comment se porte votre gentille petite famille dans ce petit quartier chicano de Gotham City ? Votre père tient toujours son commerce ?"
La peur par chantage, c'était toujours un bon atout, toujours très utile quand on avait les bonnes informations. De quoi décontenancer ses ennemis. Il n'était pas dur de traquer et de localiser les membres des familles des policiers. Edward Nygma s'était fait un malin plaisir de le faire à Arkham, et de transmettre le bon nombre d'informations. C'est ce qui lui avait permis de quitter l'asile de nombreuses fois, sans être inquiété. Il n'y a rien de tel pour abaisser la garde d'un homme : connaitre son point faible. Mais je n'étais pas là pour m'enfuir, non. Ironiquement, ils venaient tous de tomber dans la toile d'araignée que je tissais, petit à petit. Observant avec un certain intérêt l'arme qu'elle pointait vers moi, je ne pouvais m'empêcher de sourire à la vétusté d'une pareille arme. Si primitive, en quelque sorte. Mais c'est à ce moment bien précis que je dévoila ma télécommande. Ma voix se répercute dans la salle.
"Pas un pas de plus, agent Montoya où je vous promets que tous ceux qui sont en train de pénétrer dans cette banque verront leurs pires peurs se transformer sous leurs yeux, et cela s'étendra dans un rayon de cinq cent mètres autour du point d'impact. Alors vous allez dire à vos contacts du SWAT qu'ils doivent décamper de là où je n'aurais aucun problème à faire exploser mes charges !"
Je l'avais fait à de nombreuses personnes déjà. J'avais vu de nombreuses peurs révélées au grand jour. Il y avait les classiques peurs des insectes ou des animaux comme les serpents ou les chiens. Et puis, il y avait les éléments plus psychologiques, comme la peur du vide, des grands espaces ou encore celle des foules. Il y avait les peurs liées aux expériences et traumatismes du passé. C'est fou à quel point un instant peut marquer toute une vie. Ainsi, certaines personnes vont refuser de manger un aliment bien précis ou faire certaines choses par peur de recréer le même scénario, ce dernier pouvant cette fois être fatal. Ah, l'esprit humain, si complexe et tordu et pourtant si facile à manipuler. Il serait délicieux de voir quelles peurs sont affublés les grands gaillards du SWAT. De quoi ont-ils vraiment peur au final ? Ces espèces de brutes méritaient leurs sorts, après tout. Ma longue exposition à ma propre toxine m'avait rendu immunisé à celle-ci depuis longtemps. En revanche, j'étais désormais incapable d'avoir des émotions, même les plus basiques. Lorsque je parlais, je restais froid et calme, mais toujours incisif, mettant l'accent sur des syllabes précises dans chacun de ses mots. Ma voix, pratiquement caverneuse, portait haut et fort malgré mon physique grande et mince. On m'aurait normalement classé dans les rangs des intellos fragiles et apeurés de tout. Mais plus aujourd'hui, les rôles étaient désormais inversés. C'était moi qui faisait peur désormais, et j'avais moi-même vaincu mes phobies, enterrées au plus profond de mon être pour ne plus jamais en ressortir. Tel serait le comble pour un psychiatre de devenir fou, je ne me considérais pas comme psychologiquement dérangé mais plutôt comme un simple chercheur passionné. Je pourrais vous parler longuement du ce sujet, la passion, car c'est selon moi ce qui guide l'homme, un homme sans passion est voué au suicide. Je lève les yeux au ciel, puis les écarquillent. Une équipe digne de l'armée arrive, juste pour nous, le SWAT, hélicos et tout le bordel qui suit. Il me fallait prendre une décision, et vite. Même très vite. J'avais toujours la main bien serrée autour de la télécommande. Prêt à appuyer dessus, au bon moment, si on venait à jouer les imbéciles. Ce qui ne manquera sûrement pas. Un cowboy du SWAT fera une connerie, et malheureusement, cela scellera le destin de tous ces crétins. Ce n'était pas un braquage, ce n'était juste qu'un test, un jeu qui allait s'annoncer très amusant.
"Vous allez écouter attentivement mes revendications, et si elles ne sont pas assouvies dans un laps de temps record, je vous assure qu'on entendra les cris de vos hommes à des kilomètres."
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Dim 7 Jan 2024 - 2:08
Alors qu'ils était toujours sur les docks, juste après le premier grand exercice et que Bradley eut terminé son débriefing auprès de Silent. le second exercice était déjà planifié et avait pour cadre l'assaut d'un entrepôt avec adversaires armé et plus réel que les manequins.
Bradley pourrait même mener une équipe d'assaut sur le dit entrepot dans le cadre de la simulation, un exercice de choix ou il comptait bien montrer son savoir faire de soldat. Mais ... car il faut croire qu'a Gotham il y a toujours un mais possible pour contrarier votre emplois du temps.
Un message radio en provenance du GCPD (en même temps que le soir et la nuit tombante), vint alerter Silent et le SWAT, de l'attaque de la banque de Gotham ou les braqueurs serait arrivé par hélicoptère. Ni une ni deux tous rechargèrent et préparèrent leur matériel pour une intervention réelle.
Comme à l'aller Bradley conduisait son quad en milieu de convoi. Bradley n'en montrait rien mais pendant qu'il conduisait son quad, il avait besoin de ses deux jambes et de ses deux bras et était seul sur son véhicule il ne pouvait donc pas utiliser son arme ni se défendre. Arrivé aux abord de la banque Silent demanda à Bradley de faire un tour de reconnaissance en Quad autour du bloc ou se trouvait la Banque pour repérer les différentes entrées et sorties possible et tout autre infos qu'il pourrait recueillir. Et justement durant son tour Bradley repéra sur le batiment de la banque un escalier et asscenseur monte charge de chantier dans une ruelel vers l'arrière du batiment qui donnait sur tout les étages de la banque et permettait une entré par larrière a nimporte quel étage de la banque.
L'escalier et le monte charge de Chantier avait été édifié dans l'arrière cour du bloc et était de la même couleur que les murs autours si bien que des personnes venu depuis les airs ne l'aurait pas remarqué et comme il n'est pas sur les plans il offrait une opportunité, mais pouvais aussi être un piège tant il parraisait trop beau pour être vrai.
Faisant son rapport d'observation à Silent Bradley lui mentionna l'escalier et le monte charge ascenseur de chantier dans l'arrière cour et un chemin d'accès a cette dernière par les ruelles (non visible depuis la façade de la banque) le soucis c'est qu'une équipe du swat qui choisirait cette voie mettrait plusieurs minutes qui pourrait s'avérer plus que précieuse pour les personnes à l'intérieur de la banque.
Suite a son rapport d'info, Silent décida que Bradley sécuriserait dans un premier temps le hall avec l'équipe Alpha.
...
Un peut plus tard Dans la salle des coffres Bradley et l'équipe alpha firent leur entrée tenant en joue de leur arme le bandit avec les sac d'argent costumé comme un épouventail. Montoya était présente face à l'épouventail bandit. l'épouventail faisait ses revendications et menacait de represaille si l'on attentait à son hélico ou si on l'entravait.
De ce que Bradley pouvait voir c'était un genre de gaz ou produit chimique qui avait tué les gardiens morts étendu sur le sol du hall, et d'arprès leur expression facial il devait avoir eut une forte émotion de frayeur au moment de mourir ou une grande souffrance physique.
Bradley dans le plus grand calme et silence braqua son Gauss C14 sur l'avant bras de l'épouvantails qui tenait une télécommande au moindre début de geste de sa part et avec el feu vert il ferait exploser l'avant bras de l'épouvantail si il le fallait pour l'empêcher d'user de sa télécommande. Normalement contre le gaz et les produits chimique Bradley était protégé intégralement par son armure hermétique.
" Chef l'ennemi a une télécommande de type déclenchement de bombe dans sa main, je le tient en joue prêt a faire feu et lui exploser l'avant bras tenant la télécommande si vous le juger nécessaire et m'en donnez le feu vert Chef Silent"
communiqua Bradley à voix basse pour que seul Silent l'entende, par le comlink de son casque à Silent sur le canal sécurisé du Swat.
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Dim 7 Jan 2024 - 20:54
Maître des peurs
Feat Scarecrow / GCPD
Quand il évoque sa famille et surtout le commerce que tenait son père à Gotham, l'expression de Renee change légèrement, il essayait de la déstabilisé. Mais Renee reprend ses esprits et replace sa main sur son arme.
" - Pas assez longtemps à mon goût si tu veux savoir. Concernant ma famille, je te déconseille de les approcher si tu ne veux pas finir criblé de plomb. Je n'hésiterai pas une seule seconde.
Évidement qu'il s'était renseigné sur la famille de tous les policiers de Gotham, idéale quand on veut faire pression pour avoir toutes les cartes en main. Mais Montoya n'est pas le genre de flic à se laisser intimidé. Il sort une mystérieuse télécommande qui agite sous le nez de Montoya. Son sourire narquois qui apparaît sur son masque, énerve encore plus l'inspecteur, mais elle se force à garder son sang-froid. Il menace de déclencher les charges qu'il a placé autour de la banque, mais Montoya ignore si c'est la vérité ou bien du bluff, mais elle ne peut pas risquer la vie des civils et de ses collègues. Son gaz peut être mortel et vous faire vivre vos pires cauchemars dans une longue agonie.
En quelques secondes, la banque est encerclée par les équipes de police, Montoya regrette déjà d'être venue ici.
- Tu en demandes beaucoup Crane, malheureusement, je ne commande pas ses forces à l'extérieur, mais si tu décides de reposer cet argent que tu as pris et de quitter la banque sans faire d'histoires, je pense pouvoir t'aider.
Ce que Montoya redouter le plus arriva rapidement sans qu'elle puisse faire quoi que ce soit, une équipe du S.W.A.T débarque dans le Hall pointant leur arme sur Crane, mais entre eux et lui se trouver Montoya. Elle souffle fortement, elle sais que ces monsieur muscle écoute rarement des flics de Gotham et encore moins une femme. Montoya ne se retourne pas pour ne pas donner une occasion à l'épouvantail de tenter une attaque. Elle se contente de parler plus fort pour que les hommes derrière elle entendent.
- Les mecs, je vous conseille de rester où vous êtes et de ne rien tenter. J'aimerais juste parler à votre chef pour éviter un bain de sang inutile.
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Dim 7 Jan 2024 - 22:18
Voilà tu es entré, Shépard a été très efficace en cellule effraction, rien ne semble lui résister. Il est d'ailleurs en tête de colonne au final et vient d'entrer en contact avec la cible. Tu es encore un peu en retrait étant entre Alpha et Bravo. Le compte rendu de Shépard identifie clairement Crane et le connaissant la télécommande qu'il tient va déclencher une bombe contenant sa toxine de peur. Les membres du SWAT ont un masque à gaz mais si tu donnes l'ordre de s'en équiper l'épouvantail risque de déclencher son détonateur. De plus ton ouïe développée t'indique la présence de Montoya qui n'a pas de masque. La situation est tendue, tu dois réagir vite.
"Attention, braqueur identifié et localisé. Il s'agit de l'épouvantail dans la salle du coffre et il tient un détonateur laissant penser qu'une bombe avec sa toxine est présente. Tous ceux qui sont hors champ de vision de Crane equipez vous en masque à gaz. Bravo, vous montez au dernier étage et restez en standby pour intervention sur l'hélicoptère à mon top."
Tu préfères ne pas intervenir sur l'hélicoptère au cas où il y aurait une liaison radio avec Crane.
"Shépard, tu le gardes en joue, Alpha vous décrochez et me sécurisez le bâtiment pour voir si l'épouvantail a des renforts. Je vais aller voir cet homme de paille de mes propres yeux."
Tes hommes reviennent vers toi s'équipent de leur masque et se dispersent pour fouiller les lieux. Tu t'avances vers la salle des coffres en t'annonçant.
"Crane je suis le chef du SWAT, je vais vous rejoindre pour tenter de trouver une solution."
Tes armes sont rengainées, tu montres tes mains pour qu'il voit que tu veux négocier. Pour autant il ne te faudrait que quelques diziemes de secondes pour lui mettre une balle. Tu te places entre Montoya et Shépard.
"Crane, restons calme, je peux savoir quelles sont vos revendications?"
Tu te tournes vers Montoya et lui dis d'un ton calme.
"Je crois que vous vouliez me parler. Vous préférez peut être qu'on aille discuter à l'extérieur ?"
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Lun 8 Jan 2024 - 18:51
Maitre des Peurs
Beware the Scarecrow
L'ambiance dans cette banque devenait de plus en plus éclectique. Voila que viennent enfin les grands renforts, la procession d'hommes armés, et bien entendu, l'armée d'experts en négociations pour savoir comment se tirer de ce genre de guêpier. Aaah que voila un dénouement des plus prévisibles et des plus espérés. Alors que je profitais de ce petit mélange de peur inséré dans le cœur de tous ceux qui entraient dans la banque, je ne pouvais m'empêcher de penser qu'ils étaient tous en train d'avoir peur. Nul n'oublierait qui était l'épouvantail, le terrible criminel qui vaut bien plus en terme de terreur que ce pathétique bouffon qu'était le Joker. Oublié aussi, les fielleux Pingouin et autre Double-Face aussi retors que prévisibles. Non, la peur rouge s'étend, et elle prendra son quota d'âmes avec pertes et fracas. D'un sourire, je repensais à cette comptine, non, cette nouvelle d'Edgar Allan Poe, qui avait su caractériser à justesse, les mots de la peur. De la victoire de la peur, de la peur de la mort, et de la mort certaine, de tous ceux qui espéraient échapper au châtiment divin. Ma main, toujours sur le détonateur, j'attendais le bon moment. Et c'était d'une drôle d'ironie que mon gaz revêtait la couleur du rouge alors qu'il se diffuserait dans toute la banque. Mais mon doigt est si près du bouton, si près ...
"La Mort Rouge avait pendant longtemps dépeuplé la contrée. Jamais peste ne fut si fatale, si horrible. Ils se sentirent suffoqués par une terreur sans nom, en voyant que sous le linceul et le masque cadavéreux, qu'ils avaient empoigné avec une si violente énergie, ne logeait aucune forme humaine."
Quelle délectable ironie, n'est-ce pas ? Voila que les choses allaient devenir de plus en plus perturbantes. D'abord la terreur, la peur, et enfin l'agonie. Le tout dans une seule et misérable petite soirée qui s'annonçait charmante. Dommage que nous n'étions pas le soir d'Halloween ... Cette soirée avait un petit côté poétique. Ayant été un très grand professeur, la passion des livres était ce qui m'avait été le plus utile dans ma vie. Être un érudit, c'était gagner les esprits, conquérir les âmes et montrer la puissance de l'intellect sur l'imbécilité crasse et physique. Citer du Poe, pendant un braquage de banque, il fallait le faire, et c'était presque assez excentrique pour ne pas l'être. Mais nous étions à Gotham City, une ville où règne les chauve-souris ... Ou les corbeaux ... Un magnifique contraste. Eux, les parvenus, les nobles, les gardes, et moi, la mort rouge, ayant depuis longtemps abandonné mon humanité pour la science et le pouvoir. Mais que se passerait-il, si un jour, une monstrueuse épidémie se répandait dans tout Gotham City ? Comment les plans de ces parvenus fonctionneraient ? Qu'importe. Il n'était pas difficile de savoir que les plus riches seraient les premiers à s'en sortir, laissant la plèbe qu'ils détestent tant, mourir les uns après les autres. Ma main se tenait si prête à appuyer sur le bouton, l'idée en serait des plus alléchantes, mais pourquoi faire durer le suspense ? Justement, pour mieux savourer la peur. Mieux savourer leurs terreurs qui n'attendaient que d'être libérées.
"Alors, un fabuleux corbeau, digne des siècles de légendes, entra, majestueux et beau, ailes ouvertes toutes grandes. Il se posa, calme, hardi, et le port superbe et raidi, tel qu'un lord ou qu'une lady. Cet oiseau, drapé de mystère, perché comme sur un gibet, impassiblement surplombait ..."
Tel le corbeau, je surplombais ces êtres empreints de leurs propres terreurs, de leurs propres peurs. Ils allaient vers leurs morts, ils la frôlaient avec cette même envie de vivre. Et pourtant, ils réclamaient la mort, la pénible mort qui les dévorerait jusqu'au dernier souffle de vie. Ils étaient si faibles, auréolés de leurs armes toutes puissantes, et c'était ça, l'extase. La jouissance ultime : Pouvoir menacer des gens dangereux au point de les faire presque tomber dans l'abîme. C'était délectable, chaque seconde de terreur que j’infligeais à tous ces imbéciles m'offrait une saveur indéfinissable, mais avec un petit goût de reviens-y. Inspirant l'air du temps, je n'écoutais pas les paroles de ce chef du SWAT qui tentait de m'amadouer, d'essayer de me faire croire qu'il peut comprendre mon état d'esprit, non. Mais à la place, je vais leur faire un beau cadeau. Un très beau don. Et je suis sûr qu'ils allaient en profiter, tous. C'était même certain. C'est à ce moment bien précis, que je me mis à baisser les bras, et à poser la télécommande sur le sol, toujours en faisant attention à mes gestes, tous aussi calmes, les uns que les autres. Un sourire sur mon visage, ils avaient la peur aux yeux. Mais que faisait Crane ? Que faisait l'épouvantail ? Qu'osait faire le maitre de la peur ? Quel jeu était-il en train de tisser dans son sillage ? Oh qu'il était jouissif de s'imaginer être dans leurs petits esprits si étriqués, si perdus dans un monde qui était anormal dans sa propre substance. Je posais la télécommande à terre, tout en prenant le soin de ne pas faire de gestes qui pourraient me permettre de finir avec des balles dans le corps, ce qui pourrait être assez inconvenant. Relevant les mains en l'air, bien en évidence, toujours un sourire dissimulé derrière mon masque, je m'avançais vers Montoya.
"Je me rends à vous."
Le jeu ne faisait que commencer. Tout cela faisait partie d'un jeu, d'un petit jeu amusant qui allait éprouver nos amis du GCPD. Et pour tout dire, la partie allait s'annoncer terrifiante. J'attendais de voir leurs réactions, cette petite réaction qui allait leur permettre de souffler un grand coup, avant que la mauvaise nouvelle n'arrive. D'ici quelques instants, on signalerait les disparitions de trois personnes, le père de Renée Montoya, et deux autres proches des flics présents ce soir. La mauvaise nouvelle allait faire très mal, et bien entendu, l'épouvantail savait. Il savait tout. Après tout, n'est-il pas le messager des vents qui annonce les bonnes nouvelles aux fermiers ? Ou bien le sombre protecteur et perchoir de corbeaux par excellence ? Mauvaise augure, malédiction, et folklore local, nous allions avoir peur ce soir. La peur était bonne maitresse, il suffisait juste de ne pas hurler. Ah ... Un agent qui entrait, et visiblement, il annonce la mauvaise nouvelle aux membres du GCPD. Le jeu allait commencer. D'un seul mot, mes lèvres s'articulent pour faire un modeste ...
"Bouh."
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Mer 10 Jan 2024 - 21:53
Maître des peurs
Feat Scarecrow / GCPD
Voilà que le chef du SWAT fait son entrée et s'avance vers Montoya et Crane. Cette dernière ne connaît absolument pas cet homme qui vient de faire son apparition, il faut dire que les forces de police de Gotham ont bien changé, mais surtout évolué avec le nombre de criminels qui augmente de jour en jour. Montoya n'a pas bougé d'un poil, mais se perd un regard vers l'homme en question, car ce dernier vient lui parler. Elle répond d'un ton froid et sec, rien de personnel envers lui. Mais la situation est très tendue.
" - Non, nous sommes très bien là. Je sais que vous avez du mal avec le GCPD, mais je connais ce genre de psychopathe qu'est Crane et ramener le SWAT n'est pas une très bonne idée, alors je vous demande juste de reculer derrière moi.
Montoya a toujours eu du mal à faire équipe et encore moins avec des étrangers. Elle se sent comme prioritaire sur cette affaire. Après tout, depuis qu'elle est au GCPD des gars comme l'Épouvantail font partie de sa routine. Sans perdre de vue Crane, elle remarque que son doigt s'approche un peu plus du bouton de la télécommande et elle le fait savoir à son adversaire qu'elle n'apprécie pas ce geste.
" - Crane ne profite pas de la situation pour appuyer sur ce foutu bouton, n'oublie pas qu'une balle est plus rapide que ton gaz.
Cette menace ne va sûrement pas faire peur à Crane, mais Montoya devait lui faire savoir qu'elle n'avait pas peur de son gaz ni de lui. Crane prend soudain la parole et récite un monologue à la fois terrifiant et fascinant, il sait manier l'art des mots pour créer quelque chose qui vous donne la sensation de malaise. Et puis soudain Crane baisse les bras et dépose la télécommande sur le sol. Montoya à du mal à comprendre la situation qui se déroule sous ses yeux. Il y a même pas cinq minutes il voulait déclencher ses bombes et l'instant d'après il décide de tout stopper.
" - Tenez le en joue s'il tente quoi que ce soit abattez le.
Montoya range son arme et s'empare des menottes, elle demande à Crane de se retourner pour qu'elle puisse le lui mettre. Une fois que cela est fait, elle demande à un agent de le mettre dans le fourgon. Mais au même moment, un agent apparaît dans le hall pour parler à certains agents qui s'empressent de partir. Puis le téléphone de Montoya se met à sonner. Elle s'écarte de Crane et de l'agent, au bout du fil, sa mère en pleurs indique que le père de Renée vient d'être enlevé par des hommes portant des masques d'épouvantail.
Montoya à soudain les oreilles qui sifflent, mais elle entend le Bouh de Crane il se moque clairement d'elle. Elle raccroche et s'approche de Crane. Elle lui envoie un crochet du droit et l'attrape par le col. La colère ce lit sur son visage.
" - Qu'est-ce que tu as fait Crane? Où est mon père ? Réponds avant que je ne te tue.
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Jeu 11 Jan 2024 - 14:16
Bon apparemment Montoya n'apprécie pas ton attitude. Elle ne semble pas avoir compris que tu cherchais à détendre l'atmosphère et surtout prendre la température avec Crane. Pour autant il est vrai que ce n'était pas très adapté à la situation mais tu es comme ça et on ne se refait pas comme on dit. De toute façon elle ne semble pas apprécier le SWAT. Encore quelqu'un qui imagine que ton unité est composé uniquement de muscles sans cerveau qui ne font que tirer dans le tas sans réfléchir.
"Restons calme inspecteur et gardez vos préjugés pour plus tard. Il est hors de question d'exécuter des ordres provenant d'un criminel. Le SWAT ne bougera pas d'ici, tu as entendu Crane ?"
Tu es plutôt direct et sec dans ta réponse mais nous ne sommes pas là pour polémiquer. Shépard attend tes ordres, il ne bouge pas d'un centimètre, son arme pointe toujours notre braqueur qui soudainement se met à baisser doucement les bras. Il pose la télécommande au sol et s'avance vers nous. Mais que fait t'il?
"Crane ne faites plus un geste. Shépard, s'il fait un pas de plus...."
Tu n'as pas le temps de finir ta phrase que l'épouvantail déclare se rendre. Incompréhensible ce type est vraiment dingue mais faire tout ça pour ça ce n'est pas normal, il doit avoir autre chose de prévu. Tes quelques secondes de réflexion ont laisser le temps à Montoya de le coffrer.
« Moore, Richards prenez en compte Crane et montez avec lui dans le fourgon de transfert. On vous suit, on va l'escorter jusqu'à Arkham. »
Tu te diriges vers la sortie en suivant l'escorte lorsque deux agents du GCPD apeurés partent en courant. Montoya qui était au téléphone s'avance d'un pas décidé vers Crane et lui envoi un crochet phénoménal. Mais c'est quoi encore ce bordel !!! Et pourquoi elle lui parle de son père. Tu t'interposes et demandes à tes hommes de poursuivre vers le fourgon avant de prendre Montoya à part.
« On se calme !!! Je ne suis pas contre un petit round mais pas avec quelqu'un attaché même si c'est un criminel. Que vous arrive t'il ? Expliquez moi !!! »
Dernière édition par Thomas Silent / NightLaw le Jeu 11 Jan 2024 - 21:33, édité 1 fois
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Jeu 11 Jan 2024 - 21:12
Bradley tenait toujours en joue au bout de son GaussC14 le terroriste épouvantail, la tension montatait entre la policière Montaoya et lui. Montoya semblait plus que nerveuse par la présence de Silent et lui. Mais pour autant Bradley ne pouvais pas se retirer, pas tant que le teroriste n'était pas maitrisé.
Et au final de toutes les manières ou l'esprit militaire de Bradley pouvait pensser que la situation allait évoluer, c'est la plus improbable mais aussi l'une des plus inquiétante quand on y pense. Silent demanda à Montoya une possibilité de parler de façon apaisé ailleurs. Mais Montoya refusa en disant que ici serait bien. Pendant ce temps le teroriste, faisait des citations poétiques.
le quart d'heure poésie terminé , le teroriste ..... se rendit en baissant lentement les bras et posant la télécommande au sol et enfin annonçant de vive voix qu'il se rendait. L'instinct militaire de Bradley lui disait que quelque chose n'allait pas et que c'était BEAUCOUP TROP facile aussi il communiqua à Silent sur son comlink sur la fréquence radio du Swat tout en gardant son armure et casque hermétiquement close si bien que les personnes autour de lui à la seule exception de Silent par son oreillette radio ne pouvait pas l'entendre.
"Chef sa sent l'embrouille, le terroriste prépare surement quelque chose et s'attendait a ce qu'on l'arête ou le voulait. je suggère de l'emmener dans un endroit sécurisé INABITUEL et de ne PAS suivre la procédure classique affin de le déstabiliser et le rendre plus facilement maitrisable et surtout échapper a la suite de son plan éventuel."
en parallèle de cela Braldey ne laissait rien paraitre et jouait son rôle de soldat commando spécial membre du SWAT, tenant toujours ne joue le terroriste épouvantail, pendant que Montoya lui passait les menottes. Bradley marchait de son pas lourd métallique Gaus C14 prêt à faire feu.
alors qu'il se dirigeait vers la sortie deux policiers ont commencer a pannique et Montoay suite a coup de fil sur son portable s'énerva et cola uen bonne droite au teroriste ce que n'approuva pas Silent et le lui fit savoir de vive voix. Sur les terrain d'opération militaire en pareille situation Bradley et els commandos aurait sorti le tazer et calmé tout le monde en leur liant les mains avec des serres joints et les faisant s'asseoir a plusieurs metres de distance els uns des autres mais dan sle cadre des oppérations civile Bradley se contenta de relever le nez de son fusil vers la tête de l'épouvantail prêt a tirer si on lui en donnait l'ordre et montrant par là à Montoya que la situation était sous contrôle et qu'elle pouvait se calmer.
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Dim 14 Jan 2024 - 16:14
Maitre des Peurs
Beware the Scarecrow
"L'épouvantail ! L'épouvantail ! L'épouvantail !"
J'éclatais d'un petit rire assez guttural, histoire de montrer que j'étais bien derrière tout ça. Est-ce de la folie pure et dure ? Est-ce un coup monté de manière à semer le plus de terreur afin de déstabiliser les nouvelles bases de la ville ? Après tout, une ville qui se reconstruit est en proie à la peur de son propre futur, et c'était ça qui me maintenant dans l'optique de la briser pour de bon. Pourquoi risquer de se faire arrêter, alors que l'on peut trouver un jeu auquel s'amuser. Voila la triste définition du pile ou face : Tout gagner, et tout perdre, comme ça, d'un coup, sans que rien n'empêche la marche de la peur. La peur de l'épouvantail. Une peur très commune parmi les gens. La peur des objets inanimés, qui prennent vie par la suite. Ma force est votre peur. Votre peur est mienne, et tant que vous vivrez dans la peur, vous aurez toujours ces faiblesses qui hantent vos rêves, vos désirs, vos doutes. Voila qui revêtait un aspect des plus délicieux. La peur anime notre vie, elle nous guide toujours, et ce soir, ces pauvres agents du SWAT et du GCPD allaient péniblement connaitre les aléas de la peur. Lorsque la peur vient, les corbeaux se préparent à déchiqueter votre âme. Je déteste les oiseaux, surtout les corbeaux. Ils me rappellent ce douloureux souvenir d'enfance à en faire pâlir les contes ignobles des frères Grimm, mon conte raconterait l'histoire d'un petit garçon dont le terrifiant et dépourvu d'intelligence géniteur lui fit subir les pires traumatismes, dont le dernier fut d'accrocher sa progéniture au support d'un des épouvantails du champ de blé voisin durant deux jours et une nuit. Ces maudits oiseaux s'attaquant à cet enfant qui avait déjà la peau sur les os afin de lui dérober le peu d'épaisseur entre la peau et les os qui lui restait. Aucun gosse ne dormirait après que l'on lui ai raconté cette histoire ... Un sourire derrière mon masque, alors que j'avais les menottes aux mains. On allait me conduire dans un camion sécurisé. Direction Arkham Island. Quoi de plus normal ?
"Arkham ! Arkham ! Arkham ! Nous crions pour Arkham ! Nous nous languissons d'Arkham !"
Gotham se perdait dans sa souffrance et son ignominie. Arkham se faisait encore plus sinistre, beaucoup de psychiatres et infirmiers craquaient à cause de l'ambiance qui y rôdait. Une odeur de folie et de mort. C'est alors que l'agent Montoya se montre des plus incisives, se demandant ce qui est arrivé à son géniteur. Je vois ses dents grincer, je soupire, je reprends mon faciès sérieux et commence le petit jeu question-réponse, mon attention se pause sur ses gesticulations avec ses mains, boh, elle doit sûrement être en train de stresser même si elle ne le dévoile pas sur son visage. Quant à l'autre protecteur, ce chef du SWAT, il semble parfaitement cacher son incompétence derrière ce faciès patibulaire et sûr de lui. Ils sont tous nuls. Tous ratés, et il ne serait pas difficile de jouer avec eux. De s'amuser avec eux. De les briser mentalement.
"Mais officier Montoya ... J'étais ici ... Comment pourrais-je être à deux endroits en même temps ?"
Toujours ce sourire dans cette voix que je leur répondais. Ils devaient être en train de se mordre les dents. C'était toujours sur le petit Jonathan que les gros durs passaient leur nervosité, toujours lui encore sur qui le père se défoulait quand il était alcoolisé, encore lui que l'on traitait d'épouvantail dans les couloirs du collège et même de l'université à cause de ses jambes trop fines. Depuis, j'avais appris à me montrer mauvais et arrogant face aux brimades des autres, peut-être est-ce d'ailleurs pour cela que ce scientifique et psychiatre des Peurs au fond de moi-même se cache sous un costume affreux d'épouvantail. Je reprends la parole avec un ton mauvais et surtout moqueur. Si je m'attendais à ça ? Peut-être un peu, ma méchanceté gratuite était vraiment arrivée à un point à la limite du supportable. Ce n'était pas de la méchanceté, non. De la cruauté, pure et dure. Comme on l'aime. Rien de tel pour affirmer son caractère, surtout quand on a eu une enfance assez difficile.
"Pourquoi un tel amour pour votre père, officier Montoya ? Est-ce que ... Par le plus grand des hasards ... Vous auriez ... Peur de le perdre ?"
Ma voix était grinçante comme une porte de maison hantée et si grave qu'elle s'apparentait à un tonnerre. J'admirais toute cette souffrance dans ces corps robustes. Ils ne montraient rien, mais ils étaient tétanisés de ce qui pourrait arriver. Qui allait flancher ? Qui allait me supplier à genou ? Qui tuerait en mon nom pour sauver son proche ? Les questions étaient délicieuses, dans mon esprit. Moi aussi j'avais subi cela durant mon enfance, mais maintenant il faut savoir devenir le bourreau. Trop longtemps le pauvre petit Jonathan dont les jambes étaient aussi fine que des baguettes de pain, était harcelé à cause de son physique androgyne et squelettique, aujourd'hui j'en avais fait un atout, pour effrayer. On dit que dans les cas de psychopathie, schizophrénie et autres maladies d'ordre mental, la source vient de l'enfance, c'est vrai. Enfin, cela n’incluait pas que je pensais être un psychopathe, loin de là ! Mais grâce à l'observation de ma propre vie et celle de ces membres du GCPD, je pouvais affirmer sans hésitation particulière que les passions viendraient de l'enfance elles aussi ? Ou peut-être que traumatisme et passion sont intimement liés ... Et est-ce que le traumatisme du deuil imminent pourrait changer ces gens ? Bonne question. En attendant, on me conduisait vers un fourgon, dont la destination était probablement Arkham. Nul doute que je ne ferais pas de vieux os, et que je trouverais le moyen de m'enfuir. Comme toujours. Je me devais de les faire souffrir pour qu'ils n'oublient pas à qui ils avaient affaire et que lorsqu'ils me croiseront dans les sinistres couloirs d'Arkham ou dans les rues, ils se rappelleront qui est l'Épouvantail.
"Tic tac. Tic Tac. Est-ce le bruit de la mort qui sonne ?"
Un petit rire ignoble résonna entre les murs de cette banque, je me demandais pourquoi tant d'envie à vouloir martyriser ainsi ces gens, devenais-je un dangereux psychopathe impossible à repentir ? Ou étais-je trop amoureux des peurs qui avaient tant rythmées ma vie sinistre ? Impossible qu'un trouble mental ne m'atteigne, j'avais la tête sur les épaules et bien plus que n'importe qui. Alors que je monte dans le camion sécurisé, j'avais encore deux trois choses en réserve pour eux. Ils ne connaissent pas la cruauté dont je peux réellement faire preuve. Ils ne savaient rien. Dodelinant de la tête, alors que l'on s'apprête à m'enfermer, la soirée ne faisait que commencer, et nul doute que de nombreuses conséquences imprévues seraient à prévoir. Chantonnant, je reprenais ce poème de Poe. Peur, vous aurez peur.
"Perché, noir, au-dessus du seuil. Sur le buste empreint de sagesse, il veille, lugubre, et son œil, surplombant l'œil de la déesse, semble être celui d'un démon."
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Lun 15 Jan 2024 - 17:48
Maître des peurs
Feat Scarecrow / GCPD
Montoya avait clairement dépassé les limites en frappant Crane au visage. Cela pourrait très bien lui coûter un blâme ou pire elle pourrait perdre sa plaque. Elle savait qu'elle allait devoir en discuter avec Gordon, mais la situation et le fait que ça soit L'épouvantail en face d'elle pourrait alléger sa peine.
Alors que le chef du SWAT tente de séparer l'inspectrice Montoya de Crane. Ce dernier continue de se moquer ouvertement d'elle, devant des hommes surpris par la scène qui se déroule devant eux. Montoya crie de plus belle sur L'épouvantail.
- Je sais que c'est toi qui à tout organisé, on vient de m'appeler. Des sales types avec des masques d'épouvantail sont venus dans son magasin ils y a 20 minutes...
Tandis que Crane se contente de rire alors qu'il est emmené dans le fourgon en direction d'Arkham. Le chef du SWAT retient Montoya au sein de la banque. Montoya est hors d'elle et pointe du doigt l'homme.
" - Vous, lâchez-moi, arrêter de protéger des enflures comme lui. Vous ne connaissez pas Gotham et ses croque-mitaines comme je les connais. Il vient de kidnapper mon père et sûrement deux autres personnes vu le comportement des autres policiers. Alors maintenant, soit vous êtes avec moi et me laisser l'interroger à Arkham pour que je puisse sauver mon père et les deux autres personnes. Soit, il va falloir m'arrêter de force et je vous garantis que je vais être votre pire cauchemar.
Montoya allait rajouter que s'il n'était pas content de ses agissements rien ne l'empêcher d'appeler son chef en la personne de Jim Gordon. Mais au lieu de ça, son téléphone sonne à nouveau, elle décroche. Au bout du fil, le central confirme qu'une enquête est ouverte sur l'enlèvement de son père et que des collègues sont sur le coup, mais qu'elle ne doit pas intervenir puisqu'elle est concernée par l'affaire. Mais Montoya n'est pas du genre à suivre les directives qu'on lui impose surtout quand il s'agit d'un des membres de sa famille. Elle raccroche et adresse un autre mot à l'homme qui se tient devant elle.
" - Vous venez, on doit l'escorter à Gotham, si ça peut vous rassurer et m'empêcher de tuer ce salopard, vous pouvez venir avec moi l'interroger. D'habitude, j'opère en solo, mais je sens que vous n'allez pas me laisser tranquille.
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Mer 17 Jan 2024 - 0:00
Une fois en tête à tête avec Montoya voilà qu'elle te fait tout un cirque. Tu comprends à 100% son état et son comportement suite au kidnapping de son père mais comment peut elle penser que tu protèges Crane!!!
"Réveillez vous Montoya, je ne protège personne à part vous et votre carrière. Vos préjugés commencent sérieusement à me casser les couilles !!! Vous ne me connaissez pas et pourtant vous me mettez dans vos a priori sur les unités d'intervention."
Votre échange est interrompu car Montoya reçoit un appel. Ton ouïe sur développée te permet d'entendre que la hiérarchie demande à ce qu'elle n'intervienne pas sur les kidnappings. Pour autant après avoir raccroché elle te propose de coopérer avec elle pour escorter et interroger la botte de paille. Rien de sincère dans cette invitation, elle imagine juste gagner du temps et te prend pour un imbécile. Comme si tu ne connaissais pas le protocole d'exclusion du concerné lorsque ses proches sont menacés. Tu la laisses parler et actives l'interrupteur de ta radio pour contacter ton équipe.
"Richards, Moore vous me confirmez que Crane est sécurisé dans le fourgon ?"
Tes hommes te répondent par la positive. Parfait tu vas pouvoir faire ce que tu juges juste et nécessaire. Tu te diriges vers la sortie et le fourgon.
"Montoya venez avec moi."
Une fois devant le véhicule tu demandes à tes hommes de se réunir. Le GCPD fait des investigations dans la banque ou a quitté les lieux. Plus personne n'est avec vous ou à proximité.
"Les gars la priorité est de retrouver les membres des familles de nos camarades retenus en otage. Je veux trois volontaires!!! Les autres vous rentrez au QG pour vous rendre disponible, on garde l'effectif minimum sur place. Pour ceux qui restent, vous attendez autour du camion, personne n'approche tant que Montoya et moi ne sont pas ressortis. Si on vous demande c'est un ordre direct de ma part point final."
Tu te tournes vers Montoya.
"On a pas beaucoup de temps pour soutirer des informations de Crane. C'est vous le cerveau de nous deux si j'ai bien compris donc à vous de jouer. Et je préfère rappeler qu'il doit rester en vie, c'est bien compris!!!"
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Mer 17 Jan 2024 - 22:52
dire que les choses dérapait était un quasi euphémisme à ce stade ou le terroriste épouvantail, mettait en œuvre son sinistre plan, de menace de proche de certains policiers dont Montoya. Cette dernière justement du fait que son père était impacté par les actions de l'épouvantail, était en train de craquer et pire elle ne semblait pas avoir confiance dans les membres du SWAT, qui était justement pour apaiser et arranger les choses.
Montoya voulait continuer de s'en prendre à l'épouvantail, tout en repoussant Silent, alors que les procédures et la logique était claire sur se point aucun soldat ou policier impliqué personnellement dans une affaire ne pouvais travailler dessus. Shepard mêm si il saait que cela ne changerait probablement pas la determinatuion de Montoya dit de son coté à cette dernière avec tout la diplomatie et respect dont il était capable tout en étant très calme.
" Madame Montoya je comprend votre peine et votre colère mais vous impliquer dans l'affaire ne serait pas la meilleure des stratégie croyez en mon expérience de l'armé, laisser nous gérer cela comme il faut s'il vous plait, on vous tiendra informé en temps et en heure au fur et à mesure."
Un peut plus tard Silent réparti les membre de son équipe, les uns irait au gcpd attendre les instruction pendant que des policiers enquêterait sur les proches disparu. Cependant Silent demanda trois volontaires pour aller garder le fourgon ou serait enfermé le terroriste en attendant son transfert. Bradley se porta volontaire et pour souligner son geste s'avança d'un pas.
Bradley et deux autres membres du SWAT, prirent possition autour du fourgon cellulaire ne laissant passer ou s'approcher personne, conformément aux instruction de Silent. Bradley pour sa part avec son Gauss C14 chargé à balle réelles (mais régler sur puissance minimale pour ne pas être fatal non plus ).
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Jeu 18 Jan 2024 - 18:54
Maitre des Peurs
Beware the Scarecrow
"Le professeur Crane n'est pas disponible. Mais je peux vous proposer un rendez-vous."
Dis-je, fièrement, alors que les gardes m'escortent dans le camion blindé. Montoya, Montoya, Montoya, comme il est aisé de vous briser le mental. Comme il serait amusant de voir votre père succomber à ses pires peurs. Quelle ne serait pas ma joie de voir votre père succomber, et voir votre joli minois succomber aux horreurs les plus indescriptibles. Et ensuite ? Telle était la question aurais-je été tenté de dire. Finalement, ce n'était peut-être pas une si bonne idée de se lancer dans une histoire d'amour, j'étais sot pensais-je. Cette femme méritait mieux que moi et je le savais, elle aurait pu me laisser croire qu'elle ne ressentait rien pour moi et elle n'aurait été qu'une histoire d'un soir. Mais tout homme est faible face à l'amour d'une femme, j'étais vaincu. Abattu, je me redressais nerveusement, conscient que j'étais éperdument fou d'elle mais que je ne pourrais sûrement jamais la rendre aussi heureuse qu'elle l'espérait. Elle avait du tempérament, oui. Elle était belle. Peut-être, mais tout cela n'était qu'une broutille. Est-ce les effluves d'adrénaline qui me poussent à aimer ce que je voyais ? Une femme si belle, en colère par rapport à mes actes ? J'avais envie de faire le mal, pour l'attirer, comme une mouche est attirée par une délicieuse charogne. En un sens, elle m'attirait, mais pour de biens sombres raisons. Peut-être devrais-je lui montrer mon amour en tuant son père ? Quelle délicieuse idée me venait en tête. Mais pour le moment, je me devais de faire comme convenu, comme je l'avais prévu ... Comme je le voyais. Les imbéciles. C'est exactement ce que veux l'épouvantail. De la peur, de la peur ! Toujours de la peur ! Uniquement de la peur ! Pourquoi ces crétins pensent-ils m'avoir ? Telle la peur, la peur est impossible à saisir, à enfermer. On peut la repousser, mais la peur revient toujours, s'infiltrant dans les moindres recoins, prête à vous saisir à la gorge, et à vous dévorer tout cru. J'attendais, entre deux gardes. Deux crétins qui sont armés de fusils. Comme si la peur de leurs armes pouvait m'empêcher d'agir. Je ne disais rien, alors que le véhicule commence à rouler. Nous sentons tous les vrombissements, les vibrations, les roulements et les arrêts. Bientôt la nationale qui nous ramènera sur la route de l'asile d'Arkham, mais nous n'y arriverions pas. Du moins, certains ne finiront pas vivants cette course. Un maigre sourire s'étire sur mes lèvres, alors que ces abrutis se regardent l'un l'autre, comme des chiens de faïences. L'ambiance était pour le moins, électrique dans cette petite cage de métal. Inspirant légèrement, je chantonnais.
"Une poule sur un mur, qui picorait du ..."
Premier garde : "Boucle-là, Crane."
Second garde : "On on va te la fermer ..."
L'ambiance ne les amuse pas ? Oh, et pourtant, je ne suis pas aussi meilleur que le Joker pour exprimer ce que je ressens au fond de moi. Mais qu'importe. Alors que je lève ma main, vers mon chapeau de paille. Je retire une simple touffe de foin, et un léger gaz audible, légèrement, se fait entendre dans la petite cage qui roulait, qui roulait, qui roulait vers Arkham. Alors que j'avais retiré ce morceau de foin, ma voix reprit, doucement. Je cligne nerveusement des yeux et ravale ma salive.
"Je connais un type, qui avait un chien. Son chien lui a demandé de couper sa famille en morceaux."
Le gaz, dans une si petite pièce, avait déjà atteint les liaisons nerveuses des deux gardes, et du conducteur. Rien de tel pour provoquer une pure panique. Il ne suffisait que de quelques secondes, surtout dans une si petite surface. Le respirer, c'était déjà se condamner à mort. Quelle délicieuse vision de les voir commencer à paniquer ... D'une voix calme, tranquille, je reprends doucement.
"Wah .. Wah ... Wah ... Wah."
J'ignore ce qu'ils voient, mais je vois à leurs visages effrayés que le gaz marchait, et les voila qui se ruent l'un contre l'autre pour se protéger de mes actes. Me levant, je me permets de saisir à la gorge celui qui détient ma clef. L'homme régurgitait maladroitement en essayant tant bien que mal de se détendre, il clignait rapidement des yeux, aussi vite que son pouls que je sentais sous mes doigts crispés. Un, deux, trois ... cent trente. Ce type vivait à l'allure d'un rongeur en traque de survie. Je le relâchais avec mépris, ce que je n'avais jamais compris avec ces crétins de flics, c'était qu'ils étaient tous plus fort que moi physiquement et pourtant, je pouvais les manipuler et instaurer un empire de crainte autour de moi sans pour autant être un gros bras. J'étais un homme d'intelligence, voilà ce qui faisait ma puissance. Un simple moment de folie, et tout bascule, alors que je savoure le moment où la liberté me vient. Mais malheureusement, le conducteur lui aussi est victime de la peur, et le voila qui fonce dans un poteau sur le trottoir. Le choc est abrupt, net, et l'homme meurt sur le coup. C'est vraiment trop facile, c'est ça l'élite de la police ? D'ici quelques mois, je prévois d'intoxiquer Gotham afin de leur montrer mon monde, mon idylle, mon utopie ! Mon rêve, c'est leurs cauchemars. Et ... Grâce à mon nouveau gaz toxique ce sera chose simple, il fallait juste trouver le moyen de le répandre dans toute la ville, chose moins simple. D'un coup de pied bien placé, la porte du fourgon s'ouvre. L'accident fut fatal au conducteur, et les deux autres gardes moururent à cause de leurs peurs. Voila qui avait de quoi remonter le moral. Respirant l'air de la liberté, je ne pouvais avoir qu'un certain mépris, pour les prochains crétins qui essaieraient de m'arrêter. Qu'ils n'oublient pas que l'épouvantail a encore des otages ... Il me fallait fuir, et vite. Déjà, j'entends les voitures qui suivaient le camion approcher, et leurs phares se braquent sur moi ... Vite ! La ruelle !
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Ven 19 Jan 2024 - 18:03
Maître des peurs
Feat Scarecrow / GCPD
Montoya essaie de rester calme face à la situation, mais quand la famille est impactée cela reste difficile. Un des hommes du SWAT en rajouta une couche. Elle lui répond le plus poliment possible, même si elle n'avait qu'une envie c'est que le SWAT parte d'ici pour qu'elle puisse gérer à sa façon.
- C'est Inspecteur Montoya merci et non je ne vais pas rester dans mon bureau calmement en attendant que vous agissiez. Vous pouvez prévenir Gordon, ça m'est égal.
La suite s'enchaîne vite, Crane est escorter jusqu'au fourgon et Le chef Silent et Montoya monte dans la voiture de cette dernière pour rester à l'arrière du fourgon si jamais quelques chose devais mal se passer. Dans la voiture, un silence de mort y règne et c'est Montoya qui brise la glace.
" - Désolé, pour tout à l'heure, je n'aurais pas dû vous parler aussi froidement, c'est que ...j'ai par le passé eu quelques soucis avec des hommes du SWAT, et même du GCPD. Vous avez être une femme dans ce milieu est très difficile, on vous prend rarement au sérieux et si on se laisse marcher dessus c'est terminé.
Alors qu'ils sont en pleine discussion, le camion où se trouve Crane commence à faire des zigzags et sans qu'il puisse faire quoi que ce soit, le camion heurte de plein fouet un poteau. Montoya pile, elle voit la porte du fourgon s'ouvrir et seul Crane en sort et se précipite vers la ruelle.
" - Occupez vous de vos hommes, je vais chercher ce salopard.
Puis elle sort de la voiture et sort son arme de son holster pour prendre en chasse l'épouvantail. S'il pense qu'il pouvait échapper à l'inspecteur Montoya c'est qu'il ne la connaît pas aussi bien qu'il le pense.
" - Crane arrête toi tout de suite avant que je ne te plombe.
La mise en garde de Montoya ne change pas la situation, Crane cours toujours, elle décide alors de prendre sur elle et de se rapprocher en courant le plus vite possible puis elle s'arrête et vise à côté de Crane pour qu'il s'immobilise. Et ça marche, il s'arrête dos à elle. Elle le vise et avance vers lui.
" - Si tu bouges la prochaine, c'est dans le dos. Tu pensais vraiment pouvoir t'enfuir sans répondre de tes actes. Maintenant, que nous sommes juste nous deux. Tu vas me dire où est mon père et pourquoi l'avoir kidnappé, je ne t'ai jamais rien fait auparavant.
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Lun 22 Jan 2024 - 22:57
La discussion et les mots ne semblent pas avoir beaucoup d'effet sur l'inspecteur Montoya. Après t'avoir encore remballé quoi de mieux qu'un trajet en voiture seul avec elle pour escorter la botte de paille à Arkham.
Et pourtant après un long moment de silence, elle s'excuse envers toi pour son comportement. Fantastique elle percute enfin que tu n'es pas comme les autres. Tu n'es pas la caricature du flic macho qui traite les femmes comme des sous hommes. Tu attendais la suite lorsque le fourgon de transfèrement de Crane quitte la chaussée et s'encastre dans un pilonne.
Montoya te dis gérer Crane en fuite et t'invites à aller voir tes hommes.
"Ok mais faites attention il est capable de tout!!!"
Elle part arme en main en courant et tu files au fourgon. Tu découvres à l'intérieur un carnage. Tes trois hommes sont morts et ce n'est pas à cause de l'accident, c'est une certitude leurs visages sont marqués par la peur!!! A ce moment précis la rage monte en toi et tu ne penses même pas à la contenir. Mode sans filtre activé, ton côté Loup s'exprime à 100% et tu n'as plus qu'une idée en tête, faire de la viande hachée de Crane. Tu pars en courant à pleine vitesse, tu te guides à ton odorat et rapidement tu ne tardes pas à avoir les deux autres dans ton champ de vision.
Montoya semble avoir la situation en main mais tu ne laisseras pas une seconde chance à Crane après ce qu'il a fait. Tu ne ralentis pas, arrives dans leurs dos et percutes l'inspectrice la projetant à terre puis sautes sur l'épouvantail le plaquant violemment face sur le sol.
"Montoya réveillez vous..."
Tes deux otages évanouis suite aux chocs ne sont toujours pas réveillés. Tu les a transporté dans un bâtiment abandonné découvert à proximité. Tu as repris le contrôle de toi même ainsi que ton apparence humaine avec tes fringues en piteux état suite à ta transformation.
"Montoya ça va? Réveillez vous, on doit interroger Crane et sauver votre père et les autres avant que l'on nous retrouve."
Crane ne semble pas réveiller lui aussi où alors il joue la comédie. Tu ne sais même pas comment il est encore en vie alors avant que les autres arrivent il faut qu'on en profite. Debout la flic au bois dormant !!!
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Mar 23 Jan 2024 - 21:59
Si Silent avait demandé trois volontaire Bradley, qui c'était porté volontaire pour garder le fourgon en attendant le prisonnier. Cependant Bradley se rendit compte comme les collègue du swat qu'il ne POURAIT PAS, être avec eux dans le fourgon du fait de sa grande taille et armure lourde. ( Ce que Bradley ignorait a cet instant c'est que cela lui sauvera la vie quelque minutes plus tard).
Il fut décidé après une rapide concertation en attendant Montoya et Silent que Bradley fermerait la marche aux commande de son quad derrière la voiture de Montoya et Silent. et suivrait le convoi en mode observateur. après tout Bradley prenait de la place sur la route et conduisait un véhicule individuel ce qui n'était pas forcément l'idéal dans la situation présente.
Bref en un mot comme en cent Bradley suivait le convoi sur son quad, et les première minutes semblait augurer un trajet correct quand soudainement Bradley du coin de la visière de son casque et de ses capteurs optiques, que le fourgon tanguait anormalement avant de finir encastré dans un pilonne. Immédiatement Bradley tenta de se caler sur la fréquence radio des colègue dans le fourgon mais quand il ne répondirent pas et qu'il vit le terroriste émerger seul du fourgon, il était inutile d'essayer a ce stade de vouloir avoir des nouvelles des collègues qui était dans le fourgon il était surement mort ou K.O (au mieux, Mais Bradley de son point de vue de soldat penchait pour mort).
la suite alla très vite come sur le champs de bataille Bradley eut à peine le temps d'arrêter son quad sur le coté de la route et d'en descendre son Gauss C14 en main près a tirer que Montoya de son coté poursuivait la rage dans le regard le terroriste dans une ruelle arme dégainé. Silent lui alla voir le fourgon avant de ... changer en loup garou enragé (ce qui du coup expliquait pourquoi il se faisait donner un bulletin lunaire tout les matin dans les locaux du swat).
Loup garou ou pas Braldey ne pouvait pas rester là à ne rien faire Fusil chargé et prêt a tirer en cas de danger Bradley couru à la suite de tout ce petit monde dans la ruelle et put voir le loup garou enragé à l'œuvre renverser Montoya (sans trop de délicatesse ), puis sauter sur le terroriste ayant rendu Montoya et le terorriste KO tout les deux le loup emporta les deux personne KO, dans un batiment abandonné proche.
Le temps que Bradley arrive dans la salle ou se situait Silent avec le terroriste et Montoya inconscient Bradley vit que Silent avait reprit forme humaine en vêtement déchiré suite a sa poussé soudaine de Lycanthropie, demandait a Montoya de se réveiller Bradley pointant son fusil vers le sol tout en ayant mit la sécurité, pour éviter tout tir accidentel. Bradley toqua au mur comme il l'aurait fait sur une porte tout en disant en réponse à Silent.
" tut tut tut, votre corespondant est actuellement indisponible et vous devrez attendre sa recharge de baterie avant de procéder a une conversation beep beep beep."
Dit Braldey en entrant dans la pièce et s'approchant doucement, l'humour pouvait paraitre surprenant chez un militaire comme Bradley, mais si les champs de batailles et les debriefs sur base après opération lui avait apprit une chose c'est que l'humour était l'une des meilleures approche pour désamorcer les situation de stress et faire retomber la pression.
Une fois a deux pas de Silent et de Montoya Bradley reprit d'un ton beaucoup plus sérieux et professionnel et martial aussi.
" je vais asseoir au sol le terroriste tout en l'entravant pour le futur interrogatoire chef pendant ce temps veillez sur Mada ... l'inspecteur Montoya et ne vous en faite pas TOUT restera confidentiel "
Dit Bradley en passant aux poignets et aux chevilles des menottes au terroriste et le saucissonnant avec des chaines et cordes trouver sur place a un pilier assit au sol et pour finir il lui banda les yeux par prudence. Ce n'était pas très professionnel dans le cadre du GCPD mais dans le contexte de la situation cela pouvait leur faire gagner du temps et de précieuse infos.
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Jeu 25 Jan 2024 - 18:47
Maitre des Peurs
Beware the Scarecrow
"Je connais une souillon ... Vivant dans un soulier ... Avant tant de rejetons qu'elle ne sait quoi leur donner. Ils boivent donc du bouillon, de pain n'en ont jamais. Avant de les mettre au lit, ce n'étaient que des coups de bâton ..."
Ce blabla incessant et truffé de mensonges me fis rire jaune, c'était là un défi digne des travaux d'Hercules que se lançait cette chère Montoya. Il fallait avoir de la volonté pour vouloir tout faire pour sauver Gotham, car cette ville est tellement rongée par les énormes rats du crime qu'il me paraît personnellement impossible de la nettoyer. Mais elle avait quand même de la suite dans les idées, c'est bien d'avoir quelques fantaisies, ça permet de mieux supporter cette vie idiote et empreinte de peurs. Fuite presque suicidaire où les aléas ne donnent aucune possibilité de résistance. Montoya savait courir, et elle savait très bien utiliser son endurance pour me talonner. Il me restait quelques cartes en main, mais la mort de son père ... Oh que ce serait terrible. N'est-ce pas ? Visiblement, le mal est facile à disséminer, mais les apparences sont parfois trompeuses. Malgré tout, la cavale aura été de courte durée, et les renforts sont déjà là.
"Deux morts de plus. Trois si je ne me trompe pas. Vous savez ce que ça fait, n'est-ce pas, inspecteur ?"
La thanatophobie correspond à la peur irrationnelle de la mort, autant celle de ses proches que sa propre mort. C'est un trouble anxieux déclenché par l'exposition d'un individu à un objet ou à une situation en lien avec la mort. Comme toutes les phobies, la thanatophobie peut être déclenchée par un événement traumatisant comme la vision d'un cadavre ou le décès d'un proche, surtout dans l'enfance. Elle peut aussi être transmise par les parents. Mais il n'existe pas toujours de cause évidente. Dans certains cas, elle traduit simplement un excès d’anxiété. Alors que je brandissais une nouvelle fiole de ma peur, quelque chose me percuta violemment. Et je n'avais pas eu la chance de me remettre debout. Un coup violent, comme ça, c'était inattendu. Comment ? Le coup m'avait surpris, à moitié dans les vapes, je tentais de me relever, mais même mes jambes me trahissent ... Le son avait été lourd, puissant, dangereux. Rampant sous l'effet de la surprise, je faisais appel à ma lucidité et à ma conscience pour rester dans les clous, et pour essayer de repousser ce qui s'était passé ... Une forme ... Humaine ? Qu'importe ... Je devais tout faire pour tenter de maîtriser l'homme qui semblait déchaîner. Ce dernier balaya les restes de ma cavale avec l'arrivée de son collègue, pratiquement d'un revers de la main et commença à s'avancer vers moi pour me menotter, en bonne et due forme. N'en croyant pas mes yeux, j'avais raté mon coup, essayant de me débattre malgré la force herculéenne de ce mastodonte, j'essayais de reculer tout en ne pouvant pas détacher mon regard de ce que je pouvais constater de mes propres yeux : la fiole que je tenais avait disparu. Mon seul moyen de m'en sortir avait échoué ... Que s'était-il passé ? Était-ce le justicier qui avait joué la comédie tout le long ? Devant moi, il y'avait des gens qui ne cédaient pas à la peur. Pas à la peur de l'épouvantail. Mais cela viendrait, assurément. J'avais mal évalué les crétins de la police. Alors que mon corps est trainé vers un lieu assez sordide et typique de Gotham City, je m'enfonce dans les ténèbres, pour un court laps de temps.
Entrepôt abandonné
Je me réveille. Attaché ... Dans un lieu que je ne connais pas. Sûrement une planque du GCPD ... Je vais avoir droit à quoi ? Encore un de ces tristes entretiens avec des docteurs ou des avocats qui veulent me saluer ou me remercier pour tout ce que j'ai fais dans cette ville ? Les flics sont ennuyeux, et tellement prévisibles. On va jouer à quoi ? Bon flic, méchant flic ? Ce qu'ils sont pénibles ces gens à vous ennuyez dans votre petit trip personnel, pourquoi ne laissaient-ils pas les célébrités tranquilles ? Je peux voir les ténèbres. Aucun indice sur l'endroit où je suis, mais ça sentait la justice violente, quelque chose d'en dehors des clous ... Je n'étais pas dans mes petits souliers à vrai dire, et l'interrogatoire promettait d'être assez pénible pour quelqu'un comme moi. On m'a attaché à une chaise avant de me retirer mon masque. Pas question de refaire le même coup que dans la camionnette, je présume ... Qu'importe. Ces crétins me sous-estiment. Ils me sous-estiment tous. J'imagine que c'est Montoya et ses collègues qui vont faire l'interrogatoire. Un sourire sur mon visage, faut dire que je savais où j'allais. Je connaissais les bons moyens pour m'en sortir, et peut-être qu'en actionnant quelques leviers ...
"La petite Marie s'en fut à la fontaine. Elle glissa sur le sentier, sa cruche s'est brisée ..."
Dis-je en la regardant, tout sourire. Histoire d'instiller la peur chez mon interlocutrice. Bien sur, une adresse se retrouvait facilement, avec les bons tuyaux, les bonnes recherches, personne ne pouvait espérer trouver refuge dans une ville comme Gotham City. Ma voix se faisait sinistre et grinçante, je leur montrais au mieux, du moins je l'espérais, qu'ils n'étaient pas les bienvenues dans cette pièce, je m'ennuyais fortement de cette conversation qui s'annonçait, j'avais tellement de choses plus importantes, et parler de futurs cadavres ne m'intéressaient plus. Inspirant légèrement, j'attendais de voir les tristes représentants de la loi, faire ce qu'ils savaient faire de mieux : Attendre que le crime se profile et qu'ils ne fassent rien pour changer cela.
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Sam 27 Jan 2024 - 10:02
Maître des peurs
Feat Scarecrow / GCPD
Alors que Montoya tient en jour Crane pendant que ce dernier déblatère des inepties que lui seul comprend. Elle est projetée sur le côté sans qu'elle ne puisse voir qui que ce soit. Sa tête heurte le sol et elle perd connaissance.
Elle entend une voix qui lui demande de se réveiller, cette voix, c'est celle de Silent. Elle ouvre les yeux, son crâne lui fait mal. En passant sa main sur son front, elle peut voir quelques traces de sang. Qui l'avait assommé, est ce que c'est Silent ? Ou quelqu'un d'autre ? Elle se redresse et la première chose qui l'a frappé est l'endroit où elle se trouve maintenant. Ils ne sont plus dans la ruelle, mais dans une sorte d'usine désinfectée. Puis Montoya, remarque les vêtements de Silent totalement arraché, il ne restait pas beaucoup de tissus sur sa peau.
" - Mais qu'est-ce qui vous est arrivé ? Comment on est arrivé ici ?..Je... Finalement j'ai pas envie de savoir pour l'instant. Aider moi à me relever plutôt.
Montoya tend son bras au chef du SWAT pour qu'il l'aide à se mettre sur ses deux pieds, sa tête tourne légèrement, elle reprend ses esprits. Crane est attaché sur une chaise au milieu de cet endroit. On ne peut pas faire plus cliché comme situation pensa t'elle. Non loin de Crane, le second de Silent surveille le détenu, comme était-il venu ici, c'est lui qui a porté Montoya ou Crane ? Trop de questions se bousculent dans la tête de Renee. Mais pas le temps de réfléchir à ça pour l'instant. Son regard se pose sur Crane qui recommence ces élucubrations. Montoya sait ce qu'il essaie de faire, il veut gagner du temps. Elle s'approche de lui et regarde son visage, sans son masque, il ressemble à monsieur tout le monde.
" - Finis de jouer Jonathan Crane, je ne sais ce que tu essaies de nous prouver. Mais en t'en prenant à mon père, tu as commis la pire erreur de ta vie.
Elle s'approche un peu plus près de lui pour être au niveau de son visage. Elle fixe son regard.
" - Je n'ai pas peur de mourir, ni de ton petit gaz. Tu peux faire ce que tu veux, jamais je n'aurais peur d'un pauvre type comme toi qui a sûrement manqué d'amour de ses parents pour se conduire comme tu le fais. Alors pour la dernière fois où se trouve mon père ?
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Mar 30 Jan 2024 - 19:23
Ta rage s'est calmée mais tu as toujours la haine contre Crane. Trois de tes hommes sont morts et de la famille des membres du GCPD sont retenus contre leurs volontés. Il est temps que ça cesse et c'est pour ça qu'il est ici dans ce bâtiment abandonné où personne ne viendra nous déranger. Du moins pendant un peu de temps car on va nous chercher c'est sur !!!
« Merci Shépard, je vais voir Montoya. Et effectivement je vous fais confiance pour que ce que vous avez vu reste confidentiel. On en discutera plus tard si vous le souhaitez. »
Tu as toute confiance en ton équipier, tu le connais depuis peu mais c'est un homme droit. Tu penses qu'il peut garder ton secret. Il est d'ailleurs plus doué dans l'attitude militaire que dans l'humour. Mais si il fait des blagues c'est qu'il se sent à l'aise, parfait !!! Tu te rapproches de Montoya qui reprend ses esprits. Tu lui tends la main c'est le moins que tu puisses faire après l'avoir percuté. Voyant Crane attaché elle ne cherche même pas à comprendre ce qu'il s'est passé. Ça t'arranges, tu n'as aucune explication à lui fournir...
« Il est à vous, profitez de ce bref moment car on va vite être dérangés malheureusement. Oublions les règles, allons droit au but et à la manière que vous pensez être la plus efficace. Je vous laisse gérer mais si besoin je suis là. »
Tu te tournes vers Shépard.
« Restes avec elle, je vais faire un tour rapide dehors pour voir que personne vienne nous déranger. Pour moi nous sommes hors cadre du SWAT depuis l'accident et la mort de 3 de nos membres. Donc si Montoya a besoin de secouer la paille fais toi plaisir !!! »
Sur ces mots tu sors et finis de te calmer en effectuant une surveillance sportive de la zone. Tous tes sens sont en éveil, si quelqu'un approche tu le sauras.
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Mar 30 Jan 2024 - 23:37
Bradley, était heureux de voir que tout ce petit monde reprenait conscience. L'inspecteur Montoya et Silent étant rapidement de nouveau opérationnel et au vu de leur parole bien remonté aussi. Même si Bradley sous son armure lourde restait des plus calmes il comprenait parfaitement la situation. D'ailleurs juste avant que le terroriste et Montoya ne se réveillent Silent signala à Bradley qu'il avait confiance en lui pour ne pas répéter ce qu'il avait vu auprès de Silent.
De son coté Montoya quand elle se réveilla elle demanda rapidement ou elle se trouvait avant de centrer son attention sur le terroriste et ses citation poétiques qui faisait perdre du temps a tout le monde. Avant de lui rerépéter sa question au sujet de OU est son père enlevé par les sbires du terroriste.
Silent lui, se tourna vers Montoya et lui dit de profiter de ce moment pour aller droit au but de la manière dont elle voulait. avant de se tourner vers Bradley et de lui dire, qu'il confiait la sécurité des opération à Bradley le temps qu'il aille faire un tour de surveillance pour être sur qu'ils en serait pas dérangé. il fit même comprendre a Bradley qu'il pouvait secouer le terroriste pour y parvenir.
Bradley n'était pas du genre a torturer son prochain, dans le cas présent lui faire peur et légèrement le malmener pouvait leur être utile à la réussite de leur objectif. De toute façon comme l'avait dit Silent il était hors cadre et tous impliqué dedans alors autant que ça serve a quelque chose.
prenant soin de tourner le dos au terroriste Bradley fit un pouce levé en direction de Montoya pour lui faire comprendre sans que le terroriste le voit que il était avec elle sur cette affaire. Puis de son pas lourd d'acier dans son armure hermétique renforcé Bradley lentement s'approcha du terroriste rechargeant bien devant lui et avec son fusil Gauss C14 puis arrivé au niveau du terroriste il lui marcha du bout d'une de ses botes d'acier sur les orteils de son pied droit.
Bradley faisait juste assez de pression pour lui faire mal MAIS pas assez pour lui casser les orteils ou lui causer des dommages durable. d'un geste rapide et brusque d'un seul gantelet Bradley arracha le chapeau du terroriste et le lança sans ménagement à l'autre bout de la pièce avant d'enfin appuyer sur son genou droit le bout du canon de son fusil, et jouant un peut en appuyant fort et de manière a ce que se soit déagréable pour le terroriste tout en lui disant d'une voix très froide, grave et très calme sous son casque.
" L'inspecteur t'a posé une question non ? "
dit Bradley tout en mettant ses doigt gantelé sur la gâchette du fusil dont le canon était sur le genou du terroriste , le tout bien letement et bien en vue de ce dernier pour faire monter la peur chez lui. Personne à part Bradley un militaire connaissant les Gauss C14 qui n'existait que pour l'unité de soldat spéciaux Bradley ne pouvait savoir que le cran de sécurité était toujours actif et que la balle ne partirait pas, en tout cas pas le terroriste.
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Sam 3 Fév 2024 - 16:02
Maitre des Peurs
Beware the Scarecrow
"Ne pleure pas, Jeannette. Nous te marierons."
Dis-je, avec un sourire, mon regard perdu dans mes pensées. Ils étaient trois. Trois petits policiers qui tentaient de faire les choses en dehors des règles. Comme cela était amusant, de voir que les choses évoluent, quand les proches sont concernés. Plus de traitement de faveur, plus de gentillesse, ou même ces mots que sont la "compréhension", la "loi", ou bien même, "intégrité". Ils jouaient en hors cadre de leurs activités, plus enclins à servir leur vengeance que de faire ce dont pour quoi ils ont embrassé le badge. Baissant la tête, toujours ligoté, je me riais de ces hommes qui jouaient les apprentis héros. Qui n'avaient plus rien de presque humains. Ils n'étaient plus que des corrompus, comme tout ce qui gangrenait cette infecte cité. Relevant la tête, toujours un sourire sur le visage, ils en venaient aux menaces. Continuelles, sans surprises, sans intérêt probable pour m'atteindre le plus possible. Ils n'étaient rien. Uniquement que des pantins que l'on avait façonné avec le bois le plus dur, pour en faire des armes. Des armes au service d'une élite qui n'hésitera pas à utiliser ses merveilleuses marionnettes pour établir une répression digne des pires dictatures. Quelle sournoise blague, n'est-il pas ?
"Le chat ... La belette ... Et le petit lapin. Entendrais-je la mère l'oie ?"
Plongé dans l'ombre, on ne pouvait distinguer qu'à moitié mon visage maigre rappelant cet Épouvantail fantomatique des effroyables cauchemars qui hantèrent une dizaine, que dis-je ? Une centaine de patients dans les longs couloirs glacés de l'asile d'Arkham. Et maintenant, où en étais-je ? J'étais un seigneur, le maitre de la peur, le seul capable de faire plier cette cité avec un peu d'audace, et avec suffisamment de volonté pour voir toute cette ville à mes pieds ! Je me mis à rire de façon à peine audible, comme un monstre caché sous le lit d'une enfant, essayant d’être discret.
"Vous n'êtes rien sans vos familles. Un seul petit être vous manque et vous succombez à vos pires instincts. La peur fait de vous des monstres. Comme moi ... Et je suis ravi. Ravi de vous voir à mon niveau. Vous venez de faire votre premier pas sur un sentier ... Noir."
Ces trois-là, ces trois flics, je les considérais comme des patients au final. Ils étaient tous des patients pour moi. Je voyais les regards de mes patients s'écarquiller, leur souffle s'accélérer et les pauvres ne cessaient de ravaler leur salive nerveusement sous mon regard de docteur de la souffrance. Ils souffraient, et je trouvais ça, délectable. Ils enduraient cette souffrance et se repliaient vers le besoin de survie. Ils acceptaient le fait d'être des monstres sous couvert d'être des policiers. Et c'était savoureux. Délicieux même. Cela voulait dire que la ville était à point pour la moisson prochaine. J'avais commis une légère imprudence. Mais cette prochaine fois, je ne me ferais pas avoir, j'ai commis une erreur bête, celle de ne pas avoir été assez discret, c'est en forgeant que l'on devient forgeron n'est-ce pas ? Eh bien, c'est en effrayant que je deviendrais épouvanteur, en torturant que je deviendrais bourreau ... Leur bourreau à tous. Jouer avec leurs nerfs, c'était une de mes spécialités, les faire mourir de peur, leur instiller la chaire de poule, l'inquiétude. Tout ça était mon domaine.
"Heureusement pour moi, nous vivons dans un monde terriblement corrompu, ce qui permet à un psychiatre un peu trop sinistre de cacher des cadavres dans la lagune sans que personne ni rien ne puisse s'en douter. Mais rassurez-vous ... Ils ne sont pas encore morts. Pas encore ..."
Ajoutais-je d'un ton plein de malice et de fausse gentillesse tout en commençant à gesticuler sur ma chaise. J'avais la bougeotte. L'envie de sortir d'ici. Voir le visage de Montoya dépérir en entendant que son père avait du sursis temporaire me donnait une satisfaction sûrement semblable à ce que ce chaque dangereux psychopathe doit ressentir en égorgeant sa proie. Cette même satisfaction qu'aurait les corbeaux à ronger les cadavres sans aucuns remords. Besoin d'aide ? Je me mis à rire, dans un monde peuplé par les cauchemars et les horreurs, personne ne peut t'aider pauvre femme, il n'y a que la souffrance et l'angoisse qui règne ici, n'espère rien, l'espoir est mort et enterré. Ce qui me passionnait dans ces expérimentations, c'était sûrement de pouvoir regarder ce sentiment affreux s'installer, délicatement, doucement comme une plume dans un goudron épais qui l'avalera en quelques secondes, la peur mêlée d'angoisse. Cette douleur glaçait mon cœur qui était aussi froid que n'importe quel cadavre, je prenais un plaisir si intense à voir cette scène pathétique que je ne pus m'empêcher de rire sinistrement. Un rire roque et malsain digne de la Faucheuse en personne. La culpabilité, tout était fait pour rendre les choses de plus en plus immonde, n'importe qui qui assisterait à ce drame insupportable se sentirait obligé de venir à son aide, simple question d'entraide humaine, or j'avais envie de plus, toujours plus comme un véritable accro à la Peur.
"Que m'offrez-vous, en échange de leurs vies ? Je suis sûr que vous avez de bonnes idées, non ?"
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Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Mer 14 Fév 2024 - 22:33
Maître des peurs
Feat Scarecrow / GCPD
Montoya se trouvait maintenant seule avec Crane, enfin Bradley était là où cas où la situation dégénère ou que Montoya craque et fini par coller une balle dans la tête de Crane.
" - Je ne suis pas comme toi Crane, contrairement à toi, je n'ai pas besoin de toute l'attention de la terre pour me sentir exister. Ta famille t'a rejeté alors tu t'en prends aux familles d'autres personnes. Je trouve cela tellement pathétique.
Le voir ainsi souriant devant elle comme si rien ne pouvait l'atteindre la mettait hors d'elle, mais le professionnalisme de Montoya était mis à rude épreuve. Elle avait vu tout au long de sa carrière beaucoup de ses collègues tomber dans des travers et abusant souvent de violence envers les personnes qu'ils arrêtent, elle ne voulait pas être ce genre de flic. Le souffle de Montoya devient plus calme, elle se redresse.
" - D'ordinaire, je ne négocie pas avec les criminels, mais te torturer ne servirait à rien. On va passer un marché. Tu me dis où se trouve les 3 personnes que tu as kidnappé et on te relâche... Enfin, je te laisse une journée entière pour prendre la fuite. Mais sache que si je te trouve, c'est la case prison qui t'attend et je ferais en sorte que tu y restes pour de bons cette fois ci. Tu m'as bien comprise ?
Montoya se retourne au même moment vers Shepard.
" - J'aimerais que cela reste entre nous, je n'ai pas d'autres options sous la main. Maintenant dite à votre chef de revenir de sa promenade nocturne.
Montoya attend que l'agent du SWAT sorte à l'extérieur de l'entrepôt. Pour contourner Crane et détaché les liens qui le retenaient. Sans ses toxines de peur, c'était un homme rien de plus classique, à une chose prés avec des penchants morbides. L'inspectrice garde quand même une main sur son holster au cas où ce dernier décide de jouer les héros.
" -Maintenant, qu'on a passé un marché, tu vas me dire où est mon père et les deux autres personnes. Et ne me mène pas en bateau, j'ai horreur de ça.