▲ Goth-Passeport ▲ Alliés: Ennemis: ♦ Domicile à Gotham : ♥ Love interest: Armes & gadgets: Jonathan Crane/ Scarecrow
Sujet: Morts de Peur [PV GCPD] Jeu 28 Déc 2023 - 21:31
Rappel du premier message :
Type de RP : Normal
Date du RP : Décembre 2019
Participants: Le GCPD
Trigger warning: Morts, terreur.
Résumé: L'épouvantail a bien besoin d'argent, il est l'heure de faire un petit retrait à la banque.
Maitre des Peurs
Beware the Scarecrow
La peur avait saisi cette ville. Quelle délicieuse pensée cela m'offrait. Depuis que les électeurs de Gotham ont signé pour avoir ce cher Strange au pouvoir, il n'en fallait pas plus pour inviter Dame Peur à retrouver la plèbe qui hantait cette bonne ville de Gotham. Et quoi de mieux que de concocter un plan suffisamment intelligent pour fêter cette magnifique nouvelle ? Mais il fallait des fonds, et braquer une banque de la ville n'était que la meilleure façon de gagner rapidement et justement, un peu de sous pour ce pauvre empaillé que j'étais. L'argent n'était pas un problème d'habitude, mais le prix des produits devenait de plus en plus exorbitant. Il fallait donc soulager la banque de ce qu'elle gardait dans ses coffres si biens sécurisés. Ce soir, je m'étais donc permis une petite digression à ma stratégie : Me révéler à toute la ville. Ramener la peur au centre de celle-ci, et lui montrer qu'elle n'a pas finie d'être terrorisée par mes bons soins. Alors que mon hélicoptère se posait sur le toit de la banque, j'en profitais pour descendre en rappel, dans le centre même de toute la finance. J'étais seul. Du moins, en principe. Je préférais travailler seul habituellement. Du moins, en apparence ... Un être tel que moi apprécie la solitude, même si parfois, un petit coup de main était des plus appréciés. Alors que j'atterrissais sur le sol de la banque, une voix s'élève.
"Halte ! Levez les mains !"
"Si vous insistez ..."
Une voix qui pourrait glacer le sang du plus échauffé. Un sourire immonde se dessina sur mon visage pâle, les néons du couloir cliquetaient de façon insupportable mais ça, ça a toujours été. Et ça donnait un petit air morbide à ce lieu. Deux gardes, je me retourne lentement, avant de brandir mes doigts vers eux, afin de les asperger de ma drogue. Ils commencent à ressentir aussitôt, les entraves de leurs peurs les plus profondes. Bien que d'habitude, j'apprécie de voir mes sujets d'expérience avoir les plus belles peurs de leurs vies, je ne pouvais pas perdre de temps. Il me fallait donc faire exploser la porte sécurisée au plus vite. Un peu de C4 aux embranchements, et la porte s'ouvrirait tranquillement, révélant mille trésors et beaux billets de banque. Il ne faut pas être un génie pour installer du C4 aux bons emplacements d'une porte sécurisée. Il fallait de la jugeote et de l'intelligence. En prenant mes distances, j'inspire. Les deux gardes continuent de hurler à pleins poumons. Ils hurlent et c'est une telle joie de voir leurs terreurs, de ressentir ce pouvoir entre mes mains. Délectable en réalité. La porte de sécurité explose, et c'est à ce moment précis que l'alarme se fait entendre dans la banque. Regardant ma montre, j'esquisse un petit sourire.
"Comme prévu. Tout se passe comme je l'avais prévu."
Regardant les deux gardes, ceux-ci venaient de succomber à une "mort de peur". Je me mis à rire de façon à peine audible, comme un monstre caché sous le lit d'un enfant, essayant d’être discret. C'est alors que j'inscrivais sur le carnet qui recensait à la fois mes tests mais également mes différents cobayes, la toxine expérimentée mais aussi le dosage et ce qui s'en découlait. « N° 14, 50 cl. ». Le temps que le GCPD vienne, j'aurais déjà préparé mes sacs pour les mettre sur l'hélicoptère. Mais je n'aurais très certainement pas assez de temps pour m'enfuir, mais plutôt assez pour préparer ma défense. Ils ne tarderaient pas, c'était certain. En attendant, à moi la grande récolte. D'un petit sourire, je pris un de mes sacs avant de le remplir de ces merveilleux billets verts que les crétins et les bas du front s'évertuent à entasser dans un repaire de ramassis de voleurs. Le noir. Il n'y a d'audible que le croassement des corbeaux, treize corbeaux entassés sur les épaules squelettiques d'un épouvantail planté au milieu d'un cimetière. Leurs cris d'oiseaux du Diable fend le silence en harmonie, comme si ils chantaient ensemble, parlent-ils ? On ne sait pas. Tout est flou ici.
"Récolter, moissonner. Vient donc le temps de l'été. Les champs fleurissent, et les fleurs trépignent. Les corbeaux viennent ..."
Chantais-je, alors que je prenais tout mon temps pour récolter ce magnifique butin qui s'offrait à moi. Quelques sacs déjà étaient prêts et n'attendaient que d'être remontés sur le toit. Un sourire, alors que j'entendis maintenant les sirènes de la police au loin. Ils ont un peu d'avance. Tant mieux, j'avais besoin de m'amuser avec eux. Est-ce qu'ils auront la chance de finir sur mon joli petit calepin ? Plongé dans mes pensées obscures, toujours en griffonnant avec mon écriture lisible, chose inhabituelle chez les médecins à ce qu'il paraît, je m'attendais à préparer le décompte de mes nouvelles victimes. La peur, oui, toujours la peur. Rien que la peur. Elle qui s'insinue dans votre esprit, qui vous dicte votre façon de survivre. Que serions-nous, sans la peur ? Grâce à moi, cette ville sait ce dont elle a besoin pour être à-même de comprendre les grands enjeux qui se décideront pour elles. Je m'égare. Ce soir, j'avais des invités, et nul doute qu'ils aimeraient me remettre dans une cellule capitonnée. Je ne les en blâme pas. Je sais qu'ils feront de leurs mieux. Du moins, ils essaieront.
"Mon petit oiseau a prit sa volée. Sur un o-à la volette, sur un o-à la volette, sur un oranger. A prit sa volée."
Chantais-je une nouvelle fois. Mes bombes de toxines étaient prêtes. Je me demandais si on entendrait leurs cris à Arkham ? Des hommes de la police chanteront mon nom, et le crieront, en hurlant. Fuyez, en hurlant, tant que vous le pouvez, pauvres imbéciles. Votre mort approche, et de sa faux, elle vous emportera dans le royaume des damnés. J'éructe d'un rire grave et guttural, cette pensée me fit rire. Ils allaient mourir de peur, et ils crieront mon nom, pour la postérité. Comme toujours. Personne ne peut battre l'épouvantail ! Personne ! Mes bombes dans les mains, j'étais prêt pour leur intervention. Il est temps que je sois enfin au niveau de ma réputation.
Dernière édition par Jonathan Crane/ Scarecrow le Sam 6 Jan 2024 - 10:03, édité 1 fois
Auteur
Message
Messages : 174 Date d'Inscription : 03/11/2023
▲ Goth-Passeport ▲ Alliés: Ennemis: ♦ Domicile à Gotham : Petite maison en bois avec un atelier en bordure de forêt à Bristol ♥ Love interest: Le sport - La mécanique Armes & gadgets: Thomas Silent / NightLaw
Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Jeu 15 Fév 2024 - 14:46
Tu as fait le tour du bâtiment et tu n'as rien entendu de particulier à proximité. Les patrouilles ne sont pas loin mais pas encore sur vous. Cela fait plusieurs minutes que tu es partie, le footing en extérieur t'as fait redescendre un peu la pression. Tu imagines que Montoya a négocié avec Crane en espérant que ce dernier soit assez malin pour accepter un deal et dire vraiment où les otages se trouvent. Dans tous les cas l'Epouvantail ne sera jamais tranquille à Gotham. Il a tué trois de tes hommes et il le paiera un jour. Aujourd'hui il gagne car il a l'avantage mais la prochaine fois ça ne sera plus le cas et là il verra bien. Tel le conte, le loup soufflera si fort que la paille s'écroulera !!!
Tu reviens vers l'entrée du bâtiment lorsque Shépard sort.
« Alors ça donne quoi ? Crane a lâché le morceau ? »
Il t'explique brièvement et te dis que Montoya t'attends pour la suite. Tu te demandes si la situation a évoluée. Crane est tellement fou qu'il n'a peut être même pas compris que nous étions sorties du cadre. La ligne est franchi mais c'est allé trop loin, il y a eu assez de victimes et il faut que cela cesse. Même si notre méthode remet en liberté un psychopathe, je suis prêt à courir le risque pour sauver trois innocents. On ne pourra jamais ramener ceux tombés mais nous pouvons encore sauver les autres. Espérons que dans sa folie, l'instinct de survie lui donne quelques secondes de lucidité. Au fond de toi tu ne sais pas si Crane est capable de cela mais tu l'espères.
Tu rentres et vois que Crane n'est plus attaché, Montoya ne le lâche pas des yeux et l'expression tendue de son visage te fait comprendre qu'il n'a rien dit pour l'instant.
« Crane j'espère que tu as fait le bon choix. Même un fou comme toi tiens à la vie non ? Donc vas y balance où se trouvent les otages, c'est ta seule chance !!! Nous n'avons qu'une parole contrairement à toi et constatant que tu es détaché, le deal c'est ta liberté contre les personnes. Donc tu attends quoi, ne nous laisses pas le temps de réfléchir et changer d'avis. Les patrouilles ne sont pas loin et si elles nous trouvent tu finis à Arkham. Allez balances les infos et tires toi vite d'ici !!! Ton masque reste avec nous évidemment, c'est notre garantie car je n'ai aucune confiance en toi. »
Tu te doutes que Crane pourra se refabriquer un masque sans problème mais tu mises sur le fait qu'il est attaché à celui là. C'est celui qu'il porte depuis toujours et tu espères que ce fou veuille le récupérer. Il servira aussi à calmer ta hiérarchie qui va être folle de rage quand elle apprendra la fuite de l'Epouventail et le décès de trois agents.
▲ Goth-Passeport ▲ Alliés: Ennemis: ♦ Domicile à Gotham : Gotham central Hotel (RDC chambre A6 )un hotel de classe moyenne a deux blocs du GCPD ♥ Love interest: Bodybuilding Musculation /armures / armes /cigare (cubain) /jeux videos / danse / gamineries / SURF / gay Armes & gadgets: Bradley Shepard
Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Ven 1 Mar 2024 - 20:17
Les chose continuait dévoluer le criminel ne semblait pas du tout vouloir colaborer et continuait avec ses réponses sans queue ni tête et hautement provocatrice, qui en auait énervé plus d'un, et Bradley savait pour les avoir cotoyé que nombre de soldat devant l'atitude du teroriste l'aurait rapidement fait passer de vie a trepas avec passage potentiel par la case torture et sévices. Bradley commençait a comprendre pourquoi Silent avait préféré n epas interopger lui même le terorriste.
Montoya employa une technique a laquelle Bradley ne s'attendait pas vraiment. ou du moins pas dans ce contexte, en effet elle alla négocier avec le teroriste. avant de .... le libérer même si elle lui avait retiré son masque a gaz, Bradley doutait vraiment d el'éfficacité du stratagème. le terorsite grumé en épouventail n'était pas du profil de ceux qui se repentissent avec sincérité et ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne recommence. une stratégie bien meilleure mais immoralle également c'eut été de sacrifier les otages et de neutraliser le teroriste pour de bon. Mais bon dna sle contexte moral et civil Bradley ne pouvait ni se resoudrea une telle strategie ni mêm la proposer.
Aussi Bradley ne protesta pas et se montra être un soldat bienb discipliné en allant retrouver Silent dehors, et lui expliquer en substance tout ce qui venait de se passer à l'interieur. Bradley en allant vers Silent apréendait un peut sa réaction en effet comment réagirait un lycantrope a la nouvelle de la libération de celui qui était responsable d ela mort de plusieurs membres de sa meute et de l'enlevement de plusieur autres.
Mais Silent était un professionel et les craintes que Bradley avait eut qu'il n es'enerve furent vite discippé quand il vit que au contraire Silent restait maitre de lui même. Silent et Bradley rentrere de nouveaau dan sla pièce et encore une fois il fut demander au teroriste de coopérer en échange de sa liberté avant que les patrouile ne viennent vers eux le ceuillir direction la prison. Une chance inespéré pour un teroriste mais leur terroriste du jours serait il assez lucide pour saisir l'oportunité et leur dire ENFIN ou était les otages. là était le coeur du problème.
Bradley ne disait rien et semit en faction Gauss C14 prêt a faire feu sur le teroriste au cas ou il se montrerait hostile envers eux physiquement parlent. tout en prétant une oreille plus qu'attentive à son comlink pour determiner ou etait les patrouille autour d'uex sur les canaux radio du GCPD et determiner combien de tempsil leur restait. Tou était entre les mains du teroriste pour le moment et cela metait un peut mal à l'aise Bradley mais il resterait digne et dsroit dan sson armure sans montrer de signe de faiblesse a l'ennemi du jour.
Messages : 325 Date d'Inscription : 03/05/2023
▲ Goth-Passeport ▲ Alliés: Ennemis: ♦ Domicile à Gotham : ♥ Love interest: Armes & gadgets: Jonathan Crane/ Scarecrow
Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Mar 5 Mar 2024 - 20:47
Maitre des Peurs
Beware the Scarecrow
"Voila qui devient intéressant, mes chers amis."
Cette phrase fut ponctuée d'un rire ... Un simple rire rauque s'échappe alors que la jeune femme fait son choix. Voila donc que les vaillants détectives de cette ville se mettent à se compromettre avec la vermine, quel délice, quelle onctueuse saveur. C'était un nouveau pas pour mes projets de faire régner la Terreur sur la ville. Que pouvait faire un pauvre être humain devant la manifestation réelle et abusive de ses peurs les plus profondes. Absolument rien du tout. Je continuais à écouter ces policiers tout en marchant calmement autour d'eux. J'étais le maitre de cette situation, et cela me plaisait totalement. Cette salle désespérée devient alors les Ténèbres, mi-néant, mi-réalité morbide, je regardais la petite Montoya suivre une silhouette fantomatique : qu'est ce que cela pouvait bien être ? Son père ? J'en doutais, je regardais tout ce petit jeu de cache-cache, je n'avais qu'une envie, surgir pour l'effrayer. Mais en attendant de la voir se morfondre, je n'ai qu'un seul regard pour les deux autres policiers qui venaient eux aussi, de rejoindre la conversation. Alors que mon masque est une marchandise non négociable, je leur remet de bonne foi, tout en remettant mes lunettes sur le nez. Inspirant légèrement, je ne pouvais qu'être amusé par la situation. De ma voix trainante, je reprenais.
"Chester O'Hara, 41 ans. Enfermé dans un entrepôt de Chinatown. Sa phobie, les hauteurs. Pensez aux pompiers."
Dis-je, d'une voix cynique et amusée, alors que les trois flics se regardaient circonspects. Le pauvre O'Hara avait été suspendu comme un saucisson à trente centimètres au-dessus du sol, rattaché à une chaise en équilibre dans le vide. Ses cris furent délicieux. Prenant mon menton dans les doigts, je réfléchissais, faisant mine de ne pas trouver la bonne réponse, et surtout, pour permettre d'insuffler de la peur, de la panique, dans les esprits. Surtout celui de cette chère et tendre Montoya, qui devait saliver d'angoisse. Comme il était délicieux de la voir rager intérieurement. C'était ... Exquis. Je les regardais se débattre intérieurement pour ne pas me faire du mal, vainement. Personne ne m'échapperait et surtout pas trois énergumènes de leur genre. J'avais étudié des tas de profils psychologiques et il était clair que ceux-là avaient besoin de soins à Arkham. Ils auraient une cellule rien qu'à eux, je leur briserais l'esprit et finirais par percer tous leurs secrets. Même un jour, le Batman ... Autant je pouvais être habile avec l'esprit humain, autant cet homme semblait être un maître de la technologie. Si je pouvais m'emparer de ses connaissances, je pourrais étendre mon influence bien au-delà de Gotham et transformer cette cité en une vision cauchemardesque et puis ... Ce sera ... Le monde. Faisant mine de me rappeler, je faisais tourner ma main pour essayer de me rappeler ce qu'il était advenu de la deuxième.
"Clara Samwell, 29 ans. Une peur commune. Arachnophobie. Elle est enfermée dans la section des araignées au zoo de Gotham. Quant au dernier ..."
Un sourire se dévoila sur mes lèvres. La pauvre femme avait une vue plongeante sur un aquarium de petites araignées. J'espérais simplement que la tarentule d'Australie ne l'avait pas encore mordu. Je n'ose imaginer la symphonie lorsque que celle-ci marchera sur la pauvre femme, la recouvrant de ses toiles et de ses morsures. Je savourais cette dernière gourmandise pour moi-même. Elle souffrait, et ce nectar divin me tenaillait au plus profond de mon esprit. Quelle jouissance de sentir la vie de quelqu'un entre ses doigts. Quelle délice était-ce de voir quelqu'un qui se tortillait de douleur pour la perte d'un proche aimé. Mais qu'importe, il était temps de jouer mon dernier as, et je savais parfaitement que ces trois-là ne me laisseraient pas partir. Nullement. Qui oserait relâcher l'épouvantail ? Qui oserait lâcher un tel monstre dans les rues de Gotham City ? Qui de sain ? Pas eux. Et même si l'envie me tenaillait de mentir, il me restait quelques cartes dans ma manche.
"Ce qui nous amène à vous, officier Montoya. Votre père se trouve à New Gotham. Je ne lui ai rien attribué. Voyez cela comme un cadeau de ma part. Néanmoins, je n'en dirais pas tant pour vous ... Car votre offre alléchante, n'est que tromperie."
D'un geste, de sous la manche, une petite capsule que je jetais par terre. Celle-ci se brisa avec le contact avec le sol, et légèrement inaudible, il fallait être un fin limier pour l'entendre. Le gaz, inodore et incolore, se répandit, doucement, entrant dans les sinus et les appareils respiratoires des trois policiers.
"Des chants ! Des chants à la gloire de la peur ! C'est magnifique ! Gnihahahahaha !"
Ricanais-je, alors que les premiers effets entraient en action ! Tandis que j'allais prendre la poudre d'escampette et en profiter pour rejoindre les entrailles de cette hideuse ville, ils allaient tousser fortement, dans un premier temps ... Et puis ? La peur. Qui eut cru qu'un simple ajout de monoxyde de carbone pouvait avoir cet effet ? Le manque d'oxygène rendait les victimes lentes et faibles, mais mon gaz de peur leur redonnait également une force inconnue, alimentée par le fait qu'ils voyaient tous le Scarecrow comme leur pire peur. Éventuellement certaines personnes finiront par tomber pour ne plus jamais se relever, le manque d'oxygène ayant beaucoup trop endommagé le cerveau pour qu'il puisse tenir debout. C'était d'ailleurs le pourquoi de la récolte incessante : tant que je garderais l'offensive, je réussirais à renouveler mes toxines. Mais ce dérivé de mon véritable poison ne leur ferait pas de mal. Juste une belle frousse qui allait les occuper, pendant les quinze prochaines minutes ... Ils allaient connaitre la terreur pure, pendant quinze belles minutes au bas mot, et après, ils se réveilleront de ce cauchemar hallucinant. L'épouvantail peut être bon et magnanime, quand il le désire. Avec un rire monstrueux, je quitte l'entrepôt, mon rire éclatant dans les ténèbres des ruelles de Gotham. Douce Gotham ... Tu es à moi !
Messages : 30 Date d'Inscription : 29/12/2023
▲ Goth-Passeport ▲ Alliés: Ennemis: ♦ Domicile à Gotham : ♥ Love interest: Armes & gadgets: Renee Montoya
Sujet: Re: Morts de Peur [PV GCPD] Dim 10 Mar 2024 - 18:05
Maître des peurs
Feat Scarecrow / GCPD
Silent était entrée de sa promenade nocturne et avait lui aussi menacé Crane pour qu'il leur livre la position des otages, il avait déjà perdu beaucoup de temps avec cet interrogatoire. Et puis il se met à énoncer où se trouve les otages. Montoya écoute attentivement et écrit en même temps sur son téléphone pour ne pas manquer un seul indice qui pourrait changer la donne lors des fouilles. Vient le moment où il allait dévoiler où était le père de Montoya, cette dernière croise le regard de Crane. Ce dernier prend un malin plaisir à voir Montoya terrifier pour ce qui pourrait arriver à son père. Voilà elle a l'info qu'elle souhaiter, alors qu'elle allait appeler le GCPD pour donner les postions des otages. Elle voit quelque chose tomber sur le sol et se casser, elle bandit une nouvelle fois son arme en direction de Crane.
" - Qu'est-ce que tu viens de faire ?"
Puis avant d'avoir une réponse, Renee est prise d'une quinte de toux et sa vision se trouble légèrement. Elle comprend vite que Crane à lâcher une toxine dans l'entrepôt, il prend le dessus sur eux. Montoya le voit prendre le chemin de la sortie, la lieutenant tente de lui tirer dessus pour qu'il ne prenne pas la fuite, mais la balle finie dans le mur.
" - Crane, tu vas me le pa...."
Montoya lâche son arme et tombe à genoux, elle est prise d'une soudaine terreur devant ses yeux, une scène d'horreur se déroule. Elle voit sa mère, son frère et son père, attaché en cercle et à côté d'eux, se tient l'Épouvantail avec à la main une fourche. Il se tourne vers Montoya, son sourire est glaçant. Elle sait ce qu'il compte faire, mais elle est incapable de bouger, elle est comme figée. L'épouvantail enfonce la fourche dans le ventre de son frère, celui-ci pousse des cris d'agonie. Montoya hurle, pour elle, ce n'est pas réel et pourtant, on dirait que oui. L'épouvantail continue son chemin macabre avec comme nouvelle victime la mère de l'inspecteur. Elle puise dans ses forces pour se mettre debout en titubant, elle se jette sur Crane, mais au moment de le toucher, il s'évapore dans un nuage de fumée. Montoya est plongé dans le noir avec comme écho le rire de Crane. Elle se tient la tête entre ses mains et hurle.
" - La ferme LA FERME...Tu n'existes pas, t'es dans ma tête, t'es pas réel."