[flashback] Home is where i belong with you | ft. Babs
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Sujet: [flashback] Home is where i belong with you | ft. Babs Mar 16 Avr 2024 - 22:17
Type de RP : Normal
Date du RP : Septembre 2019
Participants: Dick R. Grayson & Barbara Gordon
Trigger warning: ///
Résumé: Dick et Barbara cherchent un endroit qui pourrait devenir leur chez-eux. Et, pour ce faire, ils sont prêts à utiliser tous les moyens à leur disposition pour avoir un coup d'avance sur les autres personnes en recherche d'achat immobilier.
Home is where I belong with youFT. Barbara Gordon Aujourd’hui, il n’y a pas de GCPD, il n’y a pas de capes, il n’y a pas de costumes, il n’y a pas de Mission. Il n’y a qu’eux deux. Eux deux et leur futur. Le Beffroi n’est pas vraiment l’endroit le plus confortable du monde mais c’est là qu’ils ont le meilleur équipement informatique. Pas qu’ils aient besoin d’une telle machine de guerre pour leurs machinations mais cela leur ferait assurément gagner du temps.
Malgré le lieu que Barbara utilise le plus souvent en tant qu’Oracle, la scène est cruellement domestique. Au milieu de la multitude d’écrans, deux chaises avaient étés tirées ainsi qu’une petite table sur laquelle Dick avait installé boissons et snacks. Sa femme le tuerait surement s’il renversait quoi que ce soit sur ses machines donc la prudence était de mise.
Les yeux du lieutenant quittent les écrans pour revenir se concentrer sur sa tâche. Méticuleusement, il vient peindre de verni le dernier orteil de la rousse. Un sourire tendre aux lèvres, il observe son œuvre. Elle l’avait laissé choisir la couleur et, bien sûr, il avait opté pour son bleu Nightwing. Il n’est pas du genre jaloux ou possessif – sinon cela n’aurait jamais fonctionné entre eux au vu du besoin d’indépendance de Barbara – mais cela ne l’empêche pas d’adorer voir sa femme porter ses couleurs.
« Tu es sûre qu’il n’y a rien dans les quartiers les moins pourris d’Old Gotham ? » souffle-t-il, faussement boudeur.
Ils en avaient déjà parlé. Old Gotham représentait trop de risques. Cela les mettrait peut-être au centre de l’action mais au vu du matériel qu’ils comptent stocker chez eux, même avec toutes les protections du monde, c’est un risque qu’ils ne pouvaient pas prendre.
Ce qui avait plutôt chagriné Dick, d’ailleurs. Des différentes îles et quartiers de Gotham, il a toujours préféré patrouiller le vieux Gotham, là où les gargouilles sont omniprésentes et où l’architecture gothique lui rappelle l’âme même de la ville qui l’a accueilli alors qu’il n’était qu’un orphelin égaré.
Mais là où il est une créature de sentiment, Barbara était la voix de la raison. Sans doute est-ce pour cela qu’ils fonctionnent si bien ensemble. A deux, ils finissent par se tirer à un équilibre entre émotionnel et rationnel.
Ainsi, leur recherche immobilière s’était plutôt tourné vers Burnside.
Ses mains déposent le vernis sur leur table de tous les vices et il récupère son mug de chocolat chaud dans lequel il a fait fondre une quantité astronomique de guimauve et s’en accorde quelques gorgées avant de le reposer sur la table. Ses dextres reviennent ensuite aux pieds de sa femme, venant délicatement les masser pendant qu’elle fait le plus gros du travail.
Ils auraient pu appeler les agences les plus huppées de Gotham et utiliser le nom des Wayne pour faire le plus gros du travail pour eux. Mais, déjà, ils n’aiment pas utiliser l’aura de son nom pour obtenir des faveurs. Ensuite, quel est le fun dans tout cela ?
Quand ils ont décidé de changer de logement, de se trouver un truc réellement à eux plutôt que de continuer de sauter de l’appartement de l’un et de l’autre, c’est une étape qu’ils voulaient faire à deux. C’est quelque chose d’important, pas quelque chose qu’ils veulent laisser au premier agent immobilier pour figurer pour eux.
Les voici donc ici, au Beffroi, pendant leurs jours de congés, à hacker les différentes agences immobilières de Gotham à la recherche de leur petite perle rare avant même qu’elle n’apparaisse sur le site des agences.
« Par contre, j’insiste. Si on trouve quelque chose à Burnside Heights, je ne veux pas que le prix soit une raison de laisser passer un lieu qui nous convienne. »
Après tout, il est toujours propriétaire de l’immeuble dans lequel il a vécu à l’époque, à Blüdhaven. Il est toujours propriétaire du cirque où il a grandi aussi. L’argent n’est pas un problème. Très tôt, Alfred l’a aidé à faire ses placements et à faire fructifier son argent et ses parts dans Wayne Enterprise.
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Sujet: Re: [flashback] Home is where i belong with you | ft. Babs Mar 30 Avr 2024 - 13:44
Tenue
Together
I got something and it feels right what I need it to be. You control what you feel for me, I was watching you the whole night. I can never explain how the magic was made. Don't look back, when you're holding me 'cause I know what this love was meant to be. one day we're gonna wake up together, you won't wanna go home. We'll find love here together and it feels so good in my arms . -- feat. @Dick R. Grayson/Nightwing
Si un jour on lui avait dit au réveil il y a de ça deux ou trois ans encore "Barbara Gordon, tu vas te marier avec l'homme de ta vie", elle aurait ri au nez à cette version future avant de ravaler de travers sa salive et se demander qui est en fait l'homme de sa vie. Mais depuis elle sait. Parce qu'elle a dit oui à cet homme, cet homme même qui en cet instant, alors qu'elle est cachée sous ce pull épais avec cette tête de bouledogue qui a l'air de demander des frites, son pantalon faux jean élastique parce que c'est confort. Pas vraiment sexy à tout prix, pas la quintessence de ce qui pourrait faire vaciller le coeur d'un homme. D'autant plus quand on connait son passif, et celui lui servant de paternel accessoirement.
Elle a dit oui à Dick Grayson, alors qu'envers et contre tout, alors qu'elle ne s'était jamais vu capable d'aller plus loin que des flirts en raison de leurs hauts et leurs bas, tout était fait pour que l'inverse se produise. Mais avec le recul, avec un tant soi peu de résilience et l'attitude même de Dick à son égard, elle avait changé. Accepté qu'elle pouvait, avec lui. Qu'elle aurait comme toute fille un peu concon et amoureuse cette nouvelle étape dans leur relation. Car Dick est du genre déterminé, têtu et passionné quand il s'y met et ça ... même une introvertie et blessée par la vie comme Babs Gordon a du mal à y résister. Au delà du mariage, il y a ce nouvel aspect qui, dans un total contresens pouvant se résumer à mettre la charrue avant les boeufs, les deux tourtereaux de la famille Wayne se devaient d'avoir leur chez soi. Pas deux appartements séparés à chaque bout de la ville, sachant qu'en plus cela perturbe Haley quand chacun se doit de la garder à tour de rôle. Non, cette fois c'est l'appartement, leur chez soi commun qui est le sujet du pourquoi en ce jour ils sont au Beffroi.
« Si on veut quelque chose qui entre dans nos critères, on crève au moins le PIB de la Zambésie. »
Bon, elle exagère un petit peu, mais Old Gotham a beau être malfamé par endroits, il reste un quartier couru où la spéculation immobilière a pignon sur rue. D'autant plus que les immeubles historiques se font massacrer sur leurs derniers étages pour que des duplex y tiennent. Et un duplex ça coûte sacrément cher. Barbara a beau être une technicienne freelance prolifique dans le domaine du codage et des restructurations informatiques, son salaire ne crève pas le plafond. Et bien que nombre d'enfants Wayne aient des parts, elle s'est toujours refusée à en recevoir pour la pure et simple raison qu'elle souhaitait être sa propre femme. Paradoxal, en sachant que la majorité du matériel vient tout de même de Wayne Entreprises. Disons qu'avoir des actions ne lui plaît pas, parce qu'elle aurait l'impression de devoir encore des choses à Bruce. Et comment dire que ... depuis un moment, elle n'est pas réellement fan des décisions prises par son mentor. Déjà, le mariage avec Selina Kyle lui est resté en travers de la gorge. Elle l'avait prévenu que ce serait une catastrophe vu que, dans un sens, Barbara connaît Catwoman. Les femmes qui ont besoin d'indépendance se comprennent, même si certaines finissent par devenir plus casanières. Ensuite l'enfermement de Jason à Arkham ... la liste serait trop longues pour expliquer que non, elle ne veut pas de ce que Wayne a.
« Je sais qu'on en a parlé en amont Dick. Mais ... J'ai conscience que mes décisions personnelles rajoutent des contraintes supplémentaires. »
Dit-elle en plissant les yeux, tout en continuant de se concentrer intensément sur ses recherches ... même si parfois, quand elle sent les doigts agiles de Dick flirter avec sa plante de pied, ou le pinceau déposant le vernis ... la rendent toute chose. Habituellement peu chatouilleuse voir pas du tout, Barbara ne peut pas, n'arrive pas quand c'est lui. Même Tim a essayé bien des fois de la faire tomber, sans succès d'ailleurs. Enfin, sans transition, Barbara se sent tout de même coupable de mettre encore des exigences sur la table. Bordel, si seulement elle était moins fière ... la rousse inspire longuement avant d'expirer à même valeur l'air engorgé, avant de reprendre ses recherches, en essayant tout de même de faire en sorte de ne serait-ce qu'un peu élargir les zones aux autres îles et faire en sorte que Dick puisse avoir aussi ce qu'il souhaite. De l'architecture, des spots sur lesquels contempler l'horizon et les bâtiments …
« Alors très bien. Je cède au fin négociateur que tu es la contrainte du prix. Tant que c'est Burnside Heights. »
Appartements mitoyens. Dernier étage. Si possible avec une zone blanche proche pour une éventuelle infirmerie. Cagibi ? Possibilité de monte charge condamné, aussi. Il y en a cinq. Deux à Burnside Heights, trois à Burnside. Les deux premiers lui donnent envie de se crever les yeux en termes de prix. Car le premier se résume à l'achat de deux appartements. Le second est déjà aménagé comme tel mais ... le prix quand même. Burnside dans sa globalité est pareil, mais il faut quand même voir sur place, car elle sent les embrouilles en raison de certaines photos et des agencements sur plan. Elle regrette légèrement d'avoir cédé sur les prix. Mais elle se rappelle aussi que parfois, faire des concessions ... aussi attachée soit-elle au principe de modestie, leur vie n'est en rien ordinaire, et encore moins modeste.
«J'ai cinq possibilités sur Burnside et Burnside Heights. Une est en face du Square. Une autre à un bloc du musée, ce qui en soi en termes de panorama pourrait te plaire. »
Elle tape sur quelques touches de claviers et laisse ainsi apparaître sur différentes fenêtres de type pop up les dits appartements. Puis, elle se concentre à nouveau sur Dick et frémit en voyant ... en le voyant lui masser les pieds. Et elle ne peut s'empêcher de rougir des pommettes aux oreilles, ni de trembler légèrement des doigts de pieds. Voir de tout lâcher pour se rapprocher de lui, le détacher de ses petites attentions, et venir dans son dos pour embrasser sa joue, passer une main dans ses bruns cheveux et frotter doucement son cuir chevelu.
«C'est à toi de faire ta part maintenant. Tandis que moi je prends ta place. »
Lui susurre-t-elle affectueusement et chaudement contre son oreille, pendant que sa main droite vient flirter de ses doigts contre la ligne de son sternum et de ses clavicules, avant de s'instiller par douces pressions et rotations sur la jonction entre la nuque et l'épaule. Eh, il n'y a pas qu'elle qui a le droit aux petites attentions.
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Invité
Sujet: Re: [flashback] Home is where i belong with you | ft. Babs Mar 30 Avr 2024 - 14:55
Home is where I belong with youFT. Barbara Gordon « Si on veut quelque chose qui entre dans nos critères, on crève au moins le PIB de la Zambésie. »
Dick renifle un léger rire à l’exagération de sa femme. Celui qui dit que les chauve-souris de Gotham sont du genre à en faire des tonnes ne les a jamais vu dans leur sphère privée. Ils se drapent tous plus ou moins de leurs couleurs de dramaqueen, que ça soit avec ou sans le masque. Mais c’est sans doute sans le masque qu’ils s’autorisent réellement à en faire des tonnes. Et, sincèrement, il n’est personne pour juger. Dans la famille, on l’accuse souvent d’être le pire du lot.
Mais Barbara avait raison. Ils en avaient déjà parlé de nombreuses fois, de ce rêve idéal qu’ils ont pour leur nid rien qu’à eux. Ils avaient jeté les contraintes comme s’ils ne parlaient que d’une utopie lointaine, quelque chose qu’ils n’effleureront même pas du doigt. Ce n’est qu’après coup qu’ils avaient fait le tri, pointant du doigts les choses qui étaient réellement importantes pour eux, ce sur lesquelles ils ne feraient pas de concession.
« Je sais qu'on en a parlé en amont Dick. Mais ... J'ai conscience que mes décisions personnelles rajoutent des contraintes supplémentaires. »
Il ne peut pas vraiment lui en vouloir. Son statut légal de premier fils Wayne l’oblige d’une certaine manière à présenter un certain style de vie, au moins pour les galas que son père tient. Mais il n’a jamais été du genre à abuser de l’argent qui dort sur son compte en banque. Il l’utilise principalement pour son matériel et pour des choses qui en valent vraiment la peine. Et trouver l’endroit parfait pour lui et sa femme, ça fait partie des choses qui, à son sens, en vaut vraiment la peine.
Et s’il le sujet de l’argent aurait pu rapidement créer un conflit, Dick se contente de regarder la rousse avec un sourire tendre et le regard doux, la couvant de toute l’affection qu’il a pour elle. Ce besoin brulant d’indépendance, d’être une femme forte qui n’a qu’elle-même à remercier pour sa situation, c’est l’une des choses qu’il aime le plus chez elle. Et il aime encore plus qu’elle ait accepté de lui faire une place dans sa vie malgré tout. Ça lui donne la sensation d’être l’homme le plus spécial au monde.
Ses doigts se font plus doux sur sa plante de pied, presque chatouilleurs alors qu’il se rend compte – sans doute pour la dixième fois aujourd’hui – à quel point il aime Barbara. Elle inspire et expire et Dick sait qu’il a gagné cet argument silencieux. Il se retient de chantonner sa victoire, sachant pertinemment que tant que les papiers n’étaient pas signés, rien n’était encore réellement gagné.
« Alors très bien. Je cède au fin négociateur que tu es la contrainte du prix. Tant que c'est Burnside Heights. »
Un simple « Mmmhmm » appréciateur fait vibrer la gorge de l’ainé des Wayne alors que son massage se fait à nouveau plus appuyé. Il a appris, au fil des années, quelles étaient les victoires qu’il devait juste accepter sans un mot. Il détache alors son regard de sa merveilleuse femme pour revenir aux écrans, observant les sélections se faire sous ses yeux.
« J'ai cinq possibilités sur Burnside et Burnside Heights. Une est en face du Square. Une autre à un bloc du musée, ce qui en soi en termes de panorama pourrait te plaire. »
Dick se redresse légèrement, observant les annonces encore incomplètes s’afficher les unes après les autres. Il rate la chaleur sur les joues de sa rouquine alors qu’il est en train de détailler les lieux qui sont sur le point d’être mis en vente. Peut-être que l’un d’eux sera leur futur chez-eux… Le pied de Barbara quitte ses mains et il ne la retient pas. Il l’entend s’approcher de lui, se levant pour venir se caller dans son dos.
Il se laisse retomber au fond de sa chaise, relevant les yeux juste à temps pour la voir se pencher au-dessus de lui. Ces lèvres sur sa joue, ces doigts dans ses cheveux… Il en ronronnerait presque. Il a toujours été tactile, il a toujours eu besoin de ce contact avec les gens. Et si sa famille est trop émotionnellement inapte que pour lui offrir cette tendresse dont il a besoin, il a trouvé en Barbara la personne dont il avait besoin, savourant chacun de leurs contacts comme un affamé à qui on donnerait une pomme.
« C'est à toi de faire ta part maintenant. Tandis que moi je prends ta place. »
Et Dick fond sous cette voix, sous ces mains. Il s’autorise à fermer les yeux l’espace de quelques secondes, un grondement appréciateur ronronnant hors de sa gorge. Il pourrait passer des heures ainsi, à juste profiter de ce contact aussi simple, aussi doux, aussi vital pour lui. Mais Babs a raison. Il a un travail à faire. Alors il se force à ouvrir les yeux et à reporter son attention sur les annonces.
Ses mains s’étirent vers le clavier et la souris et il ouvre un plan de la ville, zoomant directement sur le quartier qui les intéresse. Ils connaissent tous deux la ville comme leur poche. Ils n’ont pas vraiment besoin d’ajouter un plan à côté des adresses. Mais la vision satellite pourrait lui apporter une information importante. Il pianote un bref instant avant de fermer un onglet sans aucun coup de semonce.
« Pas d’accès au toit. » se contente-t-il de dire.
S’il est toujours rentré chez lui après une patrouille par la fenêtre, l’accès au toit par une vraie porte est clairement un plus qu’il ne peut pas ignorer. C’est un confort, mais un confort auquel il tient. Une étrange notion de confort, d’ailleurs. Mais on ne peut pas vraiment dire que des justiciers regardent les biens immobiliers de la même manière que monsieur et madame tout le monde.
Il leur faut des endroits où cacher leur matériel, il leur faut une infirmerie complètement équipée, il leur faut des accès faciles à l’extérieur, il leur faut la sécurité d’un dernier étage, il leur faut l’assurance que les regards des voisins ne vont pas trop trainer sur eux et leurs comportements étranges. Il leur faut tellement de choses…
Il reste quatre adresses et Dick ouvre, un a un, les plans des deux appartements. L’une des possibilités à Burnside Heights est écartée à son tour à cause de la présence d’un troisième appartement au dernier étage. Les trois autres options leur offriraient la possibilité d’avoir en quelque sorte leur étage rien qu’à eux. Exit donc les voisins curieux.
« J’aime bien la position de celui-ci, ainsi que les plans. J’ai juste quelques interrogations sur deux trois trucs qui me paraissent étranges, quand je compare les plans et les photos. »
Après tout, ce n’est pas comme si la ville passait son temps à se reconstruire. L’activité criminelle y est élevée et, plus souvent que pas, les plans se perdaient en chemin d’une modification à l’autre. Rien de bien étonnant là-dedans et la raison pour laquelle personne ne devrait jamais rien acheter à Gotham sans avoir méticuleusement visité les lieux avants.
« Je crois que c’est mon préféré, d’ailleurs. »
Il relève la tête pour sourire à sa femme. Ce sourire stupidement radieux qui est sa signature depuis tant d’années.
« Comment tu veux faire ça ? On est sage et on appelle l’agence pour demander une visite… ou on enfile nos masques pour aller y jeter tranquillement un œil par nous-même ? » son sourire se fait canaille alors qu’il pose la question, ayant déjà une bonne idée de la réponse qu’allait lui donner Barbara. Après tout, il ne l’a pas marié pour rien.
Gosh, qu’est-ce qu’il aime cette femme.
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Sujet: Re: [flashback] Home is where i belong with you | ft. Babs Jeu 2 Mai 2024 - 17:27
Tenue
Together
I got something and it feels right what I need it to be. You control what you feel for me, I was watching you the whole night. I can never explain how the magic was made. Don't look back, when you're holding me 'cause I know what this love was meant to be. one day we're gonna wake up together, you won't wanna go home. We'll find love here together and it feels so good in my arms . -- feat. @Dick R. Grayson/Nightwing
Dieu qu'il est agaçant mais aussi fondant quand il n'est que silence, et ne lui offre finalement que ces légères vibrations de gorge en guise d'approbation. Elle se sent autant frustrée que soutenue dans cette démarche où tout de même, elle sait qu'elle a concédé. Pour le bien de leurs rêves cependant, donc ce n'est pas une transaction aussi foireuse que ça en a l'air. Surtout quand elle voit ce petit sourire en coin qu'il arbore. Combo duo avec ce massage plus appuyé remontant toute sa maîtrise dans une réponse nerveuse, jusqu'à ce cerveau en pleine ébullition. D'ailleurs elle a réprimé à grand peine un gémissement de contentement à ce moment là. En tout cas, ce moment est de l'histoire ancienne, d'une certaine manière. Car c'est elle qui se retrouve à sa place en allant glisser ses doigts sur les trapèzes de Dick et appuyer vers la zone des omoplates de ses pouces. La voilà donc debout, derrière l'assise de son mari à s'atteler temporairement au bien être de celui-ci, tandis que ses yeux se posent sur l'écran, attendant ainsi le passé au peigne fin qui fournira enfin un verdict entier et pleinement assumé.
« Mh, vrai. En plus il n'y pas de coffee shop ou ne serait-ce qu'un donut shop dans le coin. Zero fun dans cette zone. »
À sa réflexion concernant les plans, elle ne peut que sourire. Parce qu'elle a pensé la même. Encore une preuve qu'il lit un peu trop dans ses pensées. Et qu'il est vraiment sa moitié. Pas parfaite, mais sa belle et magnifique moitié qui vibre des os aux muscles sous ses doigts agiles de tapeuse de clavier.
« Il y a sûrement eu des modifications sauvages suite à une explosion, ou sans doute la mise en place de caches. N'oublie pas qu'ils aiment bien ce genre de petites surprises dans les rangs de la Pègre. »
Quoi de mieux que les derniers étages pour installer des pièces cachées. Souvent ce genre d'étage n'est pas couru en raison du manque d'ascenseurs fonctionnels et donc du nombre de marches à monter chaque jour que faire se peut. Donc la Pègre de Gotham en profite parfois pour installer dans ces appartements délaissés leurs caches à consommables ou leur argent sale pas encore blanchi. De plus ils ne sont pas à l'abri de découvrir par mégarde quelque chose qui relève de la vétusté des lieux. Ce qui en soi leur permettra de négocier une baisse de prix. Eh, il n'y a pas de petits profits comme on dit. Et le verdict tombe. C'est celui-ci. L'appartement, pas Dick, qu'elle boit de ses iris vertes légèrement cachées par les verres de ses lunettes.
« Je ne sais pas. Quand je te vois avec ce regard je sais que l'option deux est inévitable à un degré de soixante quinze pour cent. Mais ce pourcentage peut descendre à trente si j'évoque que le troisième membre de notre famille nous attend sûrement en étant assis devant la porte d'entrée de ton appartement. »
À savoir Haley. Oui, elle sait pertinemment que Dick veut y aller dans ce mode non sage autant pour flex dans son costume en sa compagnie que pour trouver de lui-même les écarts éventuels qu'ils ont suspecté en amont. Bien sûr, en le voyant faire ses yeux de chien battu, Barbara qui jusque là arborait une expression sérieuse pour faire peser sur sa conscience la solitude de leur petite boule de nerfs sur trois pattes, se met à rire doucement pour lui signifier par la présente qu'elle le menait par le bout du nez. Et elle l'embrasse alors tendrement sur le front pour le rassurer ...
« Ne t'inquiète pas, avant qu'on parte, j'ai allumé les pet cameras. Tu pourras même lui faire coucou et vérifier ce qu'elle a réussi à détruire pendant ton absence. »
... ou pas. Haley a beau être adorable, c'est une sacrée boule d'énergie ayant de bonnes dents. Et les deux en savent quelques chose en raison de la dernière console de salon massacrée par son auguste mâchoire de canidé. Barbara se décale donc pour se diriger vers la zone du Beffroi réservé au stockage des costumes de secours ou pour certains, renforcés en cas de crise majeure requérant une intervention rapide et équipée.
« Si tu cherches ton costume Fièvre du Samedi Soir chéri, je me suis permis de le ramener dans la Batcave et ainsi l'offrir de manière permanente à la vue de Damian et Bruce. »
Ce qui lui permet aussi d'échapper sommes toutes au fait qu'il le mette ce soir. Il a beau aimer ce souvenir de ces années de folie rétro, son obsession relève presque de celles de ces gens qui se focalisent pendant des mois sur un seul et même ingrédient. Comme la coriandre dans tous les plats, que ce soit l'entrée, le principal, ou le dessert ... voir la boisson. Donc elle échappe à cette vision pour ce soir. Et cela leur donnera un singulier bonus en furtivité au demeurant.
Invité
Sujet: Re: [flashback] Home is where i belong with you | ft. Babs Jeu 2 Mai 2024 - 17:28
Home is where I belong with youFT. Barbara Gordon « Je ne sais pas. Quand je te vois avec ce regard je sais que l'option deux est inévitable à un degré de soixante-quinze pour cent. Mais ce pourcentage peut descendre à trente si j'évoque que le troisième membre de notre famille nous attend sûrement en étant assis devant la porte d'entrée de ton appartement. »
Son sourire diminue un peu. C’est vrai qu’ils ont laissé Haley chez lui. Il aime sa petite boule de poils et de chaos de toute son âme mais la chienne reste hautement dangereuse pour le mobilier… ou les infrastructures informatiques. S’il l’avait prise avec, ils n’auraient pas vraiment pu se concentrer sur leur recherche, trop occupé qu’ils auraient été à contenir l’énergie chaotique d’Haley. Et, surtout, il n’a pas envie de devoir expliquer à Bruce que les ordinateurs du Beffroi ont besoin d’être remplacés parce que sa chienne s’est soulagée dessus, merci bien.
Une moue inquiète et boudeuse à la fois étire les lèvres de Dick alors qu’il pense à la pauvre chienne seule chez lui. Il n’aime pas la laisser seule plus que nécessaire… Vivre plus proche de Barbara lui permettra de moins souffrir de la solitude pendant qu’ils sont occupés à vivre leurs vies de justiciers. Mais le rire de Barbara efface un peu cette inquiétude. Cela ne l’empêche pas de continuer avec sa mine exagérée.
« Ne t'inquiète pas, avant qu'on parte, j'ai allumé les pet cameras. Tu pourras même lui faire coucou et vérifier ce qu'elle a réussi à détruire pendant ton absence. - Épouse moi ? Oh, attends, c’est déjà fait ~ » roucoule-t-il, ne pouvant contenir un léger rire.
Barbara s’efface, allant sans doute chercher de quoi se changer et Dick, lui, dégaine son smartphone pour se connecter aux caméras qu’il a installées chez lui. Avant longtemps, il voit Haley dormir sagement sur le canapé. Il fait un tour rapide des différents angles pour s’assurer que rien n’a été détruit et coupe la connexion quand il se voit convaincu que sa chienne n’a pas encore ouverte le portail vers la source du chaos originel chez lui. Du moins, pour le moment.
Il range donc son téléphone et rejoint Barbara peu de temps après son départ. Il la retrouve déjà en train de se changer.
« Si tu cherches ton costume Fièvre du Samedi Soir chéri, je me suis permis de le ramener dans la Batcave et ainsi l'offrir de manière permanente à la vue de Damian et Bruce. »
Un son outré bien trop exagéré que pour être réel échappe au lieutenant. Il porte une main à son cœur, comme si la nouvelle l’affectait réellement. Il se laisse couler partiellement le long d’un mur, mimant le choc d’une blessure physique et bien réelle.
« Et moi qui pensait pouvoir faire un tour dans le Discowing sans avoir à passer sous le regard de Bruce ! Trahison ! » couine-t-il, faussement blessé par les actes de sa femme, un rire dans sa voix.
Il se redresse et la tire à lui alors qu’elle ne porte qu’à moitié son costume de Batgirl. Une main passe dans sa nuque et il rompt l’espace qui s’attarde entre eux, venant l’embrasser brièvement mais avec taquinerie. Elle goute le café qu’il lui a préparé plus tôt. Il lui mordille quelques instant la lèvre inférieure avant de la lâcher, comme si cela n’avait été qu’une courte punition pour avoir ramené son vieux costume dans la Batcave.
Il la relâche ensuite, le souffle un peu court, chassé par la beauté de sa rousse. Il va pour se changer aussi, ouvrant son casier pour y jeter ses vêtements en boule jusqu’à ne plus être qu’en caleçon. Il va alors regarder ce qu’il a comme choix. Maintenant que le Discowing n’est plus une possibilité, il doit bien avouer que ses costumes modernes se ressemblent tous un peu. Il opte donc pour le costume léger. Il y a peu de chances qu’ils se retrouvent à devoir se battre quand ils sortent juste pour leur shopping immobilier.
Et il doit bien avouer qu’il n’aime pas comment les costumes les plus lourds, pour les situations les plus drastiques, entravent ses mouvements. Son style de combat acrobatique lui demande une certaine mobilité qu’il se voit devoir sacrifier quand il doit porter des armures plus conséquentes. Cela a longtemps été un sujet de discorde entre lui et Bruce. Finalement, Dick a accepté l’existence de ces costumes… mais cela ne veut pas dire pour autant qu’il compte les porter un jour, merci bien.
Il se change rapidement. Après tout, il fait ça depuis son enfance et il pourrait le faire dans le noir le plus complet tant il connait son uniforme par cœur. Il a souvent dû le faire dans ce genre de circonstances. On ne choisit pas toujours à quel moment il est nécessaire d’enfiler le masque et si la vie lui a bien apprit une chose, c’est que ce genre de moments clefs manquent souvent de glamour.
Et alors qu’il est finalement habillé, glissant ses bâtons escrima dans son dos plus par habitude de leur poids que par nécessité – encore une fois, ils vont juste faire leur shopping – il se retourne vers Barbara qui finit, elle aussi de s’apprêter.
« Batcycle ? » demande-t-il en récupérant les clefs du véhicule.
Ils pourraient y aller entièrement par les toits mais, sincèrement, ils iront plus vite ainsi. Il lance les clefs à Batgirl, se disant que ça lui ferait une excellente excuse pour se coller contre elle pendant le trajet. Et puis, cela fait quelques jours maintenant qu’il n’a pas été à bord d’un véhicule étant conduit de manière stupidement rapide dans les rues de Gotham. La sensation lui manque un peu.
« Bitewing va bien. Pas de dommage à signaler pour le moment. Elle dort sagement sur le canapé. » se permet-il malgré tout d’informer la rouquine.
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