Messages : 60 Date d'Inscription : 12/04/2021 GCPD: Law and Order
Sujet: Lethal Countdown [KNIGHTFALL PROTOCOL] Mar 15 Juin 2021 - 0:42
Rappel du premier message :
La mort nous encercle 15.08.2017 G.C.P.D
Il faisait totalement noir dans le commissariat, voilà maintenant dix bonnes minutes que le lieutenant Peakes cherchait son talkie walkie. Il était inquiet, il y avait eu un bref échange de coups de feu, puis plus rien. La lumière s’était alors éteinte, rendant toute tentative de discerner quoi que ce soit à la situation quasiment impossible, le souci c’est que le générateur de secours aurait déjà dû prendre le relais. Qui pouvait bien les attaquer ? En tous cas un ennemi qui connaissait assez bien le GCPD pour penser à désactiver le second générateur. Enfin Peakes mettait la main sur sa radio il allait pouvoir essayer de contacter quelqu’un et peut être enfin avoir une idée de ce qu’il se passait réellement tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du bâtiment. Il passait la radio sur la fréquence générale en espérant entendre des nouvelles mais le grésillement pour seule réponse lui fit de suite comprendre que les communications avec l’extérieur étaient brouillées. Il passa alors sur le canal affilié à sa propre unité, ils venaient de terminer leur service, peut être qu’ils étaient encore dans le commissariat.
«Ici Peakes, les gars quelqu’un pourrait me faire un compte rendu de la situation s’il-vous plait ?»
Une fois de plus le silence était sa seule réponse, il était seul dans ce grand bâtiment sans lumière et la panique commençait à l’envahir. Comment était-ce possible ? Qui pouvait oser attaquer le GCPD ? Non il n’y avait eu que peu de coups de feu, il s’inquiétait sans doutes pour rien. À l’instant précis où il avait cette pensée rassurante un cri à glacer le sang retentit dans le couloir à quelques dizaines de mètres de lui. Pourtant il était au cinquième étage, un ennemi passé par la porte aurait dû se coltiner un paquet de collègues avant d’arriver jusqu’ici. Il pris sa lampe torche de service en s’aidant du peu de lumière émise par l’écran de la radio et sorti dans le couloir pour vérifier.
Horreur face à lui le corps de Peter Storm, un jeune inspecteur fraichement promu, quelques mètres plus loin sa tête fixait Peakes de son regard vide, l’effroi pouvait se lire sur son visage. Qui avait bien pu faire ça ?
«Lieutenant, ici Blake. C’est horrible ! Les vestiaires, c’est un véritable charnier. Sortez de là au plus vite, je suis dans le hall je vous attend deho… ARHGG !»
La rafale de mitraillette qu’il avait entendu à l’extérieur du bâtiment ne laissait aucun doute à Peakes sur ce qu’il venait d’arriver à Blake. Le GCPD était en état de siège, et de l’intérieur des hommes tuaient les policiers dans le poste. Mais pourquoi ?
Merde, un mouvement rapide passa dans le faisceau blafard de sa lampe. Trop rapide pour qu’il soit vraiment sûr de ce qu’il avait vu. Non il avait dû rêver. Soudain un éclat métallique brilla à quelques centimètres de lui, il ressentit une vive douleur au niveau du cou. Puis plus rien, le néant, la mort !
- Il n'y a aucun ordre de passage à respecter, vous postez quand vous voulez ! Ainsi, vous ne serez pas jamais bloqué. - Un délai de 10 jours maximum après le post du Maître du jeu. Si vous ne répondez pas dans le temps imparti, le tour suivant débutera, avec ou sans vous. - Une limite de 500 mots maximum par post. - Ceci est un event, l'intégrité physique et mentale de votre personnage sont engagées, en fonction de votre comportement, il est possible que vous subissiez des dégàts, votre personnage ne sera pas tué sans votre consentement, mais les conséquences peuvent être catastrophiques si vous ne faites pas attention. -Vous démarrez depuis l'intérieur du commissariat.
Gare à la Cour des Hiboux qui d'en haut scrute Gotham, Au Tribunal des Chouettes qui sait tout de nos âmes, Car par delà les murs il entend chaque mot, Gare à son bras armé, gare à son émissaire, dont le nom est l'Ergot.
Je me lève, je suis appelé, j'ignore d'où vient cet appel, et cette chanson qui me trotte dans la tête, elle tourne en boucle dans mon esprit, j'ouvre les yeux et je vois, mais que vois-je ? C'est la réalité ? Un homme déguisé en chouette me demande d'aller tuer le commissaire, c'est très curieux, j'ai beaucoup de respect pour James Gordon Señior, alors pourquoi est-ce que j'ai tellement envie d'effectivement aller lui arracher l'artère jugulaire avec mes dents ???
Loki ?
Loki où es-tu ?
Qui suis-je ?
Je n'ai pas de nom, j'étais Salocin Levaihcam, et j'ai été tué, assassiné froidement, et maintenant on me demande de perpétrer la façon dont on m'a ôté la vie, et je dois obéir... Je vais obéir !
Alors que l'Engoulevent s'en va, nous laissant, mes homologues ressuscités et moi-même sans d'autres informations que de tuer Gordon... Je n'ai pas besoin d'autres directives, je sais parfaitement où il se cache, il doit se terrer dans les sous-sols , certains flics disposent du minimum syndical d'intelligence pour avoir compris que la menace venait d'en haut et que pour gagner du temps, il faut se réfugier au plus bas.
C'est tout naturellement que je me dirige vers l'objet de ma rédemption, en serviteur docile et efficace.
Les réseaux de ventilations vont me permettre de descendre en une seule fois, je me laisse glisser et hop, je suis dans les niveaux inférieurs, plus que quelques mètres avant d'arriver... Et me voila !!!
Quand je défonce la porte à grand coup de pied, j'ai toujours été si fort moi ? C'est étrange... Devant moi se tiennent Gordon et Lavrinenko, une gêneuse à éradiquer avant de m'octroyer la gloire de la mort du vieux chnoque !
Je sors mon pistolet et vise ma collègue. En guise d'excuse pour ce que je m'aprête à faire, seuls quelques grognements inintelligibles s'échappent de ma gorge, mes mains tremblent, je ne veux pas au fond de moi faire ça, mais je dois obéir à mes maîtres, ils mourront tous comme des chiens ! POUR LA COUR DES HIBOUX !
Bon j’étais au Rez-de-chaussée, Marave allait me faire gagner un temps précieux, mais il fallait l’utiliser avec discernement. Je me jetais dans l’escalier de l’entresol, la main courante depuis laquelle Gordon dominait parfois le grand hall d’entrée du bâtiment pour donner des ordres dans les situations de crise. Son bureau était là, et juste à côté la salle des perquisitions et des pièces à conviction. Mon but était simple aller chercher Jim dans son bureau s’il y était et récupérer certaines des armes que les tarés costumés qui attaquaient Gotham pouvaient utiliser. Cette pièce était une sorte de musée du crime gothamite, des lance-roquettes et toutes sortes d’armes lourdes que tous ces timbrés pouvaient utiliser contre nous. Cette fois c’était nous qui allions nous en servir contre eux.
Ni une ni deux je rentrais dans le bureau de Jim, fusil mitrailleur en main. Je balayais la pièce de mon arme à laquelle j’avais fixé une lampe torche. Bordel, le bureau était vide, Jim devait être ailleurs, mais il n’avait pas répondu à la radio. J’espérais qu’il allait bien… Ok les radios faisaient du bruit, mais c’est pas comme si les ergots avaient besoin de ça pour nous repérer, si ce que Batman nous avait dit est vrai, et j’étais sûr que c’était le cas, les mecs étaient sur entrainés et avaient des sens hors du commun.
Bon, j’avais pas tellement le temps de tergiverser, il allait falloir se sortir les doigts du cul et se magner. Je sortais du bureau de mon meilleur ami pour rentrer dans la salle des saisies. Bordel, réfléchis, c’est quoi le code déjà ? Putain ça m’apprendra à déléguer ça… Enfin je tapais le mot de passe sur le clavier et je me ruais dans la pièce. Leur seule faiblesse c’était le froid. Je cherchais du regard l’étagère de Mr Freeze et de ses hommes, il n’y avait pas grand chose, un ancien modèle de canon à froid et une demi douzaines de grenades cryogéniques. Je les fourrais dans mon sac de sport, c’était pas la panacée mais c’était mieux que rien. J’attrapais également un lance grenade et je sortais de là. Depuis la main courante je voyais que Marave se bâtait avec un autre officier. Attend mais c’était Rogers ! J’étais pourtant sûr de l’avoir vu mort dans le hall. Putain ces connards arrivaient à relever leurs propres victimes. Je prenais appui sur le garde-fou je visais criant.
«Officier poussez vous, et à terre !»
Une fois qu’elle s’était mise en sécurité je tirais une grenade directement dans la tête de l’autre saloperie de zombie qui s’était tourné vers moi. Le type explosa en mille morceau recouvrant le sol de sang et de morceaux de crane et de cerveau. Je descendais les escaliers quatre à quatre pour rejoindre ma partenaire du moment, la pauvre était couverte de résidus organiques.
«Désolé, mais je pouvais pas prendre le risque qu’il te bute. Tout va bien ?»
Messages : 60 Date d'Inscription : 12/04/2021 GCPD: Law and Order
Le lieutenant Bullock avait été clair, il fallait descendre au premier étage, la défense s’organiserait depuis là. Le sergent MacKenzie était terrorisé mais il n’avait pas le choix. Il avait un étage à descendre et peut être le salut, alors que s’il restait là il ne trouverait que la mort. Il avait passé les dernières minutes enfermé dans une armoire technique. Des instants d’horreur, les bruits qu’il avait entendus le marqueraient toute sa vie, enfin s’il survivait à cette soirée en enfer. Comment oublier les cris de ces frères d’armes, ces hommes avec qui il avait étudié, il avait combattu ou même fêté des victoires sur la pègre. Le GCPD était une seconde famille, et c’est bien sa famille qu’il avait entendue se faire massacrer. Ces gargouillis de douleur, ces cris d’horreur mouillés de sang le réveilleraient toutes les nuits il en était persuadé.
Mais il avait gagné un second souffle, le message de Bullock résonnait comme un message de dernier espoir. Il sortait de sa cachette et se ruait vers les escaliers. Mais c’était sans compter sur les deux silhouettes silencieuses qui avaient braqué leurs regards sur lui à peine était-il sorti de son placard. Le sergent se demandait ce que pouvaient bien être ces types. Bullock avait parlé d’ergots, mais la Cour des Hiboux était une légende juste bonne à faire peur aux enfants. Pourtant les types qui fonçaient sur lui étaient bien déguisés en hiboux. Et les mecs du premier Octobre, la rumeur disait que c’était déjà la Cour qui avait orchestré cette attaque.
Le sergent Mackenzie venait de comprendre que les légendes étaient vraies, ses assaillants étaient trop rapides pour être humains. C’est don ainsi qu’il allait mourir, tué par le croque-mitaine dans les locaux du GCPD, alors qu’il faisait des heures sup’ pour monter en grade. Quelle mort de merde, enfin si tant est qu’on puisse avoir une bonne mort.
L’assassin levait sa lame, Mackenzie savait bien que c’était la dernière chose qu’il verrait de sa courte existence. Le reflet de l’arme dans la lumière rétablie l’aveuglait un instant. Mais soudain un grognement animal se fit entendre, Mackenzie ouvrit les yeux pour voir quatre chiens d’attaque de la brigade canine accrochés aux deux ergots. Ce sursis serait suffisant pour lui sauver la vie, il comptait bien en profiter. Il s’élançait pour atteindre la cage d’escalier, il entendit un horrible jappement derrière lui, ces pauvres bêtes s’étaient sacrifiées, il devait faire en sorte que ce n’était pas en vain. Il arrivait sur la main courante pour voir le lieutenant Bullock défoncer un ennemi à coup de lance grenade.
«Lieutenant, ils arrivent, ils sont deux. Ils sont rapides, ils sont forts. Mon lieutenant je pensais que c’était des légendes.»
- Il n'y a aucun ordre de passage à respecter, vous postez quand vous voulez ! Ainsi, vous ne serez pas jamais bloqué. - Un délai de 10 jours maximum après le post du Maître du jeu. Si vous ne répondez pas dans le temps imparti, le tour suivant débutera, avec ou sans vous. - Une limite de 500 mots maximum par post. - Ceci est un event, l'intégrité physique et mentale de votre personnage sont engagées, en fonction de votre comportement, il est possible que vous subissiez des dégàts, votre personnage ne sera pas tué sans votre consentement, mais les conséquences peuvent être catastrophiques si vous ne faites pas attention. -Vous démarrez depuis l'intérieur du commissariat.
Mia glissait un regard vers la porte de son bureau, elle apercevait quelque chose qui le faisait pâlir sur son étagère. Elle y pénétrait pour y trouver une sorte de petit drone qu'elle reconnaissait immédiatement, après un rapide examen elle en détachait une note de papier pour la lire. Son expression de décomposa à tel point que Reed lui demandait si elle allait vomir. "Non... c'est une amie. On est pas les seuls attaqués. Faut qu'on prévienne le Commissaire" soufflait la rouquine en empochant la lettre. Elle prenait le temps de mettre le robot dans un coin moins à la vu, puis sortait précipitamment. Elle devait en terminer ici au plus vite, protéger les siens, avant d'aller prêter main forte à Zala à l'extérieur. Elle espérait sincèrement qu'elle pourrait tenir.
Reed la suivait, toujours aussi effrayé néanmoins il réalisait qu'il était maintenant entouré de chiens qui seraient autant d'alarme sur patte en cas de contact avec l'ennemi. Mia de son côté sifflait sa meute. Elle pouvait comptait sur ses propres chiens, Rhéa et Paria, ainsi que sur une demi douzaine d'autres. Cela avait au moins le mérite de lui redonner un peu de courage et de confiance, alors qu'elle retournait dans le bâtiment principal du central. Progressant dans le couloir, elle pouvait entendre ce qui ressemblait à une détonation non loin, peut être juste à l'étage au dessus. La salle des saisies ? Peut être une embuscade ? Ou alors le début de la contre-attaque ?
La nouvelle lumière du poste permettait de rendre la progression plus rapide, mais aussi plus affreuse. Maintenant elle pouvait voir les traces de sangs, les impacts de balles, les corps. Mia serrait les dents, en rage de voir autant de collègues, de camarades, ainsi au sol. L'ennemi ne leur laissait aucune chance qui plus est, elle ne trouvait aucun blessé, uniquement des morts : ils achevaient leurs victimes. C'était une exécution, pure et simple.
Mia décidait donc de commencer par sécuriser le hall, puis de rallier les agents qui devaient avoir réparés le générateur. Elle finirait bien par croiser les assassins qui étaient au dessus, si ils nettoyaient l'endroit étage par étage.
Au grand désarroi de l'officier Reed, Mia abandonnait toute discrétion, elle appelait et laissait ses chiens aboyer, cherchant à rallier tout agent encore en vie dans la zone à son groupe. Les ergots étaient peut être puissants, mais si ils avaient pu abattre autant de personnes, c'était par la surprise et par l'isolement des gens. En groupe, en meute, il serait plus simple de se défendre. Même si certains tombaient, même si elle tombait, les autres pourraient abattre la menace. Ils étaient pour l'instant deux officiers, et huit chiens. Elle espérait rallier les gens isolés, afin de les protéger.
La meute se dirigeait gagnait l'escalier, et le premier niveau inférieur.
Apparemment, quelqu'un avait prit les devants. La lumière revint, mais c'est sans compter sur l'apparition d'un problème plus urgent qui venait à nous. Un ergot. Dans tout le commissariat, au-dessus, c'était la guerre. La remise en marche du courant était une bonne chose, mais nous avions un problème plus funeste à régler. Et dire que je pensais que la Cour des Hiboux avait pris sa retraite, après cette mauvaise nuit dans tout Gotham. Je pensais que nous en avions terminé avec eux. Cela voulait dire aussi que quelqu'un était derrière tout ça. Qui pouvait reprendre les rênes de cette organisation ? Je croyais que l'émissaire avait péri durant cette soirée. Les rapports furent bien incomplets mais quand même. D'un geste, je me met en travers pour protéger la jeune policière.
"Lavrinenko ! Derrière moi, quoique vous fassiez, il ne prendra aucun dégât ! C'est un ergot ! COUREZ !"
Je cours, comme si le Diable est derrière moi. Le mieux était de courir, de fuir, ces assassins ne pardonnent pas. Ils ne donnent aucune chance. Coincés, ils nous fallait trouver une solution. Dans les entrailles du bâtiment, il y'avait aussi des lieux de stockage. Il y'avait des armes confisquées et du matériel. Le but était de trouver une de ces salles de saisies. Dans le GCPD, il y'en avait quelques unes, et peut-être qu'on pourrait trouver quelque chose d'utile. Être un vieillard, ça a ses avantages, mais aussi ses inconvénients. Ancien soldat, j'avais un bon cardio, mais les ravages du temps font parfois mal au vieux palpitant dans mon être. Je tiens bon, toujours en train de courir.
"On doit atteindre une réserve ! Le seul moyen de stopper un ergot, c'est de le congeler !"
Le froid, d'après ce que m'avait dit Batman, et en concertation avec la prison de Blackgate, nous avions plongé les quelques rares ergots capturés dans des sarcophages de glace. Le froid les ralentit. Mais attend une minute ... Et si on inversait la température du central ? Et si on reprogrammait la température de l'endroit ? Et si cela marchait ? Un bref éclair de génie dira-t'on. Toujours en train de courir, je halète, j'essaie de comprendre ce qui se passe, et surtout, pourquoi on nous attaque maintenant. Que se passe-t'il dans ma ville ? Il me fallait une radio. Une foutue radio.
"Lavrinenko, occupez-vous de changer la température du bâtiment. Mettez un foutu froid polaire si vous le pouvez. Je me charge de récupérer un des pistolets de Mister Freeze."
Je cours, je me dirige au plus vite vers la réserve dont je connais l'itinéraire, je me sépare de Lavrinenko, elle comprendrait les enjeux. Je ne sais pas si l'ergot va me suivre ou s'il va suivre la jeune fille. Nous avions deux chances. Mais et les autres ? Que faisait Bullock ? Est-ce que mes gars sont encore vivants ? La question se pose. D'un geste de la main, j'ouvre la porte de la réserve avant de la barricader. Si l'ergot m'en voulait, alors je lui en donnerai pour son argent. Il me fallait trouver une caisse, appartenant à Mister Freeze, et vite !
❝ There are those who wage war ... and those who survive by going to war ❞Lethal CountdownUn Ergot… ? Mais il ressemblait comme deux gouttes d’eau à un collègue… Salocin… Mais clairement, il avait quelque chose de différent, comme s’il n’était plus lui-même. Cet homme, Tia’ ne le connaissait pas tant que ça, elle l’avait juste aperçu quelques fois dans le Commissariat. “Salocin…” Murmura-t-elle, alors que Gordon lui ordonna de courir. S’était quoi cette merde, putain ?! Tatiana suivra le Comissaire sans broncher, tout un tas de questions se bousculait dans sa tête et elle devait impérativement garder son calme face à ce genre de situation, digne d’un film d’horreur. Genre, elle se croirait dans le film “The Dead Never Die” un film de série B sur les zombies. Où une connerie de ce genre. C’était horrible et d’autant plus stressant qu’il fallait faire face à une “créature” dont Tia’ n’avait jamais fait face. Un fou tel que Dollmaker, elle connaissait, mais alors des Ergots et des morts revenant à la vie, c’était une tout autre histoire.
Durant leur course, Tia’ regarda vers le Commissaire, qui suggérait une idée, elle prenait bien note de ce qu’il lui disait, mais n’était pas du tout d’accord avec le fait de se séparer face à ce genre de situation. On était toujours plus fort en groupe que seul, surtout que ces trucs avaient l’air plutôt doués dans ce qu’ils faisaient en vue de tout le bordel qui se passait. “Attendez, chef, ce n’est pas une bonne idée de se sépa-...” Et le voilà qui partait dans une direction… Putain… Elle détestait l’idée de laisser Gordon tout seul, mais c’était le big boss… Alors, première étape, trouver cette putain de salle où elle pourrait inverser la température du bâtiment et une radio. Parce que cela pouvait toujours être utile et elle n’avait pas le temps de rebrousser chemin pour aller chercher la sienne. “Fait chier.” La jeune femme prenait donc une tout autre direction pour chercher la pièce en question, prenant le risque que Gordon soit seul quelques instants, avant de finir par trouver la pièce en question et d’entrée en étant particulièrement prudente, arme en main, prête à tirer si elle voyait une de ces saloperies. La jeune femme s’assura que la pièce était vide, avant de se diriger vers les ordinateurs et de commencer à pianoter sur le clavier. Désactivant le chauffage pour tout simplement se mettre à inverser le processus en activant le climatiseur pour que la température baisse de plus en plus. “Allez… Vas y, saloperie…” La demoiselle entendait des bruits dans les conduits d’aération, relevant la tête vers celle-ci, accélérant ce qu’elle faisait pour que la température baisse le plus rapidement possible. Elle espérait que ces monstres ne puissent pas renverser le processus, où que quelqu’un pouvait l’aider encore plus l’aider dans ce qu’elle faisait.
Les policiers au sous-sol détalaient. L'Engoulevent réfléchissait par où ils pourraient être allés. Chercher des armes était une possibilité. Sinon...
Un ergot le rejoint rapidement. Il tenta de prendre conscience de la situation autour de lui. Si les policiers étaient remontés, il fallait les poursuivre. D'un autre côté, il y avait énormément de points critiques dans les sous-sol. Des issues de secours, des réserves de gaz. L'Engoulevent prit le temps de réfléchir tout en aiguisant sa lame dans un fracas qui allait hanter ceux qui trainaient dans les couloirs. Puis, le silence.
Le commissaire Gordon était la cible. Il envoya son camarade ergot arpenter les sous-sol, traquer une âme qui venait de passer à quelques couloirs de là : Tatiana Lavrinenko. Suffisamment pressée pour avoir un plan en tête, il ne fallait pas la laisser seul. L'ergot accepta sa mission et partit à sa recherche, pendant que l'Engoulevent disparut dans les ombres, parcourant les couloirs à la recherche du commissaire.
Traversant un couloir vide en silence, il entendit le bruit d'un homme qui pleurait. Celui-ci vida son magasin sur l'ergot à vue. La première balle siffla à son oreille, et il n'y en a pas eu plus si ce n'est que le bruit d'une arme qui tombe. L'ergot le souleva et lui ordonna :
- Où est le commissaire ?
- J'dirai rien !
- Tu sais ce qui t'attend si je n'ai pas de réponse. Je réitère.
Après avoir quelque peu paniqué, il finit par montrer une direction du doigt. L'Engoulevent le relâcha, non sans avoir décollé sa tête du corps avec un coup de lame bien placé. Il la posa à côté du corps, fit un signe de tête et partit dans la direction prévue, traversant le dédale et mettant un terme à la vie de chaque entité encore vivante sur son passage, s'il y en avait. Il tomba nez à nez avec un autre ergot qui semblait chercher un moyen d'ouvrir une porte ?
- Le commissaire est derrière la porte.
L'Engoulevent fouilla sa sacoche et en tira quelques charges explosives qu'il tendit à l'ergot. Il n'eut pas à chercher longtemps quoi faire avec, ce dernier vint installer les charges pour faire sauter la porte. Il fallait donc agir vite.
- Méfie-toi de ce qu'il y a derrière. On ne fait pas des portes aussi solides pour garder n'importe quelle salle.
L'Engoulevent recula pour garder l'entrer du complexe, le but étant d'empêcher quiconque de venir en renfort. Il vint se glisser dans une conduit d'aération d'où il pouvait voir qui venait, qui partait et surtout ce qui allait en sortir. Par la même, il chercha un moyen d'entrer dans la réserve en passant par le conduit, pour prendre à revers ceux qui pouvaient se trouver à l'intérieur. Le commissaire n'était probablement pas tout seul.
Lethal Countdown ___ GCPD Le bruit venait de la structure, comme un gros rat sinistre qui poursuivrait son ascension dans l'optique de claquer ses crocs sur la prochaine cible. C'était suspect. La bestiole prenait soin de se dissimuler pour arpenter les lieux, il ne pouvait s'agir que d'un ennemi d'autant plus avec la vitesse de progression qui n'avait rien de normal. Mais soudainement, des turbines s'actionnaient alors pour jeter de l'air frais dans les locaux. « La climatisation » murmurais-tu, juste avant de percuter « Officier Shepard. La température vient de chuter de deux degrés et il est clair que la climatisation ne s'est pas activée toute seule. L'une des cibles se déplace par les conduits d'aération pour certainement y aller. On y va » Veillant tout de même à ce que personne ne se dresse sur ton chemin, tu restais alerte pour finalement t'élancer à l'étage supérieur en compagnie de tes deux collègues. Il y avait plus d'agitation par ici, tu le sentais et ce bruit d'explosif ne pouvait qu'en être le témoin. Ce n'était pas ici, mais c'était tout proche. Tyler suait à grosses gouttes, malgré le froid qui s'installait. Tu supposais qu'il voyait déjà sa vie se terminer ici, dans cette ambiance rouge et noire. Mais tu ne laisserai pas faire ça. Alors de nouveau, vous actionnez la cadence jusqu'à ce que vous vous trouviez nez à nez avec le fameux cauchemar qui grouillait dans le bâtiment. Un des Ergots était là, penchant sa tête vers vous.
Apparemment, vous cherchiez le même endroit. Le commanditaire avait dû l'envoyer ici suite à cette alerte frigorifique. Sans crier gare, un couteau vola le premier directement dans sa carotide et si le sang coulait abondamment, sa peau semblait se recoudre à une vitesse ahurissante. « Il va falloir lui arracher la tête et la colonne vertébrale » Tu ne voyais pas d'autres moyens. Il ne faisait pas encore assez froid ici pour même le perturber ne serait-ce qu'un peu. La bête affamée quant à elle, donnait ensuite une impulsion soudaine dans son assaut, sur une vitesse affolante que tu esquivais à peine. Tu sentais une coupure sur ton épaule mais pendant qu'il était encore de dos dans sa hâte, ta lame se flanqua directement dans sa nuque puis ses articulations pour le ralentir. « Dégage Tyler ! » hurlais-tu à son intention. Il fallait le pulvériser et elle espérait que Shepard en ait assez dans le coffre -ou le casque- pour suivre la cadence. Malheureusement, ce genre de créatures ne se laissait pas impunément détruire. Vous deviez être plus malin qu'elle. Pour cela, tu te reconditionnais sur ton système le plus performant.
La nuit n'était pas encore finie Mais au moins l'équipe Serana Bradley et Tyler avait ateint un objectif majeur rallumer la lumière dans le GCPD. sa ne ramènerait pas leur camarade mais au moins il verrait mieux l'ennemi et pourrait d'autant mieux riposter dans la mesure de leur possible
Aussi quand plus tôt dans la soirée il avait comparé l'ambiance de cet assauts aux films aliens. Bradley n'aurait jamais cru si bien penser dans le sens ou des bruits de bête ennemie se rapprochant se faisant entendre à l'intérieur des gaines de ventilations. Rester en position dans la salle n'était plus une bonne idée, de plus il était grand temps d'aider leur collègues dans les autres parties du bâtiment se disait Bradley quand soudain la climatisation se mit en marche position maximum.
Ne voyant pas l'ennemi le faire se devait être un des leurs qui l'avait fait leur donnant ainsi un indice précieux l'ennemi craignait ou était davantage par le froid. Au même moment Serena prit la parole, s'adressant à Bradley pour l'informer de la chute de deux degré de la température et que l'alien l'ennemi se déplaçait dans les conduites d'aération, avant de dire d'y aller.
Bradley opina rapidement du casque fusil Gauss-C14 bien chargé et prêt a faire feu en gantelets. suivit le mouvement et quitta la salle juste derrière Serena avec Tyler. ils se dirigèrent Serena en tête a un bon rythme vers l'étage supérieur. Serena impriment un rythme de marche rapide que Bradley soutenait également malgré son blindage lourd.
une explosion se fit entendre à létage ou ils était Bradley passé en mode commando au combat n'affichait plus aucune émotion sur le visage ou dans sa tête concentré qu'il était sur l'action à mener à l'instant présent tout ses instincts et réflexes de soldats en éveil.
au détour d'un couloir ils virent L'Enemi surgir de type zombi. Pendant que Serena lui lançait un couteaux en excellente soldate à la carotide, Bradley tirait une courte rafale dans le genoux droit de la créature. Espérant de ce fait l'immobiliser, et faciliter sa neutralisation. Malheureusement c'est avec horreur (parfaitement dissimulé ), que Braldey vit que certaines pop légendes zombiesque était vraie quand l'ennemi se régénérait a grande vitesse devant eux sans vraiment ralentir.
Serena de son coté dit qu'il fallait lui arracher la tête, au moment ou il fonçait vite sur eux. Serenan alla au corps à corps avec le couteau disant à Tyler de déguerpir. de son coté Bradley se félicitant de ne pas être san sson armure pour faire ce qu'il s'apprétait à faire il palqua sur son dos son fusil (grâce a deux aiment prévu pour cela un dans le fusil et un dans les plaques dorsale de l'armure )
se jetant gantelet nu sur l'enenmi Bradley le plaqua au mur de toute son armure et son poids ignorant les mouvement de l'ennemi et usant de sa force surhumaine et endurance toute aussi surhumaine pour agripper de ses deux gantelet la tête de l'ennemi lui rompre les cervicale d'un mouvement sec avant de lui ....
Arracher la tête du cou usant de sa grande force, repeignant au passage le haut de son armure et le mur d'un beau motif résident evil numéro 5 .
Lethal Countdown [KNIGHTFALL PROTOCOL] Niquer les ergots ••• Alors qu’elle commençait à faiblir face à la créature qui ne semblait pas décidée à subir un seul de ses coups, Maxine entendit soudainement son supérieur revenir pour lui hurler de s’éloigner de son ennemi. Ni une ni deux, elle se jeta alors vers sa gauche, touchant le sol au même moment où Bullock projetait sa grenade. En un rien de temps, elle observa l’ergot éclater en mille morceaux dont la plupart s’amusèrent à venir la recouvrir. Un frisson de dégout s’empara d’elle avant que Bullock ne la rejoigne en un éclair. Elle rejeta quelques morceaux du corps de son ancien collègue tout en répondant.
« - Vous en faites pas pour moi, on n’a pas le temps pour ces conneries. Merci pour le sauvetage cependant. »
Elle finit par relever la tête, pour constater l’absence du commissaire aux côtés de Bullock. Merde, elle espérait qu’aucune mauvaise nouvelle ne tombe. Mais elle eut le temps de se lever qu’il ne prit aucune mine hébétée… Cependant, pour voir sa supposition confirmée, la question ne tarda pas à surgir d’elle-même, s’échappant de ses lèvres.
« - Pas de traces de Gordon ? Direction premier étage du coup ? »
Questionna-t-elle tout en se relevant, jetant un coup d’œil circulaire aux alentours, pour vérifier qu’aucun nouvel adversaire ne trainait dans les parages, prêt à bondir à l’instant où le duo s’y attendrait le moins. Mais ils semblaient tranquilles pour le moment, pas à l’étage des affrontements. Ou du moins pas encore, car il leur fallait s’y rendre afin de donner un coup de main aux collègues. Peu importe les échanges tendus qu’il y avait eux entre eux depuis les annonces de leur commissaire quand à leurs rapports avec les justiciers, ils restaient membres de la même institution et surtout tous en danger de morts avec ce qui venait d’attaquer la flic. Elle finit d’essuyer les quelques résidus du corps éclatés qui étaient encore sur elle, pour reprendre en mains ses propres armes.
« - C’est avec ces trucs que vous l’avez buté ? » Demanda-t-elle en jetant un regard en direction des grenades que Bullock avait encore. « - On partage ? » Demanda-t-elle avec un léger sourire, excitée de pouvoir buter du salop avec ce genre d’armes bien particulière et d’inverser ce qui avait été la tendance jusque-là. « - Histoire qu’on puisse tous les deux renvoyer nos meilleurs amis dans les flammes de l’enfer ? »
Continua-t-elle en rechargeant alors qu’ils se mettaient en route vers leur nouvel objectif, déterminée à changer la mise.
Ils détalent ? Pourquoi fuient-ils l'inéluctable ? La Cour des Hiboux a déjà gagné, j'ai trouvé le commissaire Gordon, et bien que mon intelligence soit supérieure, je n'ai aucun doute sur le fait que mes confrères ressuscités me rejoindront, je vais prendre un peu d'avance... Avec un peu de chance, j'aurai la grâce de décharger mon arme dans son crâne et mes maîtres me donneront le droit de mourir et de rester mort pour de bon ! Je suis sincèrement désolé de prendre autant de plaisir à vous tuer commissaire...
Après que Lavrinenko et Gordon se soient séparés, j'estime qu'il lui a demandé de prendre des contre-mesures anti-émeute afin de nous contenir, et étant donné les états de service de Tatiana, elle y parviendra probablement si je ne l'interrompt pas. Mais ma programmation d'asservissement m'ordonne d'égorger le meneur des troupes. Tant pis pour nous si nous échouons, ma cible est une priorité absolue !
Je déambule comme un zombie sous métamphétamine dans les couloirs à la poursuite de mon patron, c'est sordide, il se cache dans la réserve, et j'entends grâce à ma nouvelle ouïe plus développée encore que la précédente qu'il met en place une barricade solide, digne de lui.
La température baisse, ils veulent nous réfrigérer, c'est très malin de leur part puisque je sens mes sens et mes muscles s'engourdir, cependant c'est une congélation complète qu'il va falloir envisager si vous voulez nous stopper dans notre progression meurtrière les amis. Mais il faut un début à tout j'imagine !
J'observe les alentours, je trouve un extincteur, et une faille au niveau des gonds qui soutiennent la porte de la planque de Jim, la détonation devrait amplement suffire... Et le bruit préviendra tout le monde de notre présence, nous allons rassembler les officiers encore vivants, et nous les abattrons tous en une seule fois...
Mon dieu, je hais mes pensées, pourquoi ai-je garder une certaine forme de conscience ? Loki... Où es-tu ? Sors-moi de là ! Je ne veux pas faire ça ! Merde, je ne m'en suis pas rendu compte, mais l'extincteur est déjà collé à la porte et mon revolver pointe vers lui... Je tire... La porte saute et créé une brume épaisse, on y voit rien, enfin... Eux n'y voient rien !
Je m'avance, et dans l'invisibilité du nuage blanc, je me hisse sur les murs et sur le plafond, puis je mets mon supérieur hiérarchique bien aimé en joug...
"Dé...so...lé... Jim..."
Messages : 126 Date d'Inscription : 20/03/2019
▲ Goth-Passeport ▲ Alliés: Ennemis: ♦ Domicile à Gotham : ♥ Love interest: Armes & gadgets: Maitre du Jeu
En atteignant enfin ce point critique, je fais une évaluation rapide de la situation et le résultat est bien moins inquiétant qu'il n'y paraît ce qui est plutôt agréable à constater : Comme on pouvait s'y attendre des hommes de Gordon, et de l'unité de Bullock, les officiers du GCPD s'en sortent très bien. Nous devons déplorer cependant un très grand nombre de morts à la charge de la Cour... Et chacun d'entre eux sera vengé en temps voulu !
Il faut que je trouve un moyen d'entrer dans le bâtiment, sans être repéré bien entendu... Et de ce que je sais de la configuration du central du GCPD, s'il est en état de siège, les circuits d'aération seront mon seul sauf-conduit. Pas très original, mais diablement efficace.
Je m'infiltre donc par les grilles du toit et je rampe jusqu'à la climatisation centrale, que je fixe un moment... Je détermine assez rapidement qu'une manipulation a été opérée sur le thermostat, il semblerait que quelqu'un à l'intérieur ait descendu la température au minimum. Ingénieux mais insuffisant, je vais participer à cela afin de véritablement ralentir la progression des morts-vivant.
A noter que même si je vais appliquer une assistance a leur entreprise, cela n'enlève en rien l'éclair de génie qu'ont eu ces hommes et femmes qui ont gardé leur sang-froid malgré les circonstances ! Et donc, après avoir fait une poignée de calculs et de piratages sur le logiciel de sécurité de la climatisation, je vais lâcher 3 grenades cryogéniques dans les conduits et remplacer le filtre par de la mousse absorbante qui va totalement retenir l'humidité relâchée par l'azote liquide afin de disperser un nuage gelé sec, et mordant.
Je navigue dans la discrétion la plus totale, à l'abri des regards, jusqu'au panneau de sécurité de la forteresse. J'ai les codes d'accès de tout le lieu-saint, ce qui va me donner les moyens de retourner le terrain à l'avantage des policiers en verrouillant la lumière et en sabotant les contrôles des systèmes. Plus aucune porte ne sera sous protocole de quarantaine, les accès à toutes les salles sont maintenant ouverts, et libres.
Dernière chose à faire avant de déserter le champ de bataille, détruire le brouilleur qui rompt les fréquences radio afin de rétablir les communications depuis et vers l'extérieur. Tenez bon, les renforts vont se mettre en route.
En quittant le bâtiment, je prélève une radio sur le corps inanimé d'un des officiers à terre et enclenche l'appel radio, transmettant le message suivant en morse.
Bon j’avais réussi à en tuer un, mais c’était pas exactement un véritable ergot, c’était un flic, il avait été ramené à la vie par je ne sais quel procédé scientifique, une nouvelle aberration de la Cour de Hiboux. Mais c’était pas vraiment un ergot pur jus, moins solide et moins fort.
«Marave, je te file le lance grenade si tu veux, mais si on tombe sur un vrai ergot ce sera pas suffisant. Il faut les refroidir, littéralement je veux dire.»
C’est cet instant que choisit Mackenzie pour passer à la volée la porte anti feu qui menait aux étages supérieurs. Il m’annonçait en panique qu’il avait croisé deux ergots.
«Ramène ton cul ici et vite, on va les cueillir, Mackenzie tu prends les grenades cryogéniques et tu bombarde. Marave prend ce fusil, je vais rester au lance grenade pour les ralentir.»
Je remarquais la buée provoquée par mon souffle au rythme de mes paroles, quelqu’un avait baissé la température du central, une idée de génie. C’est à ce moment là que les communications se mirent à cracher sur toutes les fréquences, les échanges avec l’extérieur avaient été rétablis.
«Appel à toutes les unités disponibles, le central est assiégé, des miliciens armés encerclent le bâtiment, les communications avec l’intérieur sont coupées. Je sais que toute la ville est attaquée mais notre meilleure chance c’est de libérer un maximum de collègues.»
Putain mais c’était donc ça leur plan ! Ils avaient attaqué le GCPD pour pouvoir s’en prendre à tout Gotham sans avoir de flic dans les pattes. Les fumiers ils allaient me le payer cher. J’émettais donc sur toutes les fréquences disponibles.
«Ici le Lieutenant Bullock, nous sommes enfermés dans le commissariat, il y a des ergots à l’intérieur, faites ce que vous avez à faire les gars, protégez cette ville coûte que coûte, Gotham doit survivre à cette nuit.»
Sans attendre de réponse mon regard se fixait sur la porte par laquelle Mackenzie avait surgit une minute plus tôt. Devant moi deux ergots aux mouvements ralentis par le froid s’élançaient erratiquement vers nous. Sans réfléchir à rien je tirais une grenade dans leur direction. Une grosse explosion plus tard, deux formes sortaient de l’épaisse fumée noire pour tenter de faire les quelques mètres qui les séparaient de nous.
«Je vous avais dit que ça ne marcherait pas, il va falloir utiliser les armes de Freeze, visez bien et lésinez pas sur les munitions, c’est notre seule chance.»
Je comptais sur mes gars, ils feraient la différence entre notre vie et notre mort, mon regard se perdit un instant sur la verrière du grand hall, un éclair allumait le ciel, rendant la scène plus glauque et oppressante qu’elle ne l’était déjà. Puis les nuages percèrent pour nous offrir le bruit de trombes d’eau sur le verre. Le clapotis de l’eau conte le toit du GCPD était semblable aux secondes d’une pendule funeste, chaque impact nous rapprochait plus d’une mort certaine.
Messages : 337 Date d'Inscription : 27/09/2018 Ombres de Gotham
Le coordinateur commençait sérieusement à s’inquiéter, l’opération Salvation ne pouvait pas louper, c’était le baroud d’honneur de la cour, tout était millimétré. Pourtant, les hommes du GCPD résistaient plus que de raison. Ses écrans de contrôle s’affolaient, un froid intense avait envahi le commissariat central, les ergots avaient du mal à bouger. Mais qui avait bien pu faire ça ? Qui était venu prêter main forte aux policiers de la ville ?
Le coordinateur n’en croyait pas ses yeux, malgré la présence de l’engoulevent sur place ils étaient en train de perdre, cela était inadmissible, ils étaient la Cour, l’autorité suprême à Gotham, l’Emissaire ne serait pas du tout content si son plan échouait.
Il savait qu’un des policiers ramenés à la vie par Hollman était près de tuer la cible, mais il vivait ça comme une offense personnelle. Comment un de ces substituts d’ergot pouvait-il accomplir mieux sa mission que des hommes entrainés et complètement modifiés ? Enfin l’important était la mission et rien ne devait se mettre en la Cour et sa cible.
Il vérifiait la situation au sous sols par les yeux d’un de ses ergots. Le courant avait été rétabli, il y avait donc de l’activité là-bas. À sa grande surprise, l’assassin faisait face à une femme qui avait des signaux vitaux étranges, comme inexistants, pourtant elle était bel et bien vivante, il pouvait le constater. Le deuxième homme était en armure de combat lourde, assez impressionnant. Mais en théorie ce n’était pas suffisant pour venir à bout d’un ergot, le processus de fabrication d’un ergot était long mais apportait tout un tas de modifications corporelles permettant aux assassins de la Cour de survivre à tout ou presque.
Mais la théorie s’avéra bien loin de la pratique dans les faits. En à peine quelques secondes la paire de policiers transhumains avait réussi à décapiter l’ergot en question. Le coordinateur était abattu, il ne voyait plus qu’une seule solution.
«Ergot code d’activation Gemini, je prends le contrôle.»
Le coordinateur bascula l’ergot en mode contrôle, il voyait pas les yeux de l’ergot depuis la tête posée au sol, et il se servait de ces données pour diriger le corps et le maintenir au combat. Le coordinateur dégaina donc les sabres de l’ergot posté à plusieurs kilomètres de son emplacement et commença à lancer des attaques. Les lames rebondissaient sur l’armure sans pour autant l’endommager, il allait devoir ruser et viser les interstices. Ce genre d’armure est plus fragile aux jointures et de toute évidence il allait avoir besoin de ça pour gagner. La Cour ne permettrait pas un second échec si proche du 1er Octobre, et encore moins le Parlement des Hiboux.
HRP :
- Il n'y a aucun ordre de passage à respecter, vous postez quand vous voulez ! Ainsi, vous ne serez pas jamais bloqué. - Un délai de 10 jours maximum après le post du Maître du jeu. Si vous ne répondez pas dans le temps imparti, le tour suivant débutera, avec ou sans vous. ATTENTION dernier tour d'action - Une limite de 500 mots maximum par post. - Ceci est un event, l'intégrité physique et mentale de votre personnage sont engagées, en fonction de votre comportement, il est possible que vous subissiez des dégàts, votre personnage ne sera pas tué sans votre consentement, mais les conséquences peuvent être catastrophiques si vous ne faites pas attention.
Le temps me manque. Merde. Il faut que je me dépêche et que je trouve ce pourquoi je suis venu ici. Il me fallait l'arme de Freeze. Elle était dans les scellés, ça, c'était certain. L'arme était bien là, et je l'avais enregistré lorsque Mister Freeze avait tenté de rançonner la ville en échange des réserves de sang de la ville. Cela faisait des années mais l'arme était là. Elle devait être là. Dans ce fatras. Dans ce bordel organisé, mais fort heureusement, tout est rangé en fonction des criminels que nous arrêtions, afin que ce soit plus facile d'accéder aux preuves. Un maigre sourire tandis que j'entends la détonation derrière moi. Il est là, et il me veut. Pas de problème, mais un vieux loup sait se défendre, même acculé. Il me fallait l'arme. Mais c'est avec chance que je la récupère. Un maigre sourire sur mon visage ridé, tandis que je vérifie l'appareil. Cela faisait des années que cette arme était là, et j'ignorais si elle fonctionnait encore. On allait bien voir. Je l'entends qui cogne contre la porte, et je me mets à lui hurler dessus.
Du temps, je dois gagner du temps, et ce n'était pas négociable. J'essaie de garder mon calme, j'essaie de ne pas céder à la panique. J'étais vieux, et il était plus fort que moi. Mais j'avais l'habitude de ce genre de menaces vaines. Depuis que je suis flic, il n'était pas le premier à vouloir me tuer. Il ne serait sûrement pas le dernier. J'émets un léger grognement tandis que je parcours encore les rayons à la recherche. Je manque de temps, de beaucoup de temps ... J'entends sa voix qui me parle, je l'entend, fébrilement, mais je pouvais imaginer qu'il endurait mille tourments. On aurait dit un mauvais film d'horreur, cependant, je ne suis pas une cible facile. Ce commissaire en a encore dans le coffre. C'est une déchirure pour quelqu'un comme moi, de voir qu'un de mes gars est devenu ce qu'il combattait jadis. Je charge l'arme et j'insère une cellule cryogénique, qui était dans la caisse avec l'arme. C'est alors qu'il me met en joue, je dégaine le pistolet de Freeze tout en pointant l'ancien policier qui se tenait devant moi.
"Pas autant que moi, fiston."
Dis-je, tandis que je lui tire dessus. J'ignore si le coup va faire mouche, mais si cela venait à marcher, Salocin allait avoir une très vilaine surprise. Je suis bon tireur, mais dans le peu de lumière, dans le fracas et dans le bruit, je peux me tromper. Prêt à contre-attaquer, j'allais lui montrer que j'allais défendre ma vie aussi fortement que possible. Le véritable cowboy dans cet endroit, c'est moi. Et je compte bien régler cela de façon à ce que ce soit le vieux shérif qui fasse régner la loi ici-même. Je serre les dents, je reste à l'affût. Si je ne l'ai pas eu, alors il agir vite ...
Le commissaire était derrière la porte. On le neutralise, et on part avec lui. L'ergot prépara les charges, pendant que l'Engoulevent préparait le nécessaire pour neutraliser. Ils ne savaient pas combien ils étaient derrière cette porte, alors il fallait agir vite, surprendre. Il reçut l'information que le code Gemini avait été lancé. Il espérait que ses recherches à ce sujet avaient été suffisantes pour être appliquées à cette mission, il avait travaillé toutes les failles avec l'ingénieure. On comptait sur lui.
La température commençait à baisser grandement, la mission était fortement compromise, il fallait partir vite. Même lui qui possédait un entrainement et une résistance au froid supérieure, à la vitesse à laquelle la température baissait, réfléchir était un luxe qu'il ne pouvait plus se permettre.
D'où venait ce froid ? Pourquoi gardaient-ils les armes de Mr. Freeze ? Il n'y avait rien à ce sujet sur le rapport, s'il avait su, il aurait fait fonctionner son plan différemment. Ou bien ils avaient été trahis, ou bien quelqu'un avait pensé plus loin. La Cour était planificatrice, mais elle était capable de réagir vite à l'imprévu. La terreur devait être complète, elle devait être totale.
Derrière la porte, l'ergot policier qu'il avait relevé avait été tué par une arme de Mr. Freeze. Très peu de temps après, les charges firent exploser la porte. Il y avait deux choix.
Fuir, pour ne pas mourir, ou faire une dernière action et exfiltrer le Commissaire, réussissant la mission. C'est dans ce genre de situations qu'on différencie un fin tacticien d'un qui l'est moins. Un fin tacticien ne se mettrait jamais autant danger, mais l'Engoulevent savait que au sein de la Cour, mourir était parfois un luxe plus enviable que vivre, surtout quand vivre impliquait souvent une éternelle soumission. Echouer amenait le déshonneur, et l'Engoulevent ne voulait pas avoir à endurer cette disgrâce. Il allait donc agir.
Non. La Cour ne tolérerait pas un tel échec, si près du but ! Trop de paperasses. Pas question d'abandonner. Il ordonna d'un hululement glauque à son ergot artificier de passer devant pour essuyer une prochaine salve et donner l'information de la situation à l'ergot après avoir lancé des fumigènes.
L'Engoulevent prépara son pistolet neutralisant, entra au même moment d'une grenade sonore pour les surprendre auditivement, longea le mur, passant par le plafond pour localiser Gordon et son arme. Il espérait que son ergot était parvenu à le désarmer avant, sinon il le ferait lui-même en l'envoyant au pays des songes.
S'il le capturait, il fuirait par une fenêtre avec le commissaire en utilisant ses capteurs thermiques pour partir le plus rapidement possible en évitant les parties les plus froides du bâtiment.
LETHAL COUNTDOWN ____ GCPD L'ergot était neutralisé mais ce n'était qu'une maigre victoire. Il fallait foncer « Bien joué. Allez on avance » Vous vous rendiez plus loin, vers la porte qui gérait les commandes de la climatisation que tu poussais lentement par précaution pour tomber sur l'inspectrice Lavrinenko. Sans plus de formalités tu te dirigeais vers elle tandis qu'elle était occupée à faire baisser la température. Une idée ingénieuse bien qu'insuffisante encore. Mais alors que tu comptais déployer tes compétences de piratage pour l'aider, tes nanobots t'indiquaient du mouvement. Une main fantôme avait déjà saisi le système pour accélérer le processus tandis que tes capteurs décelaient que les accès internes étaient dégagés. Les communications externes étaient également à nouveau opérationnelles. Tes particules intelligentes te rapportaient simultanément toutes les informations, prenant conscience que quelqu'un s'était immiscé dans les locaux pour repartir aussi vite qu'il était arrivé. Ton micro se mettait ensuite en marche, sachant pertinemment que cette voix appartenait à la figure de l'ombre. Mais tu ne t'attardais pas plus. Il fallait retrouver le commissaire. Tatiana avait d'ailleurs l'air très préoccupé : il avait décidé de procéder seul pour trouver l'arme de Freeze « Nous devons le rejoindre » La situation pressait. Avec Shepard, vous vous mettiez à courir sur une allure rapide pour le retrouver au plus vite alors qu'un bruit brutal de détonation résonnait dans le couloir, suivi de près par un autre plus sourd. Merde. Cette agitation n'allait pas passer inaperçue et il était certain que d'autres rappliqueraient. Les intrus allaient les prendre en tenaille « Nous arrivons à hauteur du Commissaire à la réserve avec Shepard, les ergots l'ont repéré. Soyez vigilants, ils voudront terminer le travail en nous exterminant tous si vous débarquez en même temps. Ardwin, Terminé » Mais serez-vous à la hauteur Serena ? Tu t'invitais ensuite vivement dans la réserve, constatant d'abord les dégâts avant de river ton regard azur sur l'homme qui se tenait devant toi, loin d'être serein « Officier Ardwin, est-ce que vous allez bien ? » Ca t'en avait tout l'air, enfin, à peu de choses près. Puis tout à coup, un choc sonore horrible rugissait dans vos tympans à tel point que tu lâchais un cri et désactivais ta fonction auditive pour retrouver le calme. C'était critique mais tu avais bien d'autres cartes en réserve pour te séparer d'un sens. Il était tout près. Tu le savais. Alors ce passage dans les canalisations visaient bien le Commissaire. Pour pallier à cette rencontre, tu n'avais plus qu'à te tenir -approximativement- prête. Tu signifiais donc à ton supérieur, sûrement sonné, que l'ennemi allait surgir sur quelques signes de la main.
Une fois le zombi maitrisé (et démembré) Serena fit signe a Bradley et son colègue de la suivre vite vers leur prochaine destination et objectif de guerre dans cette bataille. A savoir le local technique de la climatisation. Bradley avait beau suivre et ne rien laisser paraitre à l'extérieur en mode commando marine expérimenté bien viril que rien n'atteint. à l'intérieur il était on ne plus largué et se contentait de suivre "les ordres" que lui donnait Serena, en l'occurrence elle était la plus expérimenté et semblait avoir un plan, ou un début de plan.
Arrivé au local de la climatisation il y rencontrèrent une de leur colègue dame. Qui semblait bien décidé a pousser la clim au max pour refroidir l'atmosphère et ralentir les zombis. laissant Serena gérer la partie mécanique avec la colègue Bradley se mit en faction à la porte de la salle au cas où. A un moment donné l'assistance ia de son armure lui indiça que sa radio était de nouveau opérationnelle car il recevait de nouveau la station de radio qu'il aimait écouter en léger bruit de fond pendant les patrouilles et qu'il avait oublié de coupé dans le feu de l'action.
aussi se retourna t'il vers les deux dames et jimmy dans la pièce pour leur dire
"je sais pas ce qui c'est passé mais les communications avec l'extérieur ont l'air d'avoir été rétablies "
Mais pas le temps d'épiloguer davantage que Bradley recevait aussi un message sur le canal interne au même moment ou Serena leur dit de bouger pour rejoindre le commissaire.
accélérant le pas et se moquant du bruit qu'il pouvait faire a ainsi courir en armure blindé Bradley Serena atteignirent les réserves aux moment ou des détonations se firent entendre . dans les réserves le commissaire était déjà sur el pied de guerre. Serena envoya un message radio pour prévenir de la situation.
Puis se fut un bruit strident et horrible qui fit tomber Bradley au sol la stridence de hurlement ou hululement était absolument horrible pour Bradley sous son casque entrant en résonance. ce dernier passé c'est la tête a moitié lourde et ahuri que Bradley se releva un salement taux oreilles lui coupant les autres bruit pour le moment.
apercevant d'autres fusil a glace il demandant par geste a en emprunter un. ce qui lui fut accorde puis le sifflement commençant a un peu baisser il put péniblement comprendre que l'ennemi a lalit arriver vite et a peu près la canalisation que désignait Serena.
Bradley armé lui aussi d'un fusil a glace dans un gantelet et de son gaus c14 dans l'autre se tenait près et hocha du casque pour dire à Serena et au commissaire qu'il était en joue près a faire feu quand l'ennemi se présentera à eux.
Accueil 
![Lethal Countdown [KNIGHTFALL PROTOCOL] - Page 2 Empty](https://2img.net/i/empty.gif)
Lun 4 Nov 2024 - 17:12 par Invité
![Lethal Countdown [KNIGHTFALL PROTOCOL] - Page 2 Logo_211](https://servimg.com/r/6514757323/logo_211.png){kind=logo}
![Lethal Countdown [KNIGHTFALL PROTOCOL] - Page 2 XSLHpzU](https://i.imgur.com/xSLHpzU.png)
