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 Les lumières de l'ombre. (a. B.Voss & J.Gordon )

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MessageSujet: Les lumières de l'ombre. (a. B.Voss & J.Gordon )   Les lumières de l'ombre.  (a. B.Voss & J.Gordon ) EmptyMer 22 Mai 2024 - 9:30




  • Type de RP :
  • Date du RP : 15/11/2019  
  • Participants: Voss, Gordon, Sonelli
  • Trigger warning: /
  • Résumé: Enquête: La disparue de Coventry - Recherche d'informations auprès d'un indic - Officiers: Gordon, Sonelli - Indic: Voss



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G.C.P.D
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MessageSujet: Re: Les lumières de l'ombre. (a. B.Voss & J.Gordon )   Les lumières de l'ombre.  (a. B.Voss & J.Gordon ) EmptyMer 22 Mai 2024 - 9:31

En cette fin d’après-midi, entre la lumière citrine du jour tombant et l’ombre des débuts de la nuit, Sonelli eut l’honnêteté de reconnaître qu’il attendait avec impatience la rencontre nouvelle de la soirée. Une pointe persistante de curiosité. D’abord sceptique devant l’idée du commissaire qui leur faisait perdre en somme une journée d’un temps qu’il savait compté, il avait fini par en reconnaître l’utilité. Il n’était pas loisir de frapper au hasard. Une hésitation, une approximation au moment de l’action entraînerait des conséquences terribles. Dramatiques.

L’amorce de l’obscurité, la sensation d’inachevé de la journée passée à scruter dans les planques et les recoupement d’informations tout ce qui permettrait de remonter la piste, l’attente, le chargèrent d’une longueur d’angoisse. Mélancholie du brouillard, inquiétude concrète. Il se préoccupait du sort de la jeune disparue. Espérait qu’ils remonteraient sa trace assez loin, assez vite pour la trouver en vie. Fol espoir, encore une possibilité de le voir se réaliser ? Seul le temps saurait le dire.

L’inspecteur suivit Gordon dans l’échafaudage de leur errance. Progressivement les buildings métalliques et modernes aux allures de fusées du futur que Sonelli trouvait hideux avaient laissé la place à des barres de béton aux allures d’usines désaffectées, moitié décrépies moitié éventrées. Des immeubles entiers n’étaient plus que ruines et la plupart des devantures de boutiques étaient clôturées de planches, elle-même arrachées par les sdf et les junkies en quête d’abri. Pas la moindre trace de nature ou de vert, la ville avait tout recouvert. Ces ghettos déshérités payaient le poids de l’urbanité sans bénéficier du mirage relatif de son éclat et de sa modernité. De cette ville schizophrène qu’était Gotham, loin des panoramas usé par les flashs des touristes s’étendait une jungle que les habitants des gratte-ciel étincelants de voulaient pas voir. Qui était pourtant leur miroir.

Les journaux lorsqu’ils couvraient leurs descentes dans de tels endroits parlaient parfois "d’assainissement du quartier". Sonelli pour sa part n’avait pas l’impression d’assainir quoique ce soit. La jungle de la violence, des vices et du meurtre s’étendait plus qu’elle ne grandissait. Quant à ceux qui vivaient dans ces quartiers, pauvres ils étaient et miséreux ils restaient. Les nouveaux gangs remplaçaient les anciens. La situation restait sans débouché. Il se sentait comme un curé de campagne qui devant la famine ou l’épidémie a perdu la foi, mais est obligé de chaque jour mener la messe et tenir le confessionnal. Impossible d’abandonner ceux qui ont encore besoin de croire en cette espérance-là. Incapable de raccrocher la soutane, ne sachant faire que cela.

Gordon tourna l’angle d’une dernière ruelle et Sonelli qui depuis plusieurs dizaines de minutes regardait pourtant déjà la décrépitude et le marasme s’accumuler constata qu’ils venaient d’atterrir au cœur du désespoir. L’impasse était une rue pavée bordés de gros bâtiments laids à mi-hauteur. La perspective d’un terrain vague se dessinait à travers les fissures de cette absence d’horizon. Les fenêtres qui n’étaient pas condamnées étaient obstruées par des grillages ou des barreaux et des bâches faisaient office de stores aux ouvertures les plus délabrées comme s’il s’était s’agit d’un campement de réfugiés. Des sacs poubelle noirs éventrés semblaient se languir depuis des semaines le long de la chaussée. Plastique couleur goudron empalé sur les rebords des grillages, s’effilochant, ouvrant la voie à l’appétit des rats. Les poubelles semblaient avoir été vidées depuis le toit. Une borne à incendie désossait inondait la chaussée et les ordures qui jonchaient le caniveau et les trottoirs. Parmi celles-ci l’inspecteur était certain que l’on y aurait trouvé des seringues à y regarder bien. Le moindre espace de mur des quartiers précédents qu’ils avaient traversé étaient jusqu’au dernier recoins couvert de tags et de graffitis. Or le désœuvré qui avait dessiné un phallus sur la devanture fracassée de ce qui en d’autres temps avait été une boulangerie, même les peinturlureurs de rues semblaient avoir pensé que leur art de méritait pas de figurer dans un endroit aussi déprimant que celui-là.

La gargote dont le commissaire poussa la porte était sans contexte sous l’œil aiguisé du policier le genre de bar à voyou qu’il savait reconnaître et devait plus souvent qu’à son tour dans son métier fréquenter. Entre tous pourtant celui là se distinguait par la stagnante impression d’usure et de déchéance qui y supplantait la délinquance et la violence. Moins que parmi les brutes et les malfrats prêt à vendre ou en découdre qu’il croisait d’ordinaire en ce genre d’endroit, il avait l’impression de rencontrer les rebuts du monde de la pègre et de la pauvreté. Ceux qui ne s’y étaient pas là non plus acclimatés après avoir déjà été refusé par le monde ordinaire de la société civilisée. Ceux qui en avaient été jetés. La clientèle des marchés aux puces tenus par des chiffonniers. Qui encore d’autre… Ils n’étaient pas entrés là où l’on les regarderait en soupesant la valeur et le danger de les égorger pour les délester de leur bourse ou un paquet de cigarette mais là où l’on ne regardait plus que son verre se vider dans son sourire édenté. Dramatique. Tristesse et cafard noir. Il n’était pas certain de ce qu’il devait préférer.

Une télévision hurlait dans le fond des mots débraillés, crachait en boucle son son éraillé, rythmait la journée des clients qui se noyaient dans leur verre sans l’écouter. C’était laid, étrange et irréel. C’était le journal télévisé.

L’air à demi endormi sur son comptoir, le barman, un homme adipeux et court sur pattes. Un visage sans âge, maigre et émacié surmonté de lourdes paupières boursoufflées. La respiration rauque, il avait l’air de ronfler et évoquait un hibou sur une branche en pleine journée. Son demi-sommeil de semblait pourtant pas l’empêcher de surveiller. Sitôt que le commissaire lui adressa la parole, il souleva les plis de ses yeux dans une version lénifiante et ralentie d’un tic nerveux et indiqua la porte de l’arrière-salle d’un geste habitué. Il connaissait manifestement le commissaire. Eut un regard d’étonnement en revanche pour la présence de Sonelli mais qui retomba comme un soufflé trop cuit. Ici, l’on avait trop à faire de sa propre déchéance pour se préoccuper des ennuis d’autrui.

Meublée de trois chaises, une table branlante, un tabouret cassé, la pièce aux murs vides à l’exception de l’étrange décors d’une photographie découpée dans un journal et au couleurs passées de ce qui semblait avoir représenté une caserne de pompiers. Curieusement propre en comparaison du reste de l’établissement en même temps que de cette sobriété qui confinait au dénuement.

Au centre de la pièce attendait une jeune femme aux cours cheveux noirs et à l’allure fuyante et sauvage de chat de gouttière. Fumant crânement une cigarette, elle les regarda faire leur entrée par-dessus son panache de fumée. Surpris par la cicatrice qui lui barrait le visage il ne pu s’empêcher pendant quelques instants de la fixer, mais détourna aussitôt le regard en homme bien élevé. Faute de chapeau à ôter, il se contenta d’incliner la tête avant de saluer.
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G.C.P.D
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MessageSujet: Re: Les lumières de l'ombre. (a. B.Voss & J.Gordon )   Les lumières de l'ombre.  (a. B.Voss & J.Gordon ) EmptyMer 22 Mai 2024 - 14:31

GCPD : Law & Order
Just a cop in Gotham
Le temps n'est pas au beau fixe. Les affaires sont ce qu'elles sont, mais jamais, elles ne sont annonciatrices de bonne nouvelle. Il y'a toujours une foutue ombre noire au tableau, et bien que les choses puissent parfois être positives, on a toujours cette ombre qui fout le merdier. Vous sauvez un gamin d'un réseau de trafiquants, malheureusement, il vivra avec des traumas le reste de la vie, mais ... Il est vivant hein ? Et ça continue, et ça continue. Pas une seule putain d'ombre positive au tableau, et c'était désespérant. Le vieux flic que j'étais en avais vu beaucoup. Beaucoup trop, et toujours dans la démesure à chaque fois. Les pensées noires étaient en moi, difficile de ne pas penser au pire, à chaque fois que cette ville vous montre de quoi elle est capable. Clope au bec, j'avais demandé à Sonelli de me suivre en cette fin d'après-midi. Je lui avais demandé de porter des affaires amples, même si lui passe pour une carrure assez imposante, et pour moi, le commissaire de la ville dont le visage est connu en ville. Un bon vieil imper et un chapeau, tandis que nous nous dirigions vers un de ces bars pourris qui trainent dans les bas-fonds. Par respect pour mon contact, je ne voulais pas mettre sa couverture, ni son intégrité en danger. Un seul homme ne peut pas contenir tout le mal, mais il peut quand même essayer ... Et chuter. J'ai failli à cette ville. Et à beaucoup d'autres personnes qui me faisaient confiance. La guerre pour Gotham City avait mené l'organisation nommée le gant noir, à faire main basse sur ma cité. De nombreux quartiers avaient souffert, des gens furent blessés, mutilés. Et les forces de police n'avaient pas réussit à remonter la pente. J'avais failli à mes hommes, mais je ne faillirais pas à mon devoir. On imagine très mal ce qu'un de ces cinglés est capable d'accomplir, et qu'au final, tout ça ne puisse être qu'une simple diversion pour quelque chose de plus grand. Dieu que j'ai envie de fumer, j'ai du mal à calmer cette peur que je tente de dissimuler au fond de mon être. Je ne sais jamais sur quel pied danser avec chacun d'eux. Le Joker, Double-Face, Edward Nygma, ils avaient tous quelque chose que je détestais en eux. Ils me rappelaient sans cesse que je pouvais moi aussi, un jour, péter les plombs et devenir comme eux. Mais quelqu'un comme moi se doit de respecter les règles, de montrer que ça fonctionne. Que ce badge que je porte sur mon uniforme, me rappelle sans cesse que je suis dans les clous de la société. Quand on côtoie les monstres au fur et à mesure des années, on apprend jamais à les accepter. On subit, on se mord les lèvres et on encaisse.

Un simple détour, dans les ruelles, un petit coup de virage dans un angle, et voila qu'on se retrouve sûrement dans le bar le plus paumé de toute la ville. L'ambiance, c'était pas trop ça à l'intérieur, mais le barman, un certain Vic, était un bon copain et il avait travaillé pour nous à une lointaine époque en tant qu'indic lui aussi. Il connaissait les besoins de notre cause, et il n'avait jamais fermé la porte pour aider de vieux amis. Alors que nous entrons, Sonelli et moi, je lui adresse un simple regard, de courtoisie, avant de me diriger vers la pièce du fond. Je laisse quand même un billet de vingt dollars, sur le comptoir. Pas pour la consommation, pas pour le fait qu'il joue les entremetteurs, mais on se serre les coudes comme on peut au GCPD, et surtout avec les anciens camarades de lutte. Nous entrons dans la pièce du fond, un regard vers Sonelli et ce silence, lourd entre nous deux, qui nous permet de mieux saisir comment les choses vont se passer. Rien n'est simple à Gotham City. Mais si on y met le prix, on peut tout avoir. Et ce soir, j'avais besoin de renseignements.

"Salut V. Je te présente mon collègue, Sonelli. C'est quelqu'un de confiance."

Présentations faites, il fallait quand même mettre un peu de confiance et surtout, ne pas lui faire peur. Je reste discret sur son nom. Je préfère faire les choses discrètement, et surtout, pour éviter de la mettre dans la merde, quand les choses ne vont pas au beau fixe. Voss était quelqu'un d'accomplie, qui avait une parfaite connaissance du milieu, et surtout, qui savait écouter. Toujours ce silence, alors que nous n'étions que trois dans la pièce, confortable, mais froide. L'air est lourd, et pourtant, cela n'avait qu'à peine commencé. Pour commencer, je m'assois à table, avant de sortir une photo que je pose sur la table, l'air concerné. Une photo de la gamine disparue. Cheveux noirs, petite mèche blanche. L'air jovial et adorable. Bref, une gamine de la ville, une gamine normale quoi. Je renifle, faisant bouger ma moustache. Un reniflement presque mécanique, en fait. Une habitude.

"Cette gosse a disparu. On a enquêté chez elle. Rien. Aucun indice. Sauf ceci."

Je sors un petit sac plastique pour les indices, une carte 10/6, une de celles que le Chapelier Fou adore utiliser pour commettre ses crimes. Le genre évident de l'évidence hein. Trop beau pour être vrai, et même moi, j'avais un peu de mal à voir une telle solution alors que tout pourrait être différent. Nan, y'avait quelque chose de pas net avec cette affaire, et c'est pour ça que j'avais contacté Voss. On a parfois besoin d'une aide extérieure, et Batman n'était pas là pour m'aider sur cette affaire, non. Cette fois, on travaillait à l'ancienne, comme à nos bonnes vieilles habitudes. Ambiance pesante, sur fond de possibilité qu'elle ait l'envie de nous aider, et surtout, à quel prix. Combien de fois il avait fallut avancer un peu de fric pour la faire cracher le morceau. Je peux comprendre : La vie à Gotham City n'est pas évidente pour personne, et les risques encourus ne valent pas la gratuité de l'acte. Rien ne se fait gratuitement à Gotham. Jamais.

"C'est une possibilité. Mais y'en a d'autres. Tu vois mon camarade à côté de moi ? Lui, il a pensé aux mouvements anarchistes qui sévissent en ville. Tu en penses quoi, toi ?"

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