Pour tout l'or du monde

Nora se sentait flotter, mais quelque chose était différent. Elle n'aurait su dire depuis combien de temps elle dormait. Tout avait été si paisible. Mais là, la douleur semblait percer doucement. Et une chanson. Elle entendait une belle et jeune voix percer son rève.

C'était une belle chanson, et elle semblait l'appeler. C'était étrange, si étrange. Qui pouvait bien chanter ainsi dans le bureau de son mari ? Ils étaient à son travail non ? C'était-elle endormis encore une fois alors qu'il mangeait ensemble ? C'était si rare qu'il passe du temps avec elle ses derniers mois.

Elle tenta de se réveiller, mais elle n'y arriva pas. Elle se laissa bercer par la douce musique. Elle voulait vivre. C'était étrange, elle n'avait pas ressenti cette combativité, cette vivacité depuis vraiment très longtemps.

Mais elle était trop faible. Elle n'arrivait même pas à ouvrir les yeux. La musique continuait de résonner dans son esprit, mais elle semblait faire partie du rêve maintenant. Et Nora dériva à nouveau. Mais la volonté de vivre et de se battre, elle ne s'évapora pas.

***

Nora avait l'impression de nager à contre courant. Et le froid, il avait disparu aussi. Elle ne le sentait plus. Elle avait l'impression d'avoir chaud même. Elle ne se souvenait même pas qu'il faisait froid avant, c'était son absence qui l'avait tirer de sa torpeur, ça et la chanson.

Mais sa semblait avoir été si longtemps auparavent. Combien de temps étais-ce ? Avait-elle dormi longtemps ?

***

Elle senti ses paupière s'ouvrir, et tout était blanc et brillant autour d'elle. Elle avait l'impression d'entendre des voix. Elle parlait une langue étrangère. Où était-elle ? Ce n'était pas le laboratoire de son mari ici. Elle n'était pas dans le tube... oui ! Elle se souvenait du tube de Cryogénie. Elle croyait vraiment qu'elle allait y mourir. Et pourtant, elle n'y était plus. Que c'était-il passé ? Où était-elle ? Pourquoi les gens ne parlait pas anglais ?

Et alors, un visage apparut au dessus du sien. Dans un accent à couper au couteau, la dame prit la parole.

"Madame Friez, vous êtes réveiller ! Votre mari avait raison. C'est un miracle !"

Nora ne comprenait rien à ce qu'il racontait. La dame sembla s'en appercevoir.

"Vous avez dormi presque 30 ans dans ce tube de cryogénie. Et il n'y a plus aucune trace de votre maladie. M. Fries a refuser de nous dire ce qu'il avait fait, mais vous êtes entirèrement guérit. Il n'y a même pas de trace de rejet ou de gref. C'est un miracle."

L'esprit de Nora était rester geler sur le 30 ans. C'était une farce, une blague de très mauvais gout. Ça ne pouvait pas être vrai. Et pourtant, elle entendait la sincérité et l'émerveillement dans la voix de l'infirmière.

"Je vais chercher la docteur."

Et elle s'en fut. Laissant Nora confuse et faible comme un chaton dans son lit. Le monde était devenue fou. C'était la seule explication logique... Ses yeux se fermièrent à nouveau et elle se rendormit.

*****************

Nora avait prit de la force, elle avait travailler très fort, mue par le désir de revoir Victor. On l'avait bien sur informer de ce qui était arrivé à son mari, elle s'était aussi informer de ce qui était arrivé durant toutes les années où elle était resté dans un comas. Mais c'était encore difficile à intégré. Il y avait tant de nouvelle technologie, tant de changement dans le monde, et partout.

Les amis qu'elle avaient autrefois, les gens qu'elle avaient connus, tous aurait de viellir, certain, si ce n'était plusieurs était surement mort.

Et son mari qui était devenu un criminel. Elle ne savait trop que penser de ça. Son victor, le scientifique, le rêveur, un peu tête en l'air... craint et détester. Elle n'arrivait tout simplement pas à réconcillier les deux. Mais elle ne pouvait pas non plus le condamné. Elle l'aimait. Et en toute conscience, elle aurait peut-être fait la même chose que lui dans des circonstances semblable.

Non, durant toute sa convalescence, elle s'était tout simplement refuser de se faire une idée, de le juger, de penser à lui autrement que pour se donner le courage de passer au travers d'une journée de plus en réadaptation. De passé une journée de plus si loin de lui. Durant ses mois de solitude, à guérir loin de son pays et des siens, elle s'applica à se faire à ce nouveau monde, mais aussi à redevenir une femme belle et séduisante. Pour son mari, parce que lui aussi devait réapprendre à vivre. Elle avait lu la lettre qu'il lui avait laissé. Elle comprenait qu'il l'avait fait par amour pour elle. Mais maintenant, tous cela était terminé, loin derrière eux. Elle voulait se réappoprié le bonheur qui aurait du être le leur. Sa volonté de le faire la surprie même. Elle se sentait féroce et animé d'une énergie qu'elle n'avait plus eu depuis longtemps.

Elle réfléchi aussi longtemps à une nouvelle carrière. Elle ne pourrait jamais redevenir ballerine, non seulement se serait difficile de retrouver une forme physique aussi parfaite, mais ça lui prendrait trop de temps. Temps qu'elle voulait consacré à vivre pleinement sa nouvelle vie, et surtout, temps qu'elle voulait consacré à son mari. Et alors une idées germa en elle.

Elle avait hérité de toute la fortune de ses parents. Ce n'était pas des milliars, mais c'était suffisent pour ouvrir une école de danse. Pour offrir des bourses à des jeunes et un endroit où les adolescent pourrait venir et se retrouver. Et dieu savait que Gotham en avait besoin. Elle avait lu tout ce qu'elle pouvait sur la ville. Oui, elle ferait de sa deuxième chance quelque chose de bien. Et elle allait faire de son mari un homme bon à nouveau.

Elle réfléchissait encore à tous cela, appréhendant l'arrivé à Gotham alors que l'avion qui l'y ramenait attterissait. Elle avait vu des photo de son époux. Elle savait le monstre qu'il était devenue physiquement, mais elle l'aimait toujours. Et lui ? Comment reprendre leur vie à deux après tant de chose ?

Elle débarqua de l'avion, le ventre noué par l'appréhension. Serait-il là pour l'acceuillir ? Comment allaient-ils tous deux réagir ?

Et finalement, elle le voit. C'est un choc, malgré tout. Il est si différent, la peu bleuté, et si vieux. Et pourtant, son coeur fait une embardé et elle se précipite vers lui.

Codage par Libella sur Graphiorum

Pour tout l'or du monde

Nora se sens amusé par toutes les déclaration de son mari. Elle ne peut imaginé ce que ça vie est put être durant toute ses années sans elle, et donc l'amusement est teinte de compassion et de tristesse aussi.

Elle dépose sa main délicate sur son bras et lui sourit tendrement.

"Mon amour, je n'ai besoin ni de limousine, ni de maison grandiose. Mon chez moi est auprès de toi et un petit appartement nous avais toujours suffit... avant. Tant que je suis après de toi, dans la ville qui m'a vu grandir, le reste n'as pas d'importance."

Il parlait de son travail et Nora se sens un peu curieuse aussi, sur tous ce qu'il a vécu en son absences, et sur ce qu'il fait de sa vie maintenant. Les médecins lui en ont révélé si peu sur lui. Et elle a tant a apprendre sur le monde d'aujourd'hui. Lire et regarder des documentaires ce n'est pas la même chose que de vivre.

Elle le suis lentement vers sa voiture pendant qu'il continue de discuter, son attention presque entièrement sur lui, néanmoins, une partie d'elle ne peut s'empêcher de s'émerveiller devant toute les télévision et les technologie autour d'elle.

"J'ai tant à ratrapper"

Ne peut-elle s'empêcher de murmurer, avec un émerveillement teinter de tristesse. Elle ne parle pas seulement de la technologie et des changement dans le monde, mais d'eux aussi. Tant d'années qu'il a vécu sans elle, ou elle n'a presque pas veillis, tant de temps perdu. Et pourtant, elle n'en est pas fâché, pas vraiment. Elle aurait du être morte, cette seconde chance est un cadeau de Dieu. Elle ne saurait qu'en être reconnaissante.

"Et je sais que je ne serai pas seul pour réapprendre à vivre dans ce monde. Mais ne crois pas que je te laisserai passé sous silence ses années sans moi. Les médecins n'ont pas voulu m'en parler, mais les informations n'était pas exactement difficile à trouver non plus. Mais je veux l'entendre de ta bouche, le comprendre à travers tes mots."

Sa voix c'est faites sévère, mais aimante. Entre mari et femme, il ne peut y avoir de secret, et elle compte bien ratrapper les années qui les ont séparé coute que coute. Qu'il le veuille ou non, ses erreurs comme ses réussites, les années qu'il a vécu sans elle, les crimes qu'il a commis, tous cela font parti de lui, et donc lui appartiennent à elle aussi. Elle n'a pas l'intention d'être en reste et de les cacher sous le tapis. Elle fera le ménage, foit de Nora Fries.

Codage par Libella sur Graphiorum

Pour tout l'or du monde

Nora écoute en silence tous ce qu'il lui raconte, hochant la tête, son visage ouvert et expressif. Il peut lire en elle facilement. Elle a mal pour l'homme qu'elle aime, elle compatis pour tous ce qu'il a vécu, elle ressent de la colère aussi, face à ce qu'il à fait, et face à ce qu'il a subit.

Quand elle a su qu'elle allait mourrir, avant qu'il ne la congèle, c'était pour lui qu'elle avait peur. Elle avait mal de l'abandonné, et si elle avait accepté d'être congelé, elle n'y avait pas cru. Elle voulait seulement lui donner de l'espoir et le temps de faire son deuil. Jamais elle n'aurait imaginé tous ce qui lui était arrivé ensuite. C'était horrible. Elle se sens horrifié par tous ça, mais aussi, égoïstement, férocement, aimé.

Elle aurait tellement voulu qu'il n'est pas vécu tous cela seul, qu'il n'est pas eu à tué, qu'ils est vécus ses années ensemble, mais elle ne peut rien y changer. Et elle réalise, au fur et à mesure qu'il explique et raconte, qu'elle se sens féroce dans son envie de le protégé, de lui épargner d'autre souffrance.

Elle n'aurait pas ce qu'il faut pour tuer, enfin, elle ne croit pas, mais au fond, elle comprend, elle est en accord, avec ce qu'il a du faire pour survivre et la protégé. Cet homme, bien qu'elle n'arrive pas à cautionné entièrement le meutre... cet homme n'a eu que ce qu'il méritait.

Elle pense à tous ce qu'il a surmonté, une fois que le silence retombe entre eux, et elle se sens fière de lui. Qu'il est réussi à mettre tout derrière lui, qu'il tente de son mieux de réparer les tord qu'ils à fait, et qu'il veuille redevenir l'homme de bien qu'elle a connu autrefois.

Alors que la voiture s'arrête et qu'il parle de la personne qu'il a pris sous son aile, son cœur et sa tête son encore pris dans tous ce qu'il lui a raconté. Il lui faut un moment pour tenter de retrouver contenance. Elle a si mal pour lui, pour eux, il y a tant d'émotions qui se bouscule en elle. Avant qu'elle n'en prennent conscience, il sont arrivé devant la porte. Cependant, elle ne se sens pas tout à fait prête à ouvrir et à rencontré une autre personne, pas tout de suite. Il faut qu'il parle, enfin, il faut qu'elle parle, qu'elle exprime, qu'elle libère son cœur d'une partie de ses émotions.

Elle met sa main sur la sienne avant qu'il n'ouvre la porte et elle prend une grand inspiration pour tenter de remettre un peu d'ordre en elle. Cela aide peu, et finalement, elle tourne son regard vers le siens, tentant de lui faire voir sa compassion, sa douleur, son amour.

Elle se racle la gorge, une fois, deux fois, mais les mots ne viennent pas. Alors elle change de tactique et elle s'approche de lui, s'élevant sur la pointe des pieds, elle l'enlace et l'embrasse. Elle y mets toute les émotions qui se bouscule en elle, mais surtout tout son amour pour lui.

Après ce qui semble à la fois une éternité, et si peu de temps, elle se force à mettre fin au baisé, sa gorge c'est desserrer et les mots arrive à passé.

"Je t'aime Victor. Je suis fière de l'homme que tu es aujourd'hui. Je ne peut pas dire que j'approuve tous ce que tu as du faire. Tu auras beaucoup de tord à repayer, et d'amende honorable à faire, mais je sais que tu y arrivera. Je serai à tes côté. Quand à cet homme qui à voulu me tuer et nous séparer, je ne peut te donner tord. Il a eu ce qu'il méritait. C'était un être abjecte, qui a briser bien trop de vie. Et maintenant que je suis de nouveau à tes côté, tous ce que tu auras à faire face, nous le ferons ensemble. Pour le meilleur et pour le pire."

Codage par Libella sur Graphiorum