5 avil 2017, 9h23pm.

Une ombre surveillait East End malgré la pluie froide et continue qui tombait sur le quartier. Care avait presque l'impression que le Ciel pleurait avec elle en cette journée de deuil par trop personnel. Elle savait bien que ce n'était pas le cas. De un, elle n'était rien d'autre qu'une vie parmi tant d'autre pour le Seigneur, et de deux, la météo était une affaire de science et pas de Divin. Dieu avait d'autre chat à fouetter que de faire pleuvoir pour une simple mortelle.

Mais la température avait un effet presque appaisant sur les souffrance de la jeune femme. Elle avait l'impression d'être comprise en quelque sorte. C'était idiot, mais elle décida de s'y accrocher, juste pour se soir. Parce qu'elle se sentait plus seul que jamais quand arrivait le mois d'Avril, le mois des tragédies dans sa famille.

Elle n'avait pas voulu renoncé à sa patrouille. Pas seulement parce que trop de gens comptait sur elle, mais aussi parce que c'était son exutoire. Pas pour de la colère, non, elle n'usait de violence que quand elle ne pouvait pas faire autrement. Elle essayait toujours d'en faire le moins possible, de n'utiliser que le strict minimum. Non, les patrouilles était un exutoire à sa douleur. En se focalisant sur celle des autres, en ne pensant qu'aux autres, elle en oubliait la sienne, elle s'annestésiait.

Mais avec la pluie, c'était calme, trop calme. Comme si personne n'osait soritr par une temps pareil. Elle entendit alors une femme qui appelait à l'aide et elle se précipita. Elle ne savait pas qu'elle allait tombé sur quelque chose de plus sinistre, quelque chose qui aurait été du ressort des vrai membre de la JLD, et pas d'une pautre justicière en herbe.... Car se soir, un vampire était de sorti dans l'East End, et avait l'intention de se nourir. Elle ne savait pas non plus qu'elle allait tombé au milieu d'une sorte de guerre entre un seigneur vampire et Constantine. Non, se soir, elle allait rencontré, pour son plus grand malheur, la créature responsable de la mort des parents de Rose.

Mais Care ne savait rien de cela. Pour le moment, elle était encore tout à fait naïve de ce genre de chose. Care ne croyait pas encore au monstre, les vrais. Tous ça allait changer se soir. Cette nuit, dans la noirceur et la froideur d'une nuit de printemps, Care allait perdre une autre partie de son innocenc. Se soir, les ténèbre allait lui prendre la certitudes que tous le monde peut être bon et se racheter. Que tous le monde à une âme.

Mais comme elle ne savait rien de tous cela, la jeune justicière se glissa dans les ténèbre de la ruelle avec la ferme intention de secour la jeune femme qui venait de crier.

Elle tomba nez à nez avec une scène qu'elle n'aurait jamais cru voir dans la vrai vie. C'était comme dans un film d'horreur, l'homme au dessus de la femme, le sang qui coule le long du coup de la pauvre victime, et le regard affamé, sauvage, malveillant de l'homme qui se braque vers la pauvre gamine des rues en costume de ninja. Care eu peur, vraiment peur, mais elle ne pouvait pas reculer. C'était son devoir d'essayer de protégé cette femme.

"Laissez-la !"

Et elle sorti sa croix en argent... parce que qu'est-ce qu'elle pouvait faire d'autre ?

Care avait vraiment espéré que tous ça ne soit qu'un malentendu, une sorte de cauchemar, mais elle réalisa au moment où il bougea trop vite pour qu'elle ne le voit faire, qu'il n'était réellement pas humain. Et elle comprit au moment ou la main du monstre se referma sur son poignet que ce n'était pas un rêve. Tous ça était réellement en train d'arrivé.

Un vampire, un vrai. Elle savait que la vie était beaucoup plus que ce qu'elle ne semblait au gens ordinaire, au gens naïf. En assistance la ligude de justice sombre, elle avait réalisé que la magie, la foi et tous ses mythes que les gens prenait pour des histoires était vrai. Certes, certains avait été déformer, exagéré, ou pas entièrement vrai. Mais les légendes existait réellement.

Et là, elle avait un vampire, un vrai, devant elle. Sa croix semblait l'affecter un peu, mais presque pas. Elle était vraiment mal. Très très mal en fait. Elle n'était pas de taille, elle le savait.

Elle aurait put, elle aurait du appeler à l'aide. Elle l'aurait fait, si au moment ou elle s'apprêtait à piger la carte dans son sac, le vampire ne lui parla de Constantine. Au nom de Dieu ! Elle réalisa alors avec une clareté qu'elle ne pensait pas possédé, qu'il était le vampire que John cherchait si ardament pour le tuer. Il avait tué les parents de Rose. Il n'y avait, dans son esprit, aucune autre explication au fait qu'il reconnaissait l'odeur de la JLD sur elle. Et particulièrement celle de celui qu'elle considérait désormais comme un oncle. Non, elle ne pouvait pas ajouter à sa dette envers le magicien. Il avait déjà tellement souffert de ce qu'avait fait ce vampire. Elle ne pouvait pas le mêler à cela, lui demander de la sauver elle aussi. Elle devait se montré à la hauteur. Elle était déjà damné, elle avait tué des gens, fait des choses horrible. Elle pouvait salir son âme encore un peu plus.

Et surtout, la rage qui bouillait en elle en appelait à cela. Elle voulait la peau de ce monstre. Elle n'avait jamais ressenti cet émotion, de toute sa vie, jamais elle n'avait réellement souhaité la mort d'un être vivant comme elle souhaitait celle du monstre devant elle. Ni la bum qui l'avait intimidé à l'école, ni l'homme qui avait posé la bombe dans sa maison, ou les scientifique de la clinique qui l'avait séquestré pendant 1 an.

Elle laissa la colère enfler, au lieu de la refouler, elle s'en nourit. Elle l'appela en elle. Elle leva les yeux au ciel et pria avec une ferveur qu'elle n'avait jamais eu depuis la mort de sa soeur. Dieu semblait l'avoir accepter comme arme, comme outil pour faire sa volonté sur terre. Elle le sentait en elle en ce moment précis. Elle était Son instrument. Elle puisa sa force dans son désir de justice, dans sa rage de ce qui était arrivé à celle qu'elle considérait comme une petite soeur, dans la rage que lui inspirait de voir les tourment sur le visage de Constantine quand il repensait à ce qui était arrivé à sa fille. Pour Rose, pour Constantine, pour la femme morte à ses pieds, et toutes les autres victime du vampire. Elle voulait être la justice, la rétribution du Ciel, de l'Éternel.

Un psaume en particulier lui vint à l'esprit. Le psaume 23. Elle se mit à le récité avec une conviction profonde et une foi en béton. Elle puisa dans sa certitude d'être où elle le devait et que le divin l'avait choisis pour être ici. Peut importe si elle vivait ou mourait aujourd'hui, elle allait faire de son mieux pour que ce vampire ne s'en sorte pas.

Care pensait réellement que ses prière allait faire quelque chose. Elle n'était certes pas importante sur le plan personnel pour Dieu, elle l'avait toujours su, mais elle était Son instrument, une guerrière de la Foi. Mais ce vampire, semblait être autre chose. A moins que ce ne soit elle qui ne soit pas suffisament forte ? Non, elle était certes faible et insignifiante, mais elle avait la Foi, la vrai. Elle ne doutait pas une seconde être ici pour une raison, et que Dieu ne la laisserais pas tombé.

Ce vampire était peut-être trop puissant pour elle, ou peut-être pas. Mais elle devait continuer d'essayer, continuer de supporter. Elle n'abandonnerait pas, la souffrance, elle connaissait. C'était une ami, une punition mérité, une expiation. Elle la reçu avec un sourire, ses yeux emplis d'une lumière farouche et déterminer. Elle ne laisserai pas le vampire la faire douter de Dieu ni de sa foi. Elle ne laisserait pas le mal gagné sur elle, même si ça devait lui couter la vie. Peut-importe qu'elle aille ensuite au Paradis ou en Enfer. Elle aurait au moins la satisfaction de s'être battu jusqu'au bout.

Les griffe déchirèrent sa peau, la douleur se répendit en elle comme de la lave, suivant les sillon creuser à même son corps. Elle en accepta la brulure exquise, elle lui prouvait encore et encore qu'elle était en vie, qu'elle continuait de chercher sa rédemption. Sa douleur ne la brisait pas, elle la rendait plus forte, plus déterminer. C'était un rappel de sa mortalité, mais aussi de sa mission, de sa raison de se battre. Elle avait jurer de faire de cet endroit un monde meilleur, de ne jamais abandonner l'espoir, de la répandre autour d'elle. De protéger les gens de Gotham. Elle voulait venger Rose aussi, faire en sorte que ce que la petite fille avait vécu, et qui était si semblable à l'histoire de la jeune justicière, ne se répète plus jamais pour personne. Elle n'avait pas la force de Constantine, et elle son sac gisait à ses pieds avec la cartes. Trop loin pour qu'elle puisse appeler. Et puis, c'était à elle de sâlir son âme, peut importe ce qu'en pensait Constantine. Si elle pouvait éviter au magicien de tuer, ou de se confronter au vampire, elle le ferait aussi. Elle en acceptait les conséquence et la colère du magicien. Ce n'était que juste. Elle était parfaitement consciente de lui voler son moment, sa vengence, et tous ça. Elle voulait le faire. Ainsi, il serait fâcher, et protégé, elle gagnait sur tout les plans. Il fallait qu'elle trouve un moyen de protégé la JLD contre elle, de faire en sorte qu'il ne soit pas blessé quand elle s'en irait. Ils n'avaient plus vraiment besoin d'elle, sauf peut-être Bianca, mais la jeune femme n'était plus seule.

C'est une douleur intense et vive à ses deux jambes qui la firent revenir au présent. Elle réalisa qu'elle divagait un peu, la douleur, le manque d'oxygène, la faiblesse de plus en plus apparante de son corps après 2 ans de malnutrition et de mauvais traitement, se faisait sentir se soir. Elle allait s'écrouler au sol. Ses yeux se plantère dans ceux du démon devant elle. Il n'y avait aucune humanité dans les pupilles rouge sang du vampire. Il était un monstre pur et simple, une abération, un danger qui devait être détruit. La peur avait comme disparue, aspiré avec l'anesthésiant induit par une douleur intense soudaine. Elle voulu faire un pas, mais ses jambe s'effondrèrent.

Mais Care était déterminée. La douleur et la peur se mèlait ppur allimenter son envie de vaincre, son refus d'abandonner ou de se rendre. Elle ne pouvait pas gagner, mais elle lui ferai payer chaque parcelle de victoirw, chaque cri, chaque douleur.

Elle rampa jusqu'à lui, et il la laissa faire. Il s'emblait s'amuser et quelque part, Care se dit que c'était tant mieux. Il la sous-estimait, elle n'aurait pas d'autre chance. Elle arriva jusqu'a lui, et avec la force de ses bras, de sa volonté, de sa Foi et surtout l'adrénaline coulant dans ses veine, elle se hissa jusqu'a pouvoir atteindre son visage. Là, elle planqua sa croix béni contre la joue du vampire. Certes, elle doutait que ça le tue ou ne soit grave, mais elle avait l'intime conviction de le marquer. Qu'il garderait cette trace de sa Foi sur lui. Peut importe ce qu'il lui faisait ensuite, elle aurait au moins ça.

Ses jambes et son bras lâchèrent  mais l'odeur de chair grillé avait emplis la ruelle. Care était satisfaite.

Vous n’en aurez pas peur, car l’Eternel, votre Dieu, combat lui-même pour vous.

Alors qu'elle tombait vers le sol, la jeune croyante eu le satisfaction de voir le vampire réagir à ce qu'elle lui avait fait. Elle voyait distinctement la marque de sa croix sur sa joue, comme brulé au fer rouge. Dieu était avec elle, il lui donnait sa force. Peu importe l'issue innévitable de la confrontation se soir, le vampire porterait la marque qu'elle venait de lui faire pour toute son éternité. Il y avait quelque chose de puissant dans ce sentiment. Elle avait été entendu, elle avait été assez forte pour faire en sorte que ça compte, même si ce n'était qu'un tout petit peu.

Au moment ou elle s'écrasait au sol, elle senti la douleur se répendre dans tous son corps comme un éclair. L'os brisé dans sa jambe droite venait de percé sa chair sous l'impact du sol contre sa jambe tordu. Elle ne sentait pas le sang s'écouler avec trop de vitesse, au moins, son artère était intact, mais la douleur était intense, accaparante, totale. Elle perdit probablement quelques préciseuse seconde de conscience sous l'effets débilitant qu'était un os qui vous transperce. Quand le noir refoula de sa vision, elle vit le vampire devant elle, transformer, son visage hideux et horible. Elle aurait pu avoir peur si elle n'était pas maintenant au delà de tous ça. Elle avait un peu l'impression de flotter au dessus de son corps, de ne plus vraiment vivre la scène tout à fait.

Le vampire ouvrit la bouche. “Cesse de prier, ton Dieu n’existe pas.” La créature s’avança à nouveau vers la jeune femme sur le sol. La regardant de haut. “Le seul Dieu ici… C’est moi, petite salope.”  Mais il avait tort, Care le savait, le sentait présent à ses côté en cet heure à la fois glorieuse et infiniment douloureuse. Elle n'était pas seule, jamais, et malgré toute son insignifiance et le fait qu'elle ne méritait absolument pas ni l'amour ni la confiance de Dieu, elle était un de ses outils. Cette conviction profonde lui donna la force de réintégré son corps, de resté forte.

Elle se mit à réciter son chapelet, c'était quelque chose qu'elle faisait tous les jours avant de dormir. Elle connaissait pas coeur, même sans en avoir un vrai. Elle pouvait imaginé le colier dans sa tête, chaque bille, brillante, lumineuse, magnifique. La peur était lointaine, elle pâlissait derrière la douleur et la beauté de la mort.

C'est la douleur des griffes dans ses côtes qui lui coupèrent le souffles et firent s'arrêter, pendant un moment, sa prière. Elle peinait à respiré maintenant, son corps était au bord du gouffre, elle ne restait consciente que parce qu'elle le voulait, que parce qu'elle s'accrochait au combat, à son désir de continuer de vivre, malgré tous ce qu'elle avait perdu, elle ne pouvait pas abandonner les gens qui comptait sur elle, les gens qu'elle soignait, qu'elle protégeait soir après soir. Elle ne pouvait pas laissé le vampire qui avait tué les parents de Rose la tué non plus. Pour la petite fille, pour Constantine, elle ne pouvait pas mourir ainsi. La douleur fut comme un défibrilateur. Elle se mit à se débattre, malgré la douleur de chaque mouvement. Elle DEVAIT vivre. Mais il était fort, trop fort pour elle. Mais elle ne se laisserait pas vaincre, pas comme ça.

Elle senti ensuite quelque chose s'enfoncer dans son coup, deux aiguille qui perçait sa peau, puis sa vie qui s'écoulait pas ses trous. Son sang était déjà si clair, si peu fortifiant. Elle peinait à manger, à dormir, à vivre au jour le jour. Chaque goute qui quittait son corps emportait avec elle un peu plus de son énergie, de sa force de résistance, mais elle ce concentra sur sa Foi. Elle avait fait un serment, elle ne se parjurerais pas. Elle allait continuer de vivre, pour ce serment, pour sa famille qui ne le pouvait pas.

Puis, alors qu'il lui restait si peu d'énergie, il se retira d'elle. Elle senti les crocs se glissé hors de son coup, et lil se pencha à son orreille. “Tu salueras Constantine de ma part.” Un sourire plus carnassier s’affichera sur ces lèvres. “Ho, et n’oublie pas la petite.”

Et alors que son visage remontait, alors qu'il était à porté. Care rassembla ses forces, sa hargne, sa colère et tout ce qu'il lui restait de combativité. Elle lui cracha au visage, purement et simplement et simplement. Puis, elle lui dit avec tout le souffle qu'il lui restait.

"Tu portera à ta joue le signe de la puissance de mon Dieu pour toute la courte éternité qu'il te reste. Ne t'en fais pas, John Constantine te retrouvera et il te détruira. Pas pour moi, mais pour ce que tu as fait à une petite fille innocente."

Care y croyait, aussi surement qu'elle croyait en Dieu, que John Constantine vengerait sa famille. Elle, elle n'était rien, mais Rose était tout pour le démonologue. Le vamprie avait perdu son temps avec elle, et maintenant, il en porterait à jamais la cicatrice. Care se sentait fière au moins de ça. Elle n'avait pas été à la hauteur du reste. Elle n'avait pas réussi à détruire le vampire, ni à réellement lui faire payer ce qu'il avait fait à Rose, mais elle avait réussi à le marquer avec la puissance de sa Foi. Elle aurait réussi au moins un truc bien dans toute sa misérable vie.

L'adolecente était vraiment mal en point. Elle avait l'impression que tout son corps était fait de plomb, son esprit était englué, comme s'il était encastré dans un Jello très très consistant. Chaque pensée, chaque idée, elle avait l'impression de devoir aller la chercher aux prix de gros effort. Elle avait froid, si froid, comme si ses os était de la glace.

Le vampire était encore là, elle sentait son regard sur elle. Il ne faisait rien d'autre. Il semblait attendre quelque choses. Sans doute voulait-il rire de la voir ramper pour trouver de l'aide, ou attendait-il de la voir mourir dans cette ruelle, toute seule. Elle ne lui ferait pas ce plaisir, pas le dernier en tout cas. Elle n'arriverait jamais à s'en sortir si elle restait ici à attendre. Elle sentait ses forces continué à diminuer , sa vision se rétrécissait lentement mais surement. Elle ne pouvait pas se retrouver à l'hopital non plus, pas plus qu'elle n'avait le luxe de demander de l'aide au réseau. Il n'arriverait pas à temps, et elle ne pouvait pas prendre la chance que son paternel la voit ainsi. Elle n'avait qu'une solution. Rampant malgré tout, sa main gauche serrant sa croix comme si sa vie en dépendait, elle concentra sa volonté sur chaque mouvement, ce concentrant sur un seul but, celui d'atteindre son sac. Ses muscles semblait pesé de plus en plus lourd, sa vision était maintenant seulement un petit tunel, elle ne voyait plus que son sac devant elle.

Le mètre qui la séparait de l'objet de son désir lui sembla prendre une éternité. Finalement, elle sentit la rugueur du tissus sous ses doigts. Essouflé comme si elle avait fait un marathon, presque aveugle, épuisé et aussi faible qu'un chaton, elle mit tous ses efforts dans le simple mouvement de récupéré la carte. Son esprit ne fut alors concentré que sur une seul pensée, retrouvé la sécurité.

Un portail souvrit sous elle et elle glissa dans l'inconscience alors qu'elle se sentait tombé.