Nationalité || Américaine. Âge || 32 ans (28 d'apparence).
Métier || Recherche - Biologie, Biochimie. Groupe || Arkham.
Votre but à Gotham City :
Quelle raison ton personnage a-t-il d'être à Gotham City ?
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Quelle est ton expérience Jeu de Rôle ? Quelle fréquence de jeu peux-tu investir sur notre forum ? Es-tu un Double ou Triple compte ? Si oui celui de qui ? Holly R.
Liens éventuels de ton personnage :
Parle nous un peu de toi :
Comment nous as-tu trouvé ?
Votre parrain/marraine : Nightwing
Es-tu d'accord avec les règles en vigueur sur notre forum ?
Suite aux modifications physiques apportées par l'expérimentation du Professeur Woodrue, la symétrie que renvoie le corps de Poison Ivy est proche de la perfection. Son premier signe distinctif est une beauté sans pareille.
Forme originelle. En réduisant l’intensité de son poison, la vénéneuse peut retrouver sa peau crème, comme la coquille d’un œuf. Sous ses traits humains, Pamela Isley est la Jessica Rabbit de Gotham City. Une femme sensuelle, rousse aux yeux vert, qui attire les regards comme un aimant. Si elle s’effeuillait toute entière, alors mise à nue, elle poserait sans doute pour Michel-Ange. Comparable à une antique et voluptueuse statue de marbre, son corps ondule en courbes désirables, la peau si douce, et si lisse, comme la soie, à croire qu’y poser les doigts les ferait tout aussi simplement glisser. La main gracieuse à la taille, le déhanché qui pendule, alors perchée sur de longues jambes élégantes. On devine à la bulbe longiligne que forme sa fine musculature, ou encore à la bombe harmonieuse de sa poitrine, qu’elle doit être un oreiller confortable… Par ailleurs, on ne saurait dire si c’est un effet des phéromones dont son corps est la matrice, mais la voir vêtue suscite une sourde envie de la déshabiller. En bref, sous cette forme, Pam. Est. Irrésistible.
Forme végétale. Son corps relaxé ne change pas de morphologie, mais ses couleurs reprennent leur teinte naturelle. Un vert pâle. Quelques feuilles de lierre poussent ci et là dans sa chevelure, à l’entrelacs de fines tiges qui ondoient parmi ses mèches rousses. Généralement, elle arbore cet aspect dans son sanctuaire, à l’abris des regards. Dans son antre, où elle se ballade à peine vêtue. Ivy attire seulement sur elle quelques poignées de feuilles pour camoufler son intimité. Cet ensemble minimaliste forme un maillot en bikini, laissant alors apercevoir un ventre plat, sur lequel s’esquisse le trait d’un nombril en amende, et dont la petite culotte, qui n’en est pas du tout une, n’est qu'un pagne très aéré en lambeaux de feuillage. Souvent, de longues tiges et leurs racines s’enroulent comme des lianes autour de ses bras ou de ses chevilles ; produites quand elle cueille des fleurs sans avoir à les couper. Les dites lianes croissent, se déforment en brassards et bracelets. Cela dit, lorsqu’elle reçoit des visiteurs, elle aime les éblouir en façonnant la nature, de sorte à se couvrir de nuisettes translucides, ou des robes majestueuses. Parfois, une coiffe fleurie ou une couronne de lauriers ceint son crâne ; alors prête à conquérir et les cœurs, et la terre.
NB. Sous cette forme, sa peau s’enduit naturellement d’un neurotoxique. Son contact entraine des engourdissements, comme chez certaines méduses. Si celui-ci est prolongé, alors survient la paralysie. Ensuite, apparaissent la sensation d’étouffement, suivi des spasmes, puis enfin, l’écume aux lèvres et la mort qui s’en vient.
Poison Ivy figure parmi les femmes fatales de Gotham. Tentatrice pour les uns, sociopathe pour les autres, c’est l’une des résidentes les plus dangereuses de l’asile d’Arkham. Une aile lui est consacrée. Là où se situe sa propre cellule, hermétique, sur mesure, pour qu'on puisse l'y sécuriser de la même façon qu’une arme de destruction massive.
Misanthrope. La misandrie serait honteusement réductrice pour parler d'Ivy, sachant que ses frasques à l'égard du sexe opposé sont anecdotiques. C’est la misanthropie qui la caractérise. C’est-à-dire qu’elle déteste l’humanité, et tout ce qu’elle contient, sans aucune distinction de sexe, de race ou de religion. Elle a également conscience de son intellect. Considérée comme un Cerveau par ses confrères, s’assumant avec fierté comme un être supérieur, inexorable, et génocidaire de surcroit. Cela dit, son orgueil est à son image ; loin d'être pachydermique, il est léger et raffiné. Ce vice se perçoit dans ce qu’elle dégage de souverain et d'extraordinaire. La posture droite, impériale. Elle ne fait pas que s’assoir, par exemple, on dira plutôt qu’elle « siège » en émissaire de Mère Nature.
Le Vert ; The Green. Ivy flirte avec les dieux du bout des doigts. Ce qu’on appelle le Vert est le lien qui connecte toutes les forces végétales connues, à travers l’immensité de l’univers, comme le feraient des terminaisons nerveuses, synaptiques. C'est grâce à cette connexion qu'elle communique avec la flore et les perçoit tout comme des animaux sensibles. En temps normal, le Vert est paisible, propre à la paix, à la méditation. Il l'est, oui, mais seulement tant qu'il est calme... Il devient assourdissant quand il est tourmenté, Ivy s'en bouchait les oreilles, terrifiée, alors qu'elle découvrait à peine ses aptitudes.
Pour aller plus loin. Grâce au Dr. Alec Holland (alias Swamp Thing), on sait qu'il est possible de voyager à travers ces connexions, par chloroportation. Mais c'est tout un périple, dans un ailleurs métaphysique, extraordinaire, fait de ronces chaotiques et de forêts dantesques, comme un outre-monde enfiévré par une flore qui ne connait aucune limite. Par ailleurs, au plus l'empoisonneuse est connectée à cet essaim verdoyant, au plus elle se fond en lui. Ce qui signifie qu'au plus elle communie avec le Vert, au plus elle entre en dissonance avec l’humain, pour finir par s'en dissocier, et s'oublier. Si sa fureur ou sa tristesse augmente d'une façon qui paraitrait disproportionnée, c'est qu'elle est en empathie avec ce qu'elle perçoit comme ses enfants ; les mêmes fibres, la même sève.
Romantisme. Dans l'intimité, Pam est romantique. Elle aime recevoir des fleurs, tant qu'on sait comment les cueillir. Sa couleur préférée est le rouge passion, avec une nette attirance pour les lèvres de Harley Quinn. C'est elle qui l'empêche de s'oublier totalement. Si elle se répand inexorablement à travers la vie comme une vigne barbelée d’épines, elle ne peut passer outre les sentiments qu'elle a pour elle. Toutes deux rejetées par les hommes qui ont fait d'elles leurs créatures, et pour qui elles ont été jusqu'à sacrifier leur intégrité, passent maintenant du temps ensemble pour se consacrer l'une à l'autre. Aussi pour s’amuser, sortir du cloître de son sanctuaire en se laissant entrainer par Harleen, qui leur trouve toujours quelques attractions à visiter. Chose que n’a pas l’habitude de faire la vénéneuse, ayant toujours le nez dans ses travaux. De son côté, Pam estime qu'elles pourraient vivre ensemble, mais elle attend. L'ombre du Joker y étant pour quelque chose. Pour l'heure, leur relation est intense et flamboie, à l'image d'un cœur bouillonnant d’amour et de tendresse.
[ Pamela ] ▬ « Que voulez-vous entendre, docteur ? ... Humf-Que j’étais laide quand j’étais petite ? Que j’avais des dents de cheval ? Que mon appareil dentaire m’empêchait d’articuler ? Des cheveux insensés sur la tête. De grosses lunettes sur le nez...
[ Soupire ]
Nous vivions à Seattle, avec mes parents. Ma famille était aisée, et je ne manquais de rien. Seulement, d’aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours été seule. Je ne crois pas que mon père eut été un jour fier de moi. C'est étrange mais, dans mes souvenirs, je le vois toujours de dos. Son regard se détourne, constamment offert au paysage, vers l'horizon... Je n’étais pas belle, voilà tout. Je pense que ça l’a déçu, il ne m’aimait pas.
J’étais une enfant précoce, pourtant. Surdouée, par rapport à la norme des autres enfants. Je me suis intéressée aux garçons quand j’avais six ans. Humf-ma mère retrouvait toujours ses hauts talons et sa trousse de maquillage sens dessus-dessous. Son tube de rouge à lèvre rabougri ; un véritable massacre sur ma bouche. Je voulais les embrasser mais je les faisais fuir, ils s'encouraient, se dispersaient partout dans la cour de récréation… Les garçons, quant à eux, m’ont découverte quand j’en avais quinze.
Mais tout ce que je suscitai en eux, c’était l’ennui. Amoureuse, déjà conquise, et puis collante, comme une sangsue. Quand la nature ne vous a pas gâtée, on se raccroche au moindre petit signe d’intérêt, on veut être aimée, alors on répond avec le sourire, on s’y cramponne, on prend espoir. Je n’en connais pas un qui ne m’est pas abandonnée. Rejetée, en vérité. Au fond, ma vie sentimentale est une succession de précipitation, de maladresse, de naïveté… Ô, je ne le déplore pas. Je ne le regrette pas non plus. Ce sont des épreuves qui m'ont construite. Mais en ai-je seulement croisé ? Je veux dire : ai-je déjà vu un homme qui en soi vraiment un ? »
[ Pamela ] ▬ « J’ai toujours voulu être botaniste. Je voulais m’occuper des fleurs, des plantes en général, de toutes les formes, de toutes les tailles, et de toutes provenances. Mais… Ce n’est pas tout à fait vrai. Par moment je voulais être une star du rock’n’roll. A d’autres moment, je voulais être actrice de cinéma. Et puis, j’ai rêvé d’être mannequin… Des rêves impossibles. Les fleurs, par contre, elles, elles étaient réelles. Je leur parlais. Je me confiais. Souvent. J’occupais mon temps libre à prendre soin d’elles, en leur racontant tout de ce qui me préoccupait ; mes peines, mes espoirs, mes amours, … tout.
Je le fais encore. »
[ Psychiatre ] ▬ « Pourquoi cet intérêt pour les plantes, Pamela ? »
[ Pamela ] ▬ « Je vous l’ai dit... J’étais laide. Souvent trompée, toujours trahie. Je me suis sentie seule très longtemps. Quand personne ne vous apporte de roses, docteur, vous cultivez les vôtres.
C’est mon jardin et mon potager qui me rendaient heureuse. Qui m’empêchaient de déprimer dans ce que vous adjurez de transposer en idéal. Vous ne pouvez pas comprendre. Vous n’êtes que des enclos d’intestins mal pourris, qui aurez toujours du mal avec les sentiments. Les ordures, comme vous, ne cherchent ni l’harmonie, ni à croître. Au fond, c’est cet enragement à persévérer dans votre état ordurier qui pose problème. Vous n’adorez rien de plus divin que votre propre odeur. Vous, humains. Vous avez les yeux rivés sur votre nombril. Humanité par ci. Humanité par là. Terriens, poussière d'étoile, et Bla. Bla. Bla. Le Vert n’entend que vous pendant que vous le déboisez, pauvres petits malheureux de la planète. Même cette chair qui est la vôtre, en molécules qui s’agitent, se révolte tout le temps contre cette mauvaise blague de durer. Vos molécules veulent se perdre, docteur. Elles veulent s’élever et se perdre au plus vite dans l’univers. Elles souffrent d’être seulement « vous » ; homo sapiens. Vous vous démembreriez sur place, si vous aviez du bon sens. Mais votre état de stase vous enferme, atomique, dans votre peau même, avec votre orgueil.
Les plantes n’ont pas ce problème. Elles sont efficientes, grandissent, se répandent. Infiniment généreuses et prévenantes, elle finissent par mourir après s'être changées en fruits nourriciers. Vie. Mort. Renaissance. Inlassablement. Elles m’ont toujours accompagnées, en amies fidèles. C’est elles qui m’inspirent, depuis le commencement, depuis l’œuf. Elles m’aident à comprendre, à me perfectionner, à croître au firmament, comme le lierre… Ce n’est pas vous, docteur, qui me tendez une main, pas même votre sacro sainte humanité. Non, évidemment que non. Ce sont mes bébés qui l’ont fait. »
[ Pamela ] ▬ « Vous connaissez le Professeur ? ... Cela fait longtemps, que je n’ai pas prononcé son nom... Jason Woodrue…
A cette époque, je travaillais pour Wayne Enterprise, dans l’ancien Kane Chemical, juste après leur fusion. J’écrivais une étude sur l’hybridation végétale et animale. Le Professeur Woodrue était un biochimiste légendaire, sa carrière était déjà bien entamée alors que je venais à peine d’être diplômée. J’avais toujours hâte de lire ses publications, toutes personnelles, qu’il avait écrites pour moi. Nous échangions quotidiennement nos remarques, et les siennes m’ont toujours fait l’effet d’une petite bombe. Chaque fois il parvenait à me bouleverser, et moi j’en tombais presque de ma chaise. Ses éclaircissements ont toujours été très appréciés, je dois dire. Ce n’était pas n’importe qui. Une célébrité, dans notre milieu, et… ça tombait sur moi… Moi, l’Insignifiante Isley…
Il me disait qu’il trouvait mes articles extraordinaires, que naturellement il me proposait de travailler dans son laboratoire. Comment aurais-je pu refuser cette chance ? Il n’était pas très beau, lui non plus, mais il était comme il devait être ; il m’aurait sans doute déplu s’il avait été autrement. Nous nous sommes fréquentés un temps ; il me renversait... Pour ne pas lui faire honte, je me suis débrouillée pour paraitre un peu plus coquette. Comme je le pouvais. Moi, j’y croyais… J'y croyais, oui, je savais que cette rencontre changerait ma vie.
Mais j’étais loin d’imaginer à quel point ce changement deviendrait littéral. Jason a fait de moi son cobaye et, en dépit de la loi, j’ai accepté qu’il referme sur moi ce qui ressemblait à l’armature d’un sarcophage. A l'intérieur, des aiguillons me transperçaient comme des lances, les injections successives du sérum gorgeant mon corps de fluides si brûlants, acides… La douleur était insupportable, mais je tenais bon. Nos recherches valaient cette peine. Ce n’était pas une lubie que nous venions tout juste de caresser. C’était le produit d’une lente incubation, l’achèvement d’un travail qui s’étalait sur des années de collaborations.
Le Professeur continuait d'entrer nos protocoles dans la machine. Comme dans un rite initiatique, il récitait chacune des manœuvres à haute voix. Je vois d’ici la jauge procédurale se remplir, annonçant la dernière injection, la phase ultime de notre expérimentation... 40%... 60%... Je lui dit que je l’aime pour la première fois… Mais il ne m’entend pas, ses yeux s’agitaient sur ses écrans… 80%... 100%... Je me mit à crier. Je hurlais. C’était un supplice... Les toxines me rongeaient de l’intérieur. Mon visage gonflait en boursoufflures, puis je m'atrophiais lentement dans une horrible fondue, de draps de peau et de graisses... Je gardaient mes paupières renflées ouvertes, mon... mon propre reflet me dévisageait dans la parois du sarcophage ; si monstrueux qu'il m'était étranger. Je voulais que tout s’arrête. Cette douleur. Ce cauchemar. Je me suis débattue en espérant me défaire des sangles. Je pensais... Je pensais mourir. Je… Je pensais que c’était la fin.
J’ai regardé le Professeur à travers l’armature. Il rassemblait nos données. Toutes nos années de travail… Je criais à l'aide à m'en rompre la gorge, mais... il s’est empressé de quitter le laboratoire... Comme un lâche... »
[ Psychiatre ] ▬ « Vous avez fait le choix délibéré d’entrer dans cette armature ? … Pourquoi, Pamela ? Pour la recherche ? Pour la Science ? »
[ Pamela ] ▬ « Ça vous choquerait ? Pourtant, votre Science accepte toutes les offrandes, tous les sacrifices. Elle a toujours été indulgente dans le choix de ses martyrs, depuis le temps, vous ne trouvez pas ? Elle n’a plus d’entraves, mutée en Marché, dans lequel tous les cobayes sont dignes de mourir sous les aiguilles, transpercés par un crachin d’uranium, pulvérisés dans le souffle d’une bombe. C’est pour cette raison que votre Science doit paraître si noble, si impérieuse, docteur. Pour que vous puissiez lui pardonner un génocide. Mais... Non, pour vous répondre. Ce n’est pas pour la Science que je suis entrée dans cette armature… Si je l’ai fait... c'est par amour. »
[ Pamela ] ▬ « Enlevez-moi cette camisole. Je n'ai rien fait de mal... »
[ Psychiatre ] ▬ « Les gardiens m'ont rapportés que vous pleuriez. Ils se demandent à quoi s'attendre, tout simplement. »
[ Pamela ] ▬ « Je pensais seulement à ma cacahouète... »
[ Psychiatre ] ▬ « Votre... cacahouète ? »
[ Pamela ] ▬ « Harleen... Harleen Quinzel... [ Soupire ] Elle me manque. »
[ Psychiatre ] ▬ « Je vois. Si cela peut vous rassurer, Mademoiselle Quinzel n'est pas loin ; dans une cellule mieux aérée que la vôtre. Toute fois, vous ne pouvez pas partager les communs, ni approcher les autres détenus. Vous êtes... dangereuse, Pamela. Pour nous tous. »
[ Pamela ] ▬ « Vous me vouvoyiez avec respect ; j'apprécie, beaucoup. Mais vous continuez de m’appeler par mon nom d'esclave. Il n’y a que mes proches qui ont le droit de me tirer vers leur humanité, et j’aime à les entendre prononcer tendrement les noms de Pam ou de Red. Mais il n’y aura pas d’équité pour vous, docteur, car la vie est ainsi faite. Pour vous, Pamela Isley est morte dans le laboratoire de Woodrue. Celle qui se tient devant vous s’appelle Ivy, ne l’oubliez jamais. C’est plus qu’une métamorphose. C’est une renaissance, vous ne voyez pas ? C’est un autre corps, animé d'une autre volonté. Je suis autant le bouquet de fleurs que vous déposez dans les cimetières, pour honorer vos défunts, que la petite pousse de cactus qui grandit dans votre cabinet. Un jour vous adorerez le sol même sur lequel je marche. Vous me dorloterez d'une autre façon. Vous me doucherez avec tout ce que je désire. Poison Ivy sera l'objet d'un culte sur une terre que vous ne comprendrez plus, comme le Serpent d'Airain qui s'érige dans le désert, elle vous guidera à travers les champs de vipères. Je renais en Nouvelle Eve, chargée de recréer l’Eden par-dessus votre décharge. Nous n’oublierons jamais. Surtout pas ce qui m’a fait mourir, et mourir sans comprendre à quel point l’humanité peut être cruelle. Quand je déclencherai votre extinction, et que le Vert se répandra, qu'il grandira parmi vous, vous ramperez alors, et vous n’oublierez pas non plus. Il vous faudra raconter sans changer une ligne de ce que vous avez vu de plus vicieux chez l’Homme, et puis rapetisser encore, plus humblement, en embrassant mes pieds. C’est le travail d’une vie, docteur,... et moi je dure éternellement. »
[ Pamela ] ▬ « J’ai régurgité l’hybride… Larve fongique, 18-B11. Les images sont en pièces jointes. Elle est inerte dans son bocal au moment où j’enregistre cet audio. Ses appendices ne remuent plus depuis quelques minutes... Elle vient de mourir... Pauvre petite. Je crains de m’être immunisée naturellement à ses effets, mes défenses immunitaires l’auront épuisée.
[ Soupire ].
Premiers commentaires, après cinq jours d’introspection. La larve persiste dans l’intestin grêle de la même façon qu’un ver solitaire. L’agent d’inhibition hormonale qu’elle sécrète est opérant, mais n’a plus aucun effet sur moi. Sous l’influence de ses sécrétions, j’aurai jeté à la poubelle mon agenda ; j'aurai parlé de l’humanisme comme s'il s'agissait d'un bien fait ; j’aurai distribué des tracts en cherchant à sensibiliser des étudiants ; j’aurai opéré un virage à 360 degrés dans mes projets pour Gotham... Et puis… Il semble que je sois en conflit avec Harleen... Hmf-Le réveil est difficile. »
Journal 2018 - Enregistrement numéro 77a - 21h23.
[ Pamela ] ▬ « Mes pensées sont plus claires. Sensibiliser les étudiants aux questions environnementales, à l’université de Gotham... me laisse sans voix. Est-ce que j'étais sensée amadouer le corps enseignant,... pour réorganiser les excursions scolaires,... pour les orienter à la faveur des mouvances écologistes ? Faire semblant que nous sommes compatibles avec la gente politique, pourtant inerte envers et contre tout ? Mais alors il m’aurait fallu les travailler plus en profondeur pour les sortir du carcan pacifiste, refondre jusqu'à leur programme... In fine, je ne vois plus ni où j'en suis, ni où je voulais en venir, à part vivre comme… Hum... Vivre comme une honnête citoyenne de Gotham...? Hmf-Les propriétés de la larve fondique sont impressionnantes, cela dit. Je ne sais pas encore si j'ai perdu mon temps. Quoi qu'il en soit Selina siège à la Mairie de Gotham ; cela signifie que je dois recenser nos pions, repenser nos calculs, ... En définitive, le bilan de ces derniers mois de travail est… peu concluant… et… Hmf. »
Journal 2018 - Enregistrement numéro 77b - 21h44.
[ Pamela ] ▬ « … Je… Mes recherches sur l'hybride m’auront effacée complètement. Il aura fini d’achevé ma vie sentimentale aussi, et… J’ai étais si froide avec elle… Harleen est venue me demander des explications, et moi je l’ai chassée, comme s’il ne s’était rien passé entre nous. Je change au rythme des saisons. J’évolue. Je me transforme. J’apprends... Mais si je lui en ai voulu pour s'être rapproché de son amant, c’est parce que je n’étais pas dans mon état normal... A tous deux, je leur aurait apporté le petit déjeuner au lit, pour chaque jour où cet homme l’a rendait heureuse. Heureuse, avec lui, le croquant Grayson, tant qu’elle se tient loin du sinistre Clown, je… Oh Harleen, ma cacahouète, qu’ai-je fais ? Qu’est-ce qui m’a pris ? Sur le moment ça m’a blessée, j’étais… J’étais jalouse, Harleen. Mais si l’on pouvait revenir en arrière, telle que je me sens maintenant, je t’aurai rattrapée en lançant mes bras sur toi pour t’embrasser... Je veux que tu saches que je n'ai pas changé, pour toi, que je t'aime encore et toujours, que tu peux venir quand tu voudras partager l’engrais de ma tanière, ou la soie de mon cocon. Si tu n'es plus belle à ce moment-là, et bien ce n’est pas grave ; j'ai gardé tant de beauté de toi en moi, pour au moins des décennies encore… Jusqu’à la fin... Je serai toujours ta Colombine. Je t’aime Harleen Quinzel… »
Le patient Isley est trop instable pour être libérée, car elle pourrait non seulement être un danger pour nous tous, mais aussi pour la Terre... imaginer seulement ce qu'elle pourrait faire de ses pouvoirs contre toutes sociétés Capitalistes ! Le fait qu'elle puisse créer les plantes de son choix, est à se méfier. Pour les hommes principalement, elle est quelque peu un danger puisqu'elle est une ''Croqueuse d'homme'' lorsque nécessaire et tous les moyens sont bon pour arriver à ses fins. Les phéromones qu'elle sécrète de son corps, ou propulse par les airs avec son souffle, sont une arme de séduction à se méfier, car elle utilise souvent par la suite ses lèvres pour vous assimiler diverses drogues et poisons. Donc éviter ses baisers qui pourraient cacher une mauvaise surprise. La manipulation des plantes est très dangereux puisque vous ne savez pas ce qui peut surgir de la terre ou derrière vous. Vu cette instabilité psychologique dû à une trahison récente, le danger peut vous guetter à tout moment. Étant une dangereuse séductrice, faite toujours attention à ses paroles, même si cela semble plus fort que vous... sinon... et bien, prenez-si plaisir avant de disparaitre à jamais (Je semble beaucoup me répéter, mais je cherche à mettre un accent sur cela... nous ne pouvons pas nous permettre de perdre un autre Docteur et un autre infirmier). Il semblerait aussi que le fait d'être loin de ses ''Enfants'' la perturbe énormément, ce qui la rend imprévisible, à faire attention !
En ce qui concerne ses faiblesses, puisque le patient Isley semble plus que proche des plantes, lorsque vous en blesser une à ses côtés, cela blesse Pamela par la même occasion, sans nécessairement la tuer, mais cela peut la déstabiliser voir lui faire perdre connaissance. Faible au corps à corps, il est facile de la mettre K.O. malgré une forte résistance et son agilité. Très sensible au feu, sans toutefois être affectée par la chaleur (comme les cactus), le patient Isley doit éviter à tout prix le feu si elle ne veut pas brûler vive, quoi que nous ignorions si cela lui est réellement mortel. Dû à son instabilité psychologique, le Patient Isley devra donc suivre une thérapie approfondit pour ainsi faire disparaitre cette haine et ce sentiment de vengeance qui subsiste en elle.
Enregistrement Vidéo de Pamela Lillian Isley , 22 Octobre 1999 – Dr.Issac Greydon
Pamela est à genou alors qu'elle caresse une fausse fleur et semble triste, seule dans sa cellule sans ses plantes, marmonnant des paroles imperceptibles par la caméra alors que la porte de sa cellule s'ouvre pour laisser entrer un homme dans la trentaine, bien bâtit qui semble très séduisant et charmeur de par ses gestes et à sa façon d'observer Pamela. Il prend alors place sur une chaise, ouvre un porte-documents et prend quelques notes sur une feuille et observe Pamela d'un air très malsain. La jeune femme, qui semble désespérer, se relève d'un coup avant de se retourner vers le Docteur et un sourire charmeur et sournois se dessine sur son visage avant d'avancer vers le Docteur Greyson dans une démarche très langoureuse et sensuelle.
Pamela : Hummm… que me vaux votre charmante visite, Docteur Greyson ? Vous êtes venu me tenir compagnie ? Ou peut-être souhaiter vous connaitre mon ‘’Jardin D’Eden’’…
Greyson : J’avoue que l’idée est très tentante Mademoiselle Isley… mais je ne suis malheureusement pas ici pour cela, mais pour parler avec vous… connaitre votre histoire et faire mieux connaissance avec vous… vous avez envie ?
Pamela s'approche du Docteur alors qu'elle pose sa main sur sa joue avant de la glisser vers son cou et prendre place sur lui, posant l'autre main sur son cou alors qu'elle lui soutient le regard avant de finalement venir lui susurrer des paroles à l'oreille avant de poser un baiser sur sa joue et se relève avant de venir s'accoté sur le mur et fixer le Docteur. La jeune femme semble attendre une réponse, comme si elle venait de faire une proposition au médecin, qui semble plus qu'intéresser par les paroles de la jeune femme.
Pamela : Qu'en dite vous ? Je vous offre mon histoire et vous... vous m'offrez du bon temps, j'ai disons *voix très langoureuse et excitée* besoin d'évacuer beaucoup de frustration...
Le Docteur semble réfléchir avant de finalement accepter la proposition d’Ivy et regarde la jeune femme avec BEAUCOUP d’intérêt alors qu’il tourne son visage vers la caméra, comme pour donner un signal à quelqu’un et un sourire sadique s’affiche sur son visage… Retournant son visage vers Pamela, la jeune femme s’approche du mur vitré avant de finalement se tourner vers le médecin.
Pamela : J'ai vue le jour à Seattle il y a de cela sept mois maintenant... mais, vous voulez très certainement connaitre ma vie en tant que Pamela et non Ivy*croise les bras*... mes parents étaient riches, ma mère possédait le Jardin Botanique Volunteer Park Conservatory alors que mon père était un PDG d'une entreprise en écologie ! *Ivy commence à marcher vers le mur face à son lit où elle y a affiché une fleur et la caresse* Je me suis toujours passionnée pour la biochimie ainsi que le ''botanisme'' et passais le plus clair de mon temps dans le Jardin de ma mère. Ma mère possédait diverses fleurs et autres plantes très rare dans son jardin et à chaque Année je m'amusais avec elle pour la restructuration des fleurs et des plantes... J'ai même été celle qui a eu l'idée des sculptures florales qui fleurissent en l'été vous savez ! *Sa main arrête de caresser l'affiche et la fixe tout en étant très pensive*. J'avais un avenir très prometteur vous savez... j'avais d'excellente note à l'école, j'ai même accédé à l'université à seize ans en Biochimie Avancé et Botanique. Malgré la richesse de ma famille, j'ai eue accès à une bourse en [url=#]participantpoison - Poison Ivy [Terminée] Arrow-10x10[/url] à un concours... éventuellement, c'est moi qui est [url=#]gagnéepoison - Poison Ivy [Terminée] Arrow-10x10[/url] ! *voix confiante et sensuelle*
Le médecin semblait s’intéresser à ce sujet...
Greyson : Quel genre de concours ? *voix intéressée.*
Pamela se tourna vers le médecin avant d’entreprendre une démarche sensuelle pour s’approcher de lui et prendre place sur ses genoux en rigolant. Elle caresse son visage, soufflant sur la paume de sa main pour laisser une poudre rosâtre virevolté dans l’air, un peu effet ‘’Magique’’ que l’on voit dans des films animations.
Pamela : Je savais que cela vous intéresserait... j'avais réussi à créer une nouvelle espèce de plante carnivore... certes, elle n'était pas aussi sublime que ce que je peux créer désormais, mais j'étais assez fière de moi... *elle approche son visage du Docteur* j'avais fusionnée les gênes d'une rose Audubon avec ceux d'une plante carnivore Dionaea Muscipula, en gros, un attrape-mouche... magnifique ! Elle ressemblait beaucoup à une rose, mais ses pétales étaient tous denteler et dégageait un parfum qui attirait toutes types de mouches... Cela a cartonné au point que beaucoup de femmes voulurent avoir cette rose dans leur foyer. *se relève avant de marcher dans le sens contraire du médecin en se déhanchant*. Je voulais prouver à mes parents et aux gens qui m'intimidaient et me tiraillait que j'étais plus qu'une simple Nerdz... plus qu'une simple Bouquiniste parce que je passais mon temps le nez dans les livres. Avec ce concours, cela a prouvé mon talent, mon intelligence et mes compétences... La femme que je suis maintenant n'a rien à voir avec Pamela... elle est morte... Fin, bref... J'ai été admise à l'université de Seattle avec non seulement une bourse, mais avec mention et la possibilité de suivre deux domaines à la fois. Et c'est là... là que je l'ai rencontré pour la toute première fois : Dr.Jason Woodrue... il était si beau et si séduisant... je me rappellerai mon premier cours. Je buvais ses paroles comme si un être Divin avait enfin réponse à mes questions.*se tourne vers le docteur alors qu'elle prend place sur son lit, un air excité* J'avais que seize ans et je ne connaissais pas encore l'amour. À l'école j'étais rejetée, [url=#]carpoison - Poison Ivy [Terminée] Arrow-10x10[/url] je n'étais pas assez jolie pour les garçons et donc, je fantasmais sur Jason sans réellement espérer. Cela m'a donc énormément surprise qu'il ait pu démontrer de l'intérêt pour moi. Je n'étais qu'une simple graine dans la terre, sans réelle beauté, ni intérêt, ni forme, ni de cette ''Magie'' qui m'anime désormais. Mais je crois que c'est mon prix qui la attiré vers moi, qui la poussé à s'intéresser pour moi et nous passions donc nos heures de diner ensemble ou après les cours à discuter de botanistes, biochimie, des possibilités de pouvoir prendre le contrôle de la nature ou simplement aux modifications génétiques. Nous partageons le même intérêt pour les plantes... * sa voix devient alors plus allumeuse* et plus nous parlions et plus nous nous rapprochions jusqu'à ce qu'il décide alors de m'inviter un soir à aller au restaurant avec lui, s'était la fin de ma première année d'Université, j'approchais de mes dix-sept ans et j'avais passé tous mes cours avec A+. Il souhaitait donc célébrer cette première année remplie de succès. Nous parlions beaucoup d'expérimentation, de possibilité de modifier l'ADN humain pour se rapprocher des végétaux et ainsi nous conférer des pouvoirs sur la nature. Mais, même si cela me faisait peur, Jason savait utiliser les bons mots pour nous mettre en confiance et nous séduire... et c'est ce soir-là que notre relation passa à une étape supérieure et qui sera notre association pour des études dans le secret...
Pamela se lève pour se diriger contre le mur alors qu’elle se plie légèrement pour prendre une position très suggestive digne des Pin-up ou des Playmates dans les magazines, glisse une main sur sa poitrine et la seconde, sur sa cuisse.
Pamela : Il m'avait amené chez lui, dans son condominium qui était splendide alors que j'avais fini par prendre place sur son divan pour y prendre un verre. Sa demeure était gouvernée par des plantes, utilisées en guise de décoration. J'étais plus que surexcitée à voir sa demeure... j'étais très allumée et j'avais envie de lui, qu'il soit le premier puisque je l'aimais de tous mon être. *sa voix devient alors sarcastique, comme si elle rigole de ce qu'elle dit* Je croyais qu'il était mon prince charmant, celui venant sur son magnifique cheval Blanc... Il le sentait et il me dévorait du regard... un peu comme vous en ce moment Docteur... et c'est là, à force de se parler, qu'il posa une main sur ma cuisse avant de plonger son regard dans le miens avec une intensité qui m'intimida et approcha ses lèvres des miennes et m'embrassa passionnément avant de finalement me coucher sur le dos... *sa main sur sa poitrine se balade pour caresser son sein de bas en haut avant de finalement glisser sur son sein vers l'avant, caressant ce dernier de sa main et la glisse sur sa taille* ses lèvres expertes se promenaient sur mes lèvres et mon cou alors que ses mains habiles me déshabillèrent délicatement avec une touche sensuelle masculine. Woodrue était un homme expérimenté et savais plaire ... Je ne vous parlerai même pas de cette langue agile qui m'a fait crier pendant de long moment une fois que je fus complètement nue... éventuellement *arrête de se caresser avant de finalement se coucher sur le dos, levant une jambe pour la caresser avant de la replier et la remettre sur le lit* cela m'a fait mal au tout début, comme toute femme, mais ce n'était pas si pire... sans doute on m'avait BIEN préparé... Nous l'avons fait toute la nuit... sans s'arrêter *voix très provocatrice sensuelle* Et vous... que son vos performances Docteur ?
Pamela s’assit rapidement dans une agilité surnaturelle alors que ses jambes se croisent et que son regard se fait dur…
Pamela : Et c'est là que ma vie a basculée... je croyais être la petite amie de Jason, mais je n'étais que sa chose... il abusait de moi, de ma confiance et de ma naïveté... cet homme était à la fois un malade obsédé sexuelle et un scientifique complètement disjoncté... *son regard devient alors perdu, comme si l'interlocutrice devenait pensive*... il m'a injecté de nombreux poisons, venins, gènes végétales, toxines... j'ai failli perdre la vie à plusieurs reprises... j'ai cessée de compter après six fois, je n'avais plus l'énergie nécessaire pour réfléchir... *son regard devient alors à la fois aguicheur et cinglé* J'étais aussi son jouet sexuelle... on s'amusait, s'était amusant et j'en ai perdu ma santé mentale... abusé... j'ai été abusé et utiliser... je n'étais rien... plus rien, que l'ombre de moi-même, un corps sans âme, sans conscience... je n'étais plus humaine... plus humaine... humaine... végétale... plante... fleur... racine... arbre, feuille, épine, spore, mousse... Nature... j'étais que nature alors que Woodrue avait disparu... je n'étais plus Pamela Lillian Isley... j'étais que Poison et pouvoir sur la végétation... je suis devenu Poison Ivy, Mère de la Nature... cet enfoiré m'a abandonné et il va payer le prix... les hommes...
Elle se tourne vers le Médecin et son visage devint alors plus serein et doux alors que son corps se lève du lit pour s'approcher délicatement vers le médecin qui semble complètement hypnotisé par Poison qui prend alors place sur ses genoux, face à lui et elle pose alors un baiser sur ses lèvres... un baiser qui lui sera alors fatale, mais Ivy ne semble pas s'en soucier et continue à lui parler, caressant ses cheveux et son visage.
Ivy : Vous connaissez la suite Docteur... la raison de ma venue en ces lieux... j'ai détruits le site de construction d'un centre d'Achat qui à entrainer la destruction d'une magnifique forêt où des plantes très rares y vivaient... j'ai poursuivis le fautif de cette destruction ici à Gotham et je l'ai séduit pour ensuite le tuer et transformer son siège Social en un magnifique jardin... et c'est la que la Chauve-Souris qui m'a capturé... quel homme... j'ai bien envie de m'amuser avec lui...
Ivy se lève et dans une démarche sensuelle, s’approche de la porte d’entrée de sa cellule pour finalement cogner à la porte alors qu’un des gardiens ouvre et la jeune femme regard le gardien et dit :
Ivy : Je crois que le Docteur nous a quittés... vous pourriez me débarrasser de son corps mon mignon ? Il empestait la testostérone primate et je n'ai pas envie de son corps comme engrais... je risque d'en être malade... par contre pour vous... *caresse le visage du gardien avant de finalement aller prendre place sur le plancher pour méditer et la vidéo s'arrête*
Oh Chapelier, quel vil flatteur vous êtes ; j’aurai une place pour vous, dans le nouvel Eden. Pour vous aussi le Dollmaker ; il y aura tant de corps à recycler que j’en attrape déjà des vertiges. Et enfin, yo, mademoiselle Li ; vous n’aurez bientôt plus à vous soucier de vos impôts. (Rire)
Ah non. Pas dans mon sanctuaire ! Je ne sais pas ce que les précédentes Ivy t'ont fait, Dead...thstroke (?!), mais c’est probablement mérité.
Invité
Sujet: Re: Poison Ivy (ec) Lun 1 Aoû 2022 - 4:04
une autre rouquine bienvenue a toi
Invité
Sujet: Re: Poison Ivy (ec) Lun 1 Aoû 2022 - 19:41
Ma rose
Invité
Sujet: Re: Poison Ivy (ec) Lun 1 Aoû 2022 - 21:19
Mon tubercule
Invité
Sujet: Re: Poison Ivy (ec) Mar 2 Aoû 2022 - 6:37
Merci Kate !
Harley : j'arrive ma cacahouète. ~ ♡
... Il faut qu'on parle, « Mistah' J »
Messages : 774 Date d'Inscription : 20/03/2021
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Sujet: Re: Poison Ivy (ec) Mar 2 Aoû 2022 - 20:42
Coucou ! On a pas mal de trucs à faire ! Bienvenue !
Invité
Sujet: Re: Poison Ivy (ec) Mar 2 Aoû 2022 - 21:06
Je suis (ou je vais être) la maman d'un jouli petit bras c'est ça ? Aïe aïe aïe. Tu peux m'envoyer un MP, Lis, si tu veux. Pour me raconter tout ça. J'aime les pavés, alors n'hésite pas sur les détails. :3 (On pourrait passer par discord par la suite / ou tout de suite )
Messages : 774 Date d'Inscription : 20/03/2021
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Sujet: Re: Poison Ivy (ec) Mer 3 Aoû 2022 - 13:15
coucou
PM envoyé : résumé des échanges Liz / Ivy + lien RP J'espère ne pas m'être trompé de destinataire :D
Invité
Sujet: Re: Poison Ivy (ec) Mer 3 Aoû 2022 - 15:55
Bon choix de personnage ! Bienvenue !
Messages : 5476 Date d'Inscription : 02/08/2018
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Sujet: Re: Poison Ivy (ec) Mer 3 Aoû 2022 - 16:11
Tiens, mais je suis pas passé dire bonjour. Bonjour salade, moi c'est Pingouin. Salade, tu dois dire bonjour à ton supérieur, c'est à dire moi.
Messages : 870 Date d'Inscription : 23/10/2021
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Sujet: Re: Poison Ivy (ec) Mer 3 Aoû 2022 - 16:20
Superbe avatar !
Invité
Sujet: Re: Poison Ivy (ec) Mer 3 Aoû 2022 - 16:24
Salut rouquine.
Invité
Sujet: Re: Poison Ivy (ec) Mer 3 Aoû 2022 - 20:52
Sous mon règne toute vaine parole sera jugée ; ça vaut aussi pour le pingouin qui cancane. [ Souffle sur l'une de ses mèches pour la repousser, avant de sourire à Arthur ]
Merci à tous d’être passé par ici. J’espère que le GCPD viendra m’ennuyer de temps en temps, Miss Sawyer.
Une très intéressante fiche, j'ai beaucoup aimé les dialogues avec le psychiatre. Fiche très complète, avec de jolis desseins d'illustration, je sens que ça va être dur à Gotham prochainement.