It’s time to make your move, darling. | Ft. Lex Luthor
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Sujet: It’s time to make your move, darling. | Ft. Lex Luthor Lun 26 Oct 2020 - 15:55
It’s time to make your move, darling.
Ft. Lex Luthor | Début Oct 2016
En connaissant ton cher créateur, l’hybride se doutait fortement qu’il n’avait peut-être eu le temps de lire le mail qu’elle avait envoyé quelques heures auparavant, quand elle a atterrit avec son jet privé dans l’aéroport Goodwin. Gotham City n’était pas une ville moche, c’était une métropole comme tant d’autres. Ceci dit, en plus de grouiller de vermine en tout genre et être bruyante, elle était sombre, humide, froide et relativement venteuse. D’ores et déjà, Octavia n’appréciait pas le climat local, mais elle était emmitouflée dans le col son long manteau en fourrure et cuir. Elle ne regrettait pas de porter une jupe assez courte avec des simples collants fins, mais, indéniablement, elle se disait qu’elle aurait pu s’habiller plus chaudement qu’elle ne le pensait. Elle avait, pourtant, étudié le temps et la température qu’il était censé faire dans cette période de l’année, mais il semblerait que le climat de cette sinistre métropole était bien plus capricieux.
Soit. Elle fera avec. Comme d’habitude !
Après avoir récupéré la voiture qu’elle avait acheté avant d’arriver à Gotham et qu’on lui avait fait livrer à l’aéroport, la méta-humaine alla faire un tour en ville. Sa nouvelle Lamborghini Huracán LP 610-4 Spyder, fraîchement sortie de l’usine et peinte dans une inusuelle couleur prune se faisait déjà remarquer dans les rues de la ville pendant qu’elle faisait quelques achats masquant son repérage des lieux. Elle fit l’acquisition d’un nouveau sac-à-main et d’une chaude paire de gants en daim avant de chercher l’une des meilleures vinothèques et traiteurs de viande de Gotham, où elle acheta le dîner qu’elle comptait apporter à son Adonis – qui, le connaissant, risque de ne pas avoir mangé et de travailler tard : une bouteille de Château Pétrus de Pomerol de 1989, des steaks tomahawk de bœuf wagyu A5 saignant avec des pommes de terre sautées à l’ail et persil ainsi que des asperges vertes en guise d’accompagnement. Un millésime exceptionnel, pour un repas tout aussi exceptionnel.
Dans le doute et la prévoyance, elle avait même acheté des coupes à vin avant de traverser la ville et se rendre au siège de la LexCorp. Elle avait vérifié dans son smartphone si elle avait la moindre réponse de son patron et amant, mais son e-mail ne s’affichait pas même comme ayant été lu. Un petit sourire en coin brisa son faciès de glace, cachant un petit air à la fois prédateur et joueur derrière ses sombres lunettes de soleil.
Malgré sa patience, la vingtenaire s’agaçait devant son volant, coincée par moments dans les bouchons – surtout, quand elle approchait du Fashion District. Le traverser fut plus qu’irritant et elle ne manqua point de donner plus d’un coup de volant et à appuyer assez sur l’accélérateur pour esquiver quelques voitures afin que la nourriture arrive chaude à destination – heureusement que tout était dans un sac thermique. Une fois au pied de la tour, elle eut l’audace et la naturalité de garer son bolide dans le parking de service avant de prendre l’ascenseur de service pour entrer dans le bâtiment et faire le relais afin de pouvoir se rendre au dernier étage, où se trouvaient le bureau du PDG.
Eve se doutait que le personnel de nuit risquait de l’interpeller, puisqu’ils ne la connaissaient pas, mais elle n’eut qu’à repousser un garde du bout de ses griffes métalliques avant de lui montrer le badge qu’elle avait accroché à sa ceinture : l’assistante du patron… avec le même nom que ce dernier, ce qui souleva des interrogations et qui fit pâlir le concerné.
— J’aimerai que vous gardiez notre rencontre pour vous, M. Flint. Je souhaite faire une surprise à notre patron. souffla-t-elle, passant son index sur le menton du garde qui peinait à rompre le contact visuel.
Sans un mot de plus, elle reprit sa route et gravit les étages qui la séparaient de son époux. Seul le son de la cloche qui retentit dans le couloir trahit sa venue, puisque ses pas étaient aussi silencieux qu’assurés. Puis… elle s’arrêta devant le porte du bureau, sur laquelle elle frappa d’une façon indistincte, semblable aux coups que n’importe quel autre employé aurait pu faire pour demander le droit de passage, même si une oreille avisée aurait remarqué le son métallique et étouffé qui accompagna les coups – ses griffes.
Elle avait hâte de voir sa réaction. Hâte de se retrouver de nouveau à ses côtés.
Sujet: Re: It’s time to make your move, darling. | Ft. Lex Luthor Mar 27 Oct 2020 - 11:51
It's time to make your move darlingJ'étais dans mon bureau depuis le début de l'après-midi car j'avais eu quelques rendez-vous ce matin.. je ne cessais de travailler sur ce projet "Christmas Inferno", ce projet que j'avais mis en place avec la Legion Of Doom. Mais enfin, cela allait attendre un peu car il fallait que je me focalise sur les présidentielle qui allaient avoir bientôt lieu.. bien évidemment, mon équipe de campagne électorale n'était pas encore à Gotham et surtout mon atout majeur n'était pas non plus à mes côtés, cela faisait un moment que je ne l'avait pas vue et cela m'embêtait grandement car malgré tout je tenais à elle comme elle tenait à moi. Mes pensées s'égaraient alors que je regardais par la grande baie vitrée de mon bureau, une vue imprenable sur Gotham qui allait devenir ma ville un jour ou l'autre. Je me retournais après un petit moment d'absence pour aller me servir un verre alors que le soleil s'était couché depuis quelques heures environ. Je retournais à mon bureau et je tapotais sur l'écran high-tech implanté dans celui-ci tout en jetant un coup d'oeil à l'actualité, apparement Selina Kyle et un certain Lucas Fox se présentent à la mairie.. seigneur quelle idée, une voleuse et un agent de police, la ville ne va vraiment pas bien. Tiens, tiens, je pouvais également remarquer qu'une certaine Martha Dayne s'était présentée, mais ce nom m'intrigue. On dirait celui que Talia Al Ghul utilise pour faire en sorte de passer inaperçue mais si c'était le cas, la ville allait brûler sous le joug de la ligue des ombres.
Quelles âneries allais-je encore lire ? Et bien aucune, je décide de me retirer de ce site idiot qu'est le Gotham Globe online pour ensuite activer le programme de recherche de la Lex Corp afin de voir quelles sont les nouveautés crées récemment.
Lex Luthor - "Projet méta.. accès Alexander Luthor, ouverture !"
Un soupire s'échappait de mes lèvres alors que je passais les deux mains sur mon visage fatigué de cette soirée qui allait être très longue, heureusement j'avais encore de quoi boire et assez de boulot pour tenir la nuit entière le cas échéant.. mais grâce à mon emprunte vocale j'allais pouvoir aller travailler sur autre chose. Le mur derrière mon fauteuil s'ouvre et une pièce s'ouvre et j'y entre doucement en retirant ma veste de costume terminant en chemise et cravate bien-sûr. La voilà, mon armure était entrain de recharger et je devais y apporter quelques améliorations pour les événements futurs.. en m'approchant de celle-ci je me mis à tousser, la voilà, la chose qui allait sûrement me faire mourir un jour. À force de trop vouloir me battre avec Clark, la Kryptonite présente dans mon armure allait me faire m'éteindre à petit feu.
Des heures passaient et je n'avais pas pris le temps de regarder ma monter, j'étais tellement concentré sur mon armure que le temps n'était plus très important. Plus je m'attardais dessus plus je toussais et je ressentais les effet néfaste du moteur constitué de cette pierre verte extra-terrestre.. je m'essuyais la bouche alors que j'apercevais du sang. Merde, je n'allais pas faire de vieux os si je continue de la portais et je m'en rendais finalement compte, il fallait que j'abandonne ce projet. NON ! Je ne peux m'y résoudre, je suis le sauveur de Gotham et j'affrontais l'adversité dans ce prototype s'il le faut.. après quelques minutes de toux continue, j'installais le symbole d'espoir de Superman sur le moteur en Kryptonite, un "S" brillant et lumineux.
Lex Luthor - "J'espère que t'es content Clark.."
Une dernière fois je toussais alors que j'entendais toquer, je sortais donc de la pièce pour retourner à mon bureau faisant attention de cacher mon mouchoir remplis de sang. Je me servais un verre et retournais à mon bureau tout en fermant la porte en désactivant le programme faisant mine de travailler sur de la paperasse quelconque..
Sujet: Re: It’s time to make your move, darling. | Ft. Lex Luthor Mar 27 Oct 2020 - 22:58
It’s time to make your move, darling.
Ft. Lex Luthor | Début Oct 2016
Alors que la vingtenaire attendait devant la porte, avec tous les sacs accrochés à ses avant bras, la bouteille de vin dans une main et la boîte contenant les coupes dans l’autre, elle ne put s’empêcher de froncer les sourcils légèrement : son patron toussait d’une façon assez inquiétante. Son ouïe accrue parvenait à passer outre la barrière de réduction sonore que la porte et les murs offraient aux humains lambda, en temps normal – pour quelqu’un comme elle, ce n’était pas suffisamment isolé ni éloigné de sa position. Elle entendit ses pas tracer une partie de l’immense salle, suivie par le tintement discret d’une de ces fines et sublimes bouteilles en cristal où il gardait ses spiritueuses. Le connaissant, il devait s’être servi un verre de whisky, bourbon ou cognac, au vu de l’heure. Il en prenait souvent quand il travaillait tard et qu’il ne se décidait pas encore à manger. Octavia se disait qu’elle avait bien fait d’apporter le dîner, ce qui lui fit plisser les lèvres puis esquisser un mince sourire en pensant à cet homme – qui était tout pour elle.
Lorsque la voix du self-made-man résonna, la méta-humaine attendit quelques secondes avant d’ouvrir la porte – prenant le temps et le soin de libérer l’une de ses mains. Alors, le claquement assuré et sensuel de ses talons aiguille se fit entendre, tout comme le grattement discret de ses bagues-griffes sur la porte, sur laquelle se glissaient ses doigts insidieusement, avant de s’en éloigner et la fermer en la poussant du pied. Son sourire devint plus joueur, prenant la forme d’un rictus se voulant aussi charmeur que taquin, tout en le scrutant à travers les sombres carreaux de ses lunettes de soleil – l’éclairage de la pièce était encore assez fort pour elle, même s’il était déjà bien meilleur que celui du couloir, qui lui aurait donné une bonne migraine si elle ne les avait pas portées.
— Alors, Lex~ ? Ça ne te ressemble pas de faire mine de te pencher sur tes tâches administratives. souffla-t-elle, s’avançant jusqu’au bureau, face auquel elle se tint fièrement, avant de regarder son époux par dessus ses lunettes. Ses pupilles n’étaient que des fines fentes noires, noyées dans une mare d’or liquide. Elle poursuivit aussitôt, parlant d’une voix presque doucereuse : Tu devrais froncer un peu les sourcils et laisser retomber légèrement le coin de tes lèvres, ça te donne cet air plus sérieux et renfrogné qui te rend aussi beau... Huhu~ C’est l’air que tu prends quand tu es vraiment concentré.
Soutenant le regard de son précieux créateur et amant, elle posa les sacs sur l’un des sièges se trouvant devant le bureau, avant de poser soigneusement le boîtier où se trouvaient les coupes à vin et a bouteille sur le bureau. Ensuite, elle retira son manteau, laissant entrevoir son ensemble chic et sexy qui épousait parfaitement ses courbes. Elle le déposa sur le dossier d’un autre siège, tout en contournant contournant le bureau pour se rapprocher davantage de son homme. Elle eut l’audace de lui faire poser la paperasse avant de s’installer sur ses genoux, posant ses lunettes sur son propre crâne avant de passer un bras autour du cou de son aîné.
Sa chaleur, sa voix, sa présence, son odeur, machiner avec lui et construire des nouveaux plans ensemble… Tout. Absolument tout lui avait manqué de lui et, malgré son orgueil, elle n’aurait aucun mal à l’admettre, y compris en public. Elle vint lui voler un baiser, trahissant à quel point l’absence physique et la distance avec le quasi-quadragénaire l’avaient fait sentir mal. Eve avait beau être indépendante et versatile, en dehors de son passage par les rangs de la Ligue des Assassins, elle a toujours été aux côtés de l’homme qui contre qui elle se blottissait. Elle a suivi ses pas, elle a été son ombre, son accompagnante, son assistante et bien plus…
— Hm~ tu m’as tellement manqué. souffla-t-elle, stoppant le baiser après quelques instants. D’ailleurs, accessoirement, j’espère que tu as faim~
Sujet: Re: It’s time to make your move, darling. | Ft. Lex Luthor Jeu 29 Oct 2020 - 11:36
It's time to make your move darlingJ'étais revenu à mon bureau pour faire mine de travailler mais mes pensées me trompe facilement ses derniers temps et surtout cette toux merdique.. que faire pour que cela s'arrête ? Malgré ça j'attendais patiemment que la personne qui avait frappé entre et à ma grande surprise ma femme, ma beauté divine faisait son apparition dans mon bureau. Elle m'avait tant manqué et mon regard en témoignait, sa surprise était le cadeau auquel je pouvais le plus rêver en cette période merdique, sa démarche me charmait et bien évidemment elle m'apportait quelque chose à manger vu l'odeur délicieuse qui s'échappait de tous ces sacs. Je la laissais venir s'asseoir sur mes genoux alors qu'elle venait poser ma paperasse sur la table.. mes lèvres se marièrent aux siennes et un baiser des plus tendre illumina ma journée, je tournais la tête ensuite pour appuyer sur l'écran de mon bureau afin de tamiser un peu plus la pièce pour son confort et surtout pour le repas à venir histoire d'être un peu plus romantique.. il n'y avait qu'avec elle que je me comportais comme ça. Mon père m'avait offert ce présent et j'ai su en faire bon usage, le dos de ma main passait avec douceur sur sa joue alors que je la regardait.. ses yeux m'hypnotisaient de part leur beauté et je ne pouvais pas m'en décrocher. Mais enfin, il fallait bien passer à table, je me relevais doucement pour l'aider en déballant les différents mets afin de les déposer sur la table alors qu'ensuite j'ouvrais cette délicieuse bouteille de vin pour en servir une coupe à ma douce épouse et une coupe à ma personne.
Après un mouvement de main nos deux verres s'entrechoquèrent dans un bruit sourd mais classe, ensuite de quoi j'apportais le nectar à mes lèvres pour en boire une gorgée afin de contrôler son goût, après quelques mouvements du liquide dans ma bouche j'avalais en affichant un léger sourire.. ensuite de quoi je levais la main de ma belle Octavia pour l'embrasser avec le respect qu'elle méritait.
Lex Luthor - "Hmmm.. un Pétrus de 89, tu me gâtes ma chérie, c'est une très belle surprise que tu me fais, je ne me voyais pas avancer à Gotham, ni à Washington d'ailleurs sans toi. As-tu fais bon voyage ?"
Je l'invitait à s'asseoir à table alors que je la servait moi même pour qu'elle partage ce repas avec moi, j'apportais un morceau de viande à ma bouche et je ressentais toute sa saveur.. le boeuf Wagyu était un met d'exception et j'adorais ça. Je rajoutais bien évidemment une douceur sucrée à cette viande en buvant une gorgée de ce vin si délicieux qu'elle m'avait ramené.. mais quelque chose vint titiller ma curiosité, comment se fait-il qu'elle soit à Gotham ? A-t-elle quelque chose à me rapporter de ce qu'il se passait à Metropolis ? Ou était-elle seulement venu rejoindre l'excellent époux que je suis ? La question me faisait la fixer dans le blanc des yeux croisant mes deux mains devant mes lèvres comme si j'essayais de la percer à jour.
Non je devais sûrement faire erreur et un rictus s'échappa de mes lèvres alors que je venais lui caresser la main doucement.
Lex Luthor - "Comment se déroule les préparatif pour la campagne ? Metropolis se porte bien sous ta direction Madame le maire ?"
Un sourire s'affichait sur mon visage car c'était grâce à moi que ma femme avait repris la direction de cette ville que j'affectionne personnellement.. j'étais tout puissant et personne n'était prêt à la suite des évènements je pouvais le garantir.. ma femme maire dans une des plus grande ville cosmopolite des États-Unis, moi sénateur et bientôt président, et qui sait peut-être que cette chère Talia allait gagner les votations pour la mairie de Gotham.. dans peu de temps je serai tout puissant.
Lex Luthor - "J'ai oublié de te le dire mais.. tu m'as atrocement manqué aussi !"
Sujet: Re: It’s time to make your move, darling. | Ft. Lex Luthor Ven 30 Oct 2020 - 0:24
It’s time to make your move, darling.
Ft. Lex Luthor | Début Oct 2016
Peut-être que quelqu’un de peu avisé passerait outre cette lueur de fatigue et de va savoir quoi d’autre qui éclairait son regard, mais pas Octavia. Elle n’avait pas encore mis le doigt sur ce qui la titillait, mais elle n’était pas dupe. Alexander Luthor était un homme fort, déterminé et persévérant, mais il ne demeurait pas moins humain et autant son corps comme son esprit étaient limités par une chose : le temps. Il avait certainement beaucoup travaillé et bougé depuis la dernière fois qu’ils s’étaient vus, mais son intuition lui disait qu’il y avait autre chose. Si ça avait été quelqu’un d’autre ou si les circonstances avaient été différentes, peut-être qu’elle n’aurait pas cherché à savoir, mais sa curiosité et les sentiments qu’elle éprouvait à son égard, la poussaient à le cuver tant qu’elle le pouvait.
À vouloir le protéger et l’aider, quoi qu’il en coûte. Telle était sa raison d’être et, sans lui, elle n’était rien.
Eve avait beau reconnaître sa propre valeur, être narcissique et hautaine, si elle avait été lâchée dans la nature sans avoir fréquenté son créateur, mentor et amant, elle aurait été plus primaire et viscérale. Elle se serait comportée comme l’animal qu’elle était en partie et elle aurait fait sa vie sans vraiment avoir d’autres buts dans la vie qu’assouvir ses propres pulsions. Elle aurait pu apprendre, s’instruire à sa façon, mais son comportement civilisé et passablement humain avait été durement appris, lentement acquis. Il n’y avait qu’auprès de lui qu’elle était en mesure de se montrer plus docile et faire preuve d’une douceur qu’on ne lui soupçonnerait pas à moins d’avoir eu le malheur de tomber dans le panneau pendant qu’elle jouait avec le paraître pour tromper quelqu’un.
Les yeux de la méta-humaine furent plus que reconnaissants lorsque le propriétaire des lieux tamisa l’éclairage. Un léger sourire fendit de nouveau ses lèvres alors qu’il soutenait son regard, caressant l’une de ses joues du revers de sa main. Ah… Qu’est-ce que ses caresses ont pu lui manquer ! Si elle n’avait pas rompu le contact visuel pour commencer à mettre la table, ils auraient pu passer des longs moments à se contempler mutuellement, plus ou moins en silence. Aussitôt, le PDG se joignit à sa femme, déballant leur dîner et ouvrant la bouteille de ce millésime plus qu’exceptionnel d’un de ses vins préférés. Ce fut le premier vin qu’il lui fit goûter quand elle était enfant et elle se rappelait également de ce qu’ils avaient mangé ce midi-là : filet mignon de veau au foi gras avec une sauce aux truffes sur un lit d’épinards sautés au beurre-poivre-muscade et saupoudré des fleurs de sel de l’Himalaya, accompagné de deux toasts finement grillés. Il y avait eu des amuse-gueules et un premier plat, mais aucun n’avait vraiment été notable à son goût et elle aurait préféré oublier la scène du crachage de dessert dans une serviette qu’elle avait simplement roulé en boule et posé sur la table, à la fin – les sucreries n’ont jamais été son truc.
Revenant au présent, à leur soirée et, surtout, à son homme, Octavia le laissa servir le vin tandis qu’elle servait son repas avec le même soin que d’habitude – ayant, même, eu le détail de retirer ses griffes métalliques et de les poser sur un coin de la table, en signe de respect et de confiance. Suite à quoi, elle s’installa auprès de lui quand il l’y invita et prit sa coupe doucement pour faire doucement tourner le vin pour l’aérer un peu avant de le goûter. C’était une excellente bouteille avec les nuances de ses souvenirs et d’autres propres à cette partie de la cuvée. Un cru voluptueux et sombre, quelques touches de chocolat, moka, réglisse et fruits dans son parfum… Elle attendit que son cher et tendre commence à manger en premier, posant une main sur l’un de ses genoux – qu’elle caressa doucement de sa main manucurée.
— Je me suis permise d’emprunter l’un de tes jets, donc oui : ça a été un un court mais bon voyage. souffla-t-elle, en toute franchise, ajoutant aussitôt : D’autant plus parce qu’il m’a menée jusqu’à toi.
C’était un couple de bons vivants, mine de rien, et ça lui faisait plaisir de pouvoir déguster un tel repas avec lui, dans l’intimité et, surtout, de voir cet air satisfait et discret qu’il arborait quand il mangeait quelque chose qui lui faisait plaisir. L’araignée était ravie de faire partie des rares personnes, voire d’en être la seule et l’unique, à avoir eu l’occasion et l’honneur de voir des facettes comme celle-ci. Elle aimait chacune des facettes de cet homme, même si certaines l’agaçaient parfois parce qu’il se mettait en danger au nom de ses idéaux, qu’il le savait mieux que quiconque et qu’il refusait de laisser tomber. Peu importait ce que c’était, il n’acceptait pas ce genre d’échecs et ce côté… obstiné et perfectionniste avait déteint sur elle, également. Les choses devaient être carrées, comme et quand elle le disait.
— Les préparatifs vont de bon train. Les affiches, pancartes, banderoles et autres accessoires électoraux ont été repartis et ont commencé à être installés – tout sera prêt pour la date prévue. Pour ce qui est de Métropolis, oui, ta chère ville se porte bien, mais elle est fort ennuyante sans toi. D’ailleurs, Kent t’adresse ses hommages. Il a été le premier dans mon bureau quand le Daily Planet a remarqué le changement de nom. expliqua-t-elle, esquissant un rictus à son tour – ça l’amusait. Entendre son partenaire lui dire à quel point elle lui avait manqué et sentir sa main chaude caresser la sienne de nouveau faisait fondre son petit cœur gelé. Même si je travaille toujours à distance, ça va de soi que j’ai opté pour déléguer certaines tâches afin de me concentrer sur les élections et pouvoir prendre un peu de temps pour nous. C’est principalement pour cela que je suis venue. précisa-t-elle, accrochant de nouveau son regard avant d’utiliser sa main libre pour caresser la mâchoire et le menton de son interlocuteur avant de glisser le long de son cou, puis ses clavicules, pour se poser sur son torse – rajustant la cravate avec laquelle elle s’était instinctivement mis à jouer. C’est peut-être capricieux de ma part, mais je voulais être à tes côtés. Ton personnel est toujours aussi efficace, mais personne ne peut te protéger et t’assister mieux que moi. Pas même ces tas de circuits qui te collent aux semelles quand tu sors. se justifia-t-elle, lâchant la cravate tout en regardant son aîné dans ses yeux. Tu es bien trop précieux et unique pour te laisser seul dans une telle ville, quel que soi l’enjeu, Lex...
Sujet: Re: It’s time to make your move, darling. | Ft. Lex Luthor Mar 3 Nov 2020 - 11:45
It's time to make your move darlingJe l'écoutais attentivement ma bien aimée tout en dégustant le délicieux repas qui ne serait pas sur cette table si elle n'avait pas été là.. cette expérience que mon père avait crée pour me défendre et me tenir compagnie, elle pour qui j'étais tombé amoureux, elle que je met sur un pied d'égalité avec moi. J'étais bien plus à l'écoute de ses déboires et de ses annonces que je n'écoutais tous les idiots qui vivaient dans cette ville pitoyable, ses yeux m'hypnotisaient de part leur beauté alors que je passais une main sur sa joue à mon tour alors qu'elle faisait de même s'amusant avec ma cravate que je n'avais même pas daigné remettre en place depuis son arrivée. Mais pour l'heure je posais doucement sa fourchette alors qu'elle me racontait qu'elle avait emprunté mon jet, un rictus s'échappait de ma bouche sur laquelle je passais ma serviette afin de m'essuyer et de la reposer au coin de la table.. je me levait ensuit de celle-ci pour attraper mon verre des mains, j'échangeais un dernier regard avec ma douce avant de me retrouver face à ma baie vitrée.. les choses ont commencé à bouger et cela mieux que ce que je n'aurai pu prévoir étant donné la présence d'Octavia. Elle était mieux à mes côtés et j'étais mieux aux siens, mes pions sont placés sur cette échiquier qu'est Gotham et le fin stratège que je suis à désormais une reine pour son jeu. Je fermais les yeux en m'imaginant déjà président sur mon fauteuil à la maison blanche alors que ces idiots viendraient me féliciter de ma réussite en pensant que maintenant j'allais prendre les bonne décision.. pauvres saints d'esprit.
Quelques minutes d'un rêve prémonitoire je suppose, finalement, je rouvrais les yeux pour contempler à nouveau les lumières de Gotham City en apportant mon verre à mes lèvres pour en boire une gorgée alors que je plaçais ma main libre derrière mon dos comme le cerveau machiavélique que j'étais. Une longue prise de respiration et un soupire détendu s'échappe d'entre mes lèvres alors que mes yeux se baladaient sur les buildings qui n'arrivaient même pas à la taille du mien.
Lex Luthor - "Regardes les, tous ces cloportes qui ne savent même pas encore ce qu'il va leur arriver.. nous sommes à une époque dans laquelle les citoyens d'une nation font confiance à un homme droit et juste, un dictateur ou autre idiot du peuple. Poutine est le parfait exemple de ce qui doit se trouver à la tête d'un pays mais malheureusement je le trouve encore trop laxiste, moi je ne le serai pas mon amour, pas le moins du monde. Il est temps que je mette mon jeu en place pour la plus grande partie d'échecs de tous les temps.. mes pions sont en libertés et je dois les réunir en un même endroit afin de les tenir en laisse comme les bons chiens qu'ils sont !"
Un sourire diabolique s'esquissait sur mon visage alors que je passais derrière mon bureau pour activer le protocole "Sad Winter". Deux ou trois écrans s'affichent derrière mon bureau alors que la lumière se baissait totalement afin de pouvoir suivre ce qui y était diffusé.. Octavia, ma chère femme allait pouvoir retirer totalement ses lunettes, je pensais absolument à tout en ce moment, je bougeais les mains dans tous les sens pour que les différents dossiers criminels s'affichent sur l'écran avec les photos des personnes concernées. J'affichais le même sourire que je perdais peu à peu pour retrouver le sérieux qui me définit, j'appuyais sur un autre bouton et un échiquier apparait en sortant d'une table non loin de ma femme.
Je lançais un regard enjoué à Eve tout en me dirigeant vers la table où se trouvait le jeu d'échecs afin de le surplomber, mes yeux se baladaient sur celui-ci alors que la ville de Gotham apparaissait en relief grâce à une technologie holographique de LexCorp que j'avais mise au point.. je surveillais tout ce qui se passait dans cette ville morose.
Lex Luthor - "Je vais bien Octavia, tu n'as pas de soucis à te faire.. ta présence est nécessaire au bon déroulement des choses, il est temps qu'on passe à la vitesse supérieure, le moment est venu de disputer la plus belle partie de notre vie veux-tu ? Attrape donc ton verre et viens me rejoindre, chaque pion à son importance, chaque fous, chaque cavaliers et je leur ai même déjà donné des noms.. cette nation sera mienne bien plutôt que les gens le croient."
Je posais les deux mains sur les extrémités de la table alors que je me penchais pour admirer l'échiquier, puis étant le côté blanc bougeait mon premier pion.. je lançais également la musique d'un claquement de doigts alors que celle-ci se mettait en route je déposais mes yeux dans ceux de ma femme qui était tout aussi impatiente que moi je suppose.. Trump et Clinton, ils n'imaginent même pas ce qui va leur arriver incessamment sous peu.
Lex Luthor - "De nous deux, c'est bien toi le trésor le plus précieux.. la reine n'as rien à faire auprès des fous, mais elle se doit d'être au côté de son roi alors qu'il remporte la bataille."
Sujet: Re: It’s time to make your move, darling. | Ft. Lex Luthor Mer 4 Nov 2020 - 21:22
It’s time to make your move, darling.
Ft. Lex Luthor | Début Oct 2016
Octavia était bien placée pour savoir à quel point son très cher Alexander n’avait rien à faire du blabla d’autrui, ça l’exaspérait également, mais elle savait qu’elle pourrait dire n’importe quoi et qu’il l’écouterait quand même. Fait qui a été prouvé quand elle pensait qu’il ne faisait pas attention à elle, autrefois, et qu’elle profitait pour placer des commentaires indécents ou perturbants – ce qui, aujourd’hui, la fait sourire, parce qu’il les lui répétait toujours ou affichait des expressions qui l’excitaient autant que lorsqu’elle l’entendait parler comme il le faisait, à présent. Même si elle ne le voyait pas directement, elle voyait son reflet sur la baie vitrée pendant qu’elle mangeait calmement.
Son sourire machiavélique, sa voix, sa port impérial et ses mots… Jusqu’au moindre petit détail de cet homme la faisait frémir, surtout dans ce genre de situations. Dans la nature, les araignées, comme beaucoup d’animaux, aiment que leurs partenaires soient LES meilleurs, les plus forts, astucieux et vigoureux. Elles les choisissent avec soin, surtout quand elles ne les dévorent pas, afin d’assurer leur continuité et leur domination à long terme dans leur territoire. Bien qu’elle avait été créée pour et par Luthor, imaginée et travaillée sur deux générations, elle l’avait choisi autrement qu’on ne l’aurait cru. S’attacher à son créateur n’est pas une excentricité, l’aimer comme elle le faisait était une toute autre chose. Cet homme était son obsession, sa raison d’être et, malgré le fait qu’elle n’aime pas parler pour ne rien dire et qu’elle déteste radoter, elle le lui répéterait autant de fois qu’il le fallait.
Les cloportes ne savent pas qu’ils le sont s’ils n’ont côtoyé que les leurs. Comment pourraient-ils voient quoi que ce soit arriver quand ils sont bien plus occupés à se battre entre eux et à survivre ? Les humains et, surtout, la vermine, ont tendance à oublier quelle est leur place dans ce monde, qu’ils ne sont pas le pinacle de la pyramide alimentaire et, encore moins, celle de la société. Ils n’étaient que des maillons, même les plus puissants. De la matière et des pions, tous dispensables – ou presque, certains avaient une certaine valeur pratique. Telles étaient les pensées de la méta-humaine, mais elle ne daigna pas interrompre son mari ni parler la bouche pleine. Elle essuya le coin de ses lèvres cramoisies après avoir passé sa langue dessus, lentement, satisfaite de son repas.
— Hm, n’oublies pas de leur laisser un peu de corde, trésor. souffla-t-elle, posant ses couverts sur le bord de son assiette avant de poser également sa serviette sur la table. Ensuite, elle croisa les jambes et poursuivit – esquissant un rictus : Ils doivent avoir l’illusion de jouir d’une certaine liberté avant de sentir leur collier se serrer autour de leur gorge.
Lorsqu’il se tourna de nouveau, avec ce sourire aussi diabolique que séduisant aux yeux de sa femme, il se dirigea vers son bureau pour lancer officiellement l’un de ses projets, de ses protocoles. La salle fut plongée dans la pénombre, faisant que l’arachnide soit beaucoup plus à l’aise et voit beaucoup mieux. Des écrans apparurent montrant divers dossiers de personnes qui lui n’étaient pas tout à fait inconnues. Elle qui avait le nez un peu partout était en mesure d’identifier ces personnes, sans pour autant connaître toutes les données officielles à leur égard – chose à rattraper, selon elle, dont les yeux dorés parcouraient rapidement et attentivement les écrans avec un petit sourire mauvais. Ce sourire inquiétant que son homme affichait s’effaça peu à peu, lui redonnant son habituel air sérieux quand il appuya sur un bouton pour faire sortir un échiquier non loin de la vingtenaire – sur une autre table.
Bien entendu, elle était toujours prêt à relever un défi – les siens, surtout. Ça faisait longtemps qu’ils n’avaient pas fait de parties ensemble, du moins, de ce genre – lui qui lui avait l’art de la stratégie et de ce jeu. Ils jouaient constamment avec leurs contemporains, mais ce n’était pas aussi relaxant. Excitant, amusant, stimulant… Oui. Elle était impatiente de pouvoir mettre ses petits plans à exécutions. Des plans qu’elle n’avait pas forcément partagé avec son créateur afin de garder le suspens et lui faire la surprise au moment venu.
Le regard pétillant de malice, elle suivit le moindre des mouvements de son partenaire. Une carte holographique de la ville surplombait l’échiquier qu’il admirait tout en s’adressant à la jeune femme qui l’assistait. Elle buvait toujours ses paroles et n’avait que rarement quelque chose à redire puisqu’ils étaient sur la même longueur d’onde. Elle prit son verre, la bouteille et s’approcha de lui, prenant le côté noir. Doucement, elle caressa la jambe de son aîné avec son pied, veillant à ne pas le tâcher. Elle but une gorgée de leur délicieux vin avant de poser le tout sur un coin de la table, reprenant la parole :
— J'ai hâte de voir la suite des événements, Lex. Ceci dit, tu connais mon avis : malgré son importance et contrairement au roi, la reine est sacrifiable. Son rôle est de l’aider, le protéger et, si besoin, de se sacrifier au nom de la victoire et de son roi. souffla-t-elle, tapotant le haut de la fiche qui représentait la reine, avant de la faire pencher légèrement sans la faire tomber. Et ce, par tous les moyens qui soient à sa portée.
Oh que oui. Elle était prête à tout pour permettre à Lex de parvenir à ses fins. Elle donnait une certaine importance à sa vie et, à ses yeux, elle valait plus que beaucoup d’autres personnes, mais elle ne tuerait pas seulement pour lui, elle en mourrait. Elle serait prête à donner sa vie si ça pouvait contribuer au bonheur et à la gloire de celui qui l’a créée et aimée. Tel était son amour et sa dévotion à son égard. Songeant à ceci, ses doigts glissèrent alors sur le fou, puis le cheval et, ensuite, les pions. Elle ne voulant pas déconcentrer davantage cet homme dont elle soutenait le regard avec une certaine passion, elle reposa sagement son pied par terre et bougea un pion, également, à l’opposé de son adversaire.
Ce qu’il n’avait peut-être pas encore envisagé, c’était le fait qu’elle allait déblayer un peu le terrain pour lui lors des prochaines élections. Elle avait tout en place, il ne lui manquait juste qu’une occasion pour achever les pions qu’elle visait. En commençant par cette truie hypocrite et pédante avec qui elle semblait si bien s’entendre. Ça lui apprendra à entraver leur route et, surtout, à toucher à ce qui ne lui appartenait pas.
Sujet: Re: It’s time to make your move, darling. | Ft. Lex Luthor Mar 10 Nov 2020 - 10:19
It's time to make your move darlingMes yeux étaient rivés sur cette carte holographique alors que mon épouse m'adressait quelques mots, j'apportais également mon verre à mes lèvres en prenant place en face d'elle avançant doucement un pion d'une case sans avoir besoin de me creuser la tête.. je ne perdais pas souvent aux échecs même si la seule adversaire contre qui j'aime jouer était elle. Une fois ce mouvement effectué une lumière orange éclairait l'hologramme d'ACE Chemicals comme si ce mouvement voulait dire quelque chose de spécifique, et bien sur c'était le cas. J'avais prévu de reformer la Legion Of Doom et grâce à cela j'allais mettre la ville sans dessus dessous, avec l'aide de mon épouse je pouvais ne pas être affilié à cette bande de crétins car à la moindre entourloupe ils perdraient la vie dans d'atroce souffrance ce qui était assez drôle.. m'enfin je fixais donc l'usine illuminée alors que je levais les yeux vers Octavia pour regarder ce qu'elle allait faire ensuite. Ce n'était que le début de la partie mais j'affichais déjà un sourire vainqueur au coin de mes lèvres tout en retirant doucement ma cravate pour venir ouvrir le premier bouton de ma chemise histoire d'être à l'aise, je retire également la veste de mon costume pour remonter mes manches.. j'étais là en maître. Mon verre de vin me faisait de l'oeil et je lui répondais en l'attrapant doucement, buvant se délicieux nectar qui coulait le long de mon œsophage.. mmmh, quel impressionnant nectar.
Ma main libre passe ensuite sur le dos de la main d'Octavia alors que j'avais au fond, plus envie de laisser cette partie pour m'amuser avec elle, une flamme brûlait en moi et je ne l'avais pas vue depuis un très long moment.. l'envie d'elle se faisait sentir, en tout cas pour moi qui ne cessait de la scruter de haut en bas.
Lex Luthor - "À toi mon coeur, et ne te méprends pas, la reine à tout autant d'importance que le roi dans cette partie là.. je ne permettrai pas que tu te sacrifies pour le bien fait de l'avenir qui m'attend. Il est hors de question que tu sois loin de moi pour la suite des évènements Eve.. tu es ma femme après tout et non plus une expérience !"
Des mots plein de bon sens et de bonnes intentions, je ne la considérais plus comme une expérience depuis que je suis tombé amoureuse d'elle.. m'enfin, rien qu'à ma façon de la regarder on pouvait le deviner je n'arrivais pas à décrocher mes yeux de ses courbes bien plus intéressantes que cette ville pathétique que je dirigerai bien assez tôt, comme le reste de ce pays évidemment. Je me levais brièvement pour aller chercher quelque chose dans un de mes coffres secrets alors que je l'avais oublié depuis un moment à l'intérieur.. je pensais le lui offrir une fois mon retour à Metropolis, mais vu que je ne savais pas quand j'allais y retourner je profite de sa présence.
Je passais donc derrière ma femme pour ouvrir la boîte qui contenait un collier d'une valeur inestimable, j'affichais un sourire alors que je contemplait une de mes plus belle création.. ce collier arborait quelques diamants d'une valeur sans nom mais aussi en son centre un pendentif contenant une pierre violette, je savais que c'était la couleur qui la faisait vibrer donc je n'hésitais pas à le lui mettre autour du coup tout en lui donnant une autre plus petite boîte mais ceci lui serait plus utile plus tard.
Lex Luthor - "Mmmh, j'espère que ça te plaira mon coeur, c'est de la Kryptonite violette je n'aurai pas pensé que c'était si dur à trouver mais heureusement une météorite la contenant passait pas loin.. tu me connais je ne peux résister. "
Un rictus s'échappait d'entre mes lèvres alors que je venais l'embrasser dans le cou doucement tout en massant ses épaules, je remontais vers son oreille pour simplement lui chuchoter quelques mots doux avant de reprendre en étant un peu plus sérieux.
Lex Luthor - "L'autre petite boîte.. je t'expliquerai ce que c'est plus tard, pour l'instant j'hésite entre continuer une partie à sens unique, ou m'amuser avec la femme que j'aime."