Care avait reçu une demanded d'aide. Elle ne savait pas de qui ça venait, mais un SDF qu'elle connaissait bien, sous ses deux identité, lui avait remit. Elle se doutait bien que ça pouvait être un traquenard. Elle était pas stupide non plus. On survit pas aussi longtemps dans la rue ou comme guardienne masqué si on est pas un peu parano. Sauf qu'elle était aussi assez maso. C'était son devoir d'aidé, sa rédemption. Et donc, elle ne pouvait pas tourner le dos à une demande d'aide.

Elle n'avait prévenu personne, à quoi bon de toute façon. Soit Batman la suivait encore avec son traceur dans le comlink, soit il l'avait ficher comme parfois utile, et insignifiante. La seule personne qui lui avait démontré de l'affection, outre la gratitude des gens du quartier, c'était Batwing et elle n'en voulait pas. Pas que ça change quoi que se soit à ses tentative d'affection fraternel, mais bon, il finirait par se lassé. Elle était seule, elle le resterait.

Elle avait tiré des leçon de ses récent déboire, elle choisissait de les ignorer, ce n'était pas pareil. Sa vie n'avait aucune valeur sinon que celle de ceux qu'elle sauvait et la souffrance qu'elle soignait. Rien d'autre n'avait d'importance, sauf sa mort. Elle devait être forte, puissante, elle devait avoir lieu quand on aurait plus besoin d'elle, quand elle aurait finalement gagner le droit de rejoindre sa famille. Elle en était loin.

C'était presque poétique qu'on lui donne rendez-vous à l'église. Malgré les interdit, elle venait souvent ici. Elle allait aussi à la messe dans différente église catholique de Gotham le dimanche. C'était normalement son moment de receuillement. C'était aussi ici qu'elle s'était dit qu'elle viendrait allumer un lampion pour sa soeur dans un mois, lors de leur anniversaire.

Elle entra dans l'église et ne voyant personne, elle eu un soupire. Soit c'était un piège, le plus vraissemblable, soit la personne n'osait pas sortir. Elle aurait put rester silencieuse, tenter l'approche furtive, mais c'était pas exactement son style et elle maitrisait pas. Donc, autant y aller direct et vivre avec les conséquence. Elle s'approcha de l'hotel, ne manquant pas de se signer au passage, puis elle appela pour voir s'il y avait quelqu'un.

La voix qui lui répondit n'était pas celle de quelqu'un en détresse, ça c'était certain. Elle avait affaire à un psycopathe, ou encore pire, un des vrai vilain de cette ville. C'était bien son destin, encore un autre test à mettre à son purgatoire. Soit, elle ferait de son mieux.

Mais avant qu'elle ne puisse se préparer au combat ou réagir, il la gaza, et ça, elle ne s'y attendait pas trop. Elle avait eu son lot de truant et de combat. Enfer, elle combatait plusieurs fois par soir ses temps-ci. Mais seul le Joker avait tenter un truc avec des gas... et c'était une farce.

Elle tomba dans un noir profond, pour s'éveiller attacher à l'hotel, c'était d'un ironique. Il lui parla a nouveau dans cette voix glauque et vraiment effrayante, mais Care refusa de montrer sa peur. Elle puissa dans la colère que lui inspirait le sacrilège de cette "Épouvantar". Elle ramassa sa salive et lui cracha au "visage". Elle le regarda ensuite, la colère et la défiance dans le regard. Elle ne dit rien, il n'y avait rien à dire. Elle était à sa merci, mais elle ne donnerait rien qu'il ne lui prennent, ça elle se le jura. Elle était une battante, elle avait survécu, vécu, elle était morte et vivait malgré tout. Il n'y avait rien qu'on ne puisse lui faire qui ne ferait plus mal que la mort de sa famille, ou ne la torturait autant que la clinique qui avait fait tout les test possible et innimaginable sur elle pendant 1 an.

Care n'était pas idiote, même si elle était une battante. Elle n'avait pas vraiment le choix, malgré la peur irrationnel qui montait en elle quand il sorti les aiguilles et fit des prise de sang. Elle se força à respirer, à pratiquer la méditation que son sensei d'autre fois lui avait appris. Elle ne s'était pas laissé dominé par la peur depuis la mort de ses parents. Elle ne se laisserait pas avoir maintenant.

Elle n'avait rien mangé depuis la veille, elle était mal nourit, trop petite pour son âge, et absolument aucune chance de ne pas ressentir les effets de tous le sang qu'on venait de lui prendre. Elle était donc plus ou moins dans les vappe quand Batman fit sont apparition. Ou... à en croire la chauve-sourit, un imitateur. Le réseau était venue la sauver ? C'était presque étrange, elle n'était personne. Non, ce devait être pour l'homme qui la torturait qu'on était ici.

Ensuite, elle senti un couteau sous sa gorge. Elle aurait du faire expres de se couper, pour libéré la chauve-souris, pour ne pas être un otage, mais elle ne put le faire. Dans sa tête défila tous les gens qu'elle aidait, tous ceux qu'elle devait encore soignée, tous les enfants du quartier qui comptait sur elle, tous les gens qu'elle en était venue à protégé et aimé malgré elle. Elle n'aurait pas du se lié à eux, rester froide, mais s'était contre sa propre nature. Ellle était de ceux qui ont un trop grand coeur, qui s'inquiète et on trop d'empathie.

Et la tête lui tournait. Elle devait faire des efforts pour ne pas sombré dans l'inconscience. Et alors, on lui fit respiré quelque chose. L'odeur était étrange, presque florale. Mais c'est la peur qui s'insinua dans son esprit qui reprit le dessus, comme une vague qui précède le tsunami. Elle revoyait les laboratoires ou on avait fait des expérience sur elle, des gens qui ne voyait en elle qu'un cobaye. Ensuite, elle était de retour dans la chambre de radiation, juste avant l'explosion. Elle voulait hurler aux autres enfants de s'enfuir, de ne pas rester, mais elle ne pouvait rien faire.

(En français-Québécois) "NON ! Stop ! Assez ! S'il vous plait ! Laissez moi rentrez chez moi ! Je veux plus de test... S'il vous plait ! Je n'ai rien de spécial, c'est juste un accident."

Elle se débatait avec son peu de force contre ses liens.

(En français-Québécois) "NON ! Fuyez ! Ça va exploser ! Ne restez pas ici ! MÉli ! Ne reste pas ici ! Ça va te tuer !"

Elle revivait en boucle, en scène fracturé et décousu, comme un cauchemar, l'année passé à être un rat de laboiratoire, et la journée de la mort de sa soeur.

Maryanna se débattait avec les fantôme de son passé. Les images se succédait sans vraiment de suite, sans logique. Des photos horrible, des petite scènes d'horreur sans queue ni tête, mais qui la ramenait à tous ce qu'elle avait perdu, à tous ce qu'elle avait fuis, à cette vie qu'elle tentait de racheter et de vaincre à travers ses actes de justicière et de sans abris. Elle voulait mourir, mais ce n'était pas différent d'Avant. Elle avait peur, mais elle vivait avec ce sentiment depuis la mort de ses parents. Elle avait mal, elle se sentait seul et abandonné, mais elle l'était depuis la mort de sa soeur en quelque sorte.

La faiblesse physique, l'adrénaline, la panique, tous ça, elle vivait avec tous les jours et ce depuis bien longtemps maitenant. Même la rage et la frustration, la phobie des hopitaux et des clinique, des laboratoires et des teste. Tout le temps qu'elle avait passé à aidé la clinique d'Amer dans Arkham city avant d'être à nouveau abandonné derrière, l'avait préparé à se battre jour après jour contre ses phobies et sa propre peur. Elle était trop faible pour s'en sortir toute seule, les images était trop envahissante pour lui permettre de vraiment reprendre pied dans la réalité, mais les mots de Crane, la présence de Batman devant elle, son symbol, et tous les gens qui dépendait d'elle, qu'elle ne pouvait pas abandonné, et surtout sa Foi dans sa mission, sa Foi en Dieu, c'était son ancre. Elle se concentra sur le symbol de Batman devant elle, comme pour s'accrocher à la réalité. Sa vie d'avant était morte, la peur, c'était juste un autre purgatoire, comme tous les cauchemar qu'elle revivait dans son sommeil jour après jour, elle pouvait repoussé la peur et les visions dans le fond de son esprit. Les enfermer, ne pas les laissé la dominer.

Elle murmura une prière à Marie, sa patrone, sa protectrice, son guide, sa lumière.

[Québécois]"Sainte Marie, mère de Dieux, priez pour moi pêcheresse, donnez moi la force de vaincre."

La voix était presque innaudible, mais la prière était sincère. Elle lui donna la force de reprendre au moins un peu pied dans la réalité, d'étendre sa conscience au delà du costume de Batman. Le couteau sur sa gorges, les sangles qui l'entravait... les sangles ?! Elle ne semblait pas avoir été pensée pour une jeune fille de 13 ans, encore moins une jeune fille aussi maigre qu'elle. Elle n'était pas entièrement serré. En s'écourchant largement la main, Maryanna réussi à libéré son bras droit. Se concentré sur sa douleur et l'excercise, en y mettant toute sa volonté, elle arrivait se tenir loin de ses images qui la hantait, la peur nourrissait sa volonté de se sortir d'ici, de s'enfuir. La panique aussi était un bon carburant pour vouloir s'en sortir. Elle avait l'habitude d'utilisé ses émotions pour nourrir sa passion et sa mission. C'était tout ce qu'il lui restait dans la vie. La fuite de son passé, de sa peur et s'en nourir pour ne pas avoir de regret, pour combattre la douleur. Elle passait constament de l'un à l'autre pour les fuirs tous les deux, pour se punir de ne pas avoir sauver ses parents.

Elle s'excusa encore et encore dans sa tête, se répêtant son mentra comme elle le faisait normalement avant de dormir. Sauf que cette fois, c'était à haute voix. Une autre ancre lancé dans la réalité pour s'y accrocher. Une autre ligne de vie, en plus de Batman et de sa prière. Une autre manière aussi de laissé croire au monstre devant elle qu'elle était sous sa coupe.

[Québécois]"Je suis désolé de vous avoir tué. Je vous aimes, un jours nous serons réuni. Je suis désolé de vous avoir tué. Je vous aime...."

Elle le répéta en boucle, pour se donner du courage, pour combatre les flashback, mais aussi pour couvrir le bruit qu'elle faisait en essayant de se libéré. Puis, le miracle arriva et une de ses mains se libéra. Avant que l'Épouvantaille ne puisse réalisé ce qu'elle avait fait, elle lui envoyant un bon coup dans le plexus solaire. Elle avait pratiqué plusieurs fois ce genre de frappe dans ses cours d'auto-défense, dans sa vie d'avant. Son corps s'était souvenue de la marche a suivre et l'avait effectué en auto-pilote. Les images et la toxine reprenant le dessus sur la volonté de la jeune femme dont le corps la trahissait. Elle était trop faible pour lutté contre la toxine. Son esprit était fort, mais la drogue avait le champs libre dans son corps ravagé par le manque de sommeil, le stress et la malnutrition.

Maryanna avait perdu pied, elle n'était plus dans la réalité. Une parties d'elle le savait, tentait de brisé la cage de la peur et des illusion, mais elle n'y arrivait pas. Elle avait l'impression d'être de retour à la clinique, les gens autour d'elle était des scientifique qui tentait de l'étudier sous toute les couture. Leur examen n'avait plus rien de doux ou de gentil à la fin de l'année, juste avant que ses parents ne la sorte de là. Ils disaient que c'était pour son bien, mais elle avait commencer à en douter. Ils disaient que c'étaient pour la Plus Grand Bien de Tous... mais elle avait compris depuis loongtemps que cette phrase ne voulaient était surtout une manière de justifier tous les mots. Elle voulaient sortir d'ici, elle voulaient vivre en paix, pleurer sa soeur, ses amis morts dans ses bras. Elle ne voulaient plus d'aiguille, plus de test, plus de ses murs blancs oppressant. Elle voulait ses parents et rentré chez elle.

Un des scientifique s'approcha d'elle, elle voulait se débattre, se recroquevillé, disparaitre. Mais l'homme alternait entre la chemise blanche et un étrange costume noir avec un symbole de chauve-souris rouge. Pendant une seconde, elle eu l'impression de le connaitre. C'était un cauchemar, elle devait se réveiller...

Puis le scientifique était de retour, mais il la libéra. Elle entendit ses paroles comme à travers de l'eau. Elle les comprenait, elle savait ce qu'il voulait, mais pas pourquoi il tentait de l'aidé. Mais la peur était si forte. Elle ne voulait que se sauver. Sortir d'ici.

Mais son esprit chevaleresque, son désir d'aidé, de protégé, son esprit rationnel, son courage, prirent le dessus. La peur était encore si forte, trop forte, son coeur battait à cent à l'heure, mais elle vit l'homme qui l'avait aidé s'effondré au sol, et le cauchemar vola en éclat. La peur resta pareil, la terreur était oppresante, elle peinait à respiré, déjà qu'elle avait encore très mal à sa côte, mais elle devait l'aidé. Elle ne savait pas qui il était, mais elle ne pouvait pas le laissé là.

Se relevant en tremblant, elle mit un pas devant l'autre. Mais l'autre homme, l'épouvantaille, il lança quelque chose et la terreur devint plus grande encore. Une bombe, une autre bombe, elle allait mourir, tous le monde allait mourir.

Non ! Elle devait se ressaisir, sauver au moins l'homme devant elle. Cet alié de Batman, il avait le signe, ce ne pouvait être autre chose. Elle devait repousser la peur, elle avait l'habitude de le faire. Elle vivait avec ses cauchemars depuis la mort de sa soeur, elle repoussait ceux de la mort de ses parents aussi depuis un an. Elle était plus forte que la peur. Dieu avait fait d'elle son outil. Elle pouvait y arrivé.

Elle se précipita sur l'homme, elle devait toucher sa peau. Il devait bien y avoir une ouverture. Elle remarqua le coup. Elle glissa ses doigts doucement dessous. Elle senti l'électricité la traversé, elle aurait du lâcher, mais l'adrénaline était déjà si intense dans son corps à cause de la peur qu'elle réussi à continuer. Elle n'avait qu'une idée. Soigner cette homme devant elle. Elle était comme au delà de la peur, elle était juste trop intense. Alors elle focalisa son esprit tout entier sur ce qu'elle devait y arrivé. Les secondes s'étirèrent comme sur des heures, elle se battit pour chaque milimètre, jusqu'à toucher la peau. Ça n'avait prit qu'une seconde, mais ça semblait des heures.

Elle se concentra ensuite pour absorber toute sa douleur, tout son épuisement, elle prit tout sur elle, en une fraction de seconde. Plus vite qu'elle ne l'avait jamais fait auparavent, mais elle n'avait pas le temps de faire dans la finesse, elle n'y pensa même pas. Sa vision et son esprit était entièrement concentré sur un seul point. Sa vision était comme une tunel, une lentille. Rien d'autre d'existait que sa main et cette homme devant elle.

Et finalement, elle reçu tout et elle eu l'impression que son coeur et sa tête allait exploser. Elle lâcha l'homme, reculant en titubant. La peur l'envahi de nouveau et elle s'effondra sur ses genoux, la tête entre les mains. Elle voualit que tous ça ce termine. Elle voulait dormir et oublié. Elle voulait ses parents, mais c'était impossible, elle les avaient tués. Elle était une meutrière. Elle ne méritait rien d'autre que la souffrance.

Care n'eu pas vraiment conscience de leur sorti in-extremis, ni de l'explosion. La peur, la douleur, les hallucinations et la perte de sang prenait leur du. Elle était au delà de l'adrénaline, entre l'inconscience et l'inconscience, entre les chauchemar et réalité. Elle resta innerte dans les bras du Batman Beyound.

Elle entendit la phrase sur les secours, mais son cerveau mis du temps à la décoder et la comprendre. Les mots avait pénétré le brouillard de ses cauchemars, mais peinait à faire leur chemin jusqu'à son conscient. Ce n'est que lorsque Néo-Batman se releva et qu'elle perdit la protection de ses ailes que la réalité lui claqua au visage. Les sirène se raprochait. Elle ne pouvait pas être ici quand il arriverait. Elle ne pouvait pas aller à l'hopital, elle ne devait pas être découverte. Alors qu'elle pensait être au-delà de la terreur et de la conscience, ce fut comme un coup de fouet.

Elle se leva d'un bond et se mit à courir vers les toîts. Son corps était sur l'auto-pilote. Il savait exactement quoi faire. Après un an à vivre dans la rues et sur les toit de la villes, même si elle n'avait pas toute sa tête, ou même toute ses faculté physique, elle retrouva le chemin de sa dernière planque. Elle réussi à éviter les paramédiques et les policiers. La terreur au ventre, elle se terra dans un coin et se blottit contre Grabuge. Revivant en boucle pendant plusieurs jours, ses cauchemars et ses plus grande peur. Jusqu'à se que son esprit réussi à reprendre le dessus. Elle était plus forte que la peur, plus forte que la douleur. Elle était déjà morte tant de fois, elle connaissait la terreur comme une amie intime. Elle réussi à reprendre le dessus en se concentrant sur sa mission, sur les gens qui comptait sur elle, et avec l'amour de Grabuge.