On ne sait que très peu de choses de "Jean-Paul Sartre" si ce n'est qu'il a été pendant très long, depuis sa plus tendre enfance, abusé physiquement et mentalement. Son seul recours est d'espérer que la moindre chose aille dans le mauvais sens. Il est à noter que Sartre est émotionnellement fragile et que n'importe quelle occasion est bonne pour qu'il en vienne à vouloir se suicider. Il est un des protégés de Jeremiah Arkham, ce-dernier fera tout pour essayer de lui redonner confiance en l'avenir. Sartre est du genre à être surveillé de très prêt, et il est très souvent une source de gêne dans les délits qu'il commet. Il n'est un danger que pour lui-même au final. Lorsque l'asile d'Arkham fut détruit par Bane, Sartre fut envoyé avec bon nombre de ses collègues, vers l'île de Blackgate pour y'être hébergé, sous la supervision du Docteur Arkham.

Malmené par les criminels de Blackgate, Sartre fait alors l'impensable. Il se jette du haut des falaises de l'île maudite et meurt dans la chute. Ironiquement, cette mort éveillera un sentiment de tristesse et de rébellion dans l'esprit de ses pensionnaires. C'est grâce à la mort de Sartre que tous les criminels d'Arkham s'unissent, réclamant d'être traités comme des gens normaux, comme des humains, et non comme des bêtes de foires, moqués par les "criminels normaux de Blackgate". C'est ainsi que débuta une haine vis-à-vis des deux établissements pénitenciers. Sartre est mort, il n'aura fait qu'une petite apparence dans une bande dessinée, mais sa trace restera pendant encore longtemps dans l'esprit de ceux qui ont vu sa mort, et la façon dont il a été traité. Il est celui qui a unit les patients d'Arkham entre eux, pour la première fois.