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| Retour chez Gothcorp [PV Amelia Underwood] | |
| Auteur | Message |
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Messages : 224 Date d'Inscription : 13/12/2016
▲ Goth-Passeport ▲ Alliés: Ennemis: ♦ Domicile à Gotham : Secret... ♥ Love interest: Nora Fries Armes & gadgets: Victor Fries / Mr. Freeze | Sujet: Retour chez Gothcorp [PV Amelia Underwood] Dim 27 Oct 2019 - 7:44 | |
| Maintenant que la folie d'Hugo Strange est enfin terminé avec ce projet ‘'d'Arkham city'', j'ai pu retrouver mes hommes de main et engager quelques nouveaux. L'inconvénient dans tout cela est que ma base cachée est devenue trop petite pour autant d'employé humain. Même si je suis recherché, je peux utiliser l'identité d'un de mes sbires pour m'acheter une grande propriété grâce à mes mines d'or aux pôle nord. Il y a un endroit qui me plait en particulier puisque je le connais déjà très bien. Ce même endroit contient déjà tout l'équipement nécessaire pour continuer mes recherches scientifiques. Malheureusement, cet endroit, la Gothcorp, a récemment été acquise par une certaine ''Underwood''. Qu'importe. Cette personne a de la chance. Je vais lui laisser l'option de me léguer entièrement sa nouvelle propriété pour une raisonnable somme d'argent. Si cela ne fonctionne pas, alors c'est face à mon arme cryogénique que cette personne signera les papiers. Et si je dois la tuer, alors ainsi soit-il. Peut-être que son successeur sera plus coopératif… J'ai pris l'armure la plus petite et la plus mince que j'ai pour me mouvoir en toutes tranquillités. C'est donc en limousine que j'arrive devant l'endroit qui a autrefois ruiné ma vie. Mon conducteur arrête le véhicule devant le bâtiment et je sors tranquillement avec une valise remplie de billet. Les gothamites me regardent de travers, mais ne semble pas me reconnaître ou s'en fiche littéralement. Je les comprend. Même si je suis toujours recherché, cela fait très longtemps que je n'ai pas agis ouvertement. Les habitants de cette ville ne me craignent plus, tous simplement. Le fait d'avoir une taille normale au lieu d'être dans ma combinaison de deux mètres de haut doit aussi aider pour cela. J'ai quand même une arme cryogénique attachée dans mon dos, au cas où que mon plan ''A'' ne fonctionne pas. Je m'avance à mon rythme et je rentre par la porte principale. Je vois des personnes tout autour qui semble m'ignorer ou retourner à leur occupation après m'avoir jugé brièvement du regard. Je m'approche de la dame à l'accueil. Elle semble jeune, trop jeune pour me connaitre. C'est bien, elle n'appellera pas la police. Elle m'affiche un grand sourire chaleureux. Cela fait changement des regards qu'on me lance depuis mon arrivé. Je me demande quand même ce qui la fait sourire autant... ‘'Wow, sympa le costume, monsieur! Vous venez voir qui?''Je vois, j'aurai du y pensé. Bref, je lui répond en un seul mot: -‘'Underwood.''‘'Mme Amelia Underwood? C'est tout en haut, le bureau en face, en ligne droite, vous ne pouvez pas vous tromper. C'est de la part de qui?''Je me dirige vers un ascenseur libre en disant tout simplement. -‘'Monsieur Victor Fries.''Je ne prends pas la peine d'écouter sa réponse qui n'a aucune importance et j'appuie sur le bouton pour aller à l'étage le plus haut. Certains employés locaux s'approchent de moi pour prendre l'ascenseur, mais en me voyant, ils décident de ne pas monter avec moi. Sage décision. Je suis trop pressé pour perdre mon temps à des étages autres que ma destination. Une fois au sommet de la tour, je remarque qu'il y a une secrétaire installée à côté de la porte où se trouve probablement le bureau de la nouvelle PDG de l'entreprise. Sans attendre, je m'y adresse tout aussi froidement. - ‘'UnderWood est ici?''‘'Mais… Mme Underwood n'a pas de rendez-vous de prévu à cette heure-ci.'' Dit-elle en tremblant. - ‘'Prévenez votre patronne que je veux la voir, maintenant.''Elle appuie sur un bouton et se met à parler à son micro. ‘'Mme Underwood? Il y a Freeze qui-‘'- ‘'MONSIEUR FRIES.''‘'Désolé! Eum… Monsieur Fries est arrivé, pour vous voir…''À travers mes lunettes rouges aux lentilles rouge sang, je fixe glacialement la secrétaire. Elle m'a reconnu, visiblement. Peut-être qu'elle était déjà à ce poste à l'époque que j'ai tué son ancien patron? Dans tous les cas, elle a peur de ma réaction en cas de refus et elle a totalement raison de l'être… |
| | | Invité | Sujet: Re: Retour chez Gothcorp [PV Amelia Underwood] Dim 27 Oct 2019 - 18:48 | |
| Retour chez GothCorp Feat Victor Fries La GothCorp, l’entreprise du peuple. Une entreprise dédiée aux progrès pharmaceutiques et médicaux. Une entreprise qui fut, dès sa création, dans le collimateur de la famille Underwood qui a toujours eu une haine de ceux tentant de marcher dans leurs plates-bandes. Feu Augustus Underwood était médecin, et de nombreux membre de la famille ont suivis ses pas. Quand ils ne le faisaient pas, ils étaient des mécènes des sciences, voir scientifiques eux-même. C’était une des raisons qui faisaient que les gens n’entendaient presque jamais parler des Underwood. Ils n’étaient pas des politiciens et avaient une politique de neutralité envers les autres. Même au sein de la Cour, aucun Underwood n’avait jamais participé activement aux moindre votes, se contentant de ne pas se prononcer. On pourrait les penser faibles, et c’était ce qu’avaient penser les Power quand ils ont essayés de se diversifier dans le pharmaceutique. Ils avaient appris que les Underwood, bien que de politique neutre, étaient de vicieux adversaires contre lesquels il valait mieux ne pas se frotter.
Et la GothCorps fait partie de ces entreprises de Gotham qui l’ont appris au cours des années, car jamais les Underwood ne la lâchèrent. Jamais ils ne lui laissèrent le moindre répit, jamais le moindre PDG ou le moindre conseil d’actionnaire et administratif n’eut jamais affaire aux techniques agressives des Underwood pour faire couler l’entreprise ou l’obtenir. Les scandales autour de Boyle ainsi que sa mort eurent raison des dernières résistance de cet ancien empire financier avec une dernière OPA agressive. C’était sa mère qui avait une plus grosse obsession pour récupérer cette entreprise qu’elle estimait revenir de droit à leur famille et non pas à des parvenus. Quelque chose qui ne la concernait pas réellement, elle n’a jamais pu entrer dans la tête de cette femme et ne s’amuserait pas à le faire alors qu’elle reposait dans une tombe froide et solitaire.
Non, sa plus grande préoccupation était qu’elle avait une entreprise qui avait besoin d’un restructuration, d’une nouvelle image et surtout que son surnom ne soit plus une moquerie. Elle avait remarqué les bilans financiers en baisse, la côte de popularité au plus bas et, bien entendu, la corruption au sein du conseil d’administration. Normalement elle aurait été incapable de les renvoyer tous sans leur laisser un immense parachute doré. Mais… Elle était actionnaire majoritaire. Et elle n’avait rien à leur devoir. La liquidation de ce ramassis de pourri lui laissa le champs libre pour remanier la direction, cherchant des gens compétents et non pas des lèche-bottes qui chercheraient la promotion à tout prix. Elle avait aussi recherché des gens dont le bilan psychologique annuel démontrait, à défaut d’une profonde intégrité, un profond désir de faire pour le mieux. Elle avait besoin de gens qui ne cherchaient pas l’argent, mais bien l’avancer de la science.
Elle était également en train de faire un remaniement de la politique intérieure de l’entreprise, plus précisément sur les contrats. Les employés étaient parfaitement au courant qu’il risquait d’y avoir des coupes et surtout des baisses dans leur salaire, mais elle avait promis qu’elle compenserait ça par des avantages conséquents derrières. Le fait qu’elle ait permis à des employés de former un syndicat dont la tâche était de lui remonter tout problèmes que rencontraient les salariés en disait long. Elle n’avait pas encore révélé que si le salaire net de tout les employés baisserait de 15 %, tandis que le sien serait divisé par quatre pour retrouver un minimum de décence et parce qu’elle n’avait pas besoin d’autant en tant qu’actionnaire majoritaire. Elle n’avait pas non plus révélé que le but de la manœuvre est d’inclure dans le contrat de tout les salariés une assurance maladie qui serait payée par tout ces 15 %, et qui inclurait les familles. Elle marchait sur des œufs, elle savait parfaitement que la nouvelle ne serait pas forcément bien prise par les plus gros salaires. Mais que veut-on, elle avait vécu en Angleterre et elle savait combien une bonne assurance maladie pouvait faire un peu de bien.
Son plus gros problème restait donc l’image de la GothCorp et le nouveau conseil d’administration qu’elle devait former… Le grésillement du haut-parleur en connexion direct avec sa secrétaire la sorti de son train de pensés et de la rédaction du nouveau contrat que devraient signer les employés dans quelques jours. « Mme Underwood? Il y a Freeze qui- » « MONSIEUR FRIES. » « Désolé! Eum… Monsieur Fries est arrivé, pour vous voir… » Elle soupira, se frottant les yeux. Le plus gros scandale que lui avait laissé Boyle. Victor Fries, son accident et les innombrables tentatives de vendetta contre la GothCorp qui semblaient doucement continuer. Elle était néanmoins sceptique sur la violence potentiel de Fries, pour le moment, étant donné qu’il avait la décence de passer par sa secrétaire Martine. Autant continuer sur cette lancée plutôt que d’avoir, si tôt, besoin d’appeler Wayne à la rescousse. Elle était également certaine de pouvoir régler une bonne fois pour toute cette histoire tout en s’aidant sur certains de ses autres problèmes administratif. « Faites le rentrer Martine et ne prévenez pas la sécurité. Faites également décaler tout mes rendez-vous à un autre jour de la semaine et prenez votre journée. »
Elle rangea sur le côté le fruit de son travail alors que le son de ses doubles-portes s’ouvraient. L’homme était dans une armure différente de celles qu’elle avait vu dans les différents dossiers, mais elle sentait la température ambiante baisser drastiquement à sa simple présence. Elle nota l’arme qui était dans son dos, mais elle n’avait pas été utilisé. Sinon elle aurait entendu la sécurité immédiatement lui signaler le problème ainsi que les sirènes des voitures de polices. Il portait en main une valise qui semblait lourde. Elle respira fortement alors qu’elle se redressait. Elle était habillée d’un pantalon tuxedo noire avec une paire de chaussure plate, seulement une légère talonnette et rien de plus histoire de passer de son difficile mètre cinquante sept au soixante. Sa chemise blanche impeccable était accompagnée d’un veston noir sans manche, affinant encore plus sa taille déjà bien maigre malgré une fine musculature visible.
Non, ce qui devait frapper son interlocuteur et elle le savait parfaitement pour la dose de frustration que ça engendrait chez, c’était son corps et ses traits de visage juvéniles. Elle avait bientôt trente ans et pourtant elle en paraissait quatorze, parfois seize quand elle faisait des efforts comme aujourd’hui. Ses yeux d’argents étaient perçant, observateur et sondant l’homme en face d’elle. Ils étaient rendu encore plus dérangeant par les restants de cernes sous ses yeux et la peau blafarde que faisait ressortir sa pigmentation. C’était presque intimidant… Si on oubliait qu’elle avait l’air d’avoir seize ans. On pourrait dire qu’elle ressemblait à un personnage de la famille Addams avec ça en tête.
« Monsieur Fries, que puis-je pour vous ? Je vous en prie, asseyez-vous. Quelque chose me dit que ce sera une longue conversation. »
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| | | Messages : 224 Date d'Inscription : 13/12/2016
▲ Goth-Passeport ▲ Alliés: Ennemis: ♦ Domicile à Gotham : Secret... ♥ Love interest: Nora Fries Armes & gadgets: Victor Fries / Mr. Freeze | Sujet: Re: Retour chez Gothcorp [PV Amelia Underwood] Dim 3 Nov 2019 - 19:54 | |
| J’entre finalement dans le bureau pour rencontrer Mme Amelia Underwood, celle qui a pris la place de Boyle en ignorant ce qui pouvait lui arriver, elle va…
« Monsieur Fries, que puis-je pour vous ? Je vous en prie, asseyez-vous. Quelque chose me dit que ce sera une longue conversation. »
…Mais… ce n'est qu'une adolescente…?
-''Eum…''
Je regarde tout autour… personne d'autre? Et le seul bureau occupé, l'ancienne place de Boyle, c'est cette petite fille qui l'occupe…? C'est elle, Amelia Underwood? En balayant cette pièce du regard, je remarque plusieurs détails qui le prouvent : une pile de dossier, deux doctorats, un portrait de ce qui semble être elle et son jeune frère… Bon, qu'importe, je vais faire comme si j'y croyais. Après tout, ce n'est peut-être pas impossible qu'une personne âgée de 14 ans soit à la tête d'une entreprise mourante.
-‘'Bon très bien, merci.''
Je m'assoie sans grande difficulté avec la valise sur les genoux. Les jeunes gens comme elles ne peuvent probablement pas encore comprendre toute l'étendue de l'influence de l'argent dans ce monde. Mais bon, cela ne veut pas dire qu'elle refusera automatiquement. Pendant que je suis assis, je remarque aussi des vieux cartons nommé ‘'poubelles''. Probablement des choses ayant appartenu à l'homme que j'ai fait couler dans un bassin d'or liquide. Cette vengeance m'a coûtée chère en quantité de gaspillage d'or pur, mais puisqu'il a voulu débrancher ma femme parce que je ne payais pas autant que ses autres clients, cette mort horriblement douloureuse a été amplement mérité. Bref, c'était probablement le seul être humain sur terre qui méritait de mourir noyé dans du métal fondu à 1200°C.
-''C'est très simple, je veux la Gothcorp. Ce bâtiment, pour être précis. Je suis prêt à acheter la compagnie qui le possède s'il le faut. La fin d'Arkham city a permis à mes… ''employés'' d'être libre et puisqu'il y a très peu de volontaire pour rejoindre ma base au pôle nord, je me dois de trouver un grand endroit pour accueillir mes employés à Gotham afin qu'ils continuent de m'aider dans la recherche d'un remède pour la maladie de ma femme. Toutefois, je suis conscient que vous avez dû dépenser une somme d'argent considérable pour prendre possession des lieux, alors…''
J'ouvre la valise devant la propriétaire des lieux (ou leur représentante?) afin de lui montrer que j'ai un minimum de volonté à vouloir que tout le monde puisse partir de bonne humeur à la fin de cette réunion.
-''Cette valise contient un million de dollars américain, obtenu par le produit de mes mines d'or et de diamant au pôle nord. Il y en a d'autres dans la valise de ma limousine stationnée en avant et j'en aurai d'autre durant les semaines à venir. Je demande uniquement qu'on trouve un moyen pour que je puisse prendre possession des lieux et surtout de l'équipement scientifique qui est probablement resté en place depuis mon départ de la Gothcorp.‘'
Elle a quand même de la chance d'être aussi jeune. Je pense que je n'oserais pas m'en prendre à quelqu'un de son âge directement. Par contre, si je n'ai pas ce que je veux, il y a beaucoup d'autres moyen de réussir qui n'inclut pas automatiquement la violence…
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| | | Invité | Sujet: Re: Retour chez Gothcorp [PV Amelia Underwood] Dim 3 Nov 2019 - 22:42 | |
| [quote="Amelia Underwood"] Retour chez GothCorp Feat Victor Fries Il y avait peu de choses qui étaient capable de la frustrer. La plupart du temps, elle se surprenait à l’être. Mais il y avait bien une chose qui invoquait à coup sûr sa frustration. Son apparence. Elle ne se trouvait pas l’aide, pas grosse, pas maigre, pas plate… Elle se trouvait… D’aspect inadéquate. D’aspect trop juvénile. Et elle ne tolérait pas l’utilisation de maquillage, ayant remarqué que cela renforcé toujours plus cet aspect d’adolescente qu’elle dégageait. Toutes ces générations d’incestes, de prise de poisons et de malformations avait fait d’elle une femme trentenaire qui devait se balader chaque jours avec ses pièces d’identités sur elle, gagnant des regards incrédules quand il ne s’agissait pas de rire ou de regard jaloux. Comment pouvait-on penser que cet aspect était une bénédiction ? En ne le vivant pas chaque jours.
Elle le voyait dans la posture de Fries. Elle le voyait en train de se questionner, de se demander si ce n’était pas une vaste supercherie. Elle pouvait aisément imaginer son regard se balader sur les murs tapisser, regardant ses doctorats et l’immense portrait les dominant. Elle pouvait également voir toutes tensions musculaires se détendre, le froncement des sourcils se détendre, la posture se faisant moins… Imposante. Parce qu’il pensait qu’elle était une enfant. Même le ton qu’il prenait devenait plus… Doux. Est-ce qu’il s’en rendait compte alors qu’il ouvrait cette valise ? Se rendait-il compte que tout aura de menace était comme… Morte ? Elle doutait. Comme elle doutait qu’il la croit si elle disait son âge, insistant dessus. C’était une futilité, elle l’avait appris avec le temps. Rien ne pourrait jamais retirer cette réaction chez l’autre, soit il pensait qu’elle mentait, soit il se persuadait qu’elle devait avoir quelque part en elle cet âge pour réagir ainsi.
Alors elle fit la seule chose sensée. Écouter sa proposition, comprendre ce qu’il voulait et trouver une offre plus alléchante. Et elle se rendait compte que ce serait complexe. Il voulait le bâtiment, le matériel médical, un lieu où pouvoir mener ses expériences et essayer de sauver sa femme. Il voulait à son entière disposition les moyens dont elle avait besoin pour redorer le blason. Son visage était concentré sur l’homme en face d’elle, pas la valise. Le million, elle ne mentirait pas sur le fait qu’elle souhaiterait l’obtenir pour redresser financièrement cette entreprise sur le seuil mourant. Le reste, elle en aurait besoin pour financer des projets d’une plus grande importance encore. Oui, l’argent était le nerf de la guerre et elle savait qu’elle devait être prudente dans ses projets et ne pas cracher dessus quand on lui présentait de telles sommes. Mais…
Elle voyait quelque chose de bien plus intéressant, et son esprit scientifique le lui hurlait. Cet homme. Son talent. Son génie. C’était quelque chose de bien plus précieux que tout l’argent du monde. Peut-être était-ce son éducation qui parlait encore une fois quand elle pensait ça ? Non, non son éducation n’y était pour rien dans son appréciation du travaille scientifique d’un grand savant de ce siècle. Et peu lui importait qu’il soit un criminel, il aurait pu être un cannibale que ça n’aurait rien changé à son jugement. Elle voyait milles possibilités médicales avec le savoir de l’individu en face d’elle, et avec de la chance leurs avis ne seront pas aussi divergent que ce que le monde pourrait penser. De plus… Si elle était à sa place, elle aurait fait pire. Elle a déjà fait pire. Ce n’était pas pour rien qu’elle était l’une des dernières Underwood.
« Votre offre est très généreuse Monsieur Fries, cependant la GothCorp n’est pas à vendre. » Sa voix était froide, précise, maîtrisée. La voix d’une adulte. Tout signe d’agressivité de l’homme en face d’elle ne l’intimidait guère, et ce malgré le fait qu’elle savait parfaitement qu’il était l’une des rares personnes à pouvoir la briser en un coup. Son corps ne tolérait plus autant les basses températures. « Cependant, cela ne veut en aucun cas dire que nous ne pouvons pas trouver un terrain d’arrangement. » Elle se leva du haut de sa petite taille, allant chercher un dossier quel étudiait depuis un moment et qui se trouvait dans un de ses casiers. Un dossier en tant que médecin, pas en tant que chef d’entreprise. Le dossier de Nora Fries. « Le cas de votre femme est un cas préoccupant, d’un point de vu médical. Que ce soit les effets sur le très long terme de sa cryogénisation ou sa maladie en elle-même. Pourtant… »
Elle retourna à lui, mettant le dossier en face de l’homme de glace. « Pourtant je sais qu’avec vos connaissances les chances de séquelles dû à sa cryogénisation sont nulles. Et je sais qu’en son état actuel, votre femme est une source d’ADN non-négligeable pour mener des recherches sur sa maladie. Contrairement à Boyle je ne viens pas du monde des affaires mais du monde médical, bien que je sache que mon apparence peut… Porter à confusion. » Elle s’adossa contre son bureau, les bras croisés. Juste à côté de l’homme, le laissant étudier le dossier dont elle avait mit tant d’annotations. Sur un moyen de recherche, sur d’éventuelles pistes de remèdes, sur d’autres pistes pour utiliser le froid pour combattre d’autres maladies. Un travaille… Scientifique. Médical, mais scientifique.
« Voici ce que je vous propose Monsieur Fries. Travaillez pour moi. Je sais que vous avez un passif avec la GothCorp, et je sais que vous êtes techniquement un fugitif. Mais je pense qu’il serait bien plus intéressant pour nous deux de procéder ainsi. Je vous donnerais à disposition nos meilleurs chercheurs, un laboratoire et un médecin compétent pour étudier le cas de votre femme. Vous, je vous demande de travailler sur d’autres projets, en étant à leur tête. Les applications médicales de votre technologie serait révolutionnaires. » Elle le regarda droit dans les yeux, ses orbes d’argents se reflétant dans les verres rouges du scientifique. « Et si cela vous inquiète, vous aurez un droit de regard sur tout ce qui pourrait entourer votre femme. Je ferais également quelques petites manœuvres pour… régulariser votre situation. Je crois que cette entreprise vous dois au minimum ça. »
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| | | Messages : 224 Date d'Inscription : 13/12/2016
▲ Goth-Passeport ▲ Alliés: Ennemis: ♦ Domicile à Gotham : Secret... ♥ Love interest: Nora Fries Armes & gadgets: Victor Fries / Mr. Freeze | Sujet: Re: Retour chez Gothcorp [PV Amelia Underwood] Sam 23 Nov 2019 - 21:12 | |
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« Votre offre est très généreuse Monsieur Fries, cependant la GothCorp n’est pas à vendre. Cependant, cela ne veut en aucun cas dire que nous ne pouvons pas trouver un terrain d’arrangement. »
Un arrangement? Je referme la valise et la dépose sur ma droite. J’ai l’impression que l’argent n’est pas quelque chose qui l’intéresse, contrairement à ses prédécesseurs. Je ne la connais même pas, mais elle monte déjà dans mon estime. Je l’écoute parler et je comprends mieux ce qu’elle veut et qui elle est. Underwood est une scientifique bel et bien adulte et non une femme d’affaire adolescente comme son apparence et son bureau peuvent laisser croire. Je ne peux pas m’empêcher de penser qu’elle veut utiliser Nora comme un rat de laboratoire, mais puisque j’aurai le droit de regard, je pourrais bien essayer de donner une chance, ou plutôt, une nouvelle chance à l’entreprise. De toutes manières, coopérer avec elle est le moyen le plus rapide de commencer à chercher un remède efficace dans les laboratoires adaptés de la Gothcorp et puis, ces yeux qui regardent droit dans les miens, sans crainte ni hésitation… il y a quelque chose de convaincant. La dernière fois que j’ai vu cette expression dans les yeux de quelqu’un, c’était… ceux de Batman. En continuant de soutenir son regard, je lui réponds sans hésiter.
-''C’est une proposition très intéressante. Toutefois, avant d’accepter, je veux savoir, précisément, quels sont les ‘’projets’’ sur lesquelles vous voulez me faire travailler. Je me doute bien que cela à un rapport avec la cryogénisation, mais la première personne qui m’a fait évader de l’asile, il y a plusieurs années, un certain Grant Walker, m’a demandé en retour de le rendre immortel. J’ose espérer que vous n’avez de telles ambitions en tête…''
Ce n’est pas l’impression que j’ai d’elle, mais puisque son apparence est trompeuse, je préfère la prévenir.
-''J’ai une condition. J’ai une douzaine d’homme de main et puisque je passerais beaucoup de temps ici, ils risquent de partir pour se retrouver sous les ordres du pingouin ou double-face. Je souhaiterais que vous les engager à la Gothcorp, eux aussi. Bien qu’aucun d’entre eux ne possède l’intelligence nécessaire pour faire des recherches scientifiques, ils peuvent être très utiles. Que ce soit pour faire le ménage ou la livraison, il y a probablement du travail pour eux quelque part ici. Cela évitera que ces personnes avec qui j’ai collaboré pendant des mois puisse parler de mes expériences à d’autres criminels tout en leur assurant un avenir plus stable que de se retrouver dans une prochaine version d’Arkham city ou autre projet municipal tordu de ce genre. ''
Maintenant que Gotham à envoyer comme message à tous ses citoyens qu’il est capable de faire le pire, je ne doute pas un seul instant que, tôt ou tard, il y aura quelque chose encore pire qui arrivera pour remplacer cet échec monumental. Je me rappelle encore les sbires de la cour des hiboux que nous avons pu éliminer alors qu’elle se pensait intouchable. Est-ce leur extinction qui a ouvert la voie vers la ville prison? Difficile de savoir. Les justiciers y sont probablement aussi pour quelque chose dans toutes cette histoire.
-''Je suis toutefois curieux de savoir comment vous allez procéder pour… ‘’régulariser ma situation’’, comme vous dites. ''
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