• Type de RP : Duo de choc !
  
• Date du RP : 19/11/2018
  
• Participants: E.Nygma, A.Wesker
  
• Trigger warning: Métaphysique, dystopie
  
• Résumé: Discussion entre deux aliénés pour une possible association dans une thérapie de groupe.
  

L'institution d'Arkham, n'est ce pas la perle de Gotham City?

Institué par la famille Arkham et une suite de partenaire expert en psychiatrie, afin de soigner nos chers concitoyens des maladies mentales?

Où bien devrais t'on dire des citoyens trop con pour pouvoir se gérer eux-mêmes ?

Mais quel est le malaise, cette sensation pénible dans notre ville pour que la société civile se donne cette autorité ou cette responsabilité de vouloir soigner des individus qui ne corresponds pas à leur norme de civilité ou d'éducation. La vérité est peut être ailleurs...

Du point de vue d'Edward est son super intellect, ce ne sont pas les patients du dedans qui sont en tords, mais ceux de dehors. Oui certes, il y a des débiles à l'asile, mais plus encore à l'extérieur. Combien y a t-il de droguer, de sans-abris, de dégénéré qui déambule comme des zombies dans les rues de Gotham, sans but, si ce n'est d'escroquer et de profiter des autres.

Ici dans l'institution d'Arkham on y trouve les cerveaux les plus brillants, les plus originaux qui soit, mais malgré cela reste une prison. Non pour les corps physique, comme le pénitencier de BlackGate, mais une prison mental, pour enfermer nos esprits. Batman est sa clique de détective en colant en sont parfaitement conscients.

Ce qui est plus terrible encore, c'est de ne plus avoir la capacité d'utiliser ses neurones. Jour après jour, les infirmiers passe dans chaque cellule pour nous forcer à prendre des médocs de toute sorte. On perds littéralement le sens des réalités, si ce n'est qu'un rappel avec une séance de thérapie. Malgré les coupures de courant et la guerre qui fait rage à l'extérieur, le système reste plus ou moins fonctionnel sur l'île.

C'est à ce jour qu'un nouveau groupe de thérapie a lieu, comme une association d'alcoolique anonyme dans une salle sécurisé. Il n'y a qu'une fenêtre avec des barreaux qui donne une vue vers l'extérieur. Aujourd'hui il fait beau est le ciel est clair. On y entends les oiseaux chanter leur liberté. Frustration pour nous quand y pense.  Tous les patients sont assis en cercle comme sur une table ronde, avec leur tenue numéroté. Le chef de la séance s'appelle Dr Roy Westerman. Un homme d'une quarantaine, bien bâtit, bien diplômé qui est typique le disciple Freudien. Il est en charge des dossiers médicaux et des interviews.

Dr Roy Westerman : "Bien le bonjour messieurs, dames, comment allez vous aujourd'hui ? Monsieur Wesker, Monsieur Nashton, Mademoiselle Walker, Madame Dujardin, Monsieur Smiths, Monsieur Brown."

Tout le monde marmonnent, certains se plaignent pour des broutilles de leur traitements, des petites plainte de santé ou du comportement infantile des camarades. Quand à Edward Nygma, il ne prend même pas la peine de répondre et laisse son regards fixé sur son cube magique. Puis il y'en a un qui regarde en direction d'Arnold Wesker.

Smith un soixantenaire chauve et gras se lève est hurle d'hystérie : " Docteur Docteur, pourquoi lui il a le droit d'emmener sa marionnette dans la séance !!! Moi aussi j'ai le droit d'emmener mon Chipo Carlo !!!"

Dr Roy Westerman : " On se détends Monsieur Smith, votre Chipo Carlo comme vous dites est une tronconneuse electrique qui n'est pas autorisé dans l'établissement. De plus, c'est une pièce à conviction scellé par le procureur pour le meurtre de votre fils. Vous voulez bien nous en parler?"

Smith : " NON MON FILS N'EST PAS MORT, VOUS EMPECHEZ DE ME RENDE MON FILS CHIPO CARLO ! ALORS POURQUOI WESKER A LE DROIT A SA MARIONNETTE !!! CHIPOOO CHIPOOO CARLOOOOO"

Le patient commence à s'agiter et à péter les plombs.  Soudain deux infirmiers gros bras, l'attrape par les épaules et lui force à prendre un vaccin pour le calmer. Le psychiatre reste impassible, car après tout c'est son métier. Il se tourne vers Arnold Wesker et lui pose la question en le regardant dans les yeux.

Dr Roy Westerman : " Comment allez vous Monsieur Wesker? Désolé pour cet incident, vous êtes libre de vous exprimer au cercle."