Glock 19 et Desert Eagle. Diane aimait la simplicité de l’un et ne supportait pas l’absurdité de l’autre. L’un était une des armes à feu les plus basiques au monde l’autre… L’autre était une aberration. Mais elle reconnaissait au moins au Desert Eagle son utilité pour s'entraîner à gérer le recul. Car cette aberration en avait du recul. Premier chargeur vidée avec le glock, éjecté, récupéré et rangé. Second chargeur saisit, rentré puis de nouveau tiré. Arme rangé au holster avec sécurité remise. Desert Eagle sorti et saisit. Premier chargeur vidé, éjecté, récupéré et rangé. Second chargeur saisit, elle sent la fatigue dans ses bras mais continue. Arme vidée, puis rangée au holster. Elle écrase le bouton du chronomètre. Huit seconde vingt-trois.

“Vitesse correcte. Reste à voir la précision.” Grognant à moitié, l’analyste comportementale n’était pas particulièrement satisfaite de sa performance pour l’instant. Si sa précision n’était pas exemplaire, son temps déjà moyen serait en vérité catastrophique. Vraiment, le Desert Eagle était une arme stupide uniquement destiné au plaisir du champ de tir. Elle restait une femme aux gouts simples et classiques, rien ne valait les pistolets de calibre lourd de Smith et Wesson pour elle. Clint Eastwood dans le rôle de l’inspecteur Harry était un argument suffisant à lui tout seul, démontrant la supériorité de Smith et Wesson face Magnum. Juste Clint Eastwood.

Enfin, inutile pour elle de se perdre plus longtemps dans ses réflexions. Va vraiment falloir que t'arrête de t’entrainer avec cette arme à la con ma grande. Tu tournes en boucle sur la même remarque à chaque fois. S’assurant que personne n’était en train de tirer, elle s’avança sur le champ de tir. Jetant un coup d'œil aux impacts de balle sur sa cible, elle fut satisfaite, elle n’avait rien à redire sur sa précision. A la fois, à moins de cinquante mètres, même avec une arme de poing elle ne risquait pas de louper une cible même dans la tête. “Aller, ramassons les balles qui trainent.” Se saisissant d’un sceau, elle déposa chaque balle et chaque douille avec minutie. Trente douilles et balle de 9 mm, dix-huit de 44 magnum pour elle. Les éternels restes que d’autre policier avaient oublier de récupérer et, un duo de balle et de douille de…

Voilà un calibre qu’elle ne connaissait pas. Pourtant elle estimait pouvoir reconnaître le type de munition utilisé même avec de la fabrication artisanale. Quittant le pas de tir elle sortit sa cigarette électronique, préférant éviter de laisser de la fumée de tabac en intérieur. Longue inspiration le temps que la nicotine se libère dans son organisme alors qu’elle s’asseyait. Observant avec concentration le reste de munitions, elle était encore plus perplexe. La fabrication n’était clairement pas artisanale, trop précise et nette. Elle même avait pris l’habitude de fabriquer ses propres munitions en dehors du travail afin d’être sûre de ne pas pouvoir être pistée grâce à cela. Et, malgré ses exigences, elle n’atteindrai jamais un tel degré de perfection.

Bien évidemment, aucune inscription ou moyen de suivi, la munition était vierge. Qui aurait pu utiliser ce type de munition… En toute logique, ses soupçons se seraient portés sur elle-même. Étrangement lorsqu’elle était en mission pour Waller les munitions qui lui étaient fournies étaient sur-mesure. Non, il n’y avait rien d’étrange à cela. Et la qualité de cette munition était du même calibre que ce qu’elle attendait du matériel d’ARGUS. Définitivement du matériel de grade militaire. Et vu qu’il ne s’agissait pas d’elle… La liste probable de suspects se réduisit avec aisance et, elle ne put s'empêcher de pousser un long soupir. “Shepard.”

Difficile de le louper vu la manière dont il évoluait dans le commissariat. Un militaire officiellement affilié au GCPD quasiment toujours avec une armure de combat. Trop de technologie à son goût, rien ne valait jamais mieux que la bonne vieille mécanique. Sans électronique. Lorsqu’elle avait communiqué avec Waller au sujet de lui, la réponse avait été simple. Task Force X. Pas besoin de fouiller plus que nécessaire. Aller dans la direction qu’on lui pointait, pas ailleurs. Et en parlant du loup… “Hey Bradley! Thé ou café?” N’attendant pas sa réponse, elle partait déjà à la machine à café.

Elle ne se lassait jamais de cette méthode. Boire quelque chose avec les collègues rendait toujours les discussions plus tranquilles, moins formelles. Et avec moins de formalités venaient plus d’ouvertures. Si elle ne devait pas fouiller, rien ne lui interdisait d’établir de bonne relations non? Elle revint un instant plus tard, un café dans une main et un thé dans l’autre, sachets de sucre entre les doigts. Et bien évidemment une paille vu la situation dans laquelle il était. “J’te laisse faire ton choix avant que je fasse mon emmerdeuse curieuse.” Sourire amical alors qu’elle même n’était pas en uniforme étant donné qu’elle n’était plus en service.

Les samedi au GCPD Bradley n'était pas de service mais il les métait a profit pour se faire une journée entraineemnt dans le stand de tir tôt le matin avant de filer à la salle de muscu du commissariat. cette fois encore il fit un bon carton au calibre Gauss C14 son fidèle fusils il y en eut  1000 fabriqué comme celui là, mais CE Gauss C14 était le siens. ainsi que son autre fidèle compagnon son minigun "PowerDrench "ou "beau parleur" comme le surnomais afectuerusement Bradley. malheureusement son minigun était toujours à l'hotel enfermé dans son coffre blindé attendant que Bradley trouve un champr de tir adapter pour le faire "parler". Il l'aurait bien ammené au champ de tir du GCPD mais les stalle n'était pas adapté (et les cibles bien trop fragile pour un faiseur de gros trous de ce calibre ).

Quoi qu'il en soit c'est en armure Gauss C14 sur le dos Que Bradley remontait de la salle de muscu du GCPD après une bonne séance d'entraienement armuré et les plus gros haltères bien trop légers pour lui, que Bradley tomba au détour d'un couloir sur une colègue non en service également ce samedi. Bradley la connaissait quasi que de vue, mais cette dernière à la chevelure de neige, lui rpoposa d'emblé du café ou du thé. Et sans laisser à Bradley de finir son cous amical du gantelet qu'elle alla et revint de al machine a café avec une tase de café, du sucre, du thé et ... une paille.

Une petite attention a laquelle Bradley sourit sous son casque et leva un pouce de son gantelet droit, avant de lui répondre.

"Salutation civile et merci beaucoup je prendrait le thé sans sucre, avec une paille "

Lui répondit Bradley, prenant délicatement entre deux doigts la paille et la tasse de thé si gentiment proposé. Puis considérent qu'elle lui avait laissé entendre qu'elle serait curieuse de lui poser quelque questions Braldey enchaina.

" Que souhaite tu savoir cher colègue et en quoi puis je te porter assistance, ? "

répondit Bradley sur le ton de al conversation en toute cordialité, tout ne entrebaillant sa visière de moins d'un demi centimetre et y insérant la paille dan ssa bouche affin de commencer a boire le thé

Elle percevait déjà au moins une utilité à cette armure. Une utilité qui avait de quoi lui faire lever les yeux au ciel intérieurement. Difficile de lire quoi que ce soit quant à ses expressions corporelles ou faciales.  Soit, il restait humain cependant. Et en tant que nouvelle égérie du Gotham Celebrity Magazine, ce qu’elle avait pu lire de lui était plutôt positif. A moins que, comme elle, il ne porte un masque. Que le sympathique Bradley Shepard soit  en vérité un militaire implacable et de sang froid qui exécuterai les ordre qu’on lui donnait. Probable si il était membre de la Task Force X. Diane avait du mal à imaginer Waller exploiter les bons samaritains. Ceux ci avaient tendance à trop contester les ordres après tout.

Après lui avoir donné son thé, elle bu elle même une gorgée de café, délaissant le sucre comme son collègue, toujours un sourire amical sur le visage. “C’est simple, c’est ces munitions.” Elle fit passer entre ses doigts la douille qui, venait probablement de l’arme de Bradley. “J’avouerais que je suis particulièrement curieuse du type d’armement qui va avec vu leur nature non réglementaire. J’ai supposé que ça devait venir de ton matos vu que, t’es à peu près le seul que j’imagine se retrouver avec de l’armement… non régulé?” A la fois, difficile de réguler un ensemble qui avait probablement coûté un demi-million de dollar à lui tout seul. Elle avait déjà été confrontée à ce genre de matériel pour ARGUS après tout.

Son avis ne changerait jamais, trop de dépenses inutiles si cela devait sortir du simple statut de prototype. Mais difficile de critiquer Bradley sur ce point. Il était comme elle, un simple exécutant obéissant aux ordres. Le job des soldats même si, elle n’en était techniquement plus une. “Après, me dit pas que je me suis trompée, puisque sinon je vais me sentir vraiment stupide.” Sourire léger et désinvolte sur ces paroles suivit d’une nouvelle gorgée de café. “J’avouerai que tout ce matos intrigue l’ex-militaire que j’ai été.” Car à présent, elle était un agent gouvernemental non? Un agent en infiltration dans… la police américaine de Gotham. Avec cette formulation difficile de ne pas sourire à l’ironie de la situation dans laquelle elle se trouvait au final.

Quand Bradley eut terminé sa gorgée ou plutôt son aspiration a la paille de thé la dame en face de lui dont l'interface de la visière lui disait qu'il s'agissait de Diane C. Asthon. Cette dernière, lui montra une douille qu'il reconnaissait comme étan tl'une des sienne une 8mm X6.5 calibre Gauss C14 dont il avait reçu trois pleine caisse en début de semaine. le sourire de Diane était charment et comunicatif sauf que Bradley ne pouvait pas le montrer hélas.

Quoi qu'il en soit, c'est d'un ton enjoué et tout en cordialité et bienveillance que Bradley répondit à Diane.

"Affirmatif c'est bien l'une des douilles de smunitions que j'utilise. Je pensait les avoir toutes ramassé mais visiblement j'en ai oublié une. Quand à l'arme eh bien autant te la montrer."

dit Braldey en décrochant de son dos son fusil Gauss c14 et le montrant a diane tout en poursuivant comme un grand enfant heureux de montrer ses "jouets" a une bonne pote.

"fusil de combat Gauss C14, à visé asisté et propulsion mangétique, 30 tir par secondes mais on peut le régler en mode courte rafales, ou une balle a la fois. on peut utiliser plusieur type de munition dedans les standard du gcpd voir du commerce comme les spéciales que tu tient en main, que me fournit l'état major. celles ci précisément sont des X6.5 de 8mm spécialement conçue pour le Gauss C14 affin d'en exploiter au mieux les capacités. Je les ait reçue cette semaine et vient de les tester ce matin, elle font de beau trous"

Remettant par la suite son fusil sur son dos (grace aux aiment dans le fusil et le dos de l'armure qui le maintenait en place ). Bradley interogeat a son tour Diane.

"Dit moi Dianne, qu'elle armes utilise tu de ton coté et dans quelle unité était tu dans l'armée j'y connait peut être du monde qui sait. sinon je coirs que c'est a peut près la première fois qu'on se parle vraiment tu fait quoi de beau dan sle GCPD ? "

Termina Braldey en levant le pouce de son gantelet droit, pour lui transmettre son sourire amical qu'elle ne pouvait pas voir derière sa visière sous le casque .

Elle avait beau être de la vieille école en terme d’armement, difficile de nier que le fusil que Bradley lui montrait était un sacré jouet. Qui plus est quand au nom… Gauss… Elle fronça les sourcils un instant, réfléchissant. Mais oui! L’arme était-elle un fusil à canon magnétique? Si oui, il s’agissait là d'un petit bijou technologique. Partagée entre la curiosité et le respect des secrets d'État, elle hésita un instant avant de demander s’il s’agissait bien de ce qu’elle pensait. “Effectivement, sacré jouet! Je me serais pas attendu à autant de versatilité de base.” Mais après tout, s’il s’agissait bel et bien de ce qu’elle supposait, il n’y avait rien de trop choquant à ce que l’arme puisse exploiter divers types de munitions sans avoir à changer le canon à chaque fois. “Et tu m’étonnes que ça fasse de jolis trous.” Non vraiment, elle préférait ne pas se retrouver du mauvais côté du canon de ce fusil. Là où se retrouver du mauvais côté d’un 9mm classique ne l’aurait pas inquiétée le moins du monde.

Ses questions la firent sourire. Toujours cette même curiosité de soldat. Elle même ne valait pas mieux et, lorsqu’elle rencontrait un militaire se posait les mêmes questions. “La question serait plutôt, quelle arme plus ou moins conventionnelle je préfère. A courte portée j’opterais pour un bon vieux Smith & Wesson 500. A moyenne portée, l’éternel M16 A4 même si un M4 se défend mieux quand il est question de faire du CQB. Et enfin pour mon préféré, à longue distance je resterai  sur un MCMillan TAC-50.” Les choix classiques d’un soldat régulier, elle n’était pas dans l’originalité. Mais si elle avait appris quelque chose, c’était que cette absence d’originalité était pratique. Surtout quand on était comme elle une des premières femmes à avoir rejoint les Seals et, qu’on avait ses cheveux et ses yeux. Des armes communes voulaient dire des munitions et des pièces facilement trouvables. Et qui disait facilement trouvable disait facilement bricolable. Simplicité, efficacité, adaptabilité et durabilité. A l'exception du Smith & Wesson mais, c'était la une préférence personnelle basé sur la pure performance de l'arme.

“Mon truc c’est le tir de précision.” De ça, elle pouvait en tirer une certaine fierté même si, elle prenait garde et se préservait du péché d'hubris. “Mon record personnel est à 2800 mètres et quelque pour une cible abattue.” Officiellement tout du moins. Depuis qu’elle avait rejoint ARGUS son record fiable avait facilement augmenté de 500 mètres. Alors qu’elle était en position défavorable. Mais sa spécialité était les tirs complexes après tout. Ceux que les individus censés ne tentaient pas.

“Quand à l’unité dont j’ai fait partie…" Elle releva la manche gauche de son bras révélant quelques tatouages mais en désignant un précis. L’aigle au trident des Seals. Ou le Budweiser comme ils aimaient bien l’appeler. “Equipe six des Navy Seals, j’étais franc-tireuse la bas.” Elle fit descendre son bras un peu plus bas, montrant un simple pavillon à tête de mort. “J’étais membre du Blue Squadron, les pirates comme on aime bien s’appeler.” Elle se garda de préciser qu’en vérité, en tant que tireuse embusquée, elle avait appartenu au Black Squadron. L’équipe six avait après tout déjà un statut particulier au sein des Seals mais, marquer son appartenance au groupe des spécialistes en renseignement et reconnaissance aurait pu lui valoir des problèmes. Son dossier militaire n’était pas scellé par hasard après tout.

“Et, histoire de satisfaire ma curiosité jusqu’au bout… Je pourrais tester ton bébé?” Elle doutait de vraiment être efficace avec une arme du calibre de celle de Bradley. Après tout, l’arme était sans le moindre adapté à son utilisation avec l’armure qu’il possédait.

Ainsi les armes qu'utilisait Diane était comme elle le disait un choix clasique et somme toute efficace dan sal disponibilité des cartouches et autres nécéssité à leur utilisitation. Si de prime abord Diane avait parue un peut interogative et sur ses gardes. Elle lui paraissait maintenant un peut plus acessible et assez honête dan sses réponses. Du moins elle ne paraissait rien cacher ou mentir A Bradley.

Après mention de ses armes, Diane répondit que sa spécialité c'était le tir de précision anonçant un record de tir a distance de 2800 mètre de prime abord cette ifnormation pouvait paraitre éroné et une belle vantardise mais Bradley en regardant mieux Diane à cet instant il n'avait pas de mal à la croire. ce qui lui fit poussser un siflement admiratif sous son casque en même temps qu'un pouce levée de félicitation.

Puis à la queqstion de Bradley qui était de savoir dans quelle branche de l'armée avait été. Et quand elle lui répondit elle lui montra sur son avant bras le tatouage d'aigle des Navy Seals. voilà qui n'était pas rien précisant aussi l'equipe dont elle faisait parti les Blue Squadron, la mémoire de Bradley lui faisait un epu défaut concernant les navy Seals et leur équipe interne mais il lui semblait bien que c'était une équipe délite dans les avant troupe des Navy Seals ou bien était ce pour luter contre les grand criminels ou encore teroristes. Taisant son trou de mémoire et son petit doute Bradley hocha du casque en direction de Diane dans un geste de félicitation d'un soldat qui s'y connait.

Pour terminer, Diane exprima son désir curieux de tester le Gauss C14, de Bradley, en temps normal et pour n'iomporte qui d'autre Bradley aurait refusé catégoriquement mais ce n'ets pas tout le sjours qu'on croise une confrère de l'armé des navy Seals (même si elel n'en faisait plus partie officielement ), et puis la curisoité aidant de la voir se dépatouiller avec el Gauss C14 couplé au fait qu'il n'y aurait probalement pas grand monde au champs de tir ce samedi matin. Poussa Bradley a accepter la proposition, aussi lui répondit t'il.

"Daccord Diane, normalement je refuserait mais pour une conseour de l'armé tireuse longue distance je ferait une exception. Par contre tu n'aura pas la visée assisté elle n'est que dans la visière de l'armure, de plus je préfère remettre des munitions ordinaire avant que tu ne tire avec on ne sait jamais. Le gauss
C14 est conçue pour être utilisé avec l'armure de combat CMC que je porte, il sera sans doute encombrant et un peut lourd aussi n'hesite pas a prendre ton temps pour l'apréhender avant de tirer avec. Et je reste avec toi pendant le tir bien sur.

De mon coté je ne dirait pas non a tenter de tirer avec tes armes affin de voir si je ne suis pas trop rouillé avec. Sinon de mon coté je suis dan sles forces spéciales catégorie intervention musclé et au besoin démolition. Mon affectation à Gotham pour renforcer le GCPD fut une surprise que je ne regrette absolument pas. Ici je me sens plus proche des civil et de pouvoir leur venir en aide directement. "

Termina Bradley commençant a reprendre tranquilement le chemin du champ de tir.

Bradley fut suffisamment sympathique pour accepter que Diane puisse essayer de tirer avec le fusil Gauss. Elle apprécia d’ailleurs sa prudence. Il avait raison, mieux valait qu’elle ne tire qu’avec les munitions normales. Même en restant prudent, il n’était pas nécessaire de prendre de risque inutile. Non pas qu’elle soit tentée de tirer en automatique avec l’arme, l’idée lui semblait plus que mauvaise. Même avec tous les compensateurs de recul possible, ne serait-ce que le poids probable du fusil pouvait être un problème. Elle ne s’attendait pas non plus à être vraiment efficace avec. Si la majeure partie des armes conventionnelles n’avaient guère de secret pour la franc-tireuse, lorsqu’il était question de partir dans un armement expérimental son expertise chutait drastiquement.

Elle lui emboita le pas. “C’est sympa de ta part. Et rassure toi, je n’ai pas pour projet de tirer comme un sourde.” Non, c’était une mauvaise idée. Surtout qu’effectivement, elle ne bénéficierait pas de tous les atouts de l’armure. Tant mieux, trop de technologie à son gout. “Et tu fais bien, pas besoin de jouer avec des munitions de gros calibre sur une arme que je ne maîtrise pas. Et c’est pas un problème pour l’absence de visée assistée. Je reste old school sur ce point.” De la poudre et de la mécanique, elle n’avait besoin que de ça. Elle percevait la technologie comme un piège, héritage de ses parents à l’égard duquel elle n’avait rien à redire. Après tout, elle avait quelque chose qui se rapprochait presque d’un don quand il était question de manier une arme à feu. Même si elle restait encore dans le domaine humain.

Une fois qu’il furent arrivés sur le champ de tir, Bradley lui remit alors l’arme. Effectivement, celle ci pesait son poids. Face au cibles, elle se mit en position de tir, alternant simplement entre une posture avec l’arme à gauche et à droite. De quoi s’habituer au fusil, à ses formes et son poids. Non, elle ne pourrait jamais utiliser l’arme efficacement, rien que le rapport entre son poids et sa taille rendait la chose impossible. A la limite en position allongée ou avec un trépied mais dans ce cas… à quoi utiliser une arme comme celle ci. “Effectivement, c’est vraiment pas fait pour être manié sans ton armure.” Non pas que cela l'empêcherait d’être capable d’avoir un minimum de précision. Posant le fusil avec attention, elle lui tendit alors son Smith & Wesson 500. "Bon, c'est moins impressionant que ton Gauss mais, hésites pas à tirer avec si ça te tente. Et si un jour ça te tente, on pourra faire un peu de tir dans un club ou je vais. Par contre c'est à une bonne demi-heure de route de Gotham mais, ils ont l'avantage d'avoir un vrai champ de tir ou on peu s'amuser. Puis c'est le seul endroit ou je peux faire du tir de précision à longue distance."

Elle se positionna alors véritablement pour tirer. Il lui faudrait faire quelques premiers tirs de test, le fusil n’ayant pas de mire. A l’instant ou elle était en position de tir, l’attitude détendue qu’elle avait précédemment disparu. Comme si elle avait toujours été sérieuse, prête à tuer. Un premier tir. Vingt centimètres en dessous du centre de la cible. Un second tir. Douze centimètre au dessus. Elle n’avait pas besoin de se rapprocher pour le voir précisément, elle connaissait parfaitement les cibles de tir, leur surface, leur structure visuelle. Deux autres tirs, un peu plus proche. Elle prit cette fois une inspiration profonde, retenant une seconde son souffle avant d’expirer lentement et calmement. Son doigt pressa la détente. Le canon rugit de nouveau et cette fois, le tir est presque parfait.

Non. Elle n’irait pas jouer avec le mode semi-automatique. Si le tir automatique avait été dès le début hors de question, elle retirait aussi l’option semi automatique de sa tête. Trop de risques inutiles. Elle se redressa alors, l’atmosphère presque sinistre qu’elle avait en se concentrant disparaissant par la même occasion. De nouveau l’attitude sereine et désinvolte repris le dessus. “Nan, aussi sympa que ça puisse être… c’est pas mon genre d’arme, j’suis pas adaptée à ça. Entre le poids et le recul, hors de question que j’essaie de tirer ne serait-ce qu’en semi automatique… Mais effectivement, sacré bestiau.”

Elle sorti sa cigarette électronique, en prenant une bouffée. “Quand à c’que tu disais tout à l’heure sur le GCPD… Je partage ton avis. J’ai plus l’impression d’être utile ici qu’en abattant des cibles au fin fond du désert.” Ses actions en tant que flic étaient plus tangibles que ce qu’elle faisait chez les Seals. Même si, elle préférait en vérité ces missions de traque. Que ce soit pour l’armée ou bien pour ARGUS. Après tout, elle était une chasseuse et une combattante avant d’être policière.

Diane parraissait décidément de plus en plus sympathique aux yeux (sous casque) de Braldey, et c'est d'un pas armuré léger qu'il retourna sur le champ de tir. chemin faisant il évaluait de vissu les msucles de Diane tel un coach sportif non pas pour lui reprocher quoi que se soit mais pour tenter d'estimer la force et endurance dont elel était capable. Puis de comparer à la force et endurance requise pour manier le gauss c14 sans l'armure, et sans la taille requise. (le gaussc14 étant proportioné pour les personens en armure de minimum 2m05 de haut )

C'est avec un certain amusement de grand enfant que Bradley imaginait Diane ne pas y arriver, bien que consiamment il espérait qu'elle réussise et dan stous les cas curieux de savoir si une personen exterieure a son unité pourait manier le GaussC14 avec précision pour toucher une cible de manière correcte. Chemin faisant Diane le remercia de la laisser essayer de même que l'approuver de sa prudence. Bradley lui répondit enjoué du tac au tac sr le ton de la conversation.

"Pas de soucis moi même je préfère le tir à la traditionelle en visant san sassistance et faire appel à mon experience et compétence sur ce point bien qu'en condition extrème et dificile j'utilise l'assistance je dois bien l'avouer. "

Arrivé sur le chmaps de tir Bradley remit le Gauss C14 avec le sourire a dianne tout ne gardant la visière sur elle, a la fois pour qu'il ne lui arrive rien et pour qu'il n'arrive rien non plus a son arme. de son coté Diane passa à Bradley son Smith & Wesson 500, lui disant qu'il pouvait tirer avec de même que lui porposer de se rendre à un champ de tir de sa connaissance en dehros de Gotham

Ce à quoi Bradley, ne put que répondre a vec enthousiaste levant son pouce d'approbation et un sourire invisible sous son casque en direction de diane tout en lui disant.

"Ah ça je susi partant, ça fait un moment que je cherche un champ de tir pour tirer avec mon powerdrench en plus du gauss et si de plus je peut le faire acompagné du'une sympathique colègue et conseur de l'amré je signe de suite haha "  

regardant Diane très professionelle avec son Gauss C14 c'est rassur que Bradley alla dan sla stale d'a coté pour tirer avec le révolver S&W 500 de Diane. manier de petite arme de la sorte ramenait Bradley des anées ne arière a ses début dan sl'armé et les forces spéciale époque ou il ne faisait que 1m82 et 75 kgs avant son injection et sa transformation le privan tde la lumière du soleil sur sa peua cel alui inspira une petite larme de nostalgie brève.

sa grande taille et les gantelet ne lui permetait pas d'utiliser le révolver en condition normale aussi c'est avec le petit doigt de son gantelet droit qu'il appuya sur la gachette tout en tenant délicatement l'amre entre deux de ses doigrts du gantelet gauche tel un pièce ancièen et précieuse.

cette position de tir peu comune permit a Bradley de tirer trois coups dans le bord et le myen milieu de la cible sans pour autant toucher le centre. Bref des tirs corects mais imparfait de plus le fait de tenir l'amre de cette façon seulel façon pour bradley de s'en servir ralentissa considérablement son temps de visé.

Conclusion les révolver a moins d'être modifié et agrandit pour ses gantelet n'était plus pour lui, cependant il était heureux d'avoir put tirer avec et voir qu'il pouvait encore bien tirer avec.

se retirant de la stale ou il était il attendit que Diane est terminé de son coté pour lui remetre son arme. elle ne tarda pas et dit à Bradley que le gauss C14 n'était pas pour elle bien qu'elel lui reconu que se soit une beau "jouet". Enfin elel sorti un cigareete éléctronique qu'elel commença a fumer et lui dit qu'elle partageait son avis sur le GCPD.

Bradley ne savait que penser d'elle a la fois soldat et rebelel et grande tireuse et colègue sympa Bradley lui dit sur le ton de la conversation amicale.

"les cigaretes electrnique y en a qui aime mais mois je rste fidèle au bon cigares surtout les havanes hélas interdit dan sle pays. SI tu souhaite faire autre chose ou me demander quoi que soit y apa de preblème je suis pas de service aujourd'hui. de ton coté au GCPD tu est sur quel genr de poste dan sle comaissariat et affaires ? "  

termina Bradley curieux d'en savoir plus sur DIane une fois arrivé au commisariat.

Voir Bradley tirer avec son Smith 1 Wesson était quelque chose de particulier. A cause de l’armure il était complexe pour lui d’utiliser correctement le pistolet. Et, s’il n’avait pas agit avec prudence et sans la dite armure elle lui aurait arracher l’arme des mains. Car tirer avec le petit doigt… Elle aurait très probablement effectuer un tel tir tout en restant efficace mais, il s’agissait là de sa spécialité. Les tirs anormaux. Mais même ainsi elle se serait brisé le petit doigt face à la puissance du recul d’une arme comme son revolver. Mais si son collègue n’était aps un tireur d’élite, il avait pour lui son armure et, à voir son bras qui ne bougea pas alors qu’il tirait… clairement il n’avait pas subit le moindre inconvénient à cause du recul de l’arme.

“J’ai un peu ce problème aussi même si, dans une autre mesure.” Aucun stand de tir de Gotham ne lui permettait de s’exercer correctement au tir de précision après tout. Pour se maintenir à niveau, il lui était nécessaire de s'entraîner régulièrement sur des cibles à deux kilomètres et deux kilomètres cinq. C’était le seul moyen de continuer à défier ce qui était considéré comme la norme effective d’un kilomètre huit du TAC-50. Et aussi la raison pour laquelle elle n’avait jamais abattu un criminel à plus de mille cinq cent mètres lors de ses activités en dehors du travail à Gotham. Si elle se mettait à abattre de cibles à une telle distance, certains regards allaient se tourner vers elle. Après tout les tireurs d’élites identifiés ne courraient pas les rues à Gotham. “J’ai l’habitude d’aller tirer la bas au moins un après-midi par Week-End donc, je te préviens la prochaine fois que j’y vais. Puis le patron a tendance à ne pas être trop regardant avec les militaires ou anciens militaire, lui même ayant fait l’armée.”

C’était un atout de tout soldat. Les autres, ceux qui avaient été soldats ou qui l’étaient. Les bons mots, les bons proverbes et le respect. Malgré les rivalités au sein de l’armée, il y avait cette éternelle fraternité. Soldat un jour, soldat toujours. Elle même n’avait pas pu résister à l’appel du devoir lorsque celui-ci s'était présenté à sa porte suite à son départ de l’armée. “Mais je comprends pour les cigares. La cigarette électronique c’est surtout pour éviter de trop fumer de tabac. Même si de temps en temps un bon cigare avec un bon whisky reste un vrai. Et si ça te tente à l’occasion, j’ai un ancien frère d’arme qui peut se procurer des havanes. Et si c’est pas forcément légal mais, c’est pas non plus illégal.” S’arranger avec la loi lorsque celle ci ne faisait pas sens. C’était une habitude sur les petits détails comme le cas des cigares cubains. Mais heureusement, les nuances de la législation permettaient de s’arranger quand on connaissait les bonnes personnes. Puis c’était un bon moyen d’améliorer sa relation avec le militaire.

Nouvelle bouffée prise sur la cigarette électronique. Toujours le sourire aux lèvres. "Ça peut paraître surprenant mais, je suis analyste comportemental en vérité. Même si pour l’instant je passe le plus clair de mon temps sur le terrain lors de mes heures de travail.” Elle ne comptait pas toutes les autres heures passées au GCPD dans les archives à étudier les profils psychiatriques et psychologiques des criminels de Gotham. Mettre en place une carte comportementale des criminels de la ville qui pourrait être utilisée par tous les membres de la police. “Gotham est particulière comme ville, je peux pas me permettre de me la jouer psy sur d’elle. La plupart qui l’ont fait ont plutôt mal fini. Et je vaux mieux que ça.” Elle valait mieux que ses prédécesseurs pour une raison simple, elle était détachée de tout.

la discusion avec DIane était des plus chamrente pour Bradley non seulement il avait put tester son SMith & Wetson mais de surcroit elel lui indiqua un stand de tir ou plutôt lui proposa d'aller à un stand de tir ou le gérant semlbait cool en plus d'étre lui aussi de "la grande famille" des militaires. Si Bradley avait été regardeur de ces demoiselle il aurait put penser l'espace d'un instant que Diane espérait quelque chose de Bradley sur ce terrain là. Quoi qu'il en soit le stand de tir de diane était un bon plan que Braldey entendait bien tester, et avec un plaisir et imagination enfantine l'épater avec son minigun au dit stand de tir. il leur faudrait au minimum des manequin d'entrainement de football us pour faire des cible pour le minigun celel en carton et papier étant bien trop fragile et pas asser durable pour y prendre du plaisir corectement s'entrainer au tir. Bradley répondit enthousiaste à Diane

"Je signe direct on y va des que possible "

Tout en levant son pouce droit d'approbation en sa direction. la séance de tir se terminant Bradley évoqua sa passion pour les havanes. A cette évocation Diane informa Bradley qu'elle aussi appréciait de temps a autre un bon cigare et que in fine elle avait un contact pour se procuer des havanes en temps normal Bradley refuserait mais comme un petit enfant tenté par ses friandises préféré il eut un tremblement de gourmandise et un ton equivoque quan dil luii répondit

"Et humm ton frère d'arme a une oficine dans le coin a quelles heures ouvre il ... juste a titre finormatif bien sur "

dit Bradley tentant sur la fin de sa phrase de reprendre son ton martial neutre habituel.
Enfin Diane informa Bradley qu'elel avait le role d'analyste comportemental dan sle GCPD, et qu'elle souhaitait pas se la jouer psy perso dans une ville a la faune criminel et féllé si particulière qu'est Gotham. Ce à quoi Bradley lui répondit.

"La dessus je suis daccord avec toi Gotham a une criminalité très particulière qu'on ne peut pas aborder san sprécautions et prudence. De mon coté je crains que pour le moment de n'être que simple officier en bin^me a faire des patruilles en voiture haha."

“Hey, ça reste important les patrouilles.” Après tout, c’était le meilleurs moyen pour un flic du GCPD d’apprendre à connaître la ville. “Puis c’est plus divertissant que la paperasse.” Ou tout du moins, les patrouilles étaient moins fastidieuses. A force d’être le nez dans les papiers Diane avait finit par investir dans des lunettes de repos. Pour une tireuse de précision comme elle, hors de question de risquer que sa vue diminue.

“Quand à mon frère d’arme, je t’enverrais l’adresse de la cave à cigare qu’il tient ainsi que ses horaires.” Les cigares cubains étaient interdits à l’importation aux états-unis. Ou, tout du moins, l’importation de produit venant directement de Cubas était interdite. Mais rien interdisait l’importation de produits venant de France. Il suffisait donc à son vieux camarade d’acheter des cigares par lots à un exportateur français. Rien n’interdisait la possession, l’achat et la vente de produits cubains sur le territoire américain, une légère nuance. “T’auras juste à dire que tu viens de ma part. Et pareil pour le stand de tir ou je vais, je te passerais l’adresse aussi, comme ça tu pourras y aller quand que tu veux.”

Elle s'apprêtait à rajouter quelque chose lorsque son téléphone sonna. Un coup d’oeil au nom la fit légerrement tiquer. Mam’. Ca n’était ni un des horaires fixés ni, un des jours habituels. "Excuse-moi.” Elle décrocha dans le même mouvement. “Désolée maman, je pars tout juste du boulot, je te rappelle dans dix minutes.” Elle raccrocha juste après avant de se tourner vers son collègue. “Excuse moi, j’vais devoir t’abandonner par contre, j’ai ma mère qui veut me parler. Et si j’ai bien appris une chose avec elle, c’est que j’ai pas le choix.” Elle s’était exprimé sur le ton de l’humour même si, c’était une vérité. Celle qui venait de l’appeler n’attendrai pas plus de dix minutes et, Diane avait intérêt à la rappeler.

Souhaitant une bonne journée à Bradley, elle sortit ensuite tranquillement du commissariat, enfourchant sa moto elle mit un kit main libre sur ses oreilles puis son casque. Après avoir composé un numéro sur un autre téléphone, elle fit démarrer sa moto alors que la sonnerie résonna dans ses oreilles pendant quinze secondes avant que quelqu’un ne décroche. “Vous voulez quoi Waller?”