Le patient voue une admiration sans limite au criminel connu sous le nom de Joker, il s'identifie à lui et est persuadé que le Joker est séparé en deux entités le Clown et le Comique (nous reviendrons sur ce dernier plus tard). Il est lui même persuadé d'être le Criminel. À noter que ces informations ont pu être obtenues par des méthode d'interrogatoire particulièrement intensives et coercitives. Le patient se murant dans le silence le Dr Strange a autorisé l'utilisation de drogues et d'électrochocs  afin d'obtenir un maximum d'information à l'insu du patient. Quoi qu'il en soit ce prétendu Clown est la partie du Joker que l'on pourrait définir comme celle prise par l'obsession du cirque. Le patient lui voue une admiration sans limite, il estime que le Clown est la chose la plus belle jamais produite par accident, le jour où il a appris son existence il a pensé que la nature elle même venait de le valider en tant qu'être en créant une copie de lui même, une version transcendée de ce qu'il était. Le patient affirme ici son délire et son narcisime.

Comme précisé précédemment le délire narcissique du patient est poussé ici à son comble. Il se sent si supérieur et admire tant le Joker qu'il est persuadé d'avoir lui même créé ce qu'il appelait (sous la contrainte rappelons-le) le troisième Joker. Il dit avoir reproduit les circonstances exactes de l'accident du premier Joker (enfin du second si l'on considère comme lui qu'il est le premier) et faisant ainsi il a brisé un comédien raté, faisant de lui le plus Joker des Joker. Cette invention de son esprit figure ici le côté showman du Joker.

Si tant est que le patient soit capable d'émotions on peut estimer qu'il est attaché à Punchline. Malgré tout leur relation est extrêmement déséquilibrée, en effet il l'estime un peu comme si elle était sa propriété, il éprouve de l'affection pour elle mais il considère qu'elle doit obéir. Notons ici que le patient ne connait probablement pas les réelles pathologies du vrai Joker, ce dernier ayant maintes fois montré qu'il était incapable d'un quelconque attachement à une autre personne notamment dans sa relation avec le Dr Harleen Quinzel, le patient est à des lieux de ce genre de relation.

Une fois de plus le patient diffère grandement du vrai Joker, en effet ce dernier est totalement obsédé par Batman, il cherche constamment son attention et essaye par tous les moyens de prouver qu'il est aussi fou qu'il ne l'est lui même. Le patient en revanche estime que Batman n'est qu'un obstacle entre lui et sont but, celui de semer le chaos sur Gotham. Il cherchera à le tuer par tous les moyens afin de laisser champ libre au Joker.