Sujet: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mar 1 Mar 2022 - 15:17
Nom & Prénom du Personnage : Roy Belladorya Alias : Dr Roy
Nationalité : Américaine Age : 28 ans
Métier : Médecin Légiste Groupe souhaité : GCPD
Votre but à Gotham City : Que personne d'autre n'ait à anéantir ses émotions pour vivre
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Quelle est ton expérience Jeu de Rôle ? Plus vaste qu’un joueur de barbare sur DD5. Quelle fréquence de jeu peux-tu investir sur notre forum ? Autant que peut quelqu’un qui a sa semaine de prise et les weekends libres. Es-tu un Double ou Triple compte ? Si oui celui de qui ? Je suis le double compte des fantômes des erreurs passées.
Liens éventuels de ton personnage : Les collègues du GCPD. Un agresseur qui a tout fait basculer.
Parle nous un peu de toi :
Comment nous as-tu trouvé ? Je suis un vieux fantôme
Mot de passe du règlement ? ⠉⠕⠙⠑ ⠧⠁⠇⠊⠙⠿
Votre parrain/marraine : (le parrainage est obligatoire. C'est un gros forum avec une grande communauté, et nous souhaitons que vous preniez vos marques aisément à votre arrivée. Ne remplissez pas ce champs, un modérateur le fera)
Es-tu d'accord avec les règles en vigueur sur notre forum ? Oui. Malgré le manque de goulag.
Quand les gens la regardaient, elle savait à peu près ce qu’ils voyaient. Une jolie femme bien habillée. Ils voyaient ses yeux verts et ses longs cheveux noirs, prenaient notes de la façon dont elle maintenait les plus longues mèches à l’avant par de vagues tresses fermement gardées en place par une pince. Elle savait aussi que certains s’attardaient sur sa poitrine, qu’elle ne pouvait jamais vraiment cacher malgré ses pull à col roulé. Elle attirait les regards, ne serait-ce qu'à cause de sa générosité ou encore du pendentif qui trouvait toujours le moyen de se mettre dans le champ de vision des autres.
Elle savait que le bas de son corps attirait tout autant le regard. Elle avait une allure élancée, elle avait une démarche féminine qui attirait l'œil. Elle portait des jean serrés, et même ses long manteaux ne cachaient pas à quel point son tour de taille était proportionnel au reste. Elle avait un physique séduisant aux yeux des autres. Il ne voyaient donc que ça, ne se préoccupait pas du reste. Même son teint de peau de porcelaine remplissait une ligne du cahier des charges de la femme que l’on voudrait bien avoir auprès de soi.
Personne ne se préoccupait du pourquoi elle prenait certaines décisions sur son apparence.
L’une des premières choses qu’elle avait apprises à l’orphelinat était de ne pas garder de queue de cheval, mais que les adultes voulaient que les petites filles aient les cheveux longs. Et les queues de cheval, les enfants les plus vicieux les tiraient. Alors elle avait très tôt optée pour des coiffures lui permettant de garder le visage dégagé tout en conservant sa belle longueur de cheveux. Personne n’avait envie de savoir à quel point garder ses tresses en laurier symétrique était un défi chaque matin, ni à quel point elle avait un mal-être profond quand elle devait raccourcir ses longueurs.
Personne ne s’attardait assez sur ses yeux pour remarquer leur mélancolie, leur vivacité, à quel point tant de choses se passaient derrière eux. Les yeux sont les fenêtres de l’âme, et même avec cette dernière enfermée dans un pendentif autour de son cou, ils étaient toujours une porte ouverte vers ses pensées de surface. On pouvait aisément pendant une fraction de seconde si elle avait peur, si elle était heureuse, si était en colère… La seule partie de son corps qui ne mentait jamais était bien ses deux orbes d’émeraude.
Ses lèvres, pâles et pulpeuses, mentaient. Elle ne souriait jamais vraiment, elle n’était jamais vraiment sereine. Comment pouvait-elle l’être après ce qu’il lui était arrivé, et avec un bijou enchanté qui dévorait toutes les émotions qu’elle craignait ? Elle avait souvent une crainte profonde de voir les gens se fixer sur ses lèvres, comme s’ils s’apprêtaient à les dévorer. Comme après la nuit dont elle ne se souvenait pas, se retrouvant le lendemain matin avec le goût du sang sur la langue.
Elle craignait de se retrouver encore une fois dans cette situation, et elle faisait tout pour s’en garder. Elle cachait ses formes autant qu’elle le pouvait sous ses vêtements, couvrant chaque parcelle de sa peau qui pouvait l’être, préférant les manches longues et ne laissant jamais sa nuque exposée. Ses jeans serrés n’étaient pas pour attirer l’attention du chaland, mais bien une forme de protection au vu de combien ils étaient durs à enlever, maintenus encore plus fermement en place par une ceinture. Et même en-dessous encore, il y avait ses leggings et collants qu’elle gardait même dans les vestiaires.
Elle ne voulait pas qu’on voit les cicatrices sur ses cuisses intérieures.
Elle aimait se dire qu’elle était une coquille vide, mais au fond d’elle-même elle savait que c’était un mensonge rassurant. Elle n’avait pas entièrement tué ses émotions, elles étaient toujours là et rien ne les empêcherait de naître. Son pendentif ne pouvait que s’en nourrir lorsqu’elles devenaient assez mûres pour lui, et elle craignait parfois que ce ne soit pas assez rapide. Elle avait peur de ce qu’elle pouvait ressentir, peur de l’instabilité que ses émotions lui procurent, peur qu’un jour elle ne se retrouve à nouveau avec un flux de magie hors de contrôle faisant d’elle l’épicentre de phénomènes paranormaux allant crescendo.
Cette crainte devait être irrationnelle, sûrement le fruit d’un esprit instable et violent. Qui aurait peur de ses propres émotions si ce n’est les fous et les violents ? La raison était pourtant cohérente. La magie venait du cœur, et quand le cœur était trop cabossé alors il ne fonctionnait pas comme il fallait. Celui de Belladorya était déchiré en de multiples parts, des traumatismes majeurs l’ayant lacéré et les années sans vraiment pouvoir suivre de traitements l’avaient laissé dans un état pitoyable. Elle avait mal, elle ne connaissait pas la vie sans un fond de souffrance, sans être hantée par des souvenirs qui la pesaient et l'écrasaient.
Elle ne pouvait pas voir de thérapeutes sans risquer d’exposer un secret qu’elle avait dévoilé quand elle était enfant à des gens qui se révélèrent inadéquates. Elle ne pouvait pas expliquer qu’elle était capable de violer les lois métaphysiques disant qu’un corps mort ne pouvait plus bouger, que la mort était la fin, que personne ne pouvait jouer avec. Elle ne pouvait pas parler de la façon dont enfant, sa mère l’exerçait à ramener ses poissons rouges à la vie pour lui apprendre à ne pas le faire par accident. Les souvenirs du vieux laboratoire, les aperçus fugaces des expériences qui y étaient opérées, du vieux grimoire qui lui donnait la chair de poule alors que sa mère lui disait avec le sourire qu’il lui appartiendrait.
Elle ne se voyait pas parler de l’angoisse qui naissait pour se faire dévorer par son pendentif quand elle se rendait compte qu’elle avait accepté d’ouvrir la boîte de Pandore. Une partie d’elle aimait l’aspect pratique de la magie, ce qu’elle pouvait faire avec, les informations qu’elle obtenait secrètement pour le GCPD grâce à ses talents de nécromancienne, tout comme le fait qu’il lui suffisait de claquer des doigts pour faire sa vaisselle. Mais elle se souvenait de la façon dont la santé mentale de sa mère s’était dégradée, des craintes de son père, du sang, le sang, tout le sang…
Elle avait peur de finir pleine d’ivresse de pouvoir, encore plus quand elle se rendait à quel point c’était facile pour elle. Si on rajoutait sa théorie personnelle comme quoi son don pour la magie noire venait du fait que ses parents étaient tous deux adepte de cette forme de magie, nombre de ses craintes s’en voyaient dupliquées. Même les paroles de ses mères adoptives sur le fait qu’elle était une enfant merveilleuse, et qu’elle cherchait à éviter de finir comme eux étaient des preuves que ce n’était pas son destin n’y pouvaient rien. C’était probablement la plus grande source de subsistance pour son pendentif, cette crainte de devenir accroc et de perdre le contrôle.
Elle usait ainsi de sa magie avec parcimonie, se fixant des règles claires. Faire de la domesticité avec, oui, que ce soit le ménage ou la cuisine, l’aider dans les tâches du quotidien. Lui permettre d’obtenir des informations pour les enquêtes qu’elle effectuait pour le GCPD, dans la plus grande discrétion et jamais en dérangeant l’esprit du mort. Ne jamais ramener des cadavres, sauf si elle n’avait pas d’autres choix. Ne jamais, au grand jamais, laissée sa magie tuée. Elle savait qu’elle pouvait tuer des plantes et des petits animaux avec, elle n’osait pas imaginer si jamais elle en perdait le contrôle. Bien sûr elle ne pouvait plus perdre le contrôle, pas avec son pendentif.
Ce pendentif, peut-être sa plus grande bénédiction, et malédiction. Après son agression, elle avait perdu le contrôle, elle ne ressentait que la douleur, elle ne savait plus comment chasser les idées noires. Alors elle s’était laissée tenter par le spectre de sa mère, ouvrant la boîte de Pandore et cherchant comment la magie pouvait arrêter la douleur. Et la solution était ce pendentif dans lequel elle avait enfermé son âme, connectant sa nature gloutonne à ses propres sentiments et émotions. Elle ne ressentait plus les choses aussi fortement qu’avant, elle doutait pouvoir à nouveau ressentir les choses avec la même intensité. Et c’était tant mieux, c’était son choix pour survivre.
Elle devait juste faire en sorte à ce que personne ne le prenne, et ça elle le savait. Avant de disparaître, le spectre de sa mère l’avait prévenu. Il était maintenant son cœur de pierre, et quiconque mettait la main dessus devenait métaphoriquement la personne qui détenait son cœur. Elle ne pourrait jamais dire non à celui qui le volerait, elle serait en adoration, elle serait amoureuse avec tout ce que ça implique, et même sa nature bienveillante ne pourrait pas lutter contre l’envie de faire plaisir à celui ou celle la faisant chavirer. C’était une perspective terrorisante, surtout pour elle qui n’avait jamais vraiment connu l’expérience amoureuse à son terme. Elle savait juste ce que ça faisait d’être profondément attirée sans jamais pouvoir choisir vers qui se décider, mais jamais au grand jamais elle n’avait connu plus.
Elle ne compterait jamais la nuit dont elle ne se souvenait pas, cette nuit dont le lendemain l’avait ravagé psychologiquement. C’était une des seules choses que le pendentif n’arrivait pas à entièrement avaler avec la mort de ses parents et les années d’abandons à l’orphelinat. C’était quelque chose qu’elle cachait au travail, le fait qu’elle fut une victime, et seul sa hiérarchie pouvait le savoir. Elle préférait amplement qu’on continue de la voir comme la jolie légiste très douce et gentille mais pas très à l’aise avec les gens. Elle n’avait pas envie qu’ils cette cicatrice, elle savait comment les collègues fonctionnaient et certains pouvaient même se mettre en tête d’enquêter de leur côté. Après tout, une autre victime n’était pas la même chose qu’une collègue dans cette galère.
Elle ne savait même pas comment elle réagirait si elle venait à découvrir qui lui avait fait ça. Probablement une colère intense mélangée à de la terreur, le cocktail parfait pour qu’elle perde le contrôle. Mais elle ne pouvait pas perdre le contrôle, pas avec son pendentif, pas vrai ? Elle craignait que ceci en soit la limite. Le pire scénario qu’elle pouvait imaginer, c’était si son agresseur venait à l’obtenir, faisant d’elle son jouet. Il la façonnerait encore plus qu’après cette nuit. Après tout, c’était après cette nuit qu’elle s’était mise à fuir les fêtes, les grands rassemblements, l’alcool, et tout ce qui pourrait embrumer l’esprit. C’était à cause de lui qu’elle ne pouvait plus engager de contacts physiques sauf avec ses mères adoptives, que l’idée de se faire enlacer amener la crainte de perdre les pédales, qu’elle vivait avec cette peur qui ne partait jamais.
Et pourtant elle essayait de se dire qu’elle était une coquille vide. Qu’elle ne pouvait plus ressentir grand-chose. La vérité était qu’elle avait besoin de son pendentif pour vivre aussi normalement que possible, et enfermer son âme dans un objet n’était pas sain. Plus rien n’était sain dans sa vie, sauf son éthique de travail et la raison pour laquelle elle faisait son métier. C’était bien la seule chose qui n’était régi par aucun de ses traumatismes, peu importe la psychologie de comptoir qu’on pouvait faire sur elle.
Elle voulait aider les gens, elle avait besoin de le faire. C’était dans sa nature, même enfant elle ne pouvait pas s’empêcher de prendre du temps pour les autres enfants de l’orphelinat. Bien avant que ses parents ne s’autodétruisent, elle adorait aider comme elle pouvait à la maison et la seule chose qu’elle répugnait à faire était les sessions approfondies avec sa mère. Même son choix de devenir médecin légiste venait de là, au-delà d’un petit attrait pour le morbide. C’était un métier rare, essentiel, il permettait dans un sens d’apporter un repos aux morts en expliquant une partie de ce qu’il s’était passé. Sans un corps à trouver, alors les chances de donner une conclusion à l’histoire de quelqu’un était nulle, et quelque chose en elle était torturée par ça.
Elle traitait toujours ceux sur sa table comme s’ils étaient toujours là, avec le plus grand respect. Elle faisait de son mieux pour que ses collègues fassent de même, n’hésitant pas à devenir acerbe et cinglante si on ne respectait pas cette règle en face d’elle. Elle ne s’arrêtait pas avant d’avoir des conclusions satisfaisantes à mettre dans ses rapports, et elle accompagnait aussi souvent que possible les équipes de terrains. C’était dans sa nature d’être une acharnée du travaille si elle pouvait aider, apporter du bien, et c’était cette nature acharnée qui lui avait permis d’obtenir si tôt son diplôme. Elle savait que beaucoup de collègues partageaient ça, mais elle savait aussi que d’autres étaient des pourris.
Et c’était pour ça qu’elle gardait toujours ses distances. Rien au-delà des conversations polies et courtoises, elle ne leur laissait jamais la porte ouverte. Encore une chose que lui avait laissé son agresseur, cette connaissance que le mal pouvait surgir même des gestes les plus doux. Elle n’était pas froide, mais elle mettait une limite claire. Elle ne sortait pas avec les collègues. Elle ne participait aux fêtes de bureau qu’au strict minimum. Et jamais, au grand jamais, elle ne laissait qui que ce soit lui offrir une boisson ou de la nourriture. Certains la pensaient timide, d’autres prudes. Mais elle s’en moquait. Elle connaissait juste son environnement et sait que la corruption rampe encore au sein du GCPD.
Mais c’était le meilleur endroit pour faire du bien tout en restant dans l’ombre. Elle ne voulait pas devenir comme Batman ou d’autres super-héros. Elle n’en n’avait pas l’âme ni la puissance symbolique. C’était une échelle qui la dépassait, c’était des enjeux trop important, c’était un chemin qui l’obligerait à se plonger dans le journal de sa mère. C’était la pente vers la recherche de pouvoir en espérant pouvoir faire plus avec, c’était se plonger dans les dérives, c’était commencer à décider ce qui était bien ou mal. C’était la peur de l’ivresse de puissance et de mal finir dans une forme concrète pour elle.
C’était devenir le vilain de l’histoire à la fin.
Maîtrises
Médecine légale : de part sa formation, Belladorya est habilité à pratiquer des autopsies, constatée des blessures, diriger les gens vers les recours légaux, et les limites légales des pratiques médicales. Elle connaît aussi le jargon médical et les codes d’alertes propre à ce milieu.
Entraînement aux armes de poings : en tant qu’agent du GCPD, Belladorya sait manier les armes de petit calibre. En tant que spécialiste en médecine légal, son entraînement est restreint à ce type d’armes.
Entraînement athlétique : en tant qu’agent du GCPD, Belladorya est entraînée régulièrement aux pratiques sportives du corps policier, notamment le parcours d’obstacle et la course d’endurance. Néanmoins, en tant que spécialiste, elle reste moins athlétique que ses collègues de terrain.
Jargon policier : Belladorya connaît le jargon propre de la police, est capable de reconnaître les différents code d’alertes ainsi que le langage des signes utilisé par les agents.
Langues : Belladorya parle le latin, le grec ancien, l’allemand, le polonais, l’espagnol et français. Elle est capable de reconnaître certaines langues slaves, latines et germanique de par leur proximité avec les langues qu’elle connaît, mais ne les parle pas et ne peut que deviner ce qui se dit.
Magie
Magie domestique : Belladorya se sert de sa magie dans la vie de tout jour pour automatiser ses tâches ménagères et gagner du temps dans sa journée.
Affinité mortuaire : La magie de Belladorya est naturellement liée à la mort, ses capacités lui permettant de :
Voir les souvenirs de la mort de quelqu’un. A cause de la nature traumatique de ce genre de souvenirs, Belladorya ne peut pas voir ni entendre les gens autour du mourant, ce ne sont que des formes sans visages ne faisant que des bruits distordus. En revanche, elle peut connaître l’aspect général d’un lieu, lui permettant de retrouver des scènes de crimes, et l’arme utilisée pour tuer une victime est toujours très claire dans la mémoire d’une victime si elle a eu le temps de la voir.
Sentir la mort. Belladorya peut aisément sentir lorsqu’un mort est proche, comme un instinct très fort l’attirant vers les cadavres.
Voir les morts. Si un esprit reste dans les parages, Belladorya peut aisément les voir. Elle est néanmoins incapable de communiquer avec, les esprits étant souvent instables et ne faisant que répéter des phrases en lien avec leurs derniers instants.
Provoquer des évènements surnaturels. Plus une nuisance qu’autre chose, Belladorya peut relâcher de sa magie afin de rendre un endroit “hanté”. Aucun spectre n’est réellement présent, les lieux se mettent à réagir comme si. Les portes claquent, des murmures incompréhensibles se font entendre, la température baisse, les appareils électroniques et électriques deviennent instable, l’eau prend la couleur du sang et on peut trouver des traces de mains sur les vitres. D’autres effets sont possibles, mais Belladorya ne relâche jamais plus que le minimum et n’est pas une fan de cette capacité qui a tendance à vite rendre les gens hystérique, attirant l’attention.
Le Pendentif de Coeur de Pierre
Un pendentif qu’on pourrait qualifier de phylactère, Belladorya a enfermé son âme à l’intérieur de ce bijou dans le but de ne plus ressentir d’émotions fortes. Le pendentif dévore littéralement les émotions de Belladorya pour se sustenter, la laissant dans un état émotionnel faussement stable.
Un effet très négatif du pendentif est que quiconque autre que Belladorya le détient possède littéralement la jeune femme sous son emprise. Elle est incapable de dire non, ressent un profond sentiment amoureux envers son maître et même si elle a conscience que ce n’est pas naturel, elle est quasiment incapable de lutter. Elle veut faire plaisir à son maître, peu importe combien ça la ferait souffrir. L’emprise est immédiatement rompue quand la personne n’a pas le pendentif sur elle, permettant à Belladorya d’essayer de le récupérer. Et de vivre avec les séquelles psychologiques qu’une telle expérience implique.
Dernière édition par Belladorya Roy le Mer 20 Avr 2022 - 20:45, édité 13 fois
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mar 1 Mar 2022 - 15:17
Dernière édition par Belladorya Roy le Mer 20 Avr 2022 - 20:53, édité 5 fois
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mar 1 Mar 2022 - 16:06
¡Bienvenido! Rien qu'avec le physique j'ai envie d'en lire plus, bon courage pour la rédaction ! Je viendrai très certainement réclamer des rps dès ta validation
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mar 1 Mar 2022 - 19:35
Bienvenue à Gotham City.
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Jeu 3 Mar 2022 - 10:48
Bienvenue a toi !
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Sam 12 Mar 2022 - 0:04
bienvenue a toi
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Lun 18 Avr 2022 - 22:22
Après une refonte totale du personnage, des larmes et du sang !
J'ai fini.
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Lun 18 Avr 2022 - 22:36
Bienvenue !
Messages : 5476 Date d'Inscription : 02/08/2018
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Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mar 19 Avr 2022 - 11:31
Hey la Joconde, on s'fait une peinture ? Wak wak wak.
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mar 19 Avr 2022 - 11:35
Bienvenue
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mar 19 Avr 2022 - 11:56
Bienvenue agent. Comme vous le voyez, y'a du travail.
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mar 19 Avr 2022 - 16:04
Comme vous avez de grands yeux. Comme vous avez un grand nez. Aimez-vous le thé ?
Bienvenue !
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mer 20 Avr 2022 - 16:04
Je viens te voir pour les petites modifications pour ta fiche !
Déjà très belles écriture, j’ai beaucoup aimé lire ta présentation, et j’ai très envie de voir Bella rp sur le forum. Malheureusement, nous n’acceptions pas les nécromanciens sur GCR, il faudrait donc faire de petite modification par rapport à ça, mise à part ça, je ne vois rien de choquant.
Si tu as des questions n’hésite pas !
Messages : 6105 Date d'Inscription : 03/05/2020
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Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mer 20 Avr 2022 - 17:30
Hello Belladorya !
Je suis toujours en pleine lecture de la fiche et je tiens quand même à dire que ta plume est superbe, et que tu as sans aucun doute une imagination débordante Tu as pas mal d'idées mais hélas toutes ne seront pas possibles irp, à savoir :
Dans la partie Pouvoir - nécromancie 1) l'aura de mort 2) ramener les morts 3) réincarnation
Dans la partie Information 1) manque l'accord au règlement
Pour le reste c'est accepté et personnellement j'ai hâte de voir irp la provocation d’événements surnaturels ! Hésite pas à mp directement sur discord une fois les modifications faites
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mer 20 Avr 2022 - 20:47
La fiche est corrigée, j'ai retiré ce qui gênait. Je n'ai pas changé la partie de l'histoire où une fleur flétrie vu que ça peut tomber dans la capacité "provoquer des événements surnaturels", mais l'aura de mort est bien retiré.
Ah, et j'ai rajouté mon accord sur les règles même si ça manque de goulag owo
Edit : finalement la fleur est passée du fanage au rosage
Dernière édition par Belladorya Roy le Mer 20 Avr 2022 - 20:58, édité 1 fois
Messages : 6105 Date d'Inscription : 03/05/2020
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Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mer 20 Avr 2022 - 20:52
Première validation accordée ! Merci pour la coop, et amuse-toi
Invité
Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+] Mer 20 Avr 2022 - 21:00
Merci pour les modifications, voilà ta seconde validation !
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Sujet: Re: Belladorya Roy : A Stone Heart [FINI][18+]