Carmilla cherchait sans relâche son livre, sa moitié, sa famille, sa sœur. Tous les soirs, au coucher du soleil, elle sortait pour cavaler de toits en toits, retrouver son bien, dérobé il y a plusieurs semaines de cela en Irlande. Et elle avait l’impression d’être épiée en permanence. Chez elle, la vampire croyait voir des ombres se déplacer dans les bois et quand elle était de passage en ville, elle distinguait parfois des silhouettes dans les ruelles ou sur les toits, observant. Cette sensation la rendait folle. Elle laisserait bientôt éclater sa rage, mais pas avant de savoir qui était derrière cela. Celles ou ceux qui s’en étaient pris à sa sœur et à elle, paieront le prix du sang.

Cette nuit-là, la morte-vivante bondissait d’un immeuble à l’autre avec facilité pour se nourrir. Tel était le poids de son immortalité : avoir un pouvoir immense qu’il était impératif de cacher, de se nourrir tel un charognard. Carmilla était de sortie avec une antique armure rouge sang qu’elle avait fait faire, selon les croquis trouvés dans le Lieber Sanguinum, par le maître artisan Zélios. Elle n’avait pas encore tracé les runes de puissance qui magnifierait la cuirasse, si bien que la protection n’était qu’une coquille métallique vide pour l’instant. Elle la ralentissait dans ses mouvements quand il s’agissait d’aller vite, un comble. Mais elle devait apprendre à vivre avec, à ne faire qu’une avec, et ce n’était vraiment pas encore le cas.

Au détour d’un carrefour, son regard fut attiré par une voiture de police un peu différente des autres. Plus lourde, plus large, plus massive… Elle semblait suivre un axe peu fréquenté par ses confrères du GCPD. Avaient-ils décidé de prendre le problème des bandes à bras-le-corps et d’aller les traquer jusqu’à chez eux, dans les Narrows ? La nuit était encore jeune, la jeune vampire le découvrait bien assez tôt. Elle s’agenouilla sur le rebord d’un parapet et plissa les yeux à la recherche de la proie que traquait la voiture police.

La blonde perçut de l’agitation dans un jardin laissé à l’abandon. Une douzaine de jeunes gens désœuvrés étaient en train de discuter calmement autour d’un tas d’armes et d’une grande feuille annotée. La grande nouveauté de ce siècle, ces armes. Poussé à son paroxysme dans ce pays sans aucune morale. Ils avaient besoin de leurs précieuses armes, pour se "protéger" d’autres armes. Ils avaient des armes pour les enfants, plus petites avec des couleurs chatoyantes. C’était un cycle de destruction sans fin. Elle avait connu une ou deux guerres et y mêler les enfants, c’était toujours moche.

Elle sauta sur un toit plus proche, et obtient une vue plongeante sur le petit groupe. Un jeune guetteur, pas plus de 14 ans, arriva en courant prévenir qu’une voiture de police était dans la rue. Elle en quelques secondes, ce fut le branle-bas de combat… Tous ces sang-chauds à portée de crocs… Une chose métallique bleutée eu du mal à s’extraire de la voiture de police, mais quand cela fut fait, la chose mesurait au moins 2m40, il y avait une inscription sur son épaule droite, des numéros, mais Carmilla était trop loin pour les lire.

« Qu’est-ce que ce machin fait là, et qu’est-ce que ça fiche ici ?!» S’agaça la vieille femme.

Ramenée à son poids et sa taille, l’armure de métal bleuté avançait sans faire trop de bruit. Elle contourna les malfrats, et les attaqua à revers. Défonçant, pour cela, la clôture en bois du jardin comme si c’était du papier journal. Quelques-uns firent feu sur le géant, mais les projectiles étaient mal ajustés et peu puissant : ils ricochèrent sur les plaques de blindage, sans lui faire le moindre mal. Il assomma les deux premiers d’un revers de la main, ce qui permit aux autres petites frappes de s’enfuir comme une volée de moineaux. Carmilla, prit en chasse un petit groupe qui avait eu l’imprudence de s’éloigner des autres. Ils traversèrent un terrain vague pour se réfugier dans une usine à l’abandon. Ils puaient la peur… Carmilla remonta leur piste aisément, lentement.

C'était la première patrouille de nuit en solitaire pour Bradley depuis son arrivé en ville. Et le secteur qui lui échoua ce fut un quartier nommé Les Narrows. Avant de s'y rendre Bradley n'avait pas bien compris pourquoi on lui avait assigné ce quartier seul pour la patrouille ni les consignes particulière de juste parcourir en véhicule les grandes rues du quartier éclairé et de ne SURTOUT PAS s'enfoncer dans les petites rues s'enfonçant dans le cœur du quartier. pour la patrouille on le pourvu d'un hummer blindé a parbuffle, seul véhicule du parc automobile du commissariat à même de le transporter et encore Bradley dut reculer le siège conducteur au max et se trouvait à l'étroit semi plié dans l'habitacle.

Cependant une fois parvenu dans le quartier il comprenait pourquoi il était seul et la recommandation de ne point s'y attarder, et de n'y faire qu'une patrouille en début de nuit histoire de dire on est là. L'ambiance était digne de jeux vidéos de combat de rues, ou de films de règlements de comptes tout inspirait ou presque la pauvreté et le crime. Comme il serait seul Bradley était allé cherché sa fidèle armure lourde.

Dès les première minutes Bradley sentait une tension dans le paysage lui rappelant ses opération chez les commandos lorsque ils devait progresser en territoire ennemi. Tout était trop calme et quad il percevait des gens ces derniers disparaissait très rapidement et/ou adressait à la voiture des geste et regard durs.

Rien jusque là de bien alarmant quand au détour d'une grande rue il vit un ado de 15 ans environs se précipiter en criant quelque chose vers un genre de square sinistre à la végétation en friche. Suivit en parallèle d'une silhouette rouge étrange sautant d'un toit.

Même si c'était furtif Bradley cru reconnaitre dans ce saut une approche d'attaque de type embuscade, il en était prêt a parier un bon havane dessus. Bref il n'en fallait pas plus pour faire sortir notre ami sergent commando de son véhicule et entamer une manœuvre d'approche. Perdant quelques seconde a s'extraire du hummer blindé qu'il verrouilla Bradley s'approcha le plus silencieusement du saquare ou l'attendais un tas d'armes et un groupe de jeunes malfrats certains armé et lui tirant déjà dessus.

n'étant pas homme à se laisser faire et sortant tout de go de son couvert, par une roulade il asséna de baffes armuré au deux tireurs les plus porches les faisant chuter à terre inconscient mais sauf, il leur faudrait plusieurs minutes pour se relever. Bien dans le cas présent Bradley se désintéressa d'eux pour poursuivre le gros du groupe et surtout celui semblant être leur chef.

Bien qu'en armure de combat lourde Bradley était parfaitement habitué a son poid et était pour lui comme une seconde peau de plus ayant une endurance et force surhumaine il n'eut pas trop de mal a tenir la cadence pour traquer le groupe jusque dans une sorte de fabrique abandonné.

Dans une espèce de grandes salle qui autrefois devait abriter les machines principales et aujourd'hui tristement vide. le groupe s'arrêta pour lui faire face, il semblait assez essoufflé pour certains

"trop de fast food dans leur alimentations" se dit en aparté Bradley dans un coin de sa tête.


puis leur "chef" pointa bradley du doigt en raillant " ch'ais pô quit'es robot de mes deux, mais t'a fait une grave erreur de nous suivre, on va te démenbrer et te fourger a la ferraille"

relevant un instant la visière du casque pour révéler son visage Bradley répliqua " je ne suis pas un robot, mais tout ce que peut vous dire jeunes civils c'est que vous êtes en état d'arrestation pour délit de fuite et refus d'obtempérer" dit il de sa voix grave et martial avant de rebaisser la visière et charger sur le chef pour le plaquer au sol façon quarterback prenant soin de doser sa vitesse afin que le placage en lui fasse pas trop de dégâts.

....

cependant pendant qu'il chargeait il eut sont instinct de commando qui se réveilla en lui disant qu'il y avait sans doute une autre personne dans les lieux que ceux devant lui.

La vieille femme usant de ses dons pour suivre prestement un groupe de "sang chaud" dans une usine qui avait dû abriter des centaines d'ouvriers à sa grande époque... Mais elle n'était plus qu'une coquille vide, sans âme ou les pas des jeunes gens se répercutait sur les cloisons faites de briques rouges et de métal.
Le bâtiment faisant une centaine de mètres de long sur trente de large et si vous rajoutez à cela un étage rempli de bureaux saccagés et tagués, vous imaginez sans peine la taille du jeu de cache-cache qui s'opérait ici. Un groupe de jeunes trop confiants, un police armuré, mais terriblement seul et une femme affamée.

Opéra en 3 actes...

Sous le casque vermeil qui cachait son visage, Carmilla sentit ses canines poindre, son corps réclamait le tribut du sang. Elle balaya du regard le rez-de-chaussée de cette usine sans entendre le moindre bruit... par contre, là-haut, à l'étage... Cela grattait et ça cognait... Mais que fabriquaient-ils ?
De plus, monsieur le policier était proche, ses pas lourds et une odeur chimique le précédait. Il n'était pas sa cible... Mais un divertissement inattendu, une nouvelle variable, une interrogation... Que devait-elle faire de lui ?

Carmilla cessa de penser et agit. Avant que l'homme dans son armure bleue rutilante n'arrive à sa hauteur, elle banda les muscles de ses jambes et sauta. Elle atterrit un peu trop bruyamment à son goût sur le couloir du premier étage qui distribuait les bureaux. Elle se pencha par la rambarde et vit que le policier semblait la regarder. La vampire se fendit d'un petit signe amical de sa main gantée de fer. Le temps qu'il grimpe les escaliers, elle serait loin, pensa-t-elle.

Elle localisa le boucant que faisait les jeunes dans le bureau central. Des cliquetis métalliques cette fois... Mais que diable fabriquaient-ils ici-bas ? De son gantlet, elle arracha de ses gonds la porte en contre plaquée qui tomba un étage plus bas, dans un grand fracas. Ils étaient tous-là, cinq jeunes gens... Mais ils étaient aussi tous armés. Carmilla soupira juste avant que la première rafale des fusils à pompe ne la fauche. Elle fut projetée en arrière contre la rambarde du couloir, qui ne céda pas sous l'impact. Elle sentit une douleur aiguë au ventre et s'empêcha de crier.

Immobile, elle sentait ses chairs chauffer doucement alors que son corps cicatrisait déjà... Elle pouvait leur sauter dessus, mais elle n'en fit rien. Ils étaient surprenants. La vieille femme aimait cela. Elle les laissa donc se gargariser de leur victoire et joua les cadavres.

Mais déjà, l'acte 2 se profilait. Le policier approchait d'un pas lourd et implacable.

Armure de Carmilla:

a peine Bradley avait il plaqué au sol le chef du groupe se trouvant au rez de chaussé que le dit groupe se dispersait et abandonnait son "chef" aux mains armurées de Bradley.  Ce dernier n'étant en définitive qu'une petite frappe insignifiante d'un quartier offrant peu d'avenirs à ses jeunes, Bradley n'espérait pas obtenir grand chose en l'emmenant au commissariat pour une garde à vue au mieux lâcherait il le pseudos de son dealer qui lui avait vendu les armes. Et même après  l'avoir obtenu Bradley doutait fortement que lui et ses colègue puisse le retrouver et quand bien même ça en mènerait jamais très loin et un autre le remplacerait le lendemain.

Et bien que cela soit peu utile au final Bradley, s'apprêtait a sortir d'une poche de sa ceinture les menottes pour l'emmener quand ....

du bruit métallique se fit entendre à l'étage levant la tête Bradley vit une armure rouge lui faire un coucou de la main. avant de continuer a marcher plus loin dans l'étage le long de la coursive. Fuyant l'alcool à tout prix, ne prenant aucun médicament, et ayant bien dormi la nuit précédente de même que bien mangé ce jour là, Bradley savait que ce n'était pas une hallucination. Aussi craignant qu'il s'agisse vu l'endroit d'un super criminel il se décida à laisser sur place le petit délinquant et de grimper les escaliers qu'il voyait au loin affin de rejoindre l'étage et de savoir ce qu'il en était de cette armure rouge et de la personne la portant.

...

Arrivé à l'étage Bradley vit l'armure rouge arracher une porte et la lancer au loin, puis entrer dans la pièce, immédiatement après eut lieu à l'intérieur de la pièce un bruit caractéristique d'arme à feu que l'on décharge sur un objet métallique.

Pa sbesoin d'être grand stratège pour savoir que la personne dans l'armure rouge se faisait canarder, ... au fusil à pompe d'après le bruit et ça  même en armure médiévale complète européenne ... ca pardonnait dificilement.

Bradley n'était pas secouriste de base mais avisant un meuble métallique lourd il le prit avec lui et le plaça dans l'embrasure de la porte d'où l'armure rouge avait été projeté affin d'ériger un bouclier primaire le temps d'aller lui porter secours.

Une fois à ses coté il mit un genoux à terre,  et n'observant pas de sang sortant de l'armure et se disant qu'il y avait tout les chances que la personne soit juste inconsciente mais bien vivante. Se décidant a tenter une approche amicale, Bradley toqua comme sur une porte d'un doigt sur le casque de l'armure rouge disant.

"Monsieur ou Madame, vous allez bien ? Il faut vous levez, vous êtes dans un quartier dangereux vous savez. Tenez je vais vous aidez a vous relever. N'ayez pas peur je travaille pour le commissariat central de Gotham. "

Termina Bradley tendant les mains pour prendre délicatement dans ses bras l'armure pour tenter de la remettre en position debout. si jamais la personne était inconsciente il /elle la ramènerait dans ses bras jusque à la voiture et appellerait de là une ambulance  l'endroit étant trop dangereux pour y laisser une personne inconsciente.

Les balles pleuvaient sur le bureau métallique, mais ce dernier, bien enfoncé dans le chambranle de la porte, résistait encore vaillamment.

Carmilla était assise, les bras le long du corps, et jamais un instant elle n'aurait imaginé le geste du policier. Elle aurait cru qu'il allait d'abord éliminer la menace avant de lui porter secours. Mais non. Les "sangs chauds" arrivaient encore à la surprendre, même après trois siècles. Son armure rouge avait souffert des impacts de balles et de chevrotines. La partie base du plastron avait été arrachée, la cotte de mailles aussi et le coton du gambison était apparent et imbibé de son sang.
Une armure si ancienne, quel gâchis. Son attention se reporta sur le policier. Que devait-elle faire de lui ? Elle se décida à bouger quand ce dernier tapota sur son armure avec son gros doigt. Elle saisit la rambarde et se redressa comme si elle avait juste trébuchée.
Même debout, elle paraissait une enfant tant le policier était grand et large. la vampire dû relever la tête pour pouvoir voir le casque du policier. Elle n'avait jamais vu quelqu'un d'aussi grand.

"Je suis touchée par tant de sollicitude monsieur le policier. Vous êtes, vous aussi, nouvellement arrivé dans ce grand bourg ? Alors je gage que, lors d'une prochaine altercation, votre attention toute entière sera accaparée par ces petits parvenus qui sont la source réelle du chaos ambiant." Dit-elle doucement en posant doucement son gantelet rouge sur le portail large de l'agent de police.

"je dois vous quitter... Que vos actions soient dignes de votre rutilant blason monsieur le policier" fit-elle avant de le pousser avec toute la force dont elle était capable en cet instant dans le bureau métallique. Le colosse en armure fut un instant soulevé du sol et percuta le meuble en fer derrière lui. Puis bascula sur le dos tout en entrant dans la pièce où se trouvait les 3 jeunes gens armés. Carmilla ne doutait pas qu'il survive à son prochain affrontement, et arrête ces criminels en culottes courtes. Elle n'attendit pas de voir cela pour autant. La belle armurée s'avança le long de la rambarde cherchant une gorge à vider. Elle avait maintenant vraiment très faim.

Carmilla trouva un humain, un policier, juste en dessous d'elle. Visiblement armé lui aussi. Attiré pour les bruits de luttes et de fusillade. "Décidément, ils sont nombreux ici... Mais je les croyais allant par deux. Où est ton binôme ?" s'interrogea Carmilla. Elle n'avait pas envie d'attendre, elle sauta du couloir et atterrie lourdement au rez-de-chaussé juste derrière le policier. Ce dernier sursauta et se retourna vivement l'arme au poing. La vampire leva les mains en signe de réédition puis lentement ôta son heaume, dévoila son visage angélique dans une cascade de cheveux blond.

Visiblement le policier, un rookie, ne s'était pas attendu à cette apparition. Elle en profita pour le regarder dans les yeux et user de ses dons hypnotiques pour l'attirer à elle et lui présenter sa gorge. La suceuse de sang s'abreuva longuement, mais ne le tua pas. Recouvrant ses forces, elle se sentait de taille à vaincre une armée. Elle lécha la plaie qui se referma instantanément. Puis allongea le policier au sol en douceur. Il ne se souviendrait aucunement de leur rencontre. La belle blonde fixa son heaume et regarda les alentours...

"Heum... encore des malfrats armés... venant aider leurs amis... monsieur le policier aura fort à faire ce soir..." Pensa-t-elle. Elle se cacha parmi les ruines. Observant la suite des évènements.

_ "C'est ici, y'a un policier en armure gigantesque ch'te dit ! On se disperse ! On le trouve et on l'bute !!" cria ce qui semblait être le chef de la meute de loubards.

Quand Bradley toqua au heaume de m'armure rouge il ne savait pas torp à quoi s'attendre mais le fait que la personne se relève d'elle même, était une bien heureuse surprise au moins il n'aurait pas à le/la porter jusque à la voiture. Bien que maintenant qu'il voyait l'armure rouge de près, il pouvait constater que le bas du buste de l'armure avait été arraché sous l'effet de l'impact non seulement le plastron mais aussi la maille et l'habit du dessous.

Bradley n'ayant pas le temps de s'interroger davantage, que la personne se relevait et lui parla d'une voix .... féminine ce qui surpris un peu sur le moment Bradley mais après tout pourquoi pas, les dames aussi ont le droit de se faire chevalière et porter haute et fière le harnois. Non seulement la chevalière rouge face à lui avait un harnois des plus complet (bien que maintenant abimé ) mais aussi le phrasé d'époque ou du moins un parlé à l'ancienne était ce un genre qu'elle se donnait ou bien cela lui venait elle naturellement, Bradley là non plus n'aurait su le dire car sitôt que la chevalière remercia Bradley et c'était complétement relevé sitôt elle le poussa violement au travers de la porte avec une poigne des plus inattendu, en terme d'intensité.

se retrouvant sur le dos au milieux des trois malfrats dans la pièce ses derniers sur de leur victoire approchèrent de Bradley le pensant aussi incapable qu'une tortue de se relever une fois sur le dos. Mais c'était sans compter sur l'entrainement de Bradley et sa force et endurance surhumaine, les laissant s'approcher tout en attrapant d'une main une barre de métal trainant a proximité.

Bradley se releva d'un bond et a demi accroupi fit un violent balayage circulaire avec la barre d'acier dans les jambes des trois voyous les faisant tomber à terre. dan sles secondes suivante il s'empara de leur armes qu'ils avait fait tomber et les jeta à l'autre bout de la pièce hors de leur porté.

"haha vous pensiez vraiment m'occire de la sortes malandrins des ruelles, en ayant l'outre cuissance de vous en prendre aux dames désarmées, je vous arête sur le champs présenter vs poignet afin que je procèdent sans plus d'esclandre a votre arrestation  " dit Bradley inspiré par le parlé médiéval de la chevalière en armure rouge qui avait semble il de nouveau disparu

Bradley avait à peine eut le temps de menotter le premier et de sortir une deuxième paire de menottes pour menotter le deuxième qu'ne phrase dit tout haut et de mauvais ton se fit entendre depuis le rez de chaussé

"C'est ici, y'a un policier en armure gigantesque ch'te dit ! On se disperse ! On le trouve et on l'bute !!"      

"okay les gars vous voulez la jouer comme ça alors on va jouer " répondit Bradley délaissant les vpoyous de l'étage pour sauter par dessus la rambarde et atterir a la manière des super-héros un poing enfoncé dans le sol un mini cratère dans le béton fisurré autour de lui dû à l'impact  

il se releva de toute sa hauteur devant le groupe de jeunes armé venant d'arriver et dont le chef avait prononcé la fameuse phrase. Bradley les toisa du haut de son armure et de son casque fermé, ler disant en les pointant du doigts

" je vous donne une chance une seule de rendre les armes sur le champs sinon sa finira en baston et pas sur que vous en sortiez gagnant "

comme il l'avait pensé les jeunes lui rirent au nez armant leur pistolet et fusils et commençant a lui tirer dessus. loin de se dérober Bradley laissa leur tir rebondir sur son armure sans l'abimer puis une fois que les tirs se calmèrent un peu le temps qu'ils recharge en jurant que la cochonnerie en armure étant plus résistante que prévu. Bradley répondit

"c'est bon vous avez terminé, maintenant à moi de jouer " dit il en arrachant du sol un des pilier d'acier soutenant la rembarde devant les yeux et face médusé de ses adversaires.

Puis il chargea sur eux armé du pilier d'acier de plus de 2m de long, bien décidé a s'en servir comme une grosse épée de jeux vidéos japonais faisant la taille du perso et dont il pouvait faire des attaques de zone pour renverser ses adversaires.

La vampire était impressionnée par la résistance et la force que pouvait déployer le policier. Elle le vit soulever une barre en métal qu'aucun humain normalement constitué ne pouvait soulever. Elle avait dans l'idée de se replier dans les hauteurs, mais finalement, elle rôda au rez-de-chaussée parmi les gigantesques machines outils usagées, éparpillées çà et là. Des éclats de voix, des petites explosions de métal quand les balles ricochaient sur les surfaces métalliques se firent entendre. Une odeur de sang, elle pouvait en humer le fumé. Mais elle était repue, cela ne l'attirait que vaguement maintenant, plus par habitude.

Le policier ne fit pas dans le détail. D'un mouvement de swing avec la poutrelle d'acier, il envoya trois de ses adversaires au tapis. Les autres s'éparpillèrent comme une volée de moineaux devant un prédateur. Mais continuaient de tirer par intermittences. Le policier était la cible : grand, visible et assez bruyant. Ces adversaires avaient changé de tactique, sans se concerter, ils le harcelaient. La bataille pouvait durer des heures... Et Carmilla n'avait pas tout le temps devant elle. Elle allait accélérer un peu les choses.

Elle chercha et trouva le générateur de l'usine. On avait soudé une barre d'acier pour entraver son démarrage. Certainement une accumulation de factures impayées qui avaient décidé les autorités de l'époque à fermer l'endroit. Elle arracha le scellé et actionna tous les interrupteurs. Dans une débauche de grincements métalliques, de poussière et de quelques arcs électriques, le générateur, grand comme une cabane de jardin, se remit péniblement en route. Les machines-outils se remirent en marchent. Accomplissant les tâches qui leur avaient assigné jadis. Tout ce vacarme allait couvrir les bruits du policier... Mais ils pouvaient aussi se faire attraper par l'une de ces machines-outils... Le destin serait peut-être surprenant ce soir.

La vieille femme armurée repris la direction des combats. Elle resta à bonne distance du grand policier et regardait comment tournait la bataille. Elle s'arrangeait pour rester dans le dos des membres du gang. Et essaya de voir comment tous se débrouillaient. Le policier en plus de sa force pouvait sembler compter sur une endurance sans limite. Intéressant. Il ne restait plus qu'une poignée d'adversaires, mais ces derniers étaient déterminés à faire choir le géant.

La situation était à la fois enivrante au niveau de l'exercice mais curieuse aussi dans le sens ou certaines questions restait en suspend dans la tête de Bradley QUI était la chevalière en armure ? D'où et comment faisait ses voyous pour être arrivé sur lui en nombre de la sorte ? (même si sur ce point le quartier ou il se trouvait l'expliquait largement ).

Quoi qu'il en soit les voyous ne faisait pas le poids contre Bradley, dès le premier mouvement avec le pilier d'acier il en renversa trois dont le chef du groupe. mais la suite qui devait s'annoncer plutôt simple (reddition totale ou fuite des autres ) il optèrent pour une stratégie de guérilla et de harcèlement ponctuel de tirs sur son armure (toujours aussi inefficace mais bon si ça les amuse ... ).

A peine cette tactiques avait elle été mise ne place par ses malfrat que la lumière et les machines d'époques, se mirent en route changeant le contexte de "l'arène de combat". Tant et si bien que Bradley avait de plus l'impression d'avoir été magiquement projeté dans "street fighter" ou "tekken" avec une arène de combat en usine abandonné qui soudain s'animait et un pnj chevalière en armure rouge tantôt adjuvant ou .... neutre ??? .

quoi qu'il en soit Bradley commença la traque des fugitifs il avait peu d'espoirs de tous les arrêter, mais si au moins il pouvait tous les désarmé et les neutralise run moment peut être cela rendrait le quartier un peu plus sur cette nuit et permettrait aux braves gens vivants encore dans le coin de dormir cette nuit tranquillement.

....

un moment plus tard il ne restait debout dans la pièce que Bradley face à 5 voyous bien décidé a en découdre jusque au bout quand les autres était au sol enfui ou ... prit dans les machines, et hurlant de souffrance ils furent achevé pour les plus chanceux par les autres voyous d'une balle. et pour les moins chanceux mort dans d'atroce souffrance dans les machines.

derrière la ligne de voyous lui faisant face Bradley aperçu de nouveau la chevalière en armure observant les évènement dans une attitude neutre des plus froides. Ne pouvant allez la voir de suite, Bradley se lança comme un quarterback en phase de placage sur le voyou du milieux.

parvenant à le mettre à terre, il arracha un morceau de machine qu'il lança dans les jambes d'un autre le faisant lui aussi chuter avant que les trois dernier ne se jette sur lui avec ce qui leur tombait sous la main.

Dans leur regard, semblait se lire la détermination d'en finir au corps à corps même si en même temps il semblait se dire que leur chance de l'emporter était quasi nulle.

Bradley lui entama plusieurs coup de poings bien placé et coup de coudes dans les côtes plutôt efficaces, et bien que son corps était tout occupé au combat un recoin de son esprit ne pouvait s'empêcher de se demander qui était la chevalière en armure rouge et SURTOUT quelle était ses intentions a rester regarder le combat comme on regarderait un film. au lieu de soit s'enfuir soit aider l'une ou l'autre partie dans le combat.

Le cavalier rouge semblait ne plus faire que tourner autour du policier en armure. Elle avait décidé de le tester plus avant. Elle marcha dans le dos des membres du gang. Gang assommé en quelques minutes par le policier. Elle esquiva quelques bras mécaniques qui bougeait à l'aveuglette et assomma un premier jeune homme d'une pression de ses doigts sur son cou. Elle n'aimait pas tuer, la morte-vivante n'était pas un monstre après tout. L'un des survivants du gang se retourna, mais pas assez vite. Elle la saisie par l'épaule le cogna contre une poutrelle métallique assez fort pour qu'il s'effondre. Bientôt, il n'y avait plus qu'eux deux dans l'usine au milieu des bras mécanique et des presses en acier. Elle se campa devant le géant et croisa les bras.

_" Vous devez faire votre devoir monsieur le Policier, j'ai enfreint vos lois et vous devez donc m'arrêter. Mais la vraie question est en êtes vous capable ? Ne seriez vous qu'un rodomont" lâcha-t-elle dans une voix de défi, métallique et roque.
Chose curieuse, la vampire portait un fourreau métallique rouge lui aussi, mais il n'y avait pas d'épée à l'intérieur.

L'ancien soldat voulu attraper la frêle silhouette d'une main et l'immobiliser afin de terminer le combat avant que celui-ci n'ai vraiment commencé. Mais l'armure rouge se déplaça trop rapidement et saisie le poignet de Bradley. La vampire avait mis assez de force pour casser quelques bras... mais l'armure bleue avait grincée mais tenue bon face à la force déployée. Elle le lâcha et commença à tourner autour de lui doucement à la manière d'un chat qui veille sur sa proie.

Elle se fendit d'une attaque, mais contre toute attente le policier ne se jeta pas sur elle. Sa feinte ne lui servit à rien sauf à exposer son flanc droit. Et c'est là qu'il frappa. Le coup la souleva toute entière, et elle retomba à quelques mètres de là, peinant à conserver son équilibre. Carmilla en avait soupée de ce combat. Il l'avait énervée. Elle usa de toute sa vitesse pour lui foncer dessus. Elle souleva un peu de poussière lors de sa prise d'appuis et le sol en béton se craquela sous sa poussée. Elle se retrouva face à lui et se saisit d'une plaque de blindage sur l'un des pectoraux, et usant de ses deux mains et de sa force, l'arracha de l'armure.

_ "Vous n'en n'aviez point besoin, il semblerait... Êtes-vous déjà recru ?" s'amusa-t-elle

Ce fut pendant la bravade de la morte qu'il bougea. Sa taille et son poids n'auraient pas présagé d'une telle vitesse. Carmilla était plus rapide, mais elle n'avait pas le coup venir. Il faut à sa décharge que son heaume n'offre que peu de visibilité. Il s'agrippa à elle et lui bloqua les bras avec une de ces prises qu'elle avait vu dans les films de guerre moderne. Elle grogna, et essaya de se libérer, mais elle était bloquée. Ses pieds ne touchaient même plus le sol. Elle allait devoir user de ses pouvoirs pour lui montrer qu'on ne jouait pas avec elle. Mais la encore, il fut le plus rapide.

Quand elle senti son heaume quitter sa tête, Carmilla laissa échapper un petit cri de rage. Le policier pouvait découvrir une jeune femme au teint pâle, un visage d’ange aux traits fins et élégants. Des yeux d’un noir d’encre insondable, un petit nez droit, des lèvres charnues couleur sang et des dents d’un blanc étincelant. Le tout encadré par de longs cheveux blonds presque blanc. Il fut surpris une fraction de seconde ce qui permit à la morte de bouger. Elle jeta sa tête en arrière et fissura le casque de Bradley. Et tenta de repousser le policier. Mais il tient bon. Et c'est l'un des bras mécanique, qui par chance, l'agrippa et permit à la balle de s'échapper.

L'Irlandaise allait repartir à l'attaque visant le casque pour en finir avec ce jeu. Mais elle vit que le policier était en train de lutter contre 2 bras mécaniques. Ces derniers étaient en train de l'attirer dans une presse hydraulique. Son sort était scellé, il n'arriverait pas à s'en sortir à temps. Elle le regarda quelques secondes... Puis décida de l'aider. Elle agrippa l'un des bras mécanique et l'arracha de son socle. Mais pour réaliser cela, elle avait dû puiser dans sa Vitae. Ses yeux avaient changé et été à présent de couleur rouge sang et ses incisives étaient à présent pointues. Mais elle pu finalement aider à libérer le policer.

_ "Vous ne méritiez pas de trépasser ainsi..." fit-elle.

le moins que Bradley pouvait dire c'est que la chevalière rouge avait de la ressource sous son armure. si les circonstances avait été différentes, et que Bradley eut été à la recherche d'une femme elle aurait put être tout a fait son genre. Mais bon comme dit précédemment les circonstances ne se prêtait nullement aux considérations romantiques, et il fallait bien mener ce combat à son terme.

A un moment donné juste avant que le combat ne s'intensifie et que Bradley tente de l'agripper la chevalière le provoqua quelque peu en lui disant qu'elle avait filoute et que Bradley en bon agent de la maréchaussée se devait de l'aresster et l'amener devant le prêvot. cependant Bradley ne parvint pas à l'agripper et notre filoute chevalière en armure rouge fit preuve d'une grande poigne sur l'armure Bradley parvenant à la faire grincer démontrant qu'elle avait de la force. qu'a cela ne tienne Bradley parvint a lui donner un bon smash dans le flan qui l'envoya valser au loin.

cependant cette dernière se vengea assez vite en lui arrachant une partie des plaque torsale de son armure ce qui ne fut pas sans énerver Bradley. ce dernier parvint à l'empoigner et l'immobiliser dans une habille clé de bras (décidément rien ne valant l'entrainement militaire) , immobiliser la filoute ne put éviter que Bradley lui enlève son heaume voulant savoir à qui il avait a faire. la tête de son adversaire le surpris ne s'attendant pas vraiment a un visage aussi pâle a tête d'ange contrastant fortement avec son comportement agressif joueuse.

la filoute chevalière sut user ce moment de surprise pour se libérer et fissurer la visière de Bradley. par la suite Bradley fut appé par les bras mécanique d'une machine l'entrainant dans une mort par écrasement inévitable et fatale .... sauf qu'il fut sauver par la chevalière en armure rouge. Quand cette dernière lui dit qu'il ne méritait pas de finir ainsi, Bradley la regarda en face, relavant la vière de son armure pour lui voir son visage et lui dire en face les yeux dans les yeux

" merci, ... mais QUI êtes vous ?" lui dit simplement Bradley ne pouvant plus retenir sa curiosité devant cette dame hors normes.