Care était assise près d'un bar, elle venait juste de termienr avec un patient qui habitait tout près. Elle prenait un moment pour reprendre ses forces et ses esprits après avoir visiter tout ses patients. Elle en avait de plus en plus, c'était une bonne chose, les gens lui faisait confiance, mais c'était aussi de plus en plus exigent. Surtout qu'elle avait encore la blessure au côte qu'elle avait guérit à Batwing quelques jours plus tôt. C'était en bonne voie de guérison, mais c'était douloureux et sa respiration était légèrement plus courte. Rien de grave, et le tout allait disparaitre d'ici une ou deux semaine, mais elle avait décider de prendre un petit moment. Elle détestait devoir le faire, mais il serait vraiment idiote de ne pouvoir aidé les prochaine perosnnes à avoir besoin d'elle parce qu'elle n'était plus en état. Elle devait faire un minimum attention pour continuer sa lute et ne mettre personne en danger.

Et donc, elle avait remplit sa gourde à leur robinet, et accepter avec un peu de réticense, le sandwitch au beurre d'arrachide et confiture que la famille reconnaissante lui avait tendu. À cette heure il ne servivrait à rien de tenter de l'offrir à d'autre. De plus, si elle essayait de nourrir le plus de monde avec le peu qu'elle avait, elle était aussi consciente qu'elle devait manger un minimum, pour soutenir ses pouvoirs tout autant que ses capacité physique. Ce serait son repas de la journée.

Donc, elle s'était caché dans l'ombre d'un toit avec sa gourde et son gouté. Elle avait mangé lentement, non pour savouré, bien que le gout et le sucre aurait du être un bonheur, non c'était pour en prendre le plus de nutrriement possible et aussi éviter à son corps de rejetter des alliment aussi riche et gras. De plus, le beurre d'arrachide était si collant qu'elle devait boire beaucoup.

Care teminait sa dernière bouché, et contrairement à son habitude, elle ne chantait jamas sous le masque pour éviter de se faire reconnaitre, mais se soir, les étoiles, la nuit, un sentiment intense de solitude et de compassion, la poussèrent à chanter quelque choses. Elle ne choisis pas la chanson, plutôt qu'elle ne se laissa choisir et porter. Elle n'avait pas le droit à la mort, il y avait trop de gens qui comptait sur elle, et puis, se serait définitif pour ne jamais revoir sa famille. Mais parfois, elle avait besoin de chanter pour elle-même pour se rappeler que la vie, en quelque sorte, en vallait la peine. Qu'elle avait une mission, celle de sauver le plus de gens possible. Ça vallait toute les souffrance, souffrance qu'elle méritait d'ailleurs.

Un bruit attira son attention vers la ruelle en bas, mais elle continua de chanter. Ce bruit, la nuit, tous semblait la pousser à continuer. Mais la silouhette sous elle était comme une sorte d'aimant aussi. Il y avait quelque chose dans sa posture, dans le nom verbale qui l'attirait comme mouche vers la flamme. Quelque chose criait à son âme qu'il avait besoin d'elle, de sa voie, de son aide. Elle ne savait pas quoi, mais elle avait appris à suivre son intuition. Ça n'avait rien de magique, par réellement. La partie croyante de son esprit se plaisait à croire que c'était Dieu qui guidait chacun de ses pas, mais la partie rationnel et scientifique de son esprit se doutait que c'était plus un rapport avec des signaux non verbaux (et un peu de hasard) que son esprit réussissait à décoder inconsciement, qui faisait cette empathie. Mais peu importe. Elle sentait qu'elle devait chanter et aidé cette homme, alors elle le ferait.

Elle se mit donc à la suivre, tout en continuant de chanter sa chanson. Une chanson qui parlait d'espoir, de suicide, mais surtout d'une main tendue. Elle chantait tout en sautant de toit en toit, essayant à la fois d'être silencieuse et de faire porter sa chanson. Elle ne voulait pas ameuter tout le quartier, elle ne voulait pas faire trop de bruit pour enterrer le son des pas de l'homme et sa propre voix. C'était étrange de faire ainsi. Jamais avant elle n'avait essayer d'être à la fois Care ET Aurore. Et pourtant se soir, elle n'arrivait pas à dissocier les deux comme d'habitude. C'était étrange, presque comme une transe. On aurait dit qu'une main la poussait, la guidait.

Alors qu'elle continuait de le suivre en chantant, cette étrange impression d'être guidé. Elle ne pouvait croire que se soit Dieu directement, mais un ange ? Peut-être. Cette homme devait être important, et d'ailleurs il semblait croire qu'elle était elle-même un ange. L'idée même la fie se sentir presque mal. Non, elle était loin d'être un ange. Elle avait probablement même sa place en enfers, mais elle faisait de son mieux pour faire du bien. Elle ne rachêterait probablement jamais son ciel, mais au moins, le jour où elle allait mourir, elle rachèterait son âme.

Mais l'homme continuait de marcher vers le pont, et l'idée qu'il allait attenter à sa vie se concrétisait de plus en plus. Elle ne pouvait pas le laissé faire. Alors elle avait continuer de chanter jusqu'à la fin de la chanson, faisant abstraction des blasphèmes et des idées qui la dérangeaient.

Les dernières paroles qu'il prononçaient résonnèrent dans le silence alors qu'elle venait de terminer sa chanson. Il y avait quelque chose derrière ses mots qui l'interpellait. Il y avait tant d'émotions, c'était comme une clé, une bouteille lancé à la mer.

Elle ne pouvait pas sauter de 4 étage de haut directement par terre, mais elle avait l'habitude maintenant d'analyser chaque route, chaque sortie, chaque échappatoire, qu'en une fraction de seconde, l'itinéraire le plus rapide lui apparut dans son esprit et elle s'élança sans même réfléchir. Elle avait peu de confiance en elle, mais être Care, la gymnastique et s'élancer des toits, c'était une seconde nature maintenant. Trois pirouette et une roualde plus tard, elle était debout devant l'homme. Il n'avait pas l'air bien, non seulement il sentait l'alcool à plein nez, mais elle pouvait lire un désespoir qui faisait écho à ce qu'elle ressentait elle aussi au fond de son coeur. Elle ne pouvait pas le laissé ainsi.

"Et qu'est-ce qui vous faire dires qu'il ne les jugent pas ses intentions derrières les actes ?"

Voilà, un brin de provocation, mais beaucoup d'écoute et de reformulation. Le faire parler, comprendre pour mieux aidé. Dans la rue, on parle peu et on posait encore moins de questions, mais Care était aussi habitué d'écouter les gens qui avaient besoin d'aide. Elle n'en était pas à sa premières fois avec quelqu'un qui voulait passer à l'acte.

Elle n'était certaine de ne pas croire que cet homme soit fou, mais elle n'était pas ici pour juger de la veracité de ses dires ou non. Sa Foi personnel définissait qu'elle devait l'aidé, et que malgré toutes les douleurs du mondes, il y avait une raison à tous ça. Le libre arbitre était à ce coût, la douleur, la souffrance, le choix de faire le bien ou le mal. Elle... elle était maintenant l'instrument de Dieu, donc, techniquement, elle ne vivait que pour tenter de réparer le plus de tort et faire le plus de bien possible, mais en tant que quasi humain, même si elle était plus une bizaroïde que réellement humaine, elle avait encore ce libre arbitre.

Et il y avait aussi cette étrange pression, support, intuition, qui semblait vouloir l'aidé et la diriger vers la bonne direction. Elle eu une courte prière, parce qu'elle ne connaissait, ni ne comprenait rien à ce que racontait cette homme. Comment une jeune femme tel qu'il la décrivait avait put terminer en enfer ? Il devait faire une erreur, l'homme pas Dieu. Ou bien Satan... s'il existait vraiment, ce dont elle doutait, avait réussi à faire une entourloupe. Il était dit dans les histoires qu'il était un pro de tout ça. Mais comment faire en sorte que cet homme veuille vivre ? Qu'est-ce qu'elle pouvait lui dire ? L'énerver au point qu'il reviennent sur ses pas pour tenter de lui faire quelque chose ? Elle doutait que ce soit réellement positif et long terme. Elle devait le faire parler, lui redonner espoir.

"Si tu as raison sur qui est Dieu, alors abandonné ne le fait-il pas gagner ? Cette femme que tu prétens aimé, serait-elle heureuse que tu gaspille ainsi ta vie ? N'y a-t-il rien qui de donne envie de te lever le matin ? Si tu sautes, je suis certaines que des gens seront triste, moi en tout cas je le serai."

Voilà, le faire parler. Il fallait qu'elle trouve une encre, un hameçon pour le racrocher à la vie. Quelque chose. Elle détestait les paroles qu'elles avait du dire sur Dieu, mais elle était déjà damné de toute façon. Un peu plus, ou un peu moins, si ça permettait de changer une vie, la sienne était déjà promis à l'enfer.

Elle se permit malgré tout une prière sincère et du fond de son coeur.

::S'il vous plait, laissez moi trouver les mots justes pour l'aidé, pour lui redonner l'espoir.::

Cette fois, elle ne put empêcher une pensée blasphéamtoire qu'elle regretta tout de suite de lui traverser l'esprit.

::Mais dans quel merdier est-ce que Dieu l'avait fourrer ?! ::

Mais non, elle n'était pas assez importante pour que Dieu la regarde... a moins que cette homme, malgré ses propos digne d'un asile, ne le soit lui ? Et si oui... ce qu'il disait ? Non ! Elle ne pouvait pas croire tous ça, les démons, l'enfer, oui, jusqu'à un certain point, on en parlait dans la bible, mais la cruauté de Dieu, ça jamais !

"Vous êtes important pour moi, et pour lui, parce que vous êtes quelqu'un aussi. Vous avez une âme, et pour moi, c'est suffisant. Tout le monde mérite de vivre, et si ce que vous dites est vrai, et bien elle aussi mérite qu'on se batte pour elle non ? Ou allez-vous simplement laissé tombé parce que c'est difficile? Moi, je pense que Dieu croit en vous et qu'il m'a pousser vers vous se soir pour vous le dire. Je pense qu'il veut votre réussite."

Elle savait qu'elle jouait gros en disant tout ça, et pourtant sa sonnait tellement juste. Elle ne s'était jamais senti plus près de Dieu, plus vivante que se soir, en cet instant. Ça ne pouvait qu'être la vérité, c'était la vérité.

"Moi, je crois en vous. Je n'y connais rien à tous ce que vous raconter, mais je crois en Dieu, en la Vie et je sais qu'il y a des choses dans ce monde qui ne peuvent être expliquer."

La jeune adolescente refusa d'entré dans un débat théologique avec un homme au bord du désespoir. Elle savait que c'était innutile. Utilisé ses paroles pour le piquer au vif et le forcer à discuter, oui, absolument, mais elle ne le croyait pas du tout quand au parole haineuse et désespéré qu'il prononçait sur Dieu. Certes, elle se doutait qu'il y avait plus dans le monde que ce que les gens pouvait en voir. Si l'enfer existait, et bien alors Lucifer et Démon aussi, mais le reste n'était pour elle qu'élucubration d'un homme désespéré. Elle les écouta, mais uniquement pour tenter d'y trouver une clé pour le sauver. Sa foi était trop forte, trop profonde, et c'était le seul fondement de son existance. Il allait falloir beaucoup plus que ça pour l'ébranler.

Par contre, le reste de ce que dit l'homme ébranla l'âme même de la jeune femme. Elle ne savait pas si c'était réellement possible de faire des transaction avec le Diable. Pour elle, il était en quelque sorte une méthaphore, une entité lointaine et qu'on ne rencontrait qu'à sa mort, qyi tentait d'influencer à travers les pensée et les petites choses, tout comme Dieu, la vie des mortels sans réellement y prendre part.

Et poutant, elle ne pouvait nier avoir ressentit quelque chose de plus fort qu'elle la guider se soir. Ange ou Démon ? Elle ne pouvait croire que Dieu lui avait fait délivrer un message aussi sombre au final. Elle était déjà damné, alors peut-être que le Diable l'avait utilisé. Elle avait succombé, une fois de plus. Elle n'étais qu'une bonne à rien, une faible, et voilà qu'elle venait d'augmenter encore si terriblement la noirceur et le poids sur son âme. Mais cet homme, lui, était encore vivant. Elle ne pouvait plus rien pour sa famille, mais elle pouvait encore essayer de le sauver lui.

"Je suis sur qu'il doit y avoir autre chose. Votre âme, c'est précieux, c'est le fondement même de l'existance. Ne faites pas ça."

Sa voix avait des accent désespéré maintenant. Elle était absolument horrifié. Elle se doutait bien cependant, à regarder l'homme que ses paroles était jetter à l'eau. Encore une dette de plus à mettre sur son karma. Elle n'existait que pour aidé et sauver des gens, et encore une fois, merde qu'elle était, elle avait fait une autre monumental erreur. Elle aurait du trouver d'autre mots, le ramener autrement. Elle n'était qu'une raté. Elle n'aurait jamais assez de toute sa vie, ou même de cent ans de souffrance pour se racheter. Mais elle ferait de son mieux quand même. Elle protégerait cette homme, un de plus ou de moins. Ça changerait si peu au final. Elle refusa de laissé le découragement gagné. Elle avait une mission, et malgré qu'elle ne serait jamais à la hauteur et qu'elle savait que rien ne rachèterait ses erreur, elle priait encore pour un miracle malgré tout. Elle priait pour faire assez de bien pour qu'au moins ses parents soit fier d'elle. Et qui sait, peut-être qu'on lui permetterait au moins de les revoirs une dernière fois, à sa mort, avant de l'envoyer en enfer.

Care n'entendit pas le reste des mots, ni les remerciements, ni les justifications, ou quoi que se soit. Elle se sentait sale et démoli, mais elle refusait de le montrer. Son visage c'était refermer, son sourire était devenue factice et ses yeux avait perdu leur étincelle. Il était comme mort, mais elle faisait de son mieux pour faire bonne figure. Elle s'était planté encore une fois et elle était assez intelligente pour comprendre qu'elle n'y pouvait plus rien. L'homme avait fait son choix. Elle ne pouvait qu'essayer de l'aidé, elle n'y connaissait rien en "démon", mais elle pouvait prié et espéré que l'homme soit simplement tarré.

Sauf que la magie à laquelle il fit appel sembla lui prouver le contraire. C'est à la fois horifié par les implication que cela amenait et absolument émerveillé devant les ailes qu'elle resta planté devant le soulons qui s'envola... pour aller s'écraser dans des poubelles juste un peu plus loin. Sans réfléchir, la secouriste prenant le dessus, elle se mit à courir vers le lieu du crash pour voir l'homme tenter de se relever, le visage en sang, une coupure assez profonde sur le frond, et qui tentait de rassurer la galerie comme tout homme sous le fait si mal. Elle secoua la tête, se concentrant sur ce qu'elle devait faire. Utilisé ses pouvoirs sur lui voulait dire se prendre la cuite de sa vie, mais ce ne serait pas la première fois. Elle l'avait apprise à ses dépents, elle n'avait pas le total contrôle de ce qu'elle absorbait, juste le rythme et la quantité.

Elle repoussa, sans grande difficulté, vu l'état de l'homme et la force non négligeable qu'elle possédait malgré sa petite taille (elle ne vivait que pour l'entrainement et sauver des vie après tout).

"Ah non, hein, sa suffit là, rester tranquillle un moment que je vous soigne ça."

Normalement, elle n'utilisait pas ses dons devants les gens, mais il avait fait de la magie avec tellement de désinvolture qu'elle jeta aux orties sa propres peur. Elle lui devait bien plus que ça pour le mal qu'elle venait de faire se soir.

Elle décida d'y aller rapidement avant de ressentir les effets de l'alcool, et plançant la main sur son front, elle absorba tout en quelque secondes. Une blessures s'ouvrit sur son front, mais elle sembla avoir eu au moins quelques jours de plus que celle de Constantine, c'était au moins ça, et elle se mit à tituber comme si elle avait but il y avait seulement quelques heures. La vision se troubla et ses pensée devinrent flou. Arf... c'était attroce. Elle se promit à nouveau de ne jamais boire d'alcool volontairement. c'était tout simplement horrible.

Oh la vache ! Mais il avait bu combien de verre le gars ! Non seulement elle avait la tête qui tournais, mais elle se sentait presque malade. Elle arrivait même plus à réfléchir. Heureusement qu'elle avait pas tout son alcool quand même, mais c'était vraiment horible cette sensation.

Elle osa même pas bouger, elle avait peur d'être malade ou de se retrouver sur les fesses. Ellea vait jamais été aussi mal depuis la chimio. Elle comprenait vraiment pas comment les gens pouvait avoir envie de boir un truc qui non seulement goutait infecte, mais en plus te faisait sentir aussi mal après. Les adultes était tellement ridicule parfois. Et il pensait avoir raison et patata. Non, mais franchement.

Et d'un coup, toute ses blessures, y compris celle qu'elle avait chopé dans la journée, disparures.

"Oh ! Un v'ai mi'acle... pu'd bobo !" Elle se rappelait même plus qu'elle devait parler en anglais alors le tout était sorti en vrai québécois.  Elle regardait d'ailleur Constantine comme une chouette égarré, incapable de vraiment distingué quoi que se soit autour d'elle.

Et après quelque secondes de plus, le temps que Care tente de comprendre ce qui se passait, elle redevint sobre. Ça, se fut vraiment un soulagement. Mais la rapidité du truc la laissa un peu étourdis et confuse. Elle ne comprenait pas trop ce qu'il venait de se passer, elle se rappelait juste vaguement que l'homme avait dit des trucs étrange, dans une autre langue, et hop, des miracles avait eu lieu. Et il disait ne pas être de mèche avec Dieu. Elle n'eu pas le temps d'en placer une, ou quoi que se soit, qu'un étrange phénomène, et un de plus, se produisit. Un genre d'ovale lumineux apparu dans les air, comme les portails dans les films fantasique ou de Sci-Fi qu'elle écoutait autrefois avec sa famille. Dedans, il y avait une sorte de manoir, l'homme lui balança son nom et disparu.

Elle resta donc pendant de longue seconde à se demander ce qu'il s'était passé, pourquoi et comment. Elle était sobre de nouveau, mais elle y comprenait pas plus quoi que se soit. Finalement, elle décida de ne pas essayer. Elle avait vu des miracles se soir, elle avait eu de la chance, elle était béni et surtout un peu plus damné d'avoir envoyé un homme sur la voie de la perdition. Il n'y avait rien à comprendre, c'était juste un poids de plus sur ses épaules, mais ça n'avait pas d'importance, parce qu'il vallait mieux sur ses épaules à elle que celle d'un autres. Elle avait été un instrument dans la main de Dieu, elle acceptait ce qui venait d'arrivé. Elle prenait le poids suplémentaire et ferait de son mieux pour racheter aussi cette faute. Elle était une damné, alors autant que se soit elle et pas quelqu'un de pure qui doivent porté cette croix de plus. Elle existait pour ça, après tout. Souffrir pour les autres était sa mission.