Esteban est né à Gotham, s’il n’a pas réellement connu son père parce qu’il était beaucoup partie pour son travail, il aura été assez proche de sa mère jusqu’à ces quatre ans. Sa mère décédera malheureusement à cause de la maladie, et il finira seul avec un père particulièrement absent. Malheureusement, le paternel n’aura pas “le temps” de s’occuper de son fils, à un point que Esteban sera beaucoup à la garde de sa tante du côté maternel. Il avait beau voir son père dès qu’il rentrait de permission, il avait toujours grandi avec un certains manque dans sa vie, assez que pour que cela finisse par le faire arrivé à l’adolescence avec une certaine colère et une rancune qu’il aura toujours du mal à expliquer. Encore aujourd’hui, il est assez frustré par son enfance, n’ayant pas connu comme il le voulait ces parents.

Enfin, durant son adolescence, il fera toutes les bêtises possible et imaginable, comme s’il cherchait inconsciemment à attirer l’attention de son père, qui vieillissait en tant que militaire, un bon soldat. Malheureusement, cela ne fonctionna pas vraiment et malgré la présence de sa tante, il apprenait tout de même à se débrouiller seul. Au point, qu’il rencontrera un jour une jeune femme, d’à peine deux son sa cadette. S’il avait que 17 ans à ce moment là, Esteban finira par tomber amoureux de la demoiselle, qui en avait 15 à cet époque et qui visiblement avait finit par être épris du jeune Konrad au fil du temps. Les deux jeunes gens commencèrent donc une petite idylle et si les parents ne faisaient que dire que c’était passager, il semblerait bien que cela durait fortement et que leur relation se fit bien plus forte qu’on ne l’aurait cru.

Même si Esteban n’aimait pas l’école, qu’il détestait rester sur un banc et qu’il avait visiblement besoin d’action, comme on dirait, il finira par aussi demander à entrer dans l’armée, après de longue discussions avec sa petite amie, Sheryl. Celle-ci avait beau ne pas vouloir que son petit ami finisse loin d’elle, il semblerait bien qu’elle soit d’accord pour qu’il suive ces propres envies et comptait le soutenir peu importe ces choix. Ce sera vers ces 18 ans, que Esteban finira par s’engager, au plus grand bonheur de son père, qui avait finit par prendre sa retraite en vue de son âge et Este’ continuera sa petite vie à l’armée malgré tout. Malgré que tout allait bien, il finira par tout de même recevoir, un jour, une lettre de sa petite amie, qui finira par lui annoncé qu’elle était enceinte et cela au bout de deux  ans de formation du jeune homme. L’enfant qu’elle portait était bien le sien, et cela depuis six mois, parce qu’il avait eut une permission de rentrée quelques temps plus tôt. Et forcément, ce qui arriva, finira par arriver.

Si le jeune militaire était content de devenir père, il craignait tout de même la réaction de ces parents, ainsi que de ceux de Sheryl, et il s’en voulait en sachant qu’il ne serait sûrement pas pressant pour l’accouchement. Bien qu’il tenta tout ce qu’il pouvait pour rentrée, sa petite amie âgé de 18 ans à cette époque devra accouchée seule à l'Hôpital de Gotham. Au plus grand malheur de Esteban qui finira par rentrée au bout de presque un an, et ce à cause du travail et de missions à l’étranger. Sa petite fille était en bonne santé, malgré une différence majeur avec le reste de la population, elle avait un oeil bleu et l’autre vert, des pupilles vairons qui la rendait unique aux yeux de son père, qui songea même à changer de boulot pour pouvoir être auprès de sa famille et ne pas faire vivre la même chose que lui à sa petite fille, sa douce Emy. Mais Sheryl ne sera pas d’accord, prétextant qu’elle voyait parfaitement qu’il aimait ce qu’il faisait et qu’elle savait que ce ne serait pas pareil qu’avec ces propres parents.

Si c’était assez difficile avec leur parents, le jeune couple fera tout ce qu’ils pouvaient pour garder le cap et de résister à la pression des parents, tout en élevant le mieux possible leur petite fille. Esteban partait beaucoup en mission, assez que pour ramener pas mal d’argent à la maison et faire vivre sa petite famille comme il le pouvait. Cela faisait cinq ans qu’il faisait ce boulot depuis la naissance de sa petite fille et malgré tout, il s’organisait comme il pouvait pour voir sa famille, bien qu’une grosse mission finira par l’attendre et assez discrète pour que les supérieurs précises qu’aucune communications avec leur famille ne sera permise. Esteban n’avait pas le choix et forcément il en parlera avec Sheryl qui comprendra bien vite. Malgré tout cela, lors de cette satané mission, le jeune homme ne donnera réellement plus de nouvelles et bien plus que ce qui était prévu.

Esteban finira par devenir un prisonnier de guerre en Afghanistan, assez que pour qu’il comprenne bien mieux ce que c’était que de souffrir avec toutes les tortures et autres sévices corporel que ces personnes donnaient. Cela dura quelques mois, et il avait beau tenter de survivre comme il le pouvait, il savait déjà que ces supérieurs ne chercheront pas à venir le chercher, encore moins sur un terrain aussi dangereux. Malgré tout cela, il finira par changer de bâtiments, étrangement. S’il voyait d’autres prisonnier mourir rapidement sous toutes ces tortures, lui résistait. Sûrement qu’il était déterminer à vouloir rentrer chez lui et aller voir sa famille malgré tout ce qu’il subissait.

Le jeune homme n’était pas complètement idiot, il voyait bien que ceux qui l’emmenait était différent de ceux qui étaient réellement dans cette “base”. Esteban resta pourtant silencieux, se demandait bien ce qu’ils comptaient faire de lui, peut-être que c’était la fin, que plus jamais il ne verrait sa famille. Le Soldat pensait réellement que s’était la fin cette fois, avant qu’il ne finisse par être attacher à un lit, une sorte de lit d’hôpital, il ne pouvait plus bouger les mains, ni les jambes et la pièce était terriblement clair, à un point que les lampes pouvaient être douloureux pour ces yeux avec tout ce blanc immaculé. Il ne comprenait pas vraiment ce qu’il se passait dans un premier temps, avant de voir des personnes en blouse blanche arrivé, un masque sur la bouche, et puis… il repéra bien vite ce petit chariot avec ces seringues à la substance douteuse. Clairement, il ne le sentait pas toute cette histoire… Mais vraiment pas. Et il avait soudainement l’impression d’être un genre de rat de laboratoires. Parce qu’il avait eut des résultats particulier, on finissait par l’utiliser. Et cela sentait pas bon pour lui.

Ces expériences durèrent encore quelques années, à un point qu’il sentait quelque chose changer chez lui, il avait clairement perdu la notion du temps, et il ne savait même pas qu’il venait d’atteindre ces 26 ans. Tout cela était particulièrement douloureux pour Esteban, qui avait encore du mal à comprendre ce qu’il se passait, et bien qu’il s’attendait à mourir, il ne pouvait cessé de penser à sa petite fille, qui grandissait sans lui et qu’il n’avait pas vu depuis pas mal de temps. Et c’était avec cette envie de rentrée chez lui, ce besoin de partir, alors qu’il avait entendu dire qu’ils allaient se débarrasser de lui parce que “l’ennemi” approchait, que Esteban se montrait plus vigilent et qu’il profita de l'inattention d’un des gardes pour agir et usé de quelque chose qui sommeillait en lui depuis un moment. Ces expériences avaient activé quelques chose qui faisait de lui un être à part, ils avaient fabriqué ce qu’il était devenu, il avait une sorte de “pouvoir” et il l’utilisait contre ces créateurs.

Esteban avait beau tout faire pour sortir de là, il finira par tomber nez à nez avec une équipe tactique de l’armée, qui n’était autre que son propre pays pour qu’ils finissent par l’emmener, alors qu’il se sentait terriblement épuisé face à tout cela. Il demandera à rentrée chez lui, à vouloir partir, mais ils le laissèrent d’abord quelques temps en observation afin de voir ce qu’ils avaient fait avec lui. Esteban était frustré, même son propre camp l’enfermait. Il avait donc beau demandé à ces “supérieurs” s’il pouvait enfin partir, il n’y avait rien à faire… Le pauvre garçon remarquera bien vite qu’il était tellement sous surveillance que sa “cellule/chambre” comportait une caméra de surveillance, afin de l’observer de jour comme de nuit. Il n’était clairement pas content de constater ce genre de choses, encore moins avec ces crises.

Parce qu’il fallait bien dire ce qu’il en était, tout ce temps enfermé, Esteban avait gardé des séquelles, s’il avait des cicatrices sur le corps, son état mental laissait à désirer. Il faisait des crises d’angoisses, quelques moment de paniques et parfois, il avait l’impression de se revoir en Afghanistan, dans cette cellule de détention, en train de subir toutes ces expérimentations. Tout cela n’aidait pas du tout le future Ex-soldat, qui finira par avoir bien vite un suivi psychologique par un psychologue de l’armée, voir même du gouvernement. Au final, il ne fallait pas être con pour se dire que lorsqu’un de ces soldats finissaient dans une tel situation, avec un tel “don” par la suite, que le Gouvernement finirait au courant de ça. Este’ ne cessait de vouloir voir sa famille, de réclamer leur présence, malgré tout ça ce qu’il se passait, il lui arrivait même d’être violent à l’encontre des médecins, autant du psychologue où des gardes.

Mais ils faisaient toujours tout pour finir par lui injecté de l'anesthésiant, afin qu’il se calme, qu’il dorme pendant des heures et ainsi on pouvait bien lui prendre tout un tas d’échantillons de sang, sans qu’on vienne être perturbé par les réaction du jeune homme. Il détestait ce genre de moment, où il se sentait incapable de bouger, où de réfléchir. Le psychologue viendra même à lui prescrit des médicaments, parce qu’il faisait bien trop de crises depuis son retour et que cela l'aidera à se calmer. Esteban détestait les médicaments, de toute sortes, mais il semblait vraiment ne pas avoir le choix avec tout ça. Surtout si cela pouvait un peu l’aider à se calmer, parce que le médecin en psychologie et traumatisme mental avait clairement été clair avec lui: S’il n’arrivait pas à se contrôler, à se calmer, que ces crises se répétait trop, jamais il ne verrait sa famille. Forcément, qu’il avait envie de se soigner pour pouvoir les rejoindre, mais cela restait difficile malgré tout.

Un jour, un homme du Gouvernement viendra voir Esteban, avec la présence du Psychologue… Cette blouse blanche lui sortait toujours autant des yeux, bordel. Mais il travaillait dur pour éviter des crises à répétition, et c’était clairement pas facile, encore moins quand il finissait avec les mains tremblante, dans ce genre de moment, il ne cessait de se les tenir, comme si cela aidera à le calmer. L’homme accompagnant le médecin, demandera à Esteban s’il voulait faire partie d’une équipe spéciale, afin d’arrêter ces gens qui lui avaient fait cela, c’était assez étrange comme demande. Esteban voulait juste rentrer chez lui, sans plus. Il se fichait bien du reste à l’heure actuel. Alors forcément, il refusa, parce qu’il avait une famille. Il ne savait rien des gens qui lui avaient fait ça, à part qu’ils étaient un groupe qui sévissait depuis pas mal de temps déjà. Esteban avait beau avoir répondu aux questions des interrogateurs de l’armée et du Gouvernement, il n’avait rien dit de plus, parce qu’il n’avait rien vu en plus où avait tout simplement finit par oublié. Il avait encore du mal à se rappeler certaines périodes d’ailleurs, comme si son cerveau avait tout simplement fait en sorte qu’il ne se souvienne de rien.

Forcément qu’il finira par démissionner à force qu'on lui demande de rester, de faire partie de cette équipe, il préférait donc s'en aller sans demander de plus. Il voulait retourner à une vie simple et cacher ce qu’il était devenu. Ces supérieurs avaient beau tenté de le convaincre de rester, que ce “pouvoir” pouvaient aidé le pays, vu les attitudes et tout le barda de prises de sang et autres tests divers qu’il avait subit, au lieu de le laisser rentrer chez lui, il préférait s’en aller, malgré qu’il savait bien qu’il finirait par les avoir à nouveau aux fesses un jour.

C’est à ces 28 ans qu’il pourra revenir à Gotham, si sa petite amie était surprise de le revoir, qu’elle l’avait cru mort, sa petite fille semblait ne pas le connaître malgré toutes les photos montré par sa mère. Elle mettra un peu plus de temps pour finir par aller dans ces bras, et fondre en larmes. Cette petite fille ne comprenait pas ce qu’il se passait du haut de ces 8 ans, normal, et il se gardait bien de dire quoi que ce soit. Il expliquera juste tout cela à sa femme, qui avait du mal à lier les fins de mois, cette ville devenait dangereuse et il s’en voulait d’avoir été absent tout ce temps, bien que cela n’était en rien de sa faute. Ils étaient dorénavant réuni pour continuer leur vie, Esteban allait chercher du travail dès le lendemain, et si sa petite vie était plutôt tranquille au début, malgré ce que la ville devenait, il avait énormément de mal à comprendre ce qu’il devait faire de tout ce “pouvoir”. Cela lui faisait peur, malgré tout.

Le jeune homme n’en parlera jamais à sa femme et il en aura même pas le temps… Les récent événement de Gotham CIty avait mis en danger ces habitants, et s’il était absent ce jour là, parce qu’il travaillait en temps que gardien de sécurité, l’appelle qu’il recevra ce soir là, lui fit froid dans le dos, il ressentait une cassure dans son coeur, assez que pour qu’il finisse par quitter son poste pour se rendre à l’hôpital de la ville, pour aller voir sa femme. Emy était présente avec une amie de la famille, Martha, une voisine qui était vite devenu un membre à part entière de la petite famille. La petite fille était en pleure, et Esteban chercha sa femme du regard, mais rien… Un médecin viendra le chercher, afin d’aller directement à la morgue afin de reconnaître le corps de Sheryl, décédée. Tuer par une bande d’enfoirés, comme il le disait si bien. Ils avaient beau les cherchés, rien n’avait été retrouvé, même au bout de plusieurs mois.

Alors forcément, malgré qu’il s’était jurer que non, Esteban décida de chercher après eux, pas par vengeance, mais parce qu’il avait envie de rendre justice à sa femme. Il ne savait pas vraiment comment il finirait par s’en sortir, mais il semblerait bien que ce “don” qu’on lui avait donné, allait peut-être réellement lui être utile cette fois. Malgré ces événements, malgré le deuil, il fera tout pour élever sa fille comme il le pouvait, s’arrangeant avec Martha pour ne jamais laisser Emy seul dans cette ville. Surtout qu’elle n’avait que dix ans, mais c’était aussi la seule personne qu’il aimait le plus, qui était encore à ces côtés.