Le bucher a était un sacré événement, mais le calme est revenu dans gotham enfin un calme tout relatif. Enfin la définition du calme à gotham. Juste des braqueurs, quelques meurtres et des disparitions.
Parfois je me rends compte a qu’elle point c’est absurde de dire cela. Un étranger nous prendrait pour des fous… 
Mais quand Gotham est votre quotidien, on profite de chaque instant d’accalmit.

Après avoir pansé nos blessures au bunker, nous avons chacun repris notre routine.
Je reprends mes patrouilles nocturne, je l’aurais bien partagé avec quelqu’un mais on a chacun nos objectif.
J’ai commencé ma balade dans le quartier du bunker, au cas où un nouvel appel soit donné.
Durant une pose sur un toit, j’entends une voiture parcourir les rue a une vitesse beaucoup trop élever, je décide alors de la suivre.
Elle est en mauvaise état et les passagers écoutent d’ailleurs de la mauvaise musique en même temps vu le volume à laquelle il l’écoute ils doivent être sourd.
Je la perds un pendant quelque minute de vu, ne pouvant égaler sa vitesse avec mon grappin et ma course.
J’entends des cris.
J’arrive à leur origine une station-service.
Comme je me doute, il ne sont pas là pour prendre de l’essence.
Cependant, je remarque qu’un des passagers de la voiture est à terre.
En observant la scène avec plus d’attention je vois un individu encapuchonné cacher et armé.
C’est surement une Embuscade. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu droit à a des règlements de compte entre gang.
Je bondis de mon toit pour atterrir sur le toit de la station-service.
J’active la vision thermique de mon masque.
Puis me balance au rebord du toit de la station pour pénétrer dans le bâtiment, dès l’instant où mes pieds touchent le sol je fais sauter une grenade fumigène.
S’en suit un combat rapide, contre les deux malfaiteurs, qui paniquent et vident leur chargeur dans la brouillard.
Je les désarme les assomme et les ligote. Je ne désarme par la même occasion le vendeur. Pas besoin de prendre de risque.
Je fini par m’occupé de l’individu qui était dissimulé, je passe derrière lui, et lui fais une clef de bras et lui enlève sa capuche. La brume ce dissipe. Je désactive la vision de mon masque.
Un adolescent.
 
-Qu’est-ce que tu fais là ? Je te conseil pas de continuer à fréquenter ces gens, la prochaine fois que je te vois, je t’arrête comme les autres.
 
Je relâche ma prise et le pousse en avant, puis j'envoie un signal à la police avec mon brassard.

- Peut-être et tu t’es mis en danger en faisant cela, si tu es vraiment là pour ça.
 
C’est triste de voir autant de jeune à la rue encore aujourd’hui, ce faire endoctriné par des gros bonnets et devenir des chairs à canon pour les monstres que cache cette ville. De voir cette adolescent me fait furtivement pensez à Jason. Lui aussi avait commencé sa vie avec rien… Mais il n’a pas su faire profit de ce qu’on lui a offert. J’espère que les enfants de Gotham ne sont pas tous destiné à devenir des meurtriers… Mais le temps passe et me fait mentir…
Les questions du jeune homme me touchent, car elles sont tristement vraies, et je vois dans son regard son appel.
Malheureusement, la seule réponse que j’ai est prémâchée et je n’en suis pas fière.
 
- La première chose arrêter de se battre et de jouer au héros. Et ensuite, trouvé un job, faire des études et montrer ce que l’on vaut vraiment. Ce sont les seuls moyens de sortir de la rue honnêtement et de gagné le vrai respect.
 
Au fond, j’ai honte d’énoncé ce discours de boyscout, mais ces paroles son sensé. On n’aidera pas cette ville avec une armée d’apprentie Batman. Cette ville a simplement besoin d’une nouvelle génération qui saura la reconstruire et lui redonner une âme et non pas une énième guerre.
J’avance doucement vers la sortie, en entendant le bruit des sirènes au loin.
 
- Aller file et bonne chance