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 Un emploi un peu moins honnête...

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MessageSujet: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptyJeu 3 Juin 2021 - 9:48

Little Italy.... Ah ! Rien de tel que les clichés des quartiers ethniques comme celui-ci pour égayer la vie de Gotham ! Les petits commerces pour attirer les touristes, les restaurants, les bars... La mafia, les criminels et toutes ces petites choses qui égayent la vie de Gotham ! Pour profiter de sa soirée, Cole avait jeter son dévolu sur le quartier de Little Italy sur Bleak Island. Un taxi l'avait emmené là et il était rentré dans un bar qui était pas trop craignos histoire de pas avoir à casser les gueules de quelques ivrognes un peu trop insistant. Cependant, il restait aisément remarquable, grand, musclé et blond, il avait la carrure digne de son emploi d'ouvrier de chantier et nul doute qu'il était la paire de gros bras idéale aux yeux des clients.

Cole atteignit alors le comptoir, une odeur de cigarette imprégnait l'air accompagnée de celle des alcools, un brouhaha emplissait l'atmosphère auditive de l'endroit et bien des gens lançaient des regards curieux vers ce grand blond sorti de nul part. Ici, deux langues étaient parlées, l'italien et l'anglais. Cash n'eut aucun mal à passer commande et se prit alors un bon whisky alors qu'il sorti une cigarette d'un paquet bien rangé dans la poche intérieur de sa veste avec un briquet. Après deux bonnes minutes à attendre au bar et à promener son regard sur les clients, et surtout certaines clientes du bar, il reçu sa commande, réglant celle-ci avant d'aller s'installer tranquillement à une des rares tables vides pour commencer à boire tranquillement son verre et guetter un peu les alentours. Il tentait un peu de repérer les différents groupes de personnes présents. Du simple groupe d'amis profitant d'une soirée un peu miteuse aux mafieux suspicieux en passant par les couples et les collègues de travail sortant d'une longue journée...

Cole buvait paisiblement, puis repéra un groupe de personnes entre la vingtaine et la trentaine, il y avait dans ce groupe une fille qu'il trouvait plutôt jolie et ça faisait un moment qu'il n'avait pas un peu flirté ou qu'il s'était amusé avec des gens quelconque. Puis c'était l'occasion de rencontrer quelques personnes de Gotham en dehors de son boulot... Et d'apprendre certaines choses aussi !

Il se leva de sa table une fois son verre fini, écrasant sa clope dans un cendrier alors qu'il avait remarqué que la fille s'était éloignée un peu de son groupe pour commander quelque chose. C'était probablement un des meilleurs moyens de s'intégrer, s'approcher d'un membre du groupe quand celui-ci est à l'écart afin que si le contact passe bien, il nous fasse rentrer de lui-même dans le groupe. Arrivant au comptoir et se plaçant non loin de la jeune femme, Cash vint alors lui dire d'une voix amicale en la regardant du coin de l’œil.

- "Je vous paye le verre et on discute un peu?". Elle semblait au départ assez réticente, regardant d'un œil méfiant le grand blond en le jaugeant du regard avant de regarder le reste du bar rapidement comme pour comparer, se rendant sans doute compte qu'il était l'un des "meilleurs choix" actuellement dans le bar. Une belle gueule, grand, costaud, bien habillé comparé au reste des clients et l'air jeune. Avec un peu d'entrain elle hocha la tête avant de passer sa commande et demanda a Cole :

- " Tu es nouveau ici, non ? Je t'ai jamais vu ! "

Cash fit un hochement de la tête, poursuivant leur dialogue en venant répondre  à la question avant d'en poser une à son tour :

- " Ouais ! Je suis arrivé en ville récemment ! Je m'appelle Cole ! " Elle vient alors lui répondre - " Enchantée ! Moi c'est Clara ! Laisse moi deviner, tu viens de Little Odessa ? "

La question vient arracher un petit rire à Cole. Il était grand, blond et musclé, forcément qu'on le prenait pour un slave ou un scandinave. Il fit un simple non de la tête, alors que le duo continuait paisiblement leur discussion dans ce petit bar de Little Italy. Une soirée honnête pour un travailleur honnête, pas vrai ?
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptyJeu 3 Juin 2021 - 10:56

Rien de tel qu'une virée entre potes biens machos dans des bars de merde à Little Italy. Bon, c'est un truc bien viril hein, le genre de truc qu'on passe entre potes sans arrière pensée, pas le genre de trucs où on se bourre la gueule les uns les autres et où ça finit dans les chiottes du bar en train de se sucer la queue les uns les autres. Nan, ça, c'était de la merde. J'étais un putain de mâle alpha, le genre qui claque le cul des putes tout en versant du whisky qui coule dans la raie du cul. Le genre de mec à qui on la fait pas. J'suis un putain de rital, pas une tapette de la haute. Ce soir, avec les potos du boulot, on en avait ras le cul, on avait eu une journée de merde au garage. Ouais, fallait retaper ces putains de camions pour pouvoir faire les livraisons. Même si les flics étaient un peu coulants en ce moment, fallait quand même garder à l'esprit que les affaires étaient merdeuses, biens dégueulasses en ce moment. Quand on gagnait un minimum de blé, c'était pour le réinvestir dans les camions et le personnel. Le genre de merde administrative qui t'étrangle et qui te permet pas de te faire assez de blé pour t'en sortir. Heureusement, y'avait les petits contrats de la mafia pour renflouer un peu. Ce soir, on voulait se vider la tête avec Gros Jimmy et Earl, deux bons péquenauds qui étaient venus de leur cambrousse du sud pour venir travailler pour moi à Gotham City. C'étaient mes deux meilleurs camionneurs, et mes deux meilleurs livreurs. Un peu retardés, mais gentils les deux cons. Là ce soir, je voulais me mettre une putain de murge, trouver une pute, et faire une roue de la liberté, un truc bien américain. En fait, la roue de la liberté, c'est quand tu fais une roue avec ta langue autour de la rondelle des fesses de la nana, ça les excite, en fonction des meufs, quand tu titilles le trou de balle avec ta langue. Le genre de trucs crades qui te met bien dans la merde, mais au fond, t'es bien dedans. Après, j'avais dans l'idée de trainer ce genre de chienne, à poil, dans les rues, comme une bonne petite chienne en chaleur, mais ça, c'était si j'étais bien bourré, bien à fond. Les petits plaisirs de la vie quoi. C'est alors qu'on se décide de se taper quelques bars, et ce bar miteux là, là, on allait se mettre bien. On allait pas beurrer les tartines, on allait en prendre un bon coup derrière le crâne. Poussant la porte du bar, je me laisse palper par le vigile qui traine, un pote que je connais mais dans la vie, on doit quand même filer ses armes, si on veut boire un verre dans ce pays. Mon flingue, je lui laisse, et je rentre dans le bar. Putain, y'avait une chiée de monde, c'est à croire que tout le monde a envie de boire un verre ce soir. Une jolie serveuse passe à côté de moi, je lui donne une petite claque sur le cul. Elle ricane.

> Salut Esther, j't'ai manqué ?


Une brune avec un putain de visage, et avec des seins comac ! Des bons gros oreillers et un bon gros cul dans lequel tu rêves de t'étouffer et d'en crever. Le véritable bonheur pour un homme comme moi. J'écrase mon cigare sur le sol, et je me rappelle avec nostalgie et jouissance, de ce coup d'un soir dans ma roulotte dans ma décharge perso. J'avais déjà serré cette meuf, ça avait fini tard cette fois-là, vers quatre heures du matin, après son service. Elle avait besoin de quelqu'un pour la raccompagner, j'avais déjà quelques grammes dans le sang et j'avais une carrure d'armoire à glace qui donnait l'impression aux connards qu'il fallait pas me la faire. J'étais le genre qu'on emmerdait pas. Alors que je pose ma main sur l'épaule de la gonzesse, je lui murmure un truc.

> Si t'as envie de revoir monsieur Zucco et ses orphelines, attend-moi ce soir derrière ce rade. Je te mettrais quelques petits coups derrière les poubelles. Je te ferai jouir, t'imagine même pas.


Dans ce rade, ça bougeait, je file un sourire en blanc à la gamine et elle glousse de rire avant de repartir. J'avais le chic avec les nanas, le plus important, c'était d'avoir une bonne langue, et après, tu passes pour un putain de dieu. Tu trouves le point g, tu leur fait plaisir, et tu leur dévore la teuteuche avec classe et brio. Claquement de doigts, je siffle dans l'assistance. J'étais dans mon jour de bonté. Alors j'allais faire plaisir à tous ces abrutis. Je lève les bras, on peut me voir avec ma chemise verte, certains pouvaient se demander qui était ce colossal beauf qui ramenait ses fraises, mais à Little Italy, j'étais une putain de légende. Les gens acclamaient motherfucking Zucco. J'étais un des mecs qui avait survécu au long Halloween, qui avait racketté un cirque minable et qui était la proie préférée du Batman. Et il m'avait encore jamais chopé ce gros con volant. Personne ne baise Tony motherfucking Zucco. Personne. Je gueule un bon coup dans la salle, histoire qu'on m'entende.

> Tournée générale pour tous, bande d'enculés ! De la part de Tony Zucco !


J'suis fort en gueule, c'est vrai. Bon, le truc, c'est que j'ai rien pour payer la tournée générale. Ce sera au dernier pauvre con qui sera dans la salle qui paierait comme un crétin. J'ai pas de fric, mais la popularité, ça se paie pas avec du fric, non. Surtout pas chez nous, les ritals, on est des gens simples, qui aiment la fête. Le fric c'est accessoire, donc le tenancier du bouge, il comprendrait. Je prend un verre de bière, une bière bien américaine, comme on les aime, le genre bien fade qu'on ingurgite pour se donner du courage, taper sur les nanas quand elles le méritaient et donner des coups dans la minette quand elles comprenaient rien. L'Italie, ses machos, ses femmes sublimes, et ses pâtes. J'allais avoir les honneurs, mon nom serait scandé dans la salle, et on boirait à ma gloire. Putain que j'aime ce pays. Y'avait du monde à foison ce soir, et si tout allait bien, j'allais non seulement tirer ma crampe, mais j'espérais aussi casser quelques gueules. Quand t'as du sang italien, t'as la fougue en toi, et mon sang me brûlait et ça partait généralement au putain de quart de tour. Une bonne bagarre, une bonne petite pipe d'une gonzesse et quelques verres d'alcool dans le sang. Le bonheur, ça tient pas à grand chose au final. Je lève mon verre pour saluer ceux qui saluent le nom de Zucco. Une bonne chose, j'avais besoin de ça.
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MessageSujet: Re: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptyJeu 3 Juin 2021 - 11:56

Cole poursuivait tranquillement son dialogue avec la jeune cliente du bar, une femme dans la vingtaine  d'une taille moyenne, un visage aux traits fins et à la chevelure de jais arrivant au niveau de sa nuque. et des yeux d'un bleu profond. C'est alors qu'entra dans le bar miteux 3 hommes aux allures de brutes, si deux d'entre eux semblaient pas être les plus malins, celui du milieu au contraire avait un air mauvais et était probablement le cerveau de ce trio de gros bras.

Cole haussa simplement les épaules, sa discussion avec sa nouvelle rencontre se passait plutôt bien. Le duo faisait connaissance et semblait être un petit nuage de fraîcheur dans cet endroit sombre et pourri jusqu'à la moelle. C'est alors que le rital qui venait de faire son entrée en claquant le cul d'une des serveuses se mit à beugler un retentissant :

-  " Tournée générale pour tous, bande d'enculés ! De la part de Tony Zucco ! "

Tout le monde leva son verre pour gueuler le nom de l'italien qui avait offert un verre à tout le monde. Afin de ne pas se faire remarquer ou de provoquer un quelconque début de confrontation, Cole leva simplement son verre pour accompagner le geste de la foule avec Clara. Il ne pouvait s'empêcher de garder un œil sur ce trio. Les 3 gros bras puaient la violence et le vice à plein nez, des boules de gras et de muscles casseuses de gueule comme on en fait plus ! C'est alors que Clara proposa à Cole qu'ils rejoignent tout deux son groupe d'amis qui étaient allés a une des tables du bar.

- " Viens on s'éloigne un peu du comptoir, y a mes amis là-bas, je vais te présenter ! "

Cole répondit par un petit hochement de tête, le duo se dirigea alors vers la table, en passant non loin de Zucco et ses gros bras. Cash gardait un discret regard du coin de l’œil sur eux, il se méfiait des gens de cet allure, souvent, ils pensaient que tout leur était dû, et que les autres devaient leur obéir...
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MessageSujet: Re: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptyJeu 3 Juin 2021 - 16:24

> Mais c'est Tony ! Anthony Zucco, le roi des ratés, merci pour le verre, c'est très sympa !

> Ricardo Benediti, je te croyais dessoudé, fils de pute. Darwin avait raison, même les cafards peuvent survivre à la purge.


Et merde, v'la ma chance, putain de chierie. J'avais jamais pu blairé ce gros enculé de merde. C'était le genre de petite fiotte qui se prenait pour un mac alors qu'il était qu'un gros tocard. Ricardo, c'est le genre de mec qui passe un marché avec toi et que tu fais une olive dans le cul rien que pour se mettre bien avec la bande à l'opposé. Il avait baisé des familles mineures, si bien même qu'Omerta le recherchait. Putain, ce mec, il sentait l'huile d'olive, une infection. C'était le genre de mec qui reniflait à des kilomètres. Vous savez, ce genre de gars qui arrive en soirée, il passe à peine la porte d'entrée de la maison, qu'à l'odeur, tu le renifles direct. Sans même regarder qui est arrivé à la porte. Il puait autant qu'un régiment de putois crevés en pleine canicule, nom de Dieu. Et puis cette putain de moustache qu'il avait, les cheveux gominés, mais bordel, le style de merde quoi. Y'a une nana qui passe près de moi, une espèce de blondinet qui la suit. Encore un qui va fourrer ce soir, c'était certain. Je sirote ma bière, en fixant le gugusse qui vient me les casser menue.

> Qu'est-ce tu traines dans ce bouge, Ric ? Tu sais qu'Omerta te cherche toujours.


> Ma, tu sais que je risque rien, je suis protégé, mon grand. Je travaille pour l'entreprise Luthor. Si on me touche, ça va se savoir, et personne peut me toucher. Comme si Dieu me protégeait tu vois !

> Omerta, c'est la sentence de Dieu sur les petites putes de ton genre, Ricardo. Tu devrais sucer les couilles d'Omerta et implorer le pardon des familles, si tu veux pas finir empalé sur une clôture avec les couilles dans la bouche.


> Sois plus poli, Zucco.

> Sinon quoi ? C'est pas un emmanché qui est capable d'aspirer une balle de golf à travers un tuyau d'arrosage qui va me faire des menaces. Des comme toi, j'en cogne tous les jours. Et si t'es pas jouasse, je serai ravi de te refaire la gueule.


Même avec Omerta au cul, ce connard avait vraiment rien compris à ce qui se passait en ce moment à Gotham. On se fait une petite tension. Je renifle un bon vieux molard avant de cracher un truc bien verdâtre et bien dégueulasse sur son joli veston rose. Vu sa gueule, il a pas l'air très content, mais j'en avais rien à foutre. Ce genre de mongolien n'avait rien dans le slip. Une petite queue toute flapie peut-être, mais pas suffisamment de couilles pour tenir tête à de vrais mecs. Comme les caïmans, fort en gueule, et petite bite. Quel tocard. Je le toise, j'essaie de montrer que le dominant ici, c'est moi, l'alpha ? C'est moi. C'est moi qui tire les gonzesses dans les chiottes et qui cogne les connards dans son genre. Il sort un mouchoir pour essuyer le bon vieux glaviot que je lui ai balancé. Il essaie de la jouer calme, mais fallait pas me chauffer.

> Allons, Tony, on est pote tu sais. Tu devrais pas me parler comme ça. On est frère après tout.

> Continue à le croire, et si tu continues à m'appeler frère, tu vas finir avec un poing dans la gueule, tête première dans la cuvette des chiottes.


> Tu me menaces ?

> Casse-toi, c'est ta dernière chance.


Il s'énerve, il commence à me lancer un coup en pleine poire. J'évite de justesse et je lui explose la tête contre le comptoir. Derrière ça suit, j'en prend aussi une bonne de la part d'un mec qui était avec Ricardo. J'en prend une bonne dans la gueule, et t'as mes deux compères qui rentrent dans la bagarre. Et voila que les vieilles querelles italiennes, des familles siciliennes, toscanes etc, ressortent. Tout le monde commence à s'en mettre plein la gueule. Et v'la que ça s'envoie des chaises dans la gueule, les serveuses qui crient, les nanas des caïds qui encouragent leurs mecs à cogner plus fort, pariant sur le cheval qu'elles allaient se faire démonter ce soir. J'prend tarif, le copain à Ricardo à une putain de droite et ma mâchoire à pris un coup. Le même mec se fait défoncer par Eal, qui n'hésite pas à cogner comme un dingue. J'en ai pas fini avec Ricardo, je le prend par la tête, et je le cogne une nouvelle fois contre la bordure du comptoir. Il hurle de douleur, tu m'étonnes qu'il a mal ce con. J'en allume une petite, pour la forme, tandis qu'autour de moi, ça pue le carnage et la bagarre. Et v'la que ça cogne à tout va, que ça pète partout. Une bonne vieille bagarre, comme au bon vieux temps, quand la ville appartenait aux Maroni et aux Falcone. Le putain de bon vieux temps qui t'explose la gueule avec un tesson de verre dans le visage.

> Une soirée bien italienne, je sais pas toi, mais moi, je me fend la gueule.


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MessageSujet: Re: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptyJeu 3 Juin 2021 - 22:59

Cole avait rejoint le groupe d'amis de Clara et la rencontre se passait bien. Cole avait toujours eu des facilités avec le social et c'était un beau parleur, une grande gueule aussi. Enfin, il était en train de s'intégrer dans ce petit groupe alors que le brouhaha du bar continuait et tout semblait être parti pour être une soirée normale qui pourrait peut-être finir sur un *Strike* de la part de Cash. Son verre fini, Cole décida de se lever pour aller se chercher autre chose au bar. En rejoignant le comptoir il ne pu s'empêcher de lancer un regard curieux en direction d'un type accompagné d'un gros bras allant "discuter", ou plutôt provoquer le trio que Cole avait vu il y a peu entrer dans le bar. Il n'était pas loin de lui, et il avait le loisir d'entendre la teneur de l'échange... Et surtout, comment cela tournait peu à peu des insultes, aux menaces... Puis aux coups.

Une baston générale venait de débuter dans le bar... Et avec sa chance légendaire, voilà que Cole était en plein milieu de tout ce boxon ! Il savait qu'il devrait se battre comme ces brutes, et ne surtout pas utiliser ses méthodes de combats régulières, et accepter de recevoir quelques coups pour ne pas laisser de soupçons concernant ses vrais compétences. Dans le rôle de Grifter, il aurait facilement pu vaincre une bande d'ivrognes, mais dans le rôle de Cole Cash... Il n'est qu'un ouvrier de chantier costaud. Mais par contre, il pourra quand même foutre de bonne grosses mandales qui feront voler quelques molaires !

Et ça tombait bien, dans la mêlée générale qui commençait, un type qui n'aimait probablement pas sa belle gueule s'approcha, l'homme tenta un direct au pif, mais Cole bloqua l'assaut avant de riposter avec un coup de tête, le gaillard qui était venu l'attaquer recula de quelques pas alors que Cash lui lança, d'un air railleur.

- "Bon bah, on dirait que je vais devoir te péter la gueule !"

Cash enchaîna alors, venant attraper la tête de l'homme pour la cogner une première fois sur le comptoir, puis une deuxième fois avant de redresser la tête de l'homme pour lui envoyer son poing. L'homme, s'écroula alors rapidement, cependant Cole entendit derrière lui un type s'approcher et qui allait le frapper. Il aurait pu l'esquiver, mais il fallait que ça reste crédible, et alors en se tournant, il prit un violent coup de poing dans la tempe qui lui offrit alors une belle plaie saignante. Cole récupéra comme il le peut ses esprits, un autre coup venant lui frapper le diaphragme et lui coupant le souffle un instant. L'homme allait lui envoyer son genou en plein dans les côtes... Mais Cash réagit alors, venant saisir la jambe de l'homme pour la tirer et le faire tomber lourdement en arrière avant de venir lui mettre un violent coup de la semelle de sa botte pour l'envoyer voir Morphée !

La baston prenait la tournure d'une arène, ceux qui voulaient pas se battre regardaient depuis les coins les chaises et les bouteilles voler et les coups s'échanger. Certains faisaient des paris sur qui serait encore debout à la fin. Cole avait un filet de sang qui coulait depuis son arcade sourcilière. Il grogna un bon coup, et se préparait alors, pour la suite du combat contre des ivrognes ! Il gardait un œil sur ce trio, ce fameux "Tony Zucco"  avait nonchalamment allumé un cigare en plein dans la baston. Il semblait jubiler face à tout ça. Et ce bon Grifter, semblait apprécier à sa façon la tournure des évènements.
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptyDim 6 Juin 2021 - 19:03

Dans ce genre de moments, faut pas m'emmerder. Putain de bordel de merde, la bagarre, ça cassait des gueules monstrueusement. Fallait pas me casser les couilles, j'étais pas d'humeur. Par contre, fracasser la gueule de Ricardo contre le comptoir, ça, c'était jouissif putain. Le genre de trucs qui pouvait te donner une trique d'enfer. Le genre de panard qui te fait triquer tout le long de la nuit. Il tente de se débattre, mais je me saisis d'une bouteille d'alcool pour lui en donner un bon coup sur le crâne. Je le traine directement vers les chiottes, direction le bidet. Par contre, paie la puanteur, y'avait un putain d'étron de la mort dans le chiotte, et avec ma chance, la chasse d'eau était hors d'usage. Le mec qui avait pondu ce tas de merde devait pas être humain, ça non. Je plonge la gueule de Ricardo dedans. Il en avait de la chance, y'avait encore une cacahuète dedans, pas digérée. Le vieil ivrogne était à genoux, le visage dans la merde, dégustant avec plaisir un caca-huète. Il hurlait de dégout, sous la panique, transformant ses mots en pèse-alcool et humidifiant à l'aide de postillons l'étron qu'il dégustait sous le poids de ma main.

> Avec les compliments de la maison, enculé.


Bonne nuit Ricardo. Il est inconscient, il a prit un bon coup, mais je me fais matraqué par un gros fils de pute à l'arrière, qui me donne un bon coup dans le dos. Je me rétame la gueule par terre, j'ai mal, et je crache un peu de sang. Apparemment, j'me suis pété une dent. J'ai dû me mordre la langue sinon, mais la douleur dans le dos, ça c'est vraiment un bon vieux truc de fils de pute. Le genre d'attaque en traitre qui fait vraiment pute. Je me saisis d'une bouteille de Jack avant de m'envoyer une gorgée dans l'trou. La grande classe. L'eau, c'était pour les tarlouzes force huit. On se lève avec du Jack Daniels et on dort avec le Jack Daniels, c'était une attitude de mâle. Les copains semblent pas contents, et certains tentent de me frapper. Je prend cher, je réprime, je prend cher, je pisse le sang, mais j'en envoie trois sur le carreau. Alors qu'ils commencent à se ramener, les uns après les autres, je gueule.

> Porca madone ! Ma va fan culo !


Le plus con des gusses est une espèce de fillette, ce mec ouvre la bouche, un bruit guttural qui m'énerve, comme s'il réfléchissait. Plus c'était long, plus ça me cassait les couilles. Je me saisis d'une chope à moitié vide et je l'envoie dans la gueule du mec qui m'a cogné en pute. Je me lance sur lui, comme un rugbymen en force, prêt à lui démonter la gueule. Un placage net et direct qui explose la table derrière ce con. Sur lui, je le cogne en plein visage, et de un, et de deux, et de trois, fils de pute. Fais de beaux rêves. Je lui crache un bon gros molard plein de sang à la gueule pour lui apprendre le respect. Enculé va. Rien ne vaut une bonne soirée de bagarres, de beuveries, et de merde comme ça. Les vrais mecs aimaient ce genre de trucs, et j'adorais me castagner la gueule avec des tantouzes. Ouais, j'étais macho, et alors ? Les femmes aiment ça. Après tout, on est de grands singes, poilus, ou sans poils. Et les femmes aimaient ça, le retour aux origines, après tout, coller sa bite dans un trou, c'était un retour au plus profond de soi-même. C'était le bonheur, c'était naturel. Et puis, faut apprendre à procréer aussi. Mais bon, je laisse cette question aux philosophes, ma seule pensée, c'était qu'au moment même où je sortirais de là, j'irais aux putes, et je les enchainerais, jusqu'à choper une bonne chaude-pisse ou une crise cardiaque. C'est alors qu'un blondinet se rapproche de moi, je me saisis d'un morceau de bois de la table avant de le menacer. Furie dans les yeux, j'avais envie d'éclater le premier connard qui me passerait sous la main.

> Tu veux ta portion toi aussi ?


Des cris, des hurlements, c'était pas Arkham, ici, les mecs étaient sains, propres et sans saloperie, mais beaucoup d'ordures dans mon genre. Bande de pédés va ! Je vais vous la mettre si profonde que demain je serais le chef de cette putain d'ville et que c'est moi qui viendrait vous foutre une matraque dans le cul. J'exploserais quelques dents quand le moment sera venu. Cette bande de connards allait en prendre plein les dents. Je suis motherfucking Tony Zucco, et ce n'est pas un petit putain de rital qui allait me déflorer le petit trou comme ça, ni même une espèce de gamin blond débile avec une gueule de trisomique à faire pleurer sa mère. J'avais des couilles moi, des couilles ! Remplies et décidément bien fermes ! Je me tiens devant lui, fixe, comme un i, droit et ma tête levée vers ce vide sidéral. J'veux bien qu'on s'encule les uns les autres, mais un peu de politesse, c'était quand même un peu réclamé. Bien que pour ma part, je fermais l'oignon. Pas de délire anal, non merci, c'était pas mon délire. Je réserve ça aux désespérés et aux autres dégénérés du genre.

> Amène-toi et je te refais le trou du cul !
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MessageSujet: Re: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptyLun 7 Juin 2021 - 13:25

La baston faisait rage dans ce bar miteux de Little Italy, un plaisir pour les poings, les oreilles et l'envie du sang ! Bien sûr, le but n'était pas de tuer, mais si on pouvait faire voler quelques dents, péter quelques pifs et disloquer quelques mâchoires, pourquoi se plaindre ? Cole continuait de se battre comme le ferait un ouvrier, à coup de grosses mandales qui envoient directement faire de beaux rêves. Il faisait bien exprès d'accepter de recevoir quelques coups mais seulement sur des parties du corps où un choc ne risquerait pas de l'envoyer au tapis.

C'est alors que deux hommes vinrent lui saisir les bras pour le tenir, alors qu'un troisième s'approcha et commença a le frapper plusieurs fois, ventre, cage thoracique, tête.. Après avoir reçu quelques coups, il envoya son genou bien droit dans les valseuses de l'homme ce qui lui arracha un cri de douleur digne d'une fillette alors qu'il s'inclina, le genou revint alors frapper, mais cette fois dans la mâchoire, faisant voler une ou deux dents et un filet de sang alors que l'homme trébucha lourdement en arrière, toujours tenu, Cole tira d'un coup sec sur un de ses bras vers lui pour amener son geôlier vers lui et venir lui envoyer son front dans le pif, un crac sinistre, celui du cartilage se brisant, se fit alors entendre, se reculant pour se tenir le nez, il lâcha le bras de Cash.

- "J'vais t'faire bouffer tes dents et ta queue, mais tu dois pas avoir grand chose, tête de gland !"

Le troisième et dernier de ceux qui l'avaient attaqués envoya sa jambe dans le ventre de Cole, le blondinet cracha sous le coup... Et attrapa alors de son bras libre la jambe de l'homme pour le faire chuter et lui tomber dessus en libérant son bras. Ses poings libérés, il s'assurera après deux bonnes droite dans le pif que le type restera au sol, l'autre était encore en train de se remettre de son nez cassé, appuyé sur le bar. On ne laisse jamais un ennemi avoir le répit... Cole attrapa un tabouret en mauvais état et vint alors le fracasser sur le dos de l'homme pour le laisser au tapis, couché par la douleur.

- "Et vous restez à terre les fils de pute !"

Cole se releva, le nombre de belligérants avait diminué, et il avait subit quelques coups, il avait l'arcade en sang, une blessure à la joue droite ainsi que son nez saignaient aussi et il aurait des hématomes sur le torse au réveil.. Il s'apprêtait à retourner auprès du groupe de Clara qui s'était tenue à l'écart avec les autres spectateurs, ils avaient encouragés Cole par moment, un petit détail amusant pour le blondinet.. Et alors il tomba droit sur le chemin du type qui devait s'appeler "Zuquer" ou "Zucco". Il s'en foutait de son nom, c'était un espèce de gros rital énervé vêtu d'une veste et d'un t-shirt puant la sueur et l'alcool à des kilomètres. Il avait le visage en sang dû aux coups qu'il avait prit et donné. On aurait dit une bête sauvage en train de beugler comme une vache attardée, il venait de provoquer Cole, Si le gros rital voulait se battre, il allait être servi !

- "C'est con, t'aurais pu rester hors de mon chemin et pas finir la soirée avec la gueule dans le caniveau  en train d'essayer de te remettre de la raclée que je vais te mettre !" Cash dit cela tout en se mettant en posture de combat. Zucco était plus costaud que les autres, et il allait faire une exception le concernant et peut-être moins se battre comme un abruti, mais plus comme ce qu'il était, un ancien soldat. Le problème c'est que même si vous êtes pro, un type armé, que ça soit d'une arme à feu, une arme blanche ou un quelconque objet contondant, reste un type armé et si vous l'êtes pas, il a un avantage.

Grifter vint alors démarrer un jeu de jambes agile afin de laisser perplexe Zucco sur quel flanc il allait attaquer, feignant un crochet du gauche, il tentera de frapper avec son pied dans le genou droit de Tony Zucco pour le déstabiliser, le rital n'était plus de prime jeunesse, et peut-être que ça serait une fragilité à exploiter pour pouvoir peut-être, lui faire mettre un genou à terre. C'était une grosse masse qui se dressait devant lui, et il allait devoir jouer sur l'esquive et la parade, ainsi que des offensives rapides. Enfin, il tentera cela, sauf si un évènement perturbateur arrive, comme la police venant interrompre la baston ou autre chose...


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MessageSujet: Re: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptyLun 7 Juin 2021 - 23:42

> Et ma pine dans ton cul, tu la veux comment ? Avec ou sans gravier ?

Un coup de pied dans la jambe qu'il me donne cet enculée de mouche à merde. Putain, je me suis jamais autant battu que depuis la dernière fois où Umberto Pino, cette espèce d'enflure, a tenté de m'enculer à sec en reprenant mon affaire. Ok, Zucco & Co, c'était de la merde, mais c'était ma merde à moi, bien huileuse, bien noire, bien puante, je l'avais chiée bordel, c'était mon étron, ma merde, ma signature dans cette couche culotte qu'était Gotham City, je torchais mon empreinte, Gotham City c'était une couche culotte toute blanche, jaunie avec les merdes qu'elle a eu, et moi, moi je passais la seconde couche, un bon gros tas de merde, bien suintant, bien dégueu, bien sentie. Moi quand je posais un cake dans un chiotte, fallait que ça pue sévère, fallait qu'il y'en ait partout, j'étais comme ça, le style dégueulasse et sonore, c'était mon petit truc. Bon c'est vrai, j'étais pas une flèche, mais là, au moment où son pied rencontre ma jambe, je prend un bon coup qui me réveille un vieux rhumatisme de merde dans la gueule. Sache que quand on nique un Zucco, il était toujours prompt à enculer sans vaseline en retour. Y'aurait de la viande froide très bientôt au diner. On n'encule pas un italien à sec comme ça, personne, jamais.

> Putain d'merde, enculé de chierie.


Je gueule, j'avais mal et pour le coup, j'avais qu'une envie : j'avais envie de lui chier dessus, j'allais tellement lui chier dessus qu'il me prendrait pour Dieu le père, et ce serait pas terrible pour blondinet. Vous savez ce que j'aimerai là ? Tout de suite, c'est un bon gros cul, un bon gros cul à péter, une belle et tendre rondelle qu'on a envie de défoncer, rien que pour le plaisir. Quand Zucco entrait, ça finissait en cratère. Bref, je dérouille, je prend cher. Et c'est pas peu dire. Je prend le morceau de bois que j'ai encore dans les mains et j'essaie de puiser encore dans ma force pour lui en coller un bon coup dans la gueule. Mais au lieu de lui refaire la gueule, c'est sur un bouffeur de riz derrière que ça tombe. Putain, il foutait quoi là le bridé ? J'aime pas ces connards de niakoués, et encore moins ces empaffés de bouffeurs de sushis. Putain de race dégénérée, encore heureux qu'on les a descendu en 45'. Je jette mon morceau de bois et j'essaie de faire parler les poings, mais le chinetoque m'en remet aussi un coup dans la caboche. Je prend cher et je manque de lui dégueuler dessus. Je rugis comme une putain de bête, et je fonce sur le chinetoque, délaissant le blondinet. Pour le moment. Attend, ton tour va venir mon gars ! Je me saisis du chinetoque avant de lui foutre une putain de baffe qui va lui décoller les clavicules. J'avais beau être italien, mais putain, qu'est ce que c'était bon d'être un vrai américain. Les seuls vrais travailleurs qui méritaient leurs places, c'étaient nous, les italiens et les irlandais, et pas ces enculés de chinetoques. Tout ce que ces empaffés de jaunes savaient faire, c'était de nous piquer nos idées et de nous voler nos animaux de compagnie. Putain, j'avais perdu un superbe chien de garde, il était majestueux, et en plus, il me chassait les connards et les pédés de hippies qui tentaient de venir sur mon putain de terrain pendant l'an Zéro, ils croyaient surement en faire un terrain pour leurs conneries de drogués, rien à foutre, je les avais viré pièces sonnantes et trébuchantes. J'parie que les jaunes l'ont enlevé et qu'ils l'ont servit dans un de leurs plats. Putain de civilisation dégénérée.

> Quand j'étais chez les enculeurs de mouches à Blackgate, j'ai appris une chose. On se fait toujours enculer à un moment, et là, t'as voulu me coucher sur le ventre et me la lustrer dans le cul, moi je vais te castrer mon salaud.


Un cri, un cri insoutenable qui retentit alors. De ma pogne, je lui broie à la main les couilles. Le mec hurle comme un putain de soprano. Une castration, ça fait jamais de bien, ça fait vraiment JAMAIS de bien. Quand un homme perd ses boules, il perd son identité, il perd même sa façon de vivre. Rien à foutre. Alors que je lui retire son cerveau à deux boules en pressant fortement et en faisant vraiment mal, il pleure sa misère, il pleure sa maman et sa queue disparue à jamais. Contrairement aux lézards, elle repousserait pas, ça c'est certain. L'idée me faisait sourire. Le chinetoque chiale, il implore mon pardon, il tente même, ce con, de me supplier. Mais je largue tchong-tchong et je reviens au blond. C'est encore un putain de bordel dans ce bar de merde. Et ça vole partout, et ça cogne à tout-va. Qu'importe ce qui se passe, tout le monde se fout sur la gueule. Ici, il n'y avait que de la souffrance pour le connard qui essayait de me faire tomber. Monsieur Zucco qu'on m'appelle, le seul, l'unique, celui qui fait crier une pute de l'East End avec deux doigts. Ouais, les putes, elles fermaient leurs gueules quand je leur montrais que j'étais un vrai mâle, et si ça allait pas, bah ... Un coup de poing bien senti, un coup de ceinture, et on affirme son état de vrai mâle dans une ville aussi pourrie que tous. J'avais de la considération pour la femme, elle devait être bonne cuisinière et une bonne femme de maison. Si c'était une pute, elle était là pour tous mes caprices, je paie bon Dieu. Je pointe du doigt le blondin là !

> Toi, je vais t'enculer. Ton trou du cul, ça va être un cratère suintant du sperme !


Avant toute chose, je me saisis de la première bouteille de Jack Daniel's qui me passe sous la main, ça me ferait un bien fou. Mais là, je prend un truc en pleine gueule. Un cruchon qui me fracasse le crâne, je tombe au sol. Bordel de Dieu. Je rampe, comme une merde, vers la table, j'ai ... Besoin ... de mon Jack Daniel's pour la douleur. Alors que ça pète de partout, je griffe le sol pour me trainer, j'ai mal, putain que j'ai mal, j'ai tellement mal que j'ai l'impression de m'être fait enculé à sec, et par une pute en plus, par un mec qui m'attaque en traitre ! Merde, Tony t'as déconné pour le coup. Je hurle, et je gueule, je m'avale quelques gorgées de mon alcool et je sombre dans les vapes, cette entaille me fait pisser du sang, il faudra attendre que mes deux potes entendent mes cris pour se ruer vers moi et me sortent pour aller aux urgences. Putain, et dire que j'allais exploser la gueule d'un blondinet qui m'avait fait mal. Je rugis encore une fois comme une bête, et j'essaie de me relever, mais je chancelle, je commence à voir des étoiles. Quel putain de beau bordel que c'était cette soirée !
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MessageSujet: Re: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptyMar 8 Juin 2021 - 7:37

- "Si tu veux pas te prendre un tesson de bouteille entre les jambes t'a pas intérêt de continuer à chercher !"

Grifter avait porté un coup au genou de Zucco avant de faire un geste de recul pour garder une distance de sécurité et pouvoir continuer a frapper avec ses jambes, temps qu'il était à terre, il avait l'avantage... Et alors un morceau de bois vola droit vers lui, le manquant de peu, comment avait-il pu ne pas le voir venir ? La force et le côté soudain du mouvement de bras avait prit Cole de court, la seule raison pour laquelle il n'avait pas prit le coup c'est dû à la distance entre lui et son adversaire après qu'il eût reculé à la suite de son coup de pied et c'était certain que le fameux "Tony Zucco" était un monstre de force et de rage sous forme humaine. Une créature aux instincts primitifs pour qui la violence était plus qu'une exaltation, c'était un moteur.

Le lourd morceau de bois passa non loi de la tête de Cole, quelques centimètres et il aurait sans doute eu la gueule en sang, enfin plus qu'actuellement. Par chance, le coup fini alors son trajet sur un asiatique qui semblait désirer interférer dans le duel en attaquant Cash sur le côté, le coup lui péta le nez et le fit reculer de deux bons pas alors qu'il se rattrapa sur une table et tourna son attention vers Zucco. Au même moment, probablement un des amis du "chinetoque" vint porter un coup de pied dans le flanc de Cole. "Reconcentre toi, putain ! Tes réflexes te servent a rien si t'es pas attentif !" se dit-il,  il enrageait intérieurement de se coup qui venait possiblement de lui fêler une côte, mais surtout, un coup en traitre. C'était SA signature, SA façon de procéder. il se plia en deux sous la douleur qu'il reçu au flanc, le type avait su où viser, c'était pas un coup au hasard. Et alors que Cole allait se redresser il se prit un coup de genou en plein dans le visage,il roula alors au sol. Au même moment, on entendit alors un cri de douleur strident provenant du côté de Zucco.

Il venait d'attraper ce type par les bourses et venait très probablement d'en faire de la bouillie, une image qui vint arracher à beaucoup des spectateurs un "Ouuuh.." A la vue de ce type qui venait de se faire attraper les bourses par une main colossale. Mais Grifter avait d'autre chose à régler, alors qu'il tenta de se redresser, l'autre type approcha et tenta alors de venir frapper dans son flanc, mais Cole se redressa aussi vite qu'il le put en envoyant son coude en plein entre les jambes du bâtard qui voulait le frapper au sol. Les pieds du type se décollèrent du sol pour y revenir aussi tôt alors qu'il tomba  sur les genoux. Grifter se saisit alors d'un morceau de verre assez épais qui était au sol, un morceau de bouteille brisée, et il vient alors fendre les narines du type qui avait à son tour perdu ses bourses, un cri de douleur accompagné d'un filet de sang. Le type se tenait le visage alors que ses narines pissaient le sang, séparée du visage à leur base  par une fente sanglante.

Cole se redressa sur ses deux jambes et vint appuyer sur son nez qui lui aussi pissait le sang. L'adrénaline c'était une putain de bonne drogue, ça vous rend plus fort, plus violent, plus résistant, plus rapide et c'est là que les choses deviennent drôle. C'est le regard enragé que Cole enverra la semelle de sa botte écrasée le visage du gars qui venait de se faire fendre les narines. Un coup qui écrasera ses mains contre son visage, de quoi lui péter les phalanges. Au même moment, Zucco venait de lâcher son supplicié qui se tenait les bourses en hurlant de douleur et en suppliant son bourreau. Mais le gros rital se tournait de nouveau vers le blondinet. "Putain mais il va pas me lâcher lui je le sens." Se dit Cole. Le type venait de dire qu'il voulait lui défoncer le cul avec sa pine en faire un "cratère suintant du sperme", il semblait faire une fixette sur le cul dans  ses menaces. Grifter laissa un sourire carnassier se dessiner alors qu'il vint se mettre en posture de combat, bien que moins équilibrée que précédemment dû à son flanc qui lui faisait mal et au sang qui coulait de son visage. Il avait reçu des coups car il avait été trop confiant, trop sûr de lui face à des ivrognes, et il l'avait payé avec de la casse.

- "T'a vraiment un problème avec le cul ! T'a un traumatisme ? Tu veux un psy ? T'en verras peut-être un à l'hosto quand t'y seras !"

Et alors qu'un combat allait démarrer entre ce qui était probablement les deux belligérants avec le plus gros ratio de gueules pétées ce soir, un coup en traitre atteint alors Zucco, il venait de lui piquer son combat putain ! Le rital tombe au sol alors qu'il allait se boire du Jack Daniels, il parvient à rattraper sa bouteille alors que Cole vient charger et plaquer le type qui a fracassé un tesson sur la tête de Tony Zucco, une des gueules qu'il voulait péter ce soir. Grifter vient alors frapper avec son épaule dans le ventre du type, un grand black énervé, il l'envoya alors valdinguer sur une des tables qui se brisa sous le poids, attrapant une bouteille il vint alors à son tour la fracasser sur le visage du type en la lançant dessus. La baston vint peu à peu se calmer après cette longue soirée. Certains sont emmenés aux urgences, d'autres sont juste laissés au sol ou dans le caniveau en attendant qu'ils se réveillent, Cole lui se tient le pif, saignant de l'arcade, de la joue et du nez, il a des hématomes un peu partout et probablement une côte fêlée.

Clara et son groupe d'amis viendront vite s'occuper de lui, proposant de l'emmener à l'hôpital. Invitation que Cole refusera, disant qu'il comptait juste rentrer chez lui, se laver et se coucher. Il n'aimait pas vraiment les hôpitaux, c'était un lieu où les patients sont vulnérables, et donc si il était un patient là-bas, il se rendait vulnérable. Et surtout les hôpitaux gardaient les informations sur leurs patients... Et ça, pour Grifter, c'était hors de question. C'est ainsi qu'il quitta Little Italy pour retrouver son petit appart de Westside South. Une soirée comme une autre dans la ville de Gotham.


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MessageSujet: Re: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptyDim 13 Juin 2021 - 16:46

> Alors pédé, on se soigne comme on peut ?

C'est un Zucco avec une gueule tuméfiée qui se pointe face au blondinet qui semblait lui aussi, se remettre de cette soirée de merde. Il semblait vouloir quitter la zone, aussi vite qu'une pédale dans une manifestation du ku klux klan, et quand j'avais un mec dans le nez, j'allais pas le lâcher. Bon, on va pas s'mentir, les tantouzes. C'était un peu de ma faute si tout avait merdé. Avant de quitter le bar, j'avais chouravé une bouteille de bière glacée, je la place dans ma poche. Brr, putain de merde que c'est froid. Aussi froid qu'une pute claquée dans ton lit à cause de la drogue qu'elle s'est enfilée la veille. Putain, c'était pas du sport de se réveiller et de voir un cadavre dans son plumard. Heureusement, les boites d'aliments pour chats et pour chiens ont toujours besoin de barbaque pour remplir les boites. Je me rapproche du gars, sans hostilité visible, mon flingue posé dans le pantalon et j'avale d'une traite la bière que j'avais avant de lancer la bouteille en l'air derrière moi. J'en prend une autre que je décapsule une nouvelle fois. La bière est bonne, c'était dommage de pas profiter d'une substance devenue rarissime dans cette foutue ville. Putain d'embargo ! On se croyait à Cuba, les rouges en moins. Connards de communistes et connards de lopettes de gauche, c'était à cause de ce genre de gens qu'on ne pouvait pas tirer sur n'importe qui ou sur n'importe quoi. Lopettes ! M'adressant avec véhémence et un naturel à en faire frémir une pute thaïlandaise borgne, je regarde le type avant de reprendre.

> T'as un de ces coups à fournir toi, j'suis sûr que t'es boxeur, et que t'as de quoi donner du fil à retordre aux tapettes des petits quartiers. J'te l'avoue, je voulais te casser la gueule, et pour te dire, je voulais te la mettre dans le cul. Pas ma queue, mais cette bouteille que je sirote. Avec ton trou du cul, j'aurais certainement fait le décapsuleur. Enfin, faut croire que je me suis trompé sur toi.


Je re-siffle une nouvelle fois la bouteille avant d'en reprendre une autre, qui se trouve dans mon futal. De Dieu, que ça faisait du bien. Le but en gros, c'était d'en profiter un max avant de crever possiblement dans une guerre de gangs face au trou du cul emplumé. Alcool, sexe, putes à volonté, vivre sa vie l'instant présent avant de clamser. Pour tout dire, je m'attends pas à sortir vivant de la prochaine guerre, et si j'en survis, j'aurais énormément de chance, vraiment. Ce soir, la soirée au bar s'était bien terminée, maintenant, il fallait se trouver une pute. Avec la crise nouvelle, des tas de gonzesses étaient prêtes à offrir tous leurs trous pour un peu de bouffe, pas question de louper ce genre d'affaires. Comme on disait dans les magasins Low Cost : "Chez Prix Bas, tous les prix sont bas !" Et pour une boite de haricots, t'avais une passe. Le bonheur.

> Est-ce que ça te brancherait de bosser pour moi ? Je me charge d'une entreprise de camions qui distribue des marchandises dans tout le pays. Un boulot pour un mec qui a une carrure et qui ressemble pas à Justin Bieber. Tu vois l'genre ?


Je suis ouvert à tous les deals, ça c'est certain, mais faut pas non plus me prendre de haut. Zucco & Co, c'est tout ce qui me restait, et c'est tout ce que je pouvais me permettre de garder pour le moment. Les Maroni étaient dans la merde, les Falcone le sont aussi, et on est obligé de vivre dans une merde continuelle pour survivre le mieux qu'on peut. Les leçons, on me les fait pas. J'avale quelques gorgées de ma bière qui commençait à tiédir. Une bonne bière fraiche, c'était comme une bonne femme, fraiche, agréable au gout, et le mieux : ça parlait pas. Une femme qui parle, c'est source d'emmerdes. Dans les familles mafieuses, la femme ne quitte pas la cuisine, sinon elle prend des gnons. Je me rappelle de ce vieux salaud de Bertinelli, il tapait sa femme, sa fille et son gosse. Une ordure. On peut taper sa femme si elle vous trompe, mais bon Dieu, les gosses, si jamais on touchait à un gosse d'un clan ou à Sonia, j'arracherais sans équivoque les couilles et les doigts du salaud qui se permettait ça. En l’occurrence, Omerta, le tueur de mafieux, lui, méritait une balle dans les couilles et une dans la tête. Mais fallait le choper celui-là. Je lève ma bouteille, juge la bière et j'avale le liquide avant de me le caler dans le gosier. Une bonne bière remet toujours d'aplomb et redonne du courage à l'être qui la consomme. Une bonne bière et c'est reparti. S'il venait à Gotham pour se faire du fric facile, y'avait moyen, seulement, il ne pourrait pas le faire à l'ancienne.

> Je suis bien Tony Zucco, et si vous voulez m'arrêtez, z'avez aucun preuves. Ah et ma chemise, c'est du jus de tomates dessus.


On sait jamais, y'a peut-être un micro ... Autant rester dans le cliché. Limite foutage de gueule. On sait jamais. Les infiltrés aimaient bien s'en prendre aux mafieux. Et puis si c'était une taupe, j'avais un trou qui demandait qu'à être rempli avec du béton. Les pompes en béton, c'était la spécialité pour les fouines et les traitres. Le genre qu'on s'amuse un peu quoi. Mais les affaires allaient mal, c'était vrai. Tout foirait. Que ce soient les transactions, les crimes, les affaires, tout finissait mal ou finissait bizarrement. Le crime avait laissé sa place à la folie, aux conneries et aux bassesses. On était loin des Affranchis, et les vieux de la vieille sont morts ou en fuite. Pas de chance, vraiment. Je vais droit au but. Des arrivistes, on en a vu pas mal, et la plupart se sont fait dégagés comme des malpropres et à 70% les pieds devants. Depuis la chute du vieux Falcone, d'autres salopards ont changé les règles, et la blague à Gotham, c'est nous au final. On a foiré, on a pas su endiguer cette menace et maintenant on l'avait profonde.

> T'es nouveau à Gotham, garçon ?
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MessageSujet: Re: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptyJeu 15 Juil 2021 - 2:43

Cole remontait une des rues de Little Italy.   Il se massait la mâchoire après les nombreux coups reçus et donnés dans cette soirée. Ses côtes étaient en feu, et le sang perlant d'une plaie à l'arcade et d'autres petites blessures sur son visage lui donnait un air de sauvage. Sa chevelure blonde avait reçu un peu de sang de ceux qui avaient reçu ses coups. Après tout un uppercut en pleine mâchoire, ça fait voler des dents et du sang.

Il n'était pas très attentif au moment ou il vit alors Zucco surgir devant lui. L'homme avait le visage marqué par les coups lui aussi, enfin, après la baston que l'italien avait démarré, c'était normal que sa gueule se retrouvait dans un état pareil. On aurait dit un fruit au vu du rouge et du bleu qui parcourait le visage de l'homme..

Cole vint alors fléchir légèrement les jambes, un geste simple qui lui permettait de se préparer à bloquer ou rendre des coups tout en conservant son équilibre. Dans un combat, l'équilibre c'est le plus important avec ne pas crever ou pas se faire assommer. Mais visiblement Zucco n'était pas là pour en découdre, visiblement il avait su "apprécier" les méthodes de combat du blondinet, le comparant à un boxeur.

- " J'ai fait de la boxe oui, mais maintenant j'suis juste ouvrier sur un chantier. Et ça ira pour la bouteille, je pense que je ferais un mauvais décapsuleur. "

L'homme prit alors une grande gorgée de bière, se rinçant le gosier alors que tout son être transpirait la vulgarité et la violence. Ce Zucco était une raclure aux yeux de Cole. Une brute épaisse mais pas complètement conne. Si en étant aussi violent l'italien était encore vivant et en "liberté", c'est qu'il était malin. Et si il était malin... Il était dangereux.

- " Bosser pour vous ? J'peux bien faire un petit bonus pour arrondir mes fins de mois sur mes jours de congés si c'est juste conduire des trucs. Mais vu qu'il faut des types avec des gros bras, je suppose que je vais aussi devoir casser des trucs, et aussi des gueules ? "

Comment obtenir des infos... Facile, allez à la source ! Travailler pour Zucco comme transporteur c'était un moyen de savoir les trafics en ville et d'en apprendre plus sur d'autres groupes. Et par conséquent d'éliminer plus de raclure lorsqu'il interprétait Grifter. Mais il allait devoir être prudent. Car maintenant Zucco connait son visage, et si il faisait le lien entre Grifter et Cole, ça foutrait un boxon sans pareil et il y aurait des morts.

- " Je suis bien Tony Zucco, et si vous voulez m'arrêtez, z'avez aucun preuves. Ah et ma chemise, c'est du jus de tomates dessus. "

Hm, Cole comprit vite pourquoi Zucco avait dit ça. Beaucoup de policiers pouvaient travailler en infiltrés, porter des micros et en sortant un alibi, aussi bidon soit-il, tout en déclinant son identité, concernant le sang sur son t-shirt par exemple, il s'épargnait une investigation rien que pour coups et blessures. De tous les crimes qu'il avait commis, Al Capone avait été arrêté pour fraude fiscale, alors c'était normal que les criminels couvraient la moindre petite connerie du genre...

Cole vint dire d'un ton nonchalant à son interlocuteur :

- " J'suis pas avec les flics, t'inquiète. Et ouais je suis nouveau à Gotham. Ça paye bien ton boulot ? "


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MessageSujet: Re: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptyJeu 22 Juil 2021 - 15:42

Bon, le keum a l'air partant. Il a la gueule du mec qu'on emmerde pas pendant les transports routiers, et vu le taf qu'il a foutu dans l'merdier, il en avait dans les couilles. C'était le genre de type à qui on la fait pas, le genre de mec qui a suffisamment de couilles pour t'enculer jusqu'à la glotte. Un mec à qui on la faisait pas, c'était certain. Je jette ma bouteille maintenant vide en arrière, qui se brise sur le trottoir. Le gamin en avait, et c'était ce qui me plaisait chez les gosses qui voulaient en découdre. Dans Little Italy, on avait rien à craindre. Ici, c'est chez nous. Ici, ça sent le chianti, les pâtes, et bien sûr, les contrebasses en carton plaqué, pour y cacher une mitraillette. On la jouait à l'ancienne ici, putain. Ici c'est Little Italy. C'est pas les pédés de mexicains ou ces gros enculés de chinetoques. Nan. Ici, c'était une putain de famille. Après, dans toutes les familles, y'a des embrouilles, mais qui n'en a jamais ? J'avais une de ces putains de tchatche, j'étais motivé quand j'ai vu ce gars en foutre un au tapis. Il avait des nerfs le p'tit, et ça me plaisait beaucoup. On peut jamais se fier aux emmerdes, mais ce mec-là, on sent qu'il y'a quelque chose de violent en lui. Et ça me faisait triquer comme un putain d'âne.

> Après la branlée que t'as mise à ces métèques, t'as mon putain d'respect, fiston. Et si ça paie bien ? Est-ce que le pape chie dans les bois ? Ouais, ça paie bien, mais faut que le travail soit bien accompli. Si c'est fait comme il faut, tu auras p'têtre même un p'tit bonus. Le boulot est simple. Conduire des marchandises, fournir un petit papier vert à ceux qui te ralentissent, et tu livres. Une seule règle : Ne demande jamais c'qui y'a dedans. La curiosité, c'est pour les pédés et ceux qui veulent raccourcir leur vie.


Bordel, plus de bière, il me fallait un truc pour carburer et pour bientôt. Les deux gros qui me suivaient sont rentrés à la casse, et moi, j'allais hanter les bars à me bourrer la gueule et à vomir dans le caniveau cette nuit. Putain, ça c'est la vie. La liberté de faire ce que l'on veut, où on veut, quand on veut. Putain de pays des libertés, que je t'aime. Je t'aime tellement que je pourrais branler la Floride qui te sert de bite et te juter dans le nouveau Mexique. Mais faut que j'arrête de délirer, faut aussi que j'arrête les médocs sans ordonnance, c'est pas bon pour le cerveau, bordel. Fallait être clair avec le blondinet. Le gars sait sûrement dans quoi il s'embarque. Après tout, on était à Gotham City, hein. C'était pas la petite maison dans la prairie ici. C'était pas Charles Ingalls qui allait scier du bois et enculer machine à sec derrière l'église. Nan, on était bien loin de ce genre de trucs. Ici, si t'as pas le nez dans la merde, tu l'as dans le cul d'une pute, à lui sniffer de la coke dans la raie du trou de balle. Dans cette ville, faut savoir être clair. Moi je juge mes gars par leur talent à foutre la merde et à se bagarrer bien comme il faut. C'était ça, ça a toujours été comme ça pour moi. Une vie de violences, de bagarres, et de trou à Blackgate. La prison, ça vous forge un homme, où ça lui perfore le cul sous les douches, chacun son truc. Moi, j'avais appris qui j'étais en taule. J'étais Tony Motherfucking Zucco. Et je comptais bien ramasser mes billes dans cette ville, encore une fois.

> Nouveau hein ? Tu viens de quel trou ? J'connais peut-être des putes de là où tu viens ? En tout cas, si t'accepte le boulot, j'te paie une tournée générale. Encore pire que celle qu'on vient de faire !


Malgré l'heure tardive, on est jamais assez bourré pour s'éclater et faire la tournée de tous les rades pourris, avec le mauvais whisky et toutes ces saloperies qui nous bousillent le corps. Faut dire que dans cette putain de vie, faut en profiter un max', ce serait con de crever comme un con, sans jamais avoir tout testé. Après, je refuse à m'enfoncer des trucs dans le cul, c'est pas mon truc, et j'aimais pas ça. J'en avais fait des tournées de putes. De Chicago à Métropolis, puis à Gotham. Quand je faisais dans le trafic d'humains à une lointaine époque, j'avais tiré quelques cartouches sur quelques chinoises qui étaient pas trop dégueulasses, ça pouvait arriver. Les meilleures femmes, ce sont celles d'un soir, ou que l'on paie pour ken avec. Tout tourne autour du cul. Ce putain de truc rond qui chie du trou pour t'en mettre plein la gueule. La vie est un trou du cul. Faut savoir le baiser pour s'éclater, et bien sûr, éviter que ta bite devienne noire de merde. La gars a l'air d'être un bon gars, et pour tout dire, on sentait le putain d'énergumène en lui. Le putain de gars mystérieux, au passif bien douloureux et qui veut surtout pas s'investir. Le genre de mec qui me plaisait bien, sans arrière pensée, hein. Je suis pas de ce bord-là, bordel. Une envie de dégueuler me vient, mais je ravale tout. Un léger retour en arrière de la tête, et on ravale tout ça, on réprime l'envie de gerber. Vaut mieux. J'avais pas envie que mon nouvel employé ait des à priori sur son patron.

> Tu veux m'accompagner ? J'ai l'intention de picoler toute la putain de nuit pour fêter ça, d'écumer les bars et de vomir sur la première salope qui traine. Dans la vie, c'est soit tu encules, soit tu te fais enculé. Moi, je sais de quel côté je suis, et je suis clairement pas un dominé.


Je me sors une pure cigarette de ma poche, fripée, mais encore consommable. Un maigre sourire tandis que je la porte à ma bouche avant de l'allumer. Une petite clope, ça aide à rester réveiller et à pas s'endormir. J'avais bu quoi au fait ? Le mal de crâne sera terrible demain, ça c'est certain. J'étais p'têtre un gars pathétique, ou qui était un gros porc, mais je m'en fous. Je m'en fous de ce que peuvent dire tous ces cons. Je fais ma vie, et surtout, je garde cette règle essentielle en tête. Faut pas prendre les cons pour des gens.
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MessageSujet: Re: Un emploi un peu moins honnête...   Un emploi un peu moins honnête... EmptySam 31 Juil 2021 - 5:03

L'ambiance se calmait peu à peu, Zucco ne présentait aucune hostilité envers Cole... Et ça l'arrangeait. Il avait l'habitude de remplir des contrats de mercenariat même pour des raclures ; et souvent il se servait de ça pour récolter des infos sur les divers mafias et groupes criminels. Depuis son arrivé à Gotham il avait creusé un bon nombre de trou de balle dans la caboche de raclures de la ville. Il était même possible qu'un ou deux gros bras de Zucco se soient aussi fait descendre par "Grifter" et c'était là la plus belle ironie si c'était le cas.

Travailler avec son identité civile pour un criminel était pas la meilleure des idées pour un gars comme Cole, c'était... Compromettant si il y avait des problèmes ou si un autre justicier venait s'immiscer dans tout ça, surtout si c'était un justicier qu'il connaissait, c'était un " high risk, high reward ", mais la baston dans le bar avait fait bonne impression ; c'était ce que recherchait le gros rital qui se tenait devant le blondinet, et visiblement il voulait remettre une autre couche ou au moins boire quelques verres. Refuser c'était prendre le risque de l'énerver, qu'il le prenne comme une insulte ou du mépris et ça serait du gâchis, le petit boulot proposé était parfait pour récolter un peu de blé et cerner des lieux de livraisons, des visages, et aussi quelques flics pourris qui donneraient des infos pour quelques billets verts.

- " Je viens d'Chicago et certainement pas de The Loop. Plutôt simple comme boulot, mais j'vais devoir m'attendre à ce qui est plus de soucis que quelques flics a qui je vais devoir filer des billets... Ça fera de l'échauffement ! " Il était confiant, peut-être trop, comme toujours. Il vint alors se frotter la mâchoire, la douleur des coups reçus était encore présente, et surtout il avait toujours du sang sur la face. " J'suis partant pour le boulot et surtout j'suis partant pour la tournée et pour aller boire quelques coups ! Et surtout, je sais de quel côté je suis aussi. Et pas le même que les trous du cul du bar qui ont la gueule dans la merde du caniveau maintenant, j'espère qu'on va en envoyer d'autres... Faut bien que les urgences méritent leur salaire..."


Il s'approcha de Zucco pour l'accompagner dans la suite de cette soirée ; ce soir, il était l'un de ses gros bras et c'était la meilleure façon de faire bonne impression et de gravir les échelons. Cassez des gueules pour quelqu'un d'autre, surtout les gueules qu'il aime pas, et vous devenez son meilleur ami, ou plutôt son meilleur outil. Et un bon outil connait tous les secrets de son utilisateur, ses habitudes, sa façon de faire. Et Grifter comptait bien apprendre tout ce qu'il y avait a savoir sur Zucco & Cie.


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